Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Psychanalyse et animaux.

les pendaisons de levriers (galgos) en Espagne. En toute impunité!

12 Juin 2011, 17:25pm

Publié par Jo Benchetrit

La superiorité humaine en  barbarie est indubitable, et l'homme imbitable.

Je transmets ce temoignage poignant:

Ce texte nous a été envoyé par Nathalie et nous avons pensé qu’il méritait mieux qu’un simple commentaire sur le blog.( www.actuanimaux.com)
A tous ceux qui veulent comprendre l’horreur de la pendaison des galgos, voici un texte à lire, qui est réel. (Ames sensibles s’abstenir) 
Le pianiste de Raymond Audemard 2006
C’était un bout de terrain presque plat, une saignée dans la forêt, les hommes étaient là, en groupe. Ils fumaient des cigarettes mal odorantes qu’ils roulaient tout en plaisantant. Nous, les galgos, on était au pied. Les oreilles agitées, attirées par les mille bruits de la forêt.
Un peu excités aussi, par l’odeur du lapin qui était là, à quelques pas, dans la cage grillagée. On sentait sa peur. Elle nous attirait, comme un aimant.
Les hommes se sont mis en rang, chacun avec un galgo serré entre leurs cuisses, les colliers de corde ou de fil de fer étaient solidement tenus.
Le mien entrait douloureusement dans la peau de mon cou. Puis, ils ont ouvert la cage. Affolé, il a surgi à la vitesse de l’éclair. Au signal, les galgueros ont lâché les colliers. J’ai ressenti une vive douleur à la queue. Pour me faire ” démarrer ” plus vite, mon maître l’a entaillée avec son couteau. Comme mes frères de course, je porte des dizaines de stigmates de ces coupures. Cela ne me fait pas courir plus vite, mais mon maître ne semble pas s’en rendre compte.
Alors, j’ai couru. Couru de toutes mes forces, couru de tout mon être. Je voulais l’attraper cette petite boule de fourrure beige qui s’agitait frénétiquement devant nous, changeant sans cesse de trajectoire pour nous tromper. Le sang battait à mes tempes et je sentais l’air s’engouffrer dans ma large poitrine après les premières secondes où j’avais retenu mon souffle. Mais je suis un coursier. Un chasseur et un coursier, et je ne le quittais pas du regard. Je percevais son affolement. Les hommes criaient, tapaient dans les mains, criant les noms des chiens qui couraient pour eux. J’étais presque sur lui, je recevais de minces giclées de poussière soulevées par ses pattes.
Et puis, il y a eu cette motte de terre qui a cédé sous ma patte, j’ai perdu l’équilibre un instant, mais je ne suis pas tombé. Blas, un grand galgo noir en a profité, il m’a devancé et a attrapé le lapin. Il l’a secoué dans sa gueule, en sautant en l’air de plaisir. Je me suis approché, mais il a grogné. Il était le vainqueur. Les hommes sont arrivés en courant, ils ont retiré son trophée à Blas. Il a aboyé. Il a reçu un coup de fouet.
Mon maître était furieux, je l’ai vu donner des morceaux de papiers au maître de Blas. Il m’a attrapé par le collier, méchamment et a serré. J’ai gémi. Il m’a donné des coups de poings et des coups de pied. Ce n’était pas ma faute, je ne l’avais pas vu cette motte de terre, et puis, le plus important c’était bien que le lapin qui s’était échappé ait été rattrapé. Même par Blas !
En revenant vers les voitures, j’ai aperçu Libra. Elle se traînait sur trois pattes. Elle était tombée. L’os sortait de sa patte arrière droite, juste au-dessus de la cheville. Son propriétaire, un gros chasseur du coin l’a insultée, puis il l’a rouée de coups de pieds. Chaque fois que les coups atteignaient sa patte brisée elle hurlait. Il riait et il tapait encore plus fort. Puis il a donnée un coup de talon sur son dos. Elle n’a plus bougé. Plus gémi. Mais j’ai vu ses yeux. Elle était encore vivante.
Ils l’ont laissée là.
Il y avait de la bière, les hommes ont bu en plaisantant. Le soleil commençait à chauffer. Mon maître m’a attaché au bout d’une corde et il m’a entraîné vers la voiture. Je suis monté à l’arrière, aidé d’un bon coup de pied dans les reins. Tout en conduisant, très vite malgré l’état de la route, il n’a pas arrêté de hurler après moi. De m’insulter. De temps en temps il se retournait et me frappait avec un bâton qu’il a toujours avec lui. Arrivé à la ferme, il m’a attaché. Très court. Je ne pouvais pas atteindre la vieille bassine pleine d’eau sale dans laquelle je bois habituellement. Il est rentré. Je l’ai entendu hurler encore.
Puis il est sorti, avec un fouet et il a commencé à me frapper. Je ne pouvais pas m’enfuir, tout au plus me rouler en boule. Le fil de fer m’étranglait et je suffoquais tandis que les coups pleuvaient sur mon dos, sur mes flancs.
