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Psychanalyse et animaux.

Le feu partout pire que dans les banlieues : dans les campagnes du monde entier !Holocaustes d'oiseaux martyrs de l'homme au visage hideux . Panique de la grippe aviaire dans un monde barbare.

8 Novembre 2005, 23:00pm

Publié par Jo benchetrit

C'est écoeurant...l'homme est vraiment sans scrupule et ici aussi, il confond son bien avec le bien. 
IL ne lui vient même pas à l'idée que le simple fait d'élever des animaux, et, de plus, dans des conditions bravant toutes les règles de l'intelligente nature est en soi une abhération dangereuse.
La culture humaine est  donc ce qui apporte le mal sur TERRE; l'AGRICULTURE, S'ENTEND
Au final, il faut reconnaitre que l'ESB, la grippe aviaire, la tremblante n'auraient jamais atteint ces proportions dans la destructivitéou n'auraient jamais été si on avait laissé la nature continuer à être ce que des millenaires d'évolution géniale avait fait des êtres vivants.
Le problème de l'humain, c'est que l'evolution a failli, avec lui. Le créant à la fois suffisamment intelligent pour imiter la nature et la detourner à son profit, mais   pas assez pour comprenxre la folie de cette position. Ni suffisament clairvoyant, ni moral pour savoir se donner des limites, l'homme est un boiteux du monde. Il est celui par qui la mort arrive, se fprtifie et fonira par emporter dasn sa tombe ce que le gébnie de la nature avit créé avant lui. Mais peut-être sommes nous un pont et qu'il naîtra une autre famille d'espèces plus sage, moins narcissique, moins conne, en un mot. Mais cela ne sera -t-il pas trop tard. La nature aurait été une subjectivité, aurait-elle été suicidaire qu'elle ne s'y serait pas prise autrement qu'en créant cette être torve, chroniquement immature, primaire, perdant toute jugeôte dès que l'émotion l'étreint.
Qui pourrait nier actuellement que l'homme est vraiment un apprenti sorcier? De plus, il est irresponsable et fait payer aux autres TOUTES ses erreurs!
 Je vous copie/colle le texte ci après que j'ai trouvé sur ce site:
 
 
 
Grippe aviaire : craintes face à de cruelles méthodes d'abattage
Grippe aviaire : craintes face à de cruelles méthodes d'abattage
poulets morts enterrés dans une ferme de la province de
Long An, près de Hô Chi Minh-Ville, au Viet Nam

crédit : Photo FAO
La réponse internationale à la crise de la grippe aviaire menace de provoquer des actes de cruauté à une échelle sans précédent, avertit la Protection mondiale des animaux de ferme (PMAF).

La PMAF craint que des méthodes d’abattage inhumaines soient utilisées par les Etats qui tueront en grand nombre des volailles lors de menaces d'épizooties. Déjà, l'organisation a été informée que des volailles ont été enterrées ou brûlées vives dans des pays où le virus est récemment apparu.

Avec un réseau d'associations partenaires réparties dans 89 pays, le siège international de la PMAF basé au Royaume-Uni, est intervenu auprès de l'Office international des Epizooties (OIE) afin que le sommet mondial qui se tient actuellement à Genève, sur la crise de grippe aviaire, accorde une priorité au bien-être animal. La PMAF demande à ce que les abattages préventifs de volailles soient faits en respectant les « Lignes directrices pour l'abattage d'animaux à des fins prophylactiques » adoptées cette année par l’OIE à l’unanimité des 167 Etats-membres et qui visent notamment à protéger les animaux.

Cette semaine à Genève, l'Office international des Epizooties (OIE), l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et la Banque mondiale discutent des stratégies internationales à mettre en place pour combattre la propagation de la grippe aviaire.

Le 20 octobre en Albanie, Reuters a rapporté des témoignages signalant que 3 600 volailles avaient été enterrées vivantes : elles étaient jetées dans une fosse avant d'être recouvertes de terre au bulldozer, tandis que certaines tentaient de s'enfuir. Ces dernières semaines, selon plusieurs sources, des volailles ont été brûlées vivantes en Chine et en Egypte.

La PMAF souhaite que lors de ce sommet, les états s'engagent à faire face à la grippe aviaire en utilisant, si nécessaire, des méthodes d’abattage qui soient rapides, efficaces et qui garantissent le bien-être animal et la santé publique (électrocution, injection létale, addition d’anesthésique aux aliments ou à l’eau de boisson suivie d’une méthode de mise à mort adaptée, etc.). Les états doivent planifier le recours éventuel à un personnel formé et à des équipements adéquats.

En savoir plus
Code sanitaire pour l'abattage des animaux terrestres (OIE - Organisation mondiale de la santé animale)

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ornitho urbaine liste yahoo de Frédéric Malher : Mon passage rapide au pays d'un facheux sur le web!

6 Novembre 2005, 23:00pm

Publié par Jo benchetrit

  
Voilà donc la copie de leurs dial entre eux, entre hommes (qui n'en sont pas encore à connaître la difference des sexes.)
Le mattage des "petits oiseaux" ( c'est comme ça que les mamans appellent le zizi des filles et des garçons, bien souvent), donc s'ancre là (pour ce Malher.)comme vous le voyez.
 
