Barbare corrida et menteurs afiocs: ils inventent que la torture fait pas mal aux taureaux. Que dit la science?
Je lis ici que les endorphines ne suffisent pas à anesthésier, mais qu’au contraire , elles sont l’indice d’un grand stress et d’une horrible souffrance tant morale que physique! Pardonnez moi si je vous fais mal, lecteur afioc. Vous qui êtes si sensible, à coup sûr, après ce qui suit, vous allez renoncer à votre délicat hobby !
Désolée pour Wolff, le prof de normal sup, qui va devoir revoir sa copie anti-oeil de Caïn, ou, au moins le titre.
Je lui suggère: "Le père Déni lave plus blanc votre conscience".
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Opposition à la corrida - Wikipédia
L' opposition à la corrida regroupe l'ensemble des critiques formulées à l'encontre de celle-ci. Il peut s'agir de l'opposition militante conduite par les différents mouvements ou associations ...
Sur les effets des bêta-endorphines.
Reponses aux divagations de Juan Carlos Illera qui affirme qu’un torturé éprouve du plaisir(peut etre est il maso?).
Coup de grâce et mort
Coup de grâce porté au taureau par un peón, avec la puntilla.
Lors de son intervention devant le parlement de Catalogne, José Enrique Zaldívar a également affirmé que9 la puntilla utilisée pour achever le taureau ne provoquerait pas une mort instantanée, mais une mort par asphyxie, par la paralysie des mouvements respiratoires entraînant une hypoxie encéphalique. Selon le taxidermiste des arènes de Las Ventas de Madrid, 60 % des taureaux sur lesquels il a travaillé présentent des fissures ou fractures du crâne. Le document présenté précise « qu'un célèbre critique taurin s’est référé à cette blessure comme au « crime de l’étrier du picador »9 ».
Études sur le degré de souffrance effectif
Articles détaillés : Endorphine et Bêta-endorphine.
José Enrique Zaldívar conteste formellement, comme il l'a déclaré devant le parlement de Catalogne, que, sur des bases médicales, on puisse affirmer (comme l'a déclaré son confrère Juan Carlos Illera) que « grâce à la libération importante d’opiacés endogènes – bêta-endorphine et métenképhaline –, la douleur et le plaisir s’équilibrent », et que donc le taureau ne souffre pas. Il souligne même que, selon certaines études, les endorphines libérées en état de stress n’ont pas de pouvoir analgésique (Harbach et al, 2007)24.
(...)
Sur les secrétions hormonales et le niveau de stress
De son côté, José Enrique Zaldívar a publié un « rapport technique vétérinaire » sur la question, aboutissant à une conviction inverse à la théorie soutenue par Juan Carlos Illera28. Outre le fait qu'il est difficile de comparer la réponse hormonale du taureau à celle de l'homme faute de disposer d'une population humaine ayant subi les mêmes agressions physiques que les taureaux29, José Enrique Zaldívar, s'appuyant sur des mesures hormonales faites sur diverses populations de taureaux de combat, souligne que les taureaux ayant été amenés jusqu'à l'arène sans avoir à combattre présentent des taux d’ACTH et de cortisol très supérieurs à ceux des taureaux ayant combattu30 (ACTH et cortisol étant les hormones impliquées dans la réponse de tout organisme au stress30). Il voit dans cette constatation contraire à la logique le résultat des lésions nerveuses extrêmement importantes causées par les piques et les banderilles, qui privent le taureau d'une réponse hormonale normale, exactement de la même façon que le taux de cortisol de personnes accidentées ayant subi d'importantes lésions de la moelle épinière est extrêmement faible, voire nul, malgré leur stress effectif considérable, simplement parce que leur capacité de réponse hormonale a été détruite par les lésions29
José Enrique Zaldívar nie d'autre part catégoriquement que l'élévation de la quantité de bêta-endorphines dans le sang diminue nécessairement la douleur : en effet, lors d'études séquentiellesN 4 sur les accouchements, les femmes ayant déclaré avoir le plus souffert sont celles qui présentaient le taux de bêta-endorphines le plus élevé31.
Le taux de bêta-endorphines très élevé du taureau prouve donc simplement le niveau également très élevé des agressions physiques et psychologiques qu'il a subies, et non le fait qu'il ne souffre pas32.
Des vétérinaires américains regroupés au sein de l'association Humane Society Veterinary Medical Association (HSVMA) se sont aussi adressés au parlement de Catalogne, pour contester également les travaux de Juan Carlos Illera33.
Enfin, Georges Chapouthier, directeur de recherche au CNRS, a qualifié d'« absurde » l'idée selon laquelle la libération d'endorphines signifierait que le taureau ne souffre pas, alors que les études montrent au contraire que la production d'endorphines est l'indicateur de la souffrance endurée. Il souligne également que l'étude de Juan Carlos Illera de Portal qu'il met ainsi en cause ne fournit aucune indication de la méthodologie utilisée, et que les références à des publications scientifiques en sont absentes34.
Ne vous privez pas de lire la totalité de cet article très rigoureux, ce qui n’est pas toujours le cas dans la littérature parlant de corridas, particulièrement chez ceux qui la défendent en enterrant leur os.
Reconnaissons que cette façon de (se?) mentir couvre la quasi totalité de ce qui est dit, hors des defenseurs de leurs droits, sur les animaux qui sont martyrisés et meurent bien souvent de l’amour vache des « hommes » ! La corrida n’est que le paradigme de ce que subissent les bêtes. Peu de visages de la barbarie ne suscitent autant d’écrits pour les défendre de la part de supposés « grands » esprits, du moins payés parfois comme tels par nos impôts, de Normal Sup, par exemple.