Pourquoi ?
Au bout d’un moment il s’est calmé. Il est rentré. Le soleil cuisait mes plaies, les mouches se posaient sur moi, mais je n’avais même plus la force de les chasser.
Nina, une petite galga est venue lécher mes plaies. Je n’ai pas réagi. Cela apaisait un peu la brûlure. Mais elle ne pouvait rien faire pour ma gorge serrée et desséchée par la soif. Nina est là depuis longtemps, elle fait souvent des petits. Ils partent très vite. Elle est vieille maintenant, elle est très maigre. Elle est là depuis au moins cinq saisons de chasse.
La journée a été longue. Le maître est parti à la chasse, avec Nina. Au soir il est revenu. Seul. Je ne disais rien, je ne faisais aucun mouvement, comme si j’avais voulu me confondre avec le sol. Mais il est revenu vers moi. Il m’a craché dessus et donné un coup de sa botte ferrée.
Toute la nuit, j’ai grelotté, de froid, de fièvre, de douleur. Les tiraillements de ma peau déchirée rendaient chaque mouvement douloureux. Même respirer devenait un calvaire.
Au matin, il est venu vers moi, il avait une longue corde. Il m’a détachée, a passé la corde dans le fil de fer qui me sert de collier et il m’a traîné. Je pouvais à peine me tenir debout. Il m’a attrapé par le cou et par une patte et m’a jeté dans la voiture. J’ai hurlé. Il a ri. J’avais mal. Mais son rire m’a rassuré. En général, quand il rit, il ne frappe pas trop longtemps. Ou moins fort.
Il a pris un chemin de montagne, un de ceux que nous prenons quand il m’emmène chasser. Mais jamais je n’aurai la force de chasser. Je ne peux même pas me remettre debout dans la voiture. J’ai glissé entre les sièges, sur le plancher et je ressens tous les cahots de la route empierrée.
Il fait beau. Au loin j’entends des oiseaux chanter. Une abeille est venue se poser sur ma truffe. Je ne pouvais même pas la chasser. Elle s’est envolée. Il doit y avoir pleins de lapins par ici. Je sens l’odeur de leurs crottes. Il arrête la voiture. Il sort et fume une cigarette. Par la fenêtre j’aperçois la fumée bleutée qui s’élève, mais je ne le vois pas, ma tête posée sur le plancher de la voiture. J’entends sa botte qui racle le sol. Il écrase sa cigarette. Il fait toujours cela. Il ouvre sa porte et se saisit de la corde et il tire d’un coup sec. La douleur est fulgurante. Mon souffle est coupé. Il empoigne sans ménagement la peau de mon dos, comme le faisait ma mère lorsque j’étais chiot. Mais il me fait mal. Je ne suis plus un chiot. Il me jette part terre et il me traîne en me tenant par les pattes. Ma langue sort de ma bouche, je n’ai plus de salive et la douleur de ma gorge est comme un fer rouge. Il s’arrête enfin. Je sens alors les cailloux coupants du chemin qui ont ravivé mes plaies. Il me regarde. Me donne un coup de pied dans la mâchoire.
Pourquoi fait-il cela ?
Puis il saisit le bout libre de la corde et il le lance dans un arbre, en travers d’une branche. Je ne comprends pas ce qu’il veut faire. Puis il se met à tirer. J’essaie de bouger, de me mettre sur mes pattes, mais je suis trop faible et je retombe, sans force. Il tire toujours, je sens ma tête qui s’élève, la pression sur ma gorge est horrible. J’essaie d’aboyer mais je ne peux pas. Il tire encore, mes pattes de devant quittent le sol, je sens mes vertèbres tendues à se rompre. Ma tête est rejetée en arrière.
Et j’aperçois Nina. Elle est là. A quelques mètres. Son corps noir et blanc tournoie à un mètre du sol. Sa langue sort entre ses lèvres et des babines retroussées lui font un rictus menaçant, elle qui n’a jamais résisté.
Mes pattes arrière touchent le sol. La souffrance est de plus en plus horrible. Mes antérieurs griffent désespérément l’air, je me débats, en vain. Mes cuisses sont tendues.Je veux vivre !
Je sens la tétanie qui les gagne, mes muscles tremblent. Le maître a allumé une cigarette. Il regarde. Il parle. Il me demande quel air je suis en train de lui jouer sur mon piano.
Je ne comprends pas. L’air passe de plus en plus difficilement dans ma gorge. Une de mes pattes arrière vient de céder. La pression se fait encore plus forte sur mon cou. Je sens l’odeur des arbres, de la sève. Mais aussi l’odeur de l’homme, sueur, alcool, tabac et essence. Une odeur que j’ai appris à craindre. Il rit. Ma vision s’obscurcit. L’air ne passe plus. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis là. Les oiseaux qui s’étaient tus se sont remis à chanter. Le soleil est haut dans le ciel. Je sens sa chaleur. Mais je ne le vois plus. Je n’en peux plus. Trop mal.
La délivrance.
Nathalie