La connerie humaine fait peur.
 Il reprend ceci de mon ancien message, et là, il est perdu, ne sachant pas que l'on peut être fille si on se surnomme Jo, et qu'on dit" je suis nouvelle!!!!"
Là, il commence par me citer :
"Je crains de m'être trompée en m'inscrivant sur votre liste..."
Voilà donc la chose dégoûtante et merci de ne pas vomir ici mais en leur ecrivant!!!les mails sont là: 

"Je crains de m'être trompée en m'inscrivant sur votre liste..."

Bonjour,
Je crois en effet que, vous, vous êtes "perdu" en adressant ce message à
ornitho-urbaine qui n'est pas un "club" mais un groupe de personnes
s'adonnant à l'observation des oiseaux sans en faire un exutoire aux
problèmes existentiels.
Des observations ornithologiques, des faits et rien que des faits.
Pour le reste, il y a en effet les psychanalystes, les philosophes, les
représentants des différentes religions ou croyances, le médecin de
famille, et peut être bien les blogs depuis peu.
Quoiqu'il en soit, votre prose ne m'engage pas à m'aventurer sur le
vôtre et n'oubliez pas que le fait que vous vous exprimiez dans un blog
ne vous assure pas d'être lu.
Encore une chose, il me semble que le féminin sur : "trompéE" ne soit
pas en accord avec le nom que vous suggérez .
Une Faute, ou un lapsus, une tromperie peut être, mais sans intérêt pour
des ornithologues.
Asnimlil02

----- Original Message -----
From: "jo" <
jobench@...>
To: <
ornitho_urbaine@...>
Sent: Friday, October 21, 2005 9:57 AM
Subject: Fw: [ornitho_urbaine] Mise au point



> > Monsieur,
> > Je ne vous comprends pas. Vous parlez à une nouvelle dans votre
> club.
> Je
> > ne connais pas encore vos tabous.Ouvrez vous à l'autre avant de le
> juger
> et
> > ne le soupçonnez pas a priori. Je ne travaille que pour le progrès
> humain.
> > Je vous conseille un peu de calme!
> > Vous utiliser pour me faire réferencer par Google?
> > Mais je le suis depuis le debut et je suis plutôt souvent en page
> 1.
> > Faites mon nom. ou tiens: Flying rats Kader attia et vous verrez.
> Sur
> Yahoo
> > aussi, en page 1!
> > Donc, si je vous conseille de lire ce que j'écris, je vois que ça
> vous
> > serait utile car, entre autre, je parle du tabou de parler de la
> persecution
> > des animaux en la comparant au nazisme.
> > C'est pourtant la seule chose qui lui ressemble au plus près.
> Ce
> > savoir, vous ne l'aurez pas en poussant des cris d'orfraie.
> > Je crois que c'est en sachant qu'il y a un nazi en soi et qu'on
> doit le
> > combattre qu'on fera avancer la reflexion.
> > Je crains de m'être trompée en m'inscrivant sur votre liste et
> j'ai
> créé
> > d'ailleurs qq. chose; la liste foruminsisyphe pour ceux qui ont
> envie de
> > penser.(espèce encore plus rare que le Dodo, un pigeon disparu?)
> > Le pb , c'est que les hommes ne veulent pas réflechir sur les
> animaux
> mais
> > seulement ressentir des emotions.
> > Celles-ci sont parfois bonnes mais souvent mauvaises.Comme avec
> les
> > pigeons justement.
> > Lire un peu mon preambule, lire un peu mon accueil.
> > Si vous arrivez à comprendre ma démarche, revenez vers moi. Je
> vous
> > accueillerai volontiers .
> > Sinon, je vous laisserai à faire mumuse en regardant les petits
> zoizeaux
> > sans chercher à les aider contre le grand méchant humain./
> > Lire à ce sujet les qq. lignes de
> >
http://psychanalyse-et-animaux.over-blog.com/article-281781.html
> > Jo
 

 

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viande et déforestation.

5 Novembre 2005, 23:00pm

Publié par Jo benchetrit

Quand "la viande" dévaste les forêts... et les hommes !!!

<< L'expansion de l'élevage dans le Para, qui héberge le quatrième cheptel du Brésil avec 18 millions de bovins, est l'une des causes des occupations  de terres et du déboisement de forêts publiques. Jusqu'à 3.000 bovins par jour  sont abattus dans les entrepôts frigorifiques du sud de l'Etat, selon le quotidien Estado de Sao Paulo. Dans une autre région du Para, à Terra do Meio, située dans le sud-ouest
de l'Etat, 60.000 hectares de forêt au total ont été dévastés ces dernières
années, dont 10.000 ha depuis le début de cette année... >>
 

http://terresacree.org/forevieg.htm

 

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le foie gras ou quand la civilisation se laisse grignoter par la barbarie.

5 Novembre 2005, 23:00pm

Publié par Jo benchetrit

La culture est le cheval de Troie de la Barbarie.

Ne la laissez pas faire! Ne vous laissez pas faire.

Pour en juger, veuillez  visionner d'urgence ceci qui ne restera pas longtemps:

 http://jt.france3.fr/ (Editions Locales Quercy Rouergue - Vendredi 04 novembre - chrono 2:58)

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La maltraitance des animaux: comme pour celle des enfants, faites un signalement auprès du procureur. l'infortune d'un chien qui en est mort.

5 Novembre 2005, 23:00pm

Publié par Jo benchetrit

La maltraitance est partout, et parfois beaucoup plus invisible que là.

N'hésitez pas à faire un signalement, alerter la police et les associations en cas de suspicion. La plainte est anonyme et vous pouvez éviter à un malheureux innocent de subir ce qui suit.

