Grippe porcine devenue mexicaine. 159 morts devenus 8. Tout va bien.
Désinformation méthode Coué : "Je vais bien, tout va bien."
Alors, arrêtons de nous mexiquer. La vie est belle, les porcs crèvent au Mexique dans des élevages nazis insalubres où règne la souffrance, mais nous, nous croyons encore en notre invulnérabilité.
Faut dire que les industriels de la mort appelés éleveurs ne veulent pas qu'on boude le "produit" de leurs méfaits.Aussi, du moment qu'on peut se gaver de porcs, ben mon cochon, le reste, on n'en a rien à cirer. En plus, pas de souci, si on en vend moins, on subventionnera plus les agriculteurs tortionnaires. Les perdants? Ben, toujours les porcs et les contribuables, et parmi ceux-ci surtout les vegétaliens qui sont violés dans leur droit de l'homme à l'objection de conscience.
Mais la nature n'en peut plus, elle, et elle crie à la manière de Sarkozy:
"impunité zéro."
Alors, arrêtons de nous mexiquer. La vie est belle, les porcs crèvent au Mexique dans des élevages nazis insalubres où règne la souffrance, mais nous, nous croyons encore en notre invulnérabilité.
Faut dire que les industriels de la mort appelés éleveurs ne veulent pas qu'on boude le "produit" de leurs méfaits.Aussi, du moment qu'on peut se gaver de porcs, ben mon cochon, le reste, on n'en a rien à cirer. En plus, pas de souci, si on en vend moins, on subventionnera plus les agriculteurs tortionnaires. Les perdants? Ben, toujours les porcs et les contribuables, et parmi ceux-ci surtout les vegétaliens qui sont violés dans leur droit de l'homme à l'objection de conscience.
Mais la nature n'en peut plus, elle, et elle crie à la manière de Sarkozy:
"impunité zéro."
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