 
=============
L'homme n'est rien  
d'autre, rien de plus  
qu'animal.   
S. Freud 



Voir les commentaires

Comment défendre les droits de "Mimine"? Une laie apprivoisée, sauvée, en situation illegale.

12 Juin 2011, 16:59pm

Publié par Jo Benchetrit

Une agricultrice se bat pour défendre les droits de Mimine"Tu es responsable de ce que tu as apprivoisé."
St Exupery.
Elle est  heureuse, ça ne se fait pas.
L'amour doit être sanctionné. ça se passe pas chez les sauvages d'une tribu anthropophage mais chez nous.
200 euros d'amende, et puis quoi encore?
Quelle honte que ce système judiciaire qui donne tort à la vie et à l'amour et raison aux assassins chasseurs, aux toreros tortionnaires, aux agriculteurs éleveurs dans des conditions  abominables, aux abatteurs des abattoirs, aux Mengele des laboratoires d'experimentation animale, aux dresseurs-bourreaux, aux massacreurs de pigeons ??
Vive Mimine et sa protectrice. Soyons vigilants et prêts à les aider.
Pris là: 
Il y a 11 ans, une agricultrice, Mme Cornu, recueillait une laie qui venait d'être renversée par une voiture. Aujourd'hui, après avoir écopé d'une amende de 200€ elle est sommée par le tribunal de Grande Instance de se séparer de son animal.

Une agricultrice se bat pour défendre les droits de "Mimine"


Après l'avoir soignée nourrie et bichonnée pendant plus d'une décennie, il est hors de question pour Evelyne Cornu de se séparer de celle qui est devenue son animal de compagnie. Elle s'est beaucoup attachée à elle et la considère un peu comme un membre de sa famille.

La laie vit dans un enclos et "communique " avec sa maîtresse, en répondant à ses appels. "Mimine, qui vit dans un parc clôturé, m'entend, me sent et me reconnaît comme si c'était un petit chien", explique Mme Cornu.

Elle craint que sa protégée ne se fasse tuer par un chasseur si elle était remise en liberté et refuse catégoriquement de se soumettre à l'injonction du tribunal. Elle envisage même de recourir à un avocat pour défendre les droits de l'animal. Pour avoir empêché la saisie de sa laie, la propriétaire doit comparaître devant le tribunal correctionnel de Périgueux.