Comme pour celle des enfants,c'est votre devoir de faire un signalement  de suspicion de maltraitance des animaux auprès du procureur . Ne pas le faire est considéré comme une complicité et est passible de sanctions.

Donc, n'hésitez jamais, faites un signalement auprès du procureur au commisssariat, et en même temps, demandez à plusieurs associations de se déplacer d'urgence.(elles sont si occupées qu'il y de la chance qu'une seule se déplace!). Je sais, hélas, que la majorité des plaintes sont classées sans suite. Que les associations ne s'alertent qu'en cas de maltraitances visibles comme ici et que certains sévices effectués par des sadiques sont des sévices plus subtiles, relevant parfois d'un sadisme qui atteint plus le psychisme des animaux que leur  intégrité physique. ni les associations ni la police ne voit la perversion car le pervers est très cachotier. Comme on a pu voir un futur  assassin d'enfant (Patrick Henry) demander la peine de mort pour des meurtriers(Buffet et Bontemps), le pervers fait comme si il avait un sens moral développé.

Ce qui rend bien difficile le sauvetage d'un être qui ne peut nous dire dans notre langage ce qu'il subit quotidiennemnt et se traduit tôt ou tard par un comportement fou.

Seule la conviction de votre témoignage pourrait alerter quelqu'un d'assez futé pour comprendre la situation.

Ici, ce chien était visible jour et nuit par les passants et ces monstres d'égoïsme sont passés sans rien faire. C'est comme si vous vous faisiez agresser sans que personne ne vous aide. Ça arrive, ça? Ben oui. Tout se tient. Celui qui fait de l'égoïsme un art de vivre peut un jour en recueillir les fruits...empoisonnés...Et encore, en cas d'agression, intervenir comporte le risque de se mettre soi-même en danger. La peur peut être plus forte que la morale. Mais là, il n'y a aucun risque. Alors?

Des gendarmes découvrent l’horreur 
 
Grâce à la vigilance de la gendarmerie de St. Maximin la Ste Baume dans le Var, un cas d’extrème maltraitance a été découvert.

Un chien était attaché par son propriétaire dans un jardin privé avec une chaîne à bateau, sans soin, sans nourriture. Il ne pesait plus que dix-neuf kilos, alors qu’il aurait du en peser quarante. 85 % de la surface de son corps étaient sans poils, dévoré par la maladie.

Le jeune chien de type Berger allemand était nuit et jour dehors, visible par tous les passants. Mais seulement la veille de sa mort, quelqu’un l’a enfin signalé à la gendarmerie qui, avec un vétérinaire est allé le chercher. Le vétérinaire profondément choqué par l’état de l‘animal l’a emmené immédiatement dans sa clinique. Malgré trois heures d’effort de la part du praticien et de soins intensifs, le chien est mort dans la nuit.

Sans Collier Provence a été averti et a porté plainte à la gendarmerie pour sévices graves.

 
   

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La defense des animaux est politique et porteuse de la seule vraie révolution.

5 Novembre 2005, 23:00pm

Publié par Jo benchetrit

   

 L'écologie sans la défense des animaux au centre, c'est Narcisse qui prend soin du sein de sa mère pour mieux le dévorer...c'est ça, l'homme et son environnement.

Ce n'est qu'en prenant conscience de l'existence des autres et donc de leurs droits égaux aux siens que Narcisse sortira de son enfermement mortel.

 

L' organisation humaine est structurée sur le dos de tous les vivants. Le fondement de l'humanité est complètement pris dans cet ancrage de l'exploitation animale.
La révolution des animaux est la seule qui remette en cause les fondements même de l'humanité. Ne nous y trompons pas, les défenseurs (pas si mémères et pepères à chien chien que ça)sont bien les plus révolutionnaires de tous.
A l'insu de
leur plein gré le plus souvent!
A côté, les écolos purs sont loin derrière. Pour vous donner une image, c'est nous les coperniciens qui disons: tout ne tourne pas autour de l'homme. ( Copernic fut le 1° à dire que la Terre tournait autour du soleil et non l'inverse comme il fallait le dire car dans la terre il y a sa majesté l'homme). C'est pour cela qu'on nous hait. ça se manifeste par du mépris et par le ridicule où on essaie de nous enfermer.( de nous tuer symboliquement).
Il faut donc se dire que ça va bien plus loin que la simple connerie même si celle-ci aggrave les choses. Notre mouvement n'est pas anecdotique et marginal mais fondamental.
De ce décentrement de l'homme que nous proposons, dépend la survie de tous les vivants ou presque.
L'écologie parle toujours de NOTRE environnement.Ce qui nous met encore au centre.
vous voyez bien qu'en cela ils sont tout juste réformistes.
j'aimerais bien que vous preniez conscience de l'importance de notre mouvement, au delà d'une simple mais importante demande de justice pour tous.
Autrement dit, ce que nous combattons  n'est pas qu'une question de manque d'intelligence et de sensibilité, mais une question de structuration de l' homme en être égocentriste, dangereux pour les autres mais aussi pour lui.
Qu'en pensez vous?

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Il est trop tard: Nicky a été euthanasiée. Prenez des chiens dnas les refuges; N'en achetez pas!

4 Novembre 2005, 23:00pm

Publié par Jo benchetrit

 

Ceux qui achètent des chiots tuent les chiens des refuges. Leur amour, ils pourraient le donner à un chien plus âgé que le hasard de la vie a rendu...orphelin.

