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Psychanalyse et animaux.

Le propre de l'homme est sa difficulté de compréhension des autres animaux.

28 Août 2009, 04:08am

Publié par Jo Benchetrit

 Je suis tombée là dessus mais ce genre d'assertions gratuites se retrouve un peu partout. Donc, sans parler du fond de son thème, je crois qu'on peut encore combattre le fameux propre de l'homme, au singulier mais innombrable!  
Je trouve tjrs très douteux ce genre d’affirmations: “Cette faculté de choix qui est offerte à l’être humain peut être appelée « libre arbitre », et renvoie directement à la conception qu’il a de la mort. Cette faculté est l’apanage de l’Homme, et le différencie des animaux, et ceci de manière définitive.” ce que vaut la vie
N’importe quel animal doit entrer dans cette case?
De l’amibe aux singes?

Et que sait-on, en fait, de ce qui se passe en celui qui n’ayant pas la langue que nous avons, de l'AUTRE ANIMAL que nous sommes trop sots pour le comprendre? Alors que les animaux montrent souvent nous comprendre si on prend la peine de leur parler, ben oui, on peut parler aux autres animaux avec notre langue, eux savent mieux que nous décrypter car on les terrorise et que leur survie passe par cette adaptation au monde sous notre coupe  qui consiste à devoir comprendre la langue du tyran, de ce Dieu arbitraire d'où viennent tous les dangers, et je parle là des mouches aussi bien que des animaux dits supérieurs…Mais n’oublions pas que les mouches partagent la moitié de nos gènes.
TP: Essayez de parler aux mouches et autres insectes ou arachnides, et vous serez surpris du résultat. Comme je le suis. Si une mouche ne trouve pas la sortie, mettez vous pas loin de la fenêtre et dites lui calmement de sortir par là, ça m'est encore arrivé hier et j'en suis encore épatée.

Ceci se veut simple mise en garde contre notre habitude de croire savoir :”l’animal”, entité imaginaire, de par notre sottise nous est assez opaque pour qu’on y projette n’importe quoi.
Ne perdons pas notre temps qui nous est compté de toutes les manières et profitons de notre passage pour améliorer ce monde qui souffre de notre tyrannie terroriste. Ou plutôt améliorons nous pour sauver le monde agonisant et souffrant de notre fait. Et vous verrez que même vieux, vous n’aurez pas hâte d’en finir tant la tâche est immense et prenante. Le plus important, ce n’est pas notre bonheur, mais l’urgence de tirer des griffes des hommes des êtres suppliciés.
Be vegan.
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