 

Voir les commentaires

Veggie Pride 2011: video du Parisien

12 Juin 2011, 10:57am

Publié par Jo Benchetrit

http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafzaS0.html?xtor=EREC-109

Contre la barbarie consensuelle car masquée des elevages, tran
sports, et abattoirs.

veau-box3.jpg
1 Milliard et demi par an endurent l'horreur. Les poulets,les veaux "produits" de l'industrie du lait, les  dindes, lapins, et autres classés "  volailles"souffrent peut etre encore plus.
Et ce, dans le silence et l'indifférence de tous.
Rejoignez nous, vous les ennemis de la barbarie de la chasse et de la corrida qui d'ailleurs est née du sadisme des abatteurs
et des passants qui prenaient leur pied à les mater faire les guignols.



L'alimentation vegetale?
C'est facile, c'est bon, c'est nouveau mais aussi traditionnel. Il n'y a que le 1° pas qui coûte.

Voir les commentaires

La bactérie tueuse serait fille de graines germées. Etrange.

11 Juin 2011, 18:25pm

Publié par Jo Benchetrit

Parfois, je deviens parano, enfin, disons méfiante. Et vous?

 

Alimenteur, mon cher  Watson?

Ben, je sais pas moi, je trouve cela suspect. Ma parano dirige son regard vers le lobby de la puissante filière VOL : viande oeufs lait.

Au moment où le concombre se démasquait comme innocent, ainsi que tomates et salades, au moment où un expert  de  l'OMS désignait la sacro-sainte filière viande,  tandis que visiblement l'épidémie diminuait, après nous avoir fait flipper sur plein de choses et pour rien, vlà que le suspens est terminé: la coupable aurait été trouvée.
Je veux bien, moi, mais sachant comme je le disais que les plantes ne font pas crocrotte et que donc la bactérie vient d'un organisme animal(dont humain), ça ne dit toujours pas d'où elle vient en fait.

Vu que l'Espagne demande une grosse somme, l'Allemagne peut avoir décidé une bonne fois qu'il fallait clore cette affaire ruineuse. 

Quoi de mieux que ces petites graines germées assez rares sur les marchés, et donc dont le boycott qui va s'en suivre ne pourra être que moins dommageable économiquement parlant. cette petite graine est bien commode, non? Je me demande dans quel esprit tordu cela aurait pu germer?
 Car, en effet, curieusement, aucune plainte n'est déposé par le gouvernement allemand contre le cultivateur car "rien ne peut lui être reproché." hygiène conforme aux normes, bactéries tueuses absentes.

http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/sante/bacterie-e-coli-la-ferme-bio-allemande-disculpee_1001634.html
La seule preuve fut qu' on a trouvé dans une poubelle un sac de graines de cette entreprise  qui était contaminé.

"Il a appelé les consommateurs à rapporter toutes graines germées suspectes, comme l'a fait ce père de famille "très vigilant" près de Bonn: "Il a entendu à la radio ou à la télévision l'histoire (des soupçons portés sur) des graines germées. Il s'est souvenu qu'il y avait dans son réfrigérateur un sachet de graines, qui a ensuite été jeté, il l'a récupéré dans la poubelle et l'a apporté aux autorités", a raconté M. Remmel.

Cet homme n'a pas consommé ces graines, contrairement à sa femme et sa fille, tombées malades comme plus de 3.000 personnes."

Bon, admettons mais dans une poubelle, c'est sale déjà. pas facile de savoir si cela venait de ce sac. Est-ce certain que ça vienne de l'intérieur du truc?

Hem!hem! mon instinct Sherlock Holmes n'est pas satisfait.

 Néanmoins, et si c'était vrai? 

Et même si c'est vrai, ça ne dit pas le fin mot de l'histoire qui a fait une trentaine de morts, quand même. Moins que les corridas, certes, qui tuent des milliers de toros pour faire plaisir à des gens dont on aurait voulu qu'ils mangeassent des tonnes de graines germées de cette usine si propre et conforme selon les allemands qui n'en sont pas à une contradiction près. eux, ce sont des graines de violence!