Ceux qui disent aimer les animaux ne peuvent-ils pas le prouver ainsi=rendre service au lieu de participer à l'horreur du marché des animaux?( 2° trafic avec les armes )

j'ai reçu cela:

 

        "Nicki a été euthanasiée hier !!!!
        Ils préfèrent acheter des chiots et laisser crever les jeunes et adultes plus vieux dans les refuges !!! Je les hais !"

        Rappel de l'annonce

        femelle Dogue allemand de 8 ans, sa maîtresse a eu une attaque
        cérébrale et ne pourra plus la reprendre. Nicki souffre beaucoup en
        box, elle n'a connu que le canapé et les caresses et se retrouve seule,
        enfermée dans qq m². Elle craint beaucoup le froid et les nuits ne sont
        plus très agréables, même ici dans le sud. Nicki est très câline mais
        pas sociable avec d'autres animaux. Qui pourra l'accueillir pour lui
        faire une belle fin de vie et lui éviter l'euthanasie? S'il vous plaît,
        adoptez-la!

        04 94 86 95 64 - http://www.sanscollierprovence.org/adoframeset.htm

        merci pour elle!"

*******************************************

Nicky est au paradis des chiens qui est surpeuplé d'animaux qui n'ont pas eu de chance.

Je vous demande d'arrêter les caprices et d'adopter les chiens et chats. Un peu de responsabilité dans un monde où on martyrise les vivants en croyant que nos désirs sont des ordres, ne peut que permettre à ce monde d'aller mieux.

L'amour d'un animal recueilli est le plus beau et le plus fort.

Le sentuiment du devoir accompli est bien plus gratifiant que celui d'avoir payé pour un souhait, ravalant le vivant au rang d'un objet de consommation, à jeter après lassitude.
Démarche dangereuse qui participe à remplir les refuges.
Changez votre mentalité et le monde s'éveillera du cauchemar où il est plongé.

 

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Quelques expériences qui prouvent la resistance des pigeons à la grippe aviaire.Lien pour me voir à la télé de l'hebdo du êdiateur du 29.10.

4 Novembre 2005, 23:00pm

Publié par Jo benchetrit

Des expériences antérieures (1983-2002) concluent ainsi: les pigeons sont résistants à la grippe aviaire.

Lien télé du 29.10 (mon passage à la télé à ce sujet):

http://relations.france2.fr/mediateur_videos/29-10-2005.asx 

        http://www.albertaclassic.com/chalmers3.php

        Avian Influenza ('Bird Flu') and Pigeons

  --------------------------------------------------------------------------

        by
        Gordon A Chalmers, DVM
        Lethbridge, Alberta, Canada
         Email: Dr. Gordon Chalmers

        Now, what is the role of pigeons in Avian Influenza? To answer that question more fully, we can look at some past examples of outbreaks of the disease in poultry in North America, plus the current one in Asia, and the tests that were conducted on pigeons collected from areas in which the disease occurred.

        In late 1992, antibodies to Avian Influenza were found in blood samples from a commercial flock of turkeys in the north-eastern USA. (Note that antibodies are protective substances that are produced by the defensive network of the body in response to an infection). Investigation showed that there was a possible association between this flock and live bird markets. An influenza virus designated H5N2 was isolated from birds in one location. State jurisdictions were concerned by this situation and took both control and eradication measures when appropriate. Public poultry markets, shows and exhibitions were quarantined and premises on which the virus were isolated and depopulated.
        Because of the very great concern by state and federal officials for the health and economics of the poultry industry in several jurisdictions in the USA, racing pigeons were included under the umbrella of domestic poultry, and accordingly, racing was banned in a number of concerned states. To date, however, the body of scientific evidence indicates strongly that pigeons are not involved in the transmission of Avian Influenza to domestic poultry.

        During an outbreak of Avian Influenza (H5N2) nine years earlier (1983-84), again in the north-eastern USA, scientists conducted a survey of wildlife to determine the potential of wild birds to spread disease locally among farms, or to carry the virus to more distant locations.
          Included in this survey were
          1.. wild and free-flying domestic ducks and geese,
          2.. wild or free-flying domestic birds closely associated with poultry farms, poultry manure, or poultry carcasses,
          3.. mice and rats found inside and around houses containing infected poultry, and
          4.. wild birds of any species reported sick or dead within the quarantine zone.
        Tracheal (windpipe) and vent swabs from birds and lungs from mice and rats were examined for virus. As well, in some instances, toes from birds and rodents were also collected for the same purpose. When feasible, blood samples were also obtained from birds and small rodents. Attempts to isolate virus were conducted on 4,132 birds and rodents collected within the quarantine zone. Included in this number were 473 pigeons (92.6% of these pigeons were obtained from known infected farms), 81 pigeon feet (all of them from influenza-affected premises), and seven mourning doves. None of the 4,132 samples was positive for influenza virus. Blood samples from 2,147 non-aquatic birds, including 383 pigeons, were negative for antibodies to Avian Influenza - an indication that infection by this virus had not occurred in these birds. An additional 313 birds, including 50 pigeons, collected from the quarantine zone, were also negative for influenza virus. It is important to note that experimental attempts to infect pigeons with this strain of Avian Influenza did not result in either multiplication of the virus in these pigeons, or evidence of antibodies in the blood. The results of all of these studies indicated that pigeons were not infected with Avian Influenza and did not spread it.

