Manger du poulet pas cher? regardez un peu de quoi vous mettre en appétit...de legumes!

Nausée...et tristesse.

 Le martyr poulet de votre assiette a bouffé des quantités d'antibio pour tenir dans ces elevages pires que les camps nazis. Et je vous jure que je pèse mes mots.
Or ce sont ces antibios qui rendent les bacteries resistantes. Donc, un poulet pas cher coûte très cher en securité sociale, en hospitalisation, et en morts humaines.

Do,nc un poulet pas cher est cher.
Nest il pas temps de transferer les aides aux agriculteurs Bio avec comme norme n) 1: ne pas faire souffrir les animaux? La collectivité ne souffrira pas car de ce fait les "produits" seraient moins chers à l'achat.
Une autre solution, la mienne, est de devancer tout ça en devenant Vegan.
On evalue à 30.000morts par an en maladies nosocomiales ou pas faites de bacteries resistantes.

Aucun antibiotique ne sera efficace, bientôt.
Nous nous suicidons.

Preuve que l'ethique est la vie.

En effet tout est fait pour favoriser l'elevage industriel avec des subventions.
C'est comme le diesel qui tue avec les particules fines qui est moins taxé que l'essence...Une aberration.
Alors que nous devrions faire l'inverse. Aussi, payer les chercheurs pour aller mieux alors que notre pulsion de mort est favorisée, c'est un symptôme, un déni, une folie.

Comments

[honorius]

il est vrai qu'il faut être inconscient pour manger cela... Mais business is business... L'agriculture de merde, fait fonctionner Monsanto-Bayer et Cie plus les vendeurs d'antibio... Moralité toute cette merdbouf rend malade et je ne parle pas de l'industrie alimentaire qui en rajoute plusieurs couches... Mais pas grave arrive Sanofi et Cie et leurs médicaments qui soignent d'un coté et rendent malade de l'autre... Bref que du business tout ça, la santé, le bonheur des gens et des animaux, l'avenir de la planète, on s'en fout... Profit maximum à court terme. Visions de l'avenir par ces gens là : après moi le déluge ! C'est à pleurer, mais vu nos vendus de politiques et l'inertie du peuple... On verra vite le bout du chemin