  Ecoutons ce que dit cet expert de Pasteur:

«Ce n'est pas la première fois que des graines germées sont à l'origine d'infections alimentaires. Il y a eu des cas au Japon et aux États-Unis. À chaque fois, cela a été très difficile de fournir des preuves microbiologiques de la contamination, explique François-Xavier Weill, chef de l'unité des bactéries pathogènes entériques à l'Institut Pasteur. C'est tellement difficile qu'en cas de suspicion, la FDA (l'agence de sécurité sanitaire américaine) recommande d'interdire la commercialisation des germes sans attendre les résultats des analyses.» 

 

un article interessant:

http://www.tdg.ch/actu/monde/graines-germees-bio-font-parfait-coupable-2011-06-11

Les experts ont utilisé toute la panoplie des ressources de laboratoire pour traquer la bactérie tueuse, qui a fait hier sa trente-troisième victime et contaminé 3000 personnes. Mais ce sont des questionnaires et des recoupements qui ont finalement conduit à la piste du présumé coupable: les graines germées de la petite ferme de Bienenbüttel, en Basse-Saxe, soupçonnées depuis le début de la semaine.

"«Nous n’avons pas trouvé de trace de la bactérie sur place», reconnaissait pourtant Reinhard
Bürger, président de l’institut Robert-Koch (RKI), en présentant hier matin les résultats de l’enquête. En fin de journée, à Düsseldorf, un paquet de graines de l’exploitation, porteur de bactéries, a cependant été retrouvé. Gisant ouvert dans la poubelle d’une famille contaminée, il ne représente pas une preuve définitive, mais conforte les hypothèses du RKI.

Celles-ci s’appuient sur les statistiques établies à partir d’une nouvelle base d’étude détaillée des recettes de cuisines de restaurateurs. Un arsenal de données dont ne disposait pas l’institut lors des analyses fin mai, qui l’avait conduit à accuser les concombres et les tomates, disculpés hier.

Cinq groupes témoins de touristes, voyageurs et membres d’associations ont ensuite été constitués, regroupant 112 participants, dont 19 personnes contaminées ayant partagé un repas commun.

Tous ont été interrogés en détail sur leur consommation, avec menus, photos de voyages et de plats à l’appui. Les informations collectées et «évaluées» ont établi que la consommation de graines germées multipliait statistiquement par 8,6 les risques de diarrhées sanglantes. Toutes les victimes contaminées de l’échantillon de consommateurs en avaient ingurgité. Une proportion qui s’élevait à 25 ou 30% seulement dans les enquêtes précédentes.

Les experts de plusieurs institutions sanitaires des Länder ont retracé, en parallèle, les livraisons de la ferme «bio» de Bienenbüttel à des cantines, restaurants et hôtels. Ils ont établi qu’elles coïncidaient avec 26 des 55 établissements de cinq Länder dont des clients ont été
contaminés.

La petite exploitation serait ainsi «l’araignée au centre de la toile de l’épidémie», selon les termes du ministre de la Santé de Basse-Saxe.
Mais les autorités n’excluent toujours pas toute autre forme de contamination. La contamination humaine, directe, pourrait aussi expliquer un paradoxe révélé par le Ministère de la santé en Hesse: les clients d’une entreprise de plats préparés qui n’ont mangé ni salade ni graines germées ont été contaminés tout de même!

Reste que les graines germées n’ont pas conçu la bactérie fatale elle-même! Les analyses des experts selon lesquelles celle-ci proviendrait de souches d’origine humaine ont été confortées ces derniers jours. Les légumes auraient ainsi pu être contaminés par défaut d’hygiène, lors de leur empaquetage par des personnes porteuses de la bactérie.

Par ailleurs, la Russie a annoncé hier qu’elle va lever l’embargo imposé la semaine dernière sur les légumes européens."

 

Que ça ne vous empêche pas de vous laver les mains le plus souvent possible et toujours en sortant des WC.