        In the 1993 outbreak in the USA, in the period from February to May, blood samples were collected from 17 flocks of meat varieties of pigeons, mainly White Kings located within the quarantine area, for evidence of antibodies to Avian Influenza. Flock sizes varied from 2000 - 3000 birds, and represented a total of about 34,000 - 51,000 birds. Approximately 10 birds per flock were sampled, for a total of 160 birds. In every instance, all pigeons tested were negative for antibodies to Avian Influenza.

        Another study published in 1996 on the susceptibility of pigeons to Avian Influenza, found that groups of pigeons inoculated with two strains of highly pathogenic influenza virus or two strains of non-pathogenic virus remained healthy during the 21-day trial period, did not shed virus, and did not develop antibodies to this disease - further evidence that pigeons are not a factor in the spread of this disease.

        More recent evidence from experimental work in 2001/02 has shown that pigeons infected experimentally with the highly pathogenic form of the virus (designated H5N1, and of Hong Kong origin) did not develop signs of this disease and did not have detectable changes to this disease in their tissues. As well, virus was not found in their tissues and neither was it re-isolated from swabs of tissues. These findings indicated once again that pigeons (along with starlings, rats and rabbits used in these studies), are largely resistant to infection with this virus.

        Despite these reassuring findings, fanciers should be aware of the very slight possibility that if a returning race bird, or any wild bird for that matter, drops into a poultry farm on which the chickens are infected with Avian Influenza; it could pick up the influenza virus on its feet as it walks through droppings from these infected chickens. If this bird were to fly to another poultry farm, in theory it could be a mechanical means of spreading the virus on its feet to chickens on the second farm. The importance of this fact is that Type A influenza viruses can remain viable for long periods at moderate environmental temperatures, for four days in water at 22oC (72oF), and for over 30 days at 0oC (32oF). However, as noted in earlier studies, the feet of pigeons collected from affected poultry farms were examined for influenza virus and all were found to be negative.

        Given this information from the scientific literature, it is important to note the non-role of pigeons in the spread of Avian Influenza, and the fact that pigeons themselves are not infected by this virus.

        The reasons for the understandable caution and concern by regulatory agencies when they are faced with outbreaks of Avian Influenza include the fact that it can be a very costly disease. For example, the US government spent over $60 million in 1983-84 to eradicate a highly pathogenic H5N2 virus in poultry flocks (both chickens and turkeys).
        I hope that this brief look at Avian Influenza and the non-role of pigeons in the spread of this disease to poultry will be of some assurance to concerned fanciers. Further information on this disease can be obtained from federal or provincial/state governmental agencies.

        This page was last up-dated on April 13, 2004
  ***********************
 
http://www.avian-influenza.com/Disease/AI_in_poultry/ai_pigeons.asp
  En bref, il s'agit de deux expériences conduites par Intervet. On a injecté des virus de la grippe aviaire  (entre autre le fameux H5N1) dans des pigeons qui n'ont montré aucun signe de maladie, même pas après 21 jours.
  Par après  aucune trace du virus n'a été retrouvé dans leurs corps, contrairement à d'autres espèces de volaille.
  Les textes complets peuvent se lire sur:
 
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=PubMed&list_uids=11924603&dopt=Abstract
  et
 
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=PubMed&list_uids=8883790&dopt=Abstract
  

  Ces deux liens se trouvent sur le site d'Intervet à propos de la grippe aviaire:
 
http://www.avian-influenza.com/

  Qui est Intervet?
 
http://www.avian-influenza.com/about_us.asp
  Une compagnie d'origine hollandaise -siège social international : près de Rotterdam qui  à l'origine ( 1969) s'occupe de vaccins pour volailles te maintenant produits des vaccins pour tous les animaux et des additifs pour les animaux de production.

  Ils on des centres de recherche en Allemagne, France, UK, USA, Norvège et Singapour:
 
http://www.intervet.com/company/research_and_development.asp

  Leur site en France:
 
http://www.intervet.fr/
  ******************************
  Le texte ci-dessous est une interview de NPR avec le docteur Hon IP.
  Je traduis les idées générales des extraits intéressants que j'ai indiqués en grosses lettres dans le texte original. Dr. Hon Ip est virologiste et directeur du laboratoire de virologie du USGS (United States Geological Survey's Diagnostic Virology Laboratory) au Centre National de Santé de la Faune à Madison, Wisconsin; il répond à des questions au sujet du virus de la grippe aviaire et comment il se répand.
  Selon lui:
  1- en faveur de nos oiseaux des villes:
  "Les espèces aviaires ne sont pas toutes susceptibles de façon égale au virus de la grippe. Des virus de grippe aviaire sont trouvés généralement dans des oiseaux aquatiques (des canards et des oies), des charadriformes et des mouettes. Les oiseaux tels que des moineaux et des pigeons n'ont pas tendance à être aisément infectés."
  2- en faveur des oiseaux migrateurs:
  "Si le virus est vraiment répandu par des oiseaux migrateurs-et jusqu'à maintenant il n'y a que des preuves indirectes de ce fait- il est bon de se rappeler que le virus du SARS qui provenait aussi d'Asie s'est rapidement diffusé par le biais des voyages internationaux. La grippe avaire pourrait donc se répandre non seulement par les oiseaux migrateurs mais aussi par le tourisme international."
  