Faut tout leur dire!

 

Voir les commentaires

Alinea 3 / anti-corrida - partie 1 par Semprun est mort. Viva la muerte d'un aficionado! 2 videos d'alinea 3 de jerome lescure

11 Juin 2011, 11:33am

Publié par Jo Benchetrit


Merci à Jerome Lescure, l'auteur de ce film courageux car fait par des gens sensibles, mais  irregardable.
moi je ne peux pas.

Pleurer Jorge Semprun, un facho (oui, un aficionado est un facho, qu'il le sache ou pas, que vous le croyez ou pas!) jouissant qu'on impose des atrocités à des innocents? NON. Jamais et ce,  quelle que soit la réputation de l'homme par ailleurs.Je ne pleure pas Celine, je ne verserai pas une larme pour Semprun... Il est mort trop vieux . La saloperie conserve.

Jorge Semprun assistait régulièrement  à des corridas à Nimes où il avait l'habitude de prendre place sous la présidence.  Mon amour et ma peine vont à  ces pauvres martyrs de la connerie humaine.
Semprun,  avec tes semblables, si l'enfer existe pour les salauds, amuse-toi bien là bas.

 

 

Voir les commentaires

BOYCOTT DES FERIAS. NIMES, VIC- Fezensac ETC: VOUS N'ALLEZ PAS AUX CORRIDAS MAIS VOUS LES JUSTIFIEZ. videos de corridas.

11 Juin 2011, 10:46am

Publié par Jo Benchetrit

Comment peut il y avoir des gens joyeux durant des tortures? Moi, ça me dépasse.Je suis étonnée aussi que les assoces anti-corridas n'aient encore pas appelé au boycott de  ces ferias. tout ceux qui y vont ne sont pas des pervers et doncne vont pas aux corridas. mais ils sont là, donnant des deniers,  apportant de la joie malsaine sur fond de malheur dans ces villes qui devraient être ostratisées car honteuses .

J'espère que ce sera fait et que vous allez boycotter ces villes d'atrocités.

http://www.pas-content.ch/anti-corrida/Photos%20C.R.A.C/Corrida%20Chateaurenard%2002-08-04%20(34).JPG

 Allez voir cette video par exemple:

http://www.buzzmoica.fr/video/video-anti-corrida-contre-la-tauromachie-ames-sensibles-sabstenir-8530
Vous trouvez ça drôle,vous?PENDANT LES MASSACRES, UN PEU DE DIGNITÉ! SVP n'y allez pas, ni dedans, ni dehors. Nimes, ville d'assassinats devrait être une ville morte. 

Si ce n'est pas le cas, que feriez-vous dans ces lieux de souffrance, d'agonie, qui puent la mort, la maladie mentale des aficionados pervers  jouissant dans des orgasmes sadiques des plaies imposées à des innocents, qui applaudissent avec une méchanceté foncière qu'ils partagent avec la psychopathie des toreros?  

Feriez vous la fête devant des hôpitaux spécialisés dans la fin de vie? Ou encore devant un camp d'extermination nazi?

 

En quoi est-ce différent? A souffrance égale, à fascisme égal, à mépris égal, à abjection égale...réaction identique: Ne pas laisser passer  ça sans réagir. Ne laissez plus le pouvoir aux bourreaux. Au  fait, Eva Joly, pas mieux que Sarkozy, au contraire de Hulot, justifie l'horreur par la tradition. Donc, elle aussi: DEHORS!

Voir les commentaires

Non à Eva Joly! Oui à HULOT. Corrida et chasse à courre: pas de revolution en vue.Respect des cultures, elle aussi.

10 Juin 2011, 08:25am

Publié par Jo Benchetrit

Eva Joly , très décevante.Tant pis, on se   passera d'elle. il reste juste Nicolas HULOT comme espoir.

Respecterait-elle aussi la tradition des excisions?

Ha ben non, parce que les animaux, cette dame de fer s'en fout! et puis c'est pas politiquement correct, tandis que les animaux, ben l'humain mediocre (medi: milieu, moyen) s'en fout.

Bon, d'un sens ça m'arrange, elle ne m'a jamais été sympathique spontanément.

Les psychorigides aiment ce qui ne bouge pas, c'est bien connu.

« La corrida est très populaire dans le Sud de l'Europe et il convient d'empêcher que cela se développe ailleurs que là où c'est ancré dans les traditions. Il faut limiter l'accès à ce spectacle aux adultes. »

« Je suis hésitante sur une interdiction, car en Espagne, cela fait partie vraiment de la culture. Une interdiction ne peut se faire que progressivement, en concertation avec les populations locales. »

« La chasse à courre est aussi une chasse ancestrale et très implantée dans certaines régions, et donc ma réponse est la même. Il y va du respect des cultures locales, des régions, des identités culturelles. »

http://www.rue89.com/2011/06/08/quelle-est-votre-position-sur-les-barbaries-dun-autre-age-que-sont-la-chasse-et-la-corri-0

Nicolas Hulot est contre quant à lui :


http://www.2012hulot.fr/dernieres-news/nicolas-hulot-reitere-son-opposition-a-la-corrida

 

« J’ai signé le manifeste du CRAC Europe [Comité Radicalement Anti Corrida pour la protection de l’enfance] pour l’abolition de la corrida. Je suis également membre du comité d’honneur de l’Alliance anticorrida et de celui de la Fédération des luttes pour l'abolition des corridas (FLAC). Je soutiens la proposition de loi visant à punir, sans exception, les sévices graves envers les animaux domestiques, apprivoisés, ou tenus en captivité, qui a été proposée à la cosignature des sénateurs le 5 mai 2011 par Roland Povinelli, sénateur-maire d’Allauch (Bouches-du-Rhône). Dans cet esprit, je demande au ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, le retrait immédiat du classement  de la corrida sur la liste du patrimoine culturel immatériel français.

Voir les commentaires

Essonne chien perdu trouvé Un adorable chien de taille moyenne genre griffon beige très mignon?

9 Juin 2011, 20:15pm

Publié par Jo Benchetrit

je trasmets:
Contact : Suzanne 06 22 84 03 90 susiloup@yahoo.fr
 
 
Bonsoir,
 
Ce petit chien a été trouvé aujourd'hui errant, collier + laisse autour du cou. ?!? Abandonné ou échappé ? Ni puce ni tatouage. Il est signalé aux mairies, commissariats etc. mais pas de trace pour l'instant. On ignore tout de lui sauf qu'il semble cool avec des chats + congénères sauf si "agressé" par un autre chien, il se défend ce qui est normal.
 
Nous cherchons d'urgence un accueil pour lui, le temps de nous retourner, car on veut lui éviter la SACPA. Cette nuit il reste chez une vétérinaire (où il a été emmené), mais elle ne peut le garder.
 
Un refuge, aurait-il une petite place si pas de FA ? Les vaccins peuvent être effectués avant le transfert (pré-vaccination car on suppose qu'il n'est pas vacciné car pas identifié...)
 
Merci de faire circuler à vos contacts fiables PA.
 
Amitiés,
Suzanne
 


 

Voir les commentaires

Un incertain Jean-Baptiste Maudet à l'origine du classement de la corrida au patrimoine culturel.j'ai été bannie de la république des Pyrénées!

9 Juin 2011, 13:24pm

Publié par Jo Benchetrit

http://www.larepubliquedespyrenees.fr/upload/images/articles/440x290_1719453.jpgCe lamentable petit monsieur nommé Jean-Baptiste Maudet, géographe qui sourit béatement aux anges du ciel en leur disant sans doute: allez vous faire foutre! a influencé F.Mitterrand pour obtenir que la corrida entre au patrimoine culturel de la France! Une belle puissance pour les impuissants d'aficionados.

Et pourtant, plus je le regarde, plus je me dis que ce mec à une  tête  à claque. Il  a dû souffrir en classe  de sarcasmes et  il se venge sur les animaux. De plus, ce qu'il dit est absolument infondé, vraiment, pathétique et stupide.