  Texte original: http://www.npr.org/templates/story/story.php?storyId=4967188
  Interview with USGS Virologist Dr. Hon Ip
  NPR asked health experts to answer listeners'
  questions about bird flu.
  Dr. Hon Ip, director of the United States Geological Survey's Diagnostic Virology Laboratory at the
  National Wildlife Health Center in Madison, Wis., answers questions
  about the virus and how it spreads.


  What is Bird Flu and Who's At Risk?
  by Robert Siegel and Melissa Block


  Timeline
  Oct. 19, 2005
  The Spread of Bird Flu


  Q: Can any migrating bird carry the flu virus or are there only
  certain types of birds that will spread the flu? -- Laura Burrone,
  New Haven, Connecticut

  A: Not every species of birds is equally susceptible to the flu
  virus, and not just migratory birds are susceptible. Avian influenza
  viruses are found more commonly in water birds (ducks and geese),
  shorebirds and gulls. Birds such as sparrows and pigeons tend not to
  be as readily infected. It is not clear why shorebirds are more
  susceptible to avian influenza infections and simple access to water
  is not the answer, as even when birds are exposed directly to the
  virus, species such as pigeons are more resistant.

  Q: Has it been determined how long the virus survives on feathers
  and down? Does the infectious agent die off in a certain number of
  hours or does it have to be killed off via heat, etc.? -- Valerie
  Doyle, Acton, Maine

  A: Unfortunately, there is not a simple answer. Influenza viruses
  are fairly environmentally resistant, which means they can survive
  for long periods of time in the wild. The virus on feathers and down
  is usually from fecal contamination and we know that the virus
  remains infectious in contaminated feces for almost a week at room
  temperature and up to three weeks in the cold.

  There are a number of ways to kill the virus -- heat is a good way.
  But just simple soap and water are excellent. Also many
  disinfectants and commercial cleaners will work. The USDA Web site
  has a number of examples of what can be used. (Adobe Acrobat
  required.)


  Q: Can mosquitoes be a vector for the spread of avian flu virus? --
  Carol Taylor, Lovington, New Mexico

  A: Influenza is not normally a disease that is transmitted by a
  vector such as a mosquito. But because the virus is relatively
  environmentally stable, mechanical transmission by insects, such as
  flies, is a possibility. Since the virus can survive for long
  periods in the wild, flies might pick it up when they land on feces
  or infected birds, and then carry it to other animals. Mosquitoes
  typically transmit diseases, such as West Nile Virus, by ingesting
  blood from infected animals, then transmitting it to the next animal
  they feed on.

  Q: What early symptoms of bird flu should someone look for? -- Anne
  Brodie, Aurora, New York

  A: The true highly pathogenic avian influenza H5N1 can cause very
  rapid death in susceptible birds. Sometimes the first sign is that
  birds have died without obvious clinical symptoms.

  When signs of infection are present, the birds may have respiratory
  symptoms such as sneezing and coughing, swelling of the eyes and
  combs and wattle, their feathers are ruffled, they stop laying eggs,
  and they may have diarrhea.

  Q: What makes this strain of bird flu so virulent (and does this
  mean it spreads more easily or makes people sicker, or both?) --
  Candy McLaughlin, Lexington, Massachusetts

  A: That is a great question and not only is the answer complicated,
  we don't have all the answers.

  There are a number of genetic differences in the H5N1 virus that,
  for example, allow the virus to grow in cells throughout the body of
  a bird. Other avian influenza strains can only grow in the
  respiratory and intestinal tracts. This allows the H5N1 virus to
  cause more damage to more organ systems.

  Other genetic changes allow the H5N1 virus to bind to surface
  molecules on human cells, something that other avian influenza
  viruses cannot do. Since binding is a necessary first step of
  getting into the cell for the virus to replicate, these kinds of
  changes (which are in the hemagglutinin protein) allow the H5N1
  avian virus to infect people.

  Q: Is the media exaggerating the potential danger of bird flu? --
  Joyce Kuzmin, Boston, Massachusetts

  A: There is a lot of coverage in the media, and it's hard to keep up
  with what everyone is saying, but I think the issue is important.
  Highly pathogenic, H5N1 is a clear danger to poultry and its threat
  to wild birds is real. Although the number of human cases has been
  small so far, the potential for the virus to change into a more
  serious threat to humans is also real. So some level of public
  awareness, including media coverage is appropriate.

  Q: What's the probability of an individual U.S. resident contracting
  avian flu at this point compared to other events, such as being
  struck by lightning? -- Len Anderson, Sylvania, Ohio

  A: As of right now, there is no evidence of bird flu being in North
  America. Not in people, not in poultry, not in wild life. In the
  United States, on average, something like 82 people die per year
  from lightning, so since bird flu is not yet in this country, I
  would say that the possibility of a U.S. citizen dying from
  lightning is much higher than dying from H5N1 -- at the moment.

  Q: I'm wondering what is the vector of transmission from bird to
  human? Do you have to be in contact with bird feces? Do you have to
  be in contact with bird blood products? How is it transmitted from
  the bird to the human being? -- Chris (Last Name Not Provided),
  Brewster, New York

  A: Almost all human cases have been traced to close contact with
  infected poultry. We think the process of raising chickens and
  preparing chickens in Asia -- the home slaughter, plucking feathers,
  preparing it for the table -- introduces a number of ways in which a
  person can become infected. There have been very limited examples of
  human to human transmission. I think that it's really extended,
  prolonged contact with poultry -- as they are struggling, flapping
  their feathers, releasing dander and other material -- that is
  probably the route of infection.