Il dit des énormités  du genre:

"Je ne vois   aucune raison éthique pour dire que la tauromachie est condamnable ».

« En fait, la vraie question est de savoir si on assume les violences faites aux animaux », continue Jean-Baptiste Maudet. « C'est cela que montre et assume la corrida. »

 

Une perle etonnante, aveu d' attirance homosexuelle, sans doute par l'intervieweur:

 "Le ton est posé, chaque mot à sa place et la barbe naissante du jeune chercheur ne frémit même pas."

La modératrice de la république des pyrenées est une triste  aficionada qui ne veut pas appeler un chat un chat, assez lâche comme tout aficionado.. Je pense que mes commentaires censurés sont sur Face Book.

Mais de peur que je lui dise ses vérités, elle m'a bannie; Quel courage, ces aficionados! le courage de vérifier leur puissance en criminel en réunion, ça oui. Courage de ne pas savoir ce qu'ils sont, en bons pervers,  ça aussi.
Bon, je vais pas me mettre en colère pour si peu, hein! le fascisme ne passera pas; il est déjà passé. 

Je ne mets pas la photo de ce gluant sur mon blog, j'y ai dejà Hitler. Si vous avez envie de voir sa tete de faux-cul triomphant, allez le lire là:

Corrida : «la violence assumée»

Voir les commentaires

Adoptez 2 jolies jeunes chattes. Elles sont chassées de chez elles par les héritiers. Maman est morte, le s enfants ne prennent que ce qui les arragent! pas mal, non?

9 Juin 2011, 13:19pm

Publié par Jo Benchetrit

De: Robert Larissa <larissa.robert@gmail.com>
Objet: Après le décès de leur maitresse, Léa et Zoé ont été mises à la porte...
Date: Lundi 6 juin 2011, 21h21

Nous, c'est Léa et Zoé, nous sommes deux chattes stérilisées qui avaient jusque là la plus belle des vies. Notre maitresse nous choyait et nous vivions en maison, sans accès à l'extérieur, nous étions heureuses...
Mais le bonheur n'est décidemment pas une chose acquise...
Notre maitresse adorée est tombée malade brutalement il y a un mois et elle a du être hospitalisée, nous étions très inquiète pour elle et nous étions paniquées mais la gentille voisine venait nous nourrir tous les jours à la maison et elle nous faisait des calins.
Mais il y a moins de 15 jours, notre vie a changée...
Des inconnus sont venus à la maison et ils nous ont mis dehors, nous ne comprennions pas ce qui se passait. Nous nous sommes cachés dans le jardin, à l'abri d'un arbre et nous les avons observés. Ils ont sortis des meubles et toutes les affaires de notre "maman", nous avions envie de leur crier d'arrêter, de leur dire qu'ils n'avaient pas le droit mais ils ne nous comprenaient pas et lorsque nous tentions de nous approcher, ils nous pourchassaient.
Le silence est enfin revenu mais la porte de la maison est restée fermée pour nous et ce pour toujours...
Nous avons compris que "maman" ne reviendrait plus et qu'elle était morte à l'hopital, loin de nous...
Elle nous aimait tellement, je suis sure qu'elle s'est inquiétait de ce que nous allions devenir...
La voisine de "maman" est rentrée et elle nous a trouvée,  cachées dans le jardin, elle a tout de suite compris ce qui s'était passé et elle nous a permis de rentrer dans sa dépendance en attendant de trouver une solution.
Elle est très gentille avec nous mais elle a deux gros chiens qui ne sont pas très sympas avec les chats et elle a peur d'un accident...
Je vous en prie, nous n'avons jamais été séparées, nous avons grandis ensemble, nous n'avons pas mérités ça et notre maman nous manque toujours beaucoup...Si quelqu'un avait une petite place pour nous deux, nous avons environ 3 ans, nous sommes très sages et discrêtes...
Nous c'est Léa et Zoé et nous sommes maintenant orphelines...
 
elles sont dans le 62 proximité Béthune.
Email: celui de l'association: chats-urges@laposte.net et le tel: 06 84 11 49 94 


Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 > >>