  Contact with bird feces, yes, that is definitely a way people could
  become infected. Eating raw, contaminated (poultry) blood has been
  suggested as one of the ways people have become infected in Vietnam.

  Q: Is it possible for migrating birds to carry the virus to North
  America, or is exposure here more likely from people returning to
  North America from other parts of the world that had the virus? With
  the new strain of bird flu reaching places like Romania and Turkey,
  should I reconsider my plans to travel there next year? -- Bob
  Spaziano, Raleigh, North Carolina

  A: Both are possible. It's  possible for migratory birds
  to carry H5N1 to North America. We at the Department of Interior and
  our sister agencies are trying to figure out how likely that is. We
  think that international travel was a major way that the SARS virus,
  which also originated in Asia, spread rapidly around the world, so I
  would say that both migratory birds and international traffic are
  ways that the virus could come to this country.

  You should check with the CDC and follow their latest guidelines for
  travel to that region of the world.


  Q: Can humans get bird flu by eating the meat of infected birds? --
  Claudia Sandberg Larsen, Sacramento, California

  A: Not if they thoroughly cook it first. The flu virus is readily
  killed by temperatures reached in meat when the meat is completely
  cooked, and that is about 160, 170 degrees Fahrenheit.

  Q: Does owning a caged pet bird increase the possibility of passing
  or catching the avian flu virus? -- Lisa Branson, Torrance,
  California

  A: Having a pet bird that's inside all the time, I don't think
  that's a risk. Let me point out that it's illegal in the U.S. to
  import pet birds from regions that are infected with bird flu. So
  the likelihood of getting a pet bird that's already infected with
  bird flu is relatively low.

  Q: Let's say my dogs pick up a dead bird, a bird that died from
  avian flu. Are my dogs at risk? -- Phil Travers, San Antonio, Texas

  A: What we know today is that there is no reputable report of H5N1
  being in any dogs around the world. The virus has surprised us at
  every turn, and so I wouldn't say that it's impossible, but at the
  moment, I don't think if a dog picked up a bird infected with bird
  flu, that the dog would be likely to come down with bird flu.

  Q: What "mutation" of the virus would have to happen for it to
  change to person-to-person, and what factors would cause that
  mutation? -- Sarah (Last name not provided), Denver, Colorado

  A: That's a question that a lot of virologists are trying to answer.
  And what we're trying to do is compare the genetic sequences of H5N1
  with other known human pathogenic viruses. What we know, for
  example, is that mutations on the hemagglutinin gene -- that's
  the "H" in the H5N1 -- can allow the virus to bind better to cells
  in the human respiratory tract. There are also mutations in a gene
  called PB2 that seems to be important for infections into humans.

  How quickly can it mutate? That's a very difficult question to
  answer. There are a number of ways in which the virus can mutate. It
  can mutate gradually over time, or it can recombine in a co-
  infection in a person or in an animal, and when recombination
  happens, that can introduce a lot of mutations very rapidly.

  Q: Wouldn't we assume that this virus would be potentially mutating
  in infinitely different ways in different instances? -- NPR's Robert
  Siegel

  A: That is quite correct, the virus is mutating randomly and it's
  only when a particular mutation is advantageous for it to infect a
  particular new host that the mutation becomes selected and takes
  over.

  Q: How big a threat is this to healthy adults? -- Audra Bassett,
  Robbinsville, North Carolina

  A: In a general flu epidemic or pandemic, the sick and the elderly
  are a target and vulnerable population, because they are less able
  to fight off an infection. According to the World Health
  Organization data, what we know about the situation in Asia is that
  healthy adults are being infected (by H5N1). In fact, the average
  age of those infected in Vietnam seems to be between the ages of 17
  and 31. This could be due to occupational exposure, or it could be
  from a particular predilection of the virus, and I don't think there
  are enough cases for us to know that at the moment.

  Q: Based on what we know about the migration paths of birds, does
  that lead you in any particular direction of where this virus might
  spread? -- NPR's Melissa Block

  A: We had initially anticipated that the virus would spread from
  Southeast Asia up along the Asian continent over toward Siberia, and
  possibly contact migratory birds in North America over in the region
  of Russian Siberia and Alaska. But since this summer it looks like
  the virus has really spread toward Central Asia and now into Romania
  and Turkey. What this indicates to us is that the virus is spreading
  along a different route -- spreading toward the Black Sea and the
  Mediterranean fly way.

  Now, at the moment, if the virus really is being spread by migratory
  birds -- and there's only circumstantial evidence for that -- it
  will spread potentially toward the countries around the
  Mediterranean basin and possibly toward regions of Africa.

  There are a handful of species that migrate from North America to
  Europe. Where (the virus) now is, we do not think those (North
  American) birds are going to be in contact with the current
  migratory birds that are in the Black Sea.
  ***********************************************

  A propos de pigeons encore des nouvelles, de provenance d 'Espagne, qui a aussi ses problèmes avec les pigeons. L'association ARCADYS, Valencia fait du beau travail pour leur défense, ainsi ils ont obtenu qu'à Valencia, des pigeonniers de ville soient installés + nourrissage par graines contraceptives.
  Là où il y des plaintes de surpopulation prononcées, on essaie de la effrayer à l'aide d'un son éléctronique ressemblant au cri du faucon, ou bien la mairie fait attraper les pigeons, elle bague ceux qui sont sains et les relâchent, et euthanasie ceux qui sont malades.
  Sanidad (Santé publique) mentionne à ce propos qu'il n'y a aucune raison de paniquer et en informe le public, car "en aucun cas, le pigeon ne peut être vecteur de la grippe aviaire.Voir le lien:
  
http://www.20minutos.es/noticia/56950/0/ultrasonidos/contra/palomas/

  Les labos de Sanidad ont, de plus, analysé des cadavres de pigeons euthanasiés , et ont dû conclure qu'aucun pigeon n'était infecté du virus, voir le lien:
 
http://www.lasprovincias.es/valencia/pg051023/prensa/noticias/CValenciana/20
  0510/23/VAL-CVA-123.html

  Vegadeo, Asturias est aussi une municipalité avec une approche douce du problème (graines stérélisantes) Lien:
 
http://www.elcomerciodigital.com/pg050920/prensa/noticias/Concejos/200509/20/GIJ-CON-111.html

  Je trouve qu'il faut féliciter la ville de Valencia et Sanidad, et la ville de Vegadeo et les encourager à continuer dans ce sens, et en plus parler de ce modèle aux autres municipalités des pays européens qui ont des problèmes de pigeons....
  Plus on fait de la pub en faveur de pigeons, mieux ça vaut...c'est pourquoi je rêve d'un forum international.

  Myriam


  Voilà une partie des articles que j'ai consultés:

   Y es que, controlar, sanar y reducir la población de palomas de las 32.000
   que hay actualmente a las 20.000 que se estiman convenientes, se ha
   convertido en una prioridad para el Ayuntamiento. Desde Sanidad se está
   elaborando un nuevo plan junto a la asociación para la defensa de los
   animales Arcadys, basado en la construcción de varios palomares en
  jardines cerrados, donde los alimentadores depositarán un pienso esterilzante.

   Mientras, la Concejalía acude allí donde recibe quejas de vecinos y
  captura  palomas para analizar su salud. Las que están sanas se anillan y se
  sueltan,  y las que están enfermas, se sacrifican.

   En este sentido, Sanidad quiere dar un mensaje de tranquilidad, «puesto  que la gripe aviar en ningún caso puede ser transmitida por palomas»
  
http://www.20minutos.es/noticia/56950/0/ultrasonidos/contra/palomas/
  **************************************
         
http://radio-canada.ca/regions/Ontario/nouvelles/200510/21/009-pigeons-australie.shtml
              
          L'Australie a imposé un embargo total sur les importations d'oiseaux du Canada. Canberra a placé en quarantaine un lot de pigeons de course provenant de l'Ontario, après avoir découvert que trois d'entre eux sont porteurs d'anticorps contre une forme de grippe aviaire.

          Au pays, les autorités et les éleveurs tentent de rassurer la population.

          Selon eux, la décision de l'Australie de déclarer un embargo sur toute importation d'oiseaux canadiens est exagérée, puisque des études scientifiques récentes démontrent que les pigeons, même s'ils peuvent développer des anticorps de la grippe aviaire, ne sont pas porteurs de la maladie et ne peuvent donc pas transmettre le virus.

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GRIPPE AVIAIRE - HOLOCAUSTES D'OISEAUX+ experiences effrayantes de resurection d'un virus mortel: celui de la grippe dite espagnole.

4 Novembre 2005, 23:00pm

Publié par Jo benchetrit

J'ai reçu ça:

     GRIPPE AVIAIRE - HOLOCAUSTE D'OISEAUX - http://www.ass-ahimsa.net/ferme5.html
    Marjolaine Jolicoeur - Journal AHIMSA, automne 2005

    60 humains morts d'une forme de grippe aviaire et 150 millions de poulets gazés, étouffés, brûlés et parfois même enterrés vivants. Poulets, dindes, pigeons, canards, perroquets, cet holocauste se déroule dans l'indifférence générale face à la souffrance animale. On transporte sans ménagement les oiseaux la tête en bas, les ailes battantes. Pas toujours malades, seulement porteurs du virus, l'abattage des oiseaux se fait par "prévention". Évidemment, personne ne songe à les soigner ou à les mettre à la retraite.

Personne n'ont plus pour dénoncer le traitement immoral de ces animaux, comme s'ils n'étaient que de simples objets, des marchandises sans émotions, incapables de ressentir de la douleur.

Aucune considération, aucune pitié, rien pour ces poulets si mal aimés hors de l'assiette. Fièvre aphteuse, grippe porcine, vache folle, verrons-nous des montagnes d'animaux brûlés vifs comme il y a peu de temps encore en Europe et en Asie?

 Va-t-il falloir tuer tous les poulets et les cochons de la terre par prévention, pour protéger l'intérêt des humains?


    Indonésie ( 2004 ), des poulets brulés vivants!
    Source photos:
http://projectsomewhere.com/9810,02,2-0-Cruelty%20to%20Chickens.html
   

 Afin de justifier ces massacres d'oiseaux, on affirme que le méchant virus H5N1 des poulets pourrait muter, s'humaniser et se transmettre d'humain à humain.

Cette probabilité n'est qu'hypothétique. La course aux vaccins est lancée pour un virus qui n'existe même pas encore.

On conseille de se faire vacciner avec l'actuel vaccin contre la grippe, tout en sachant que son virus est différent de celui de la grippe aviaire.

Une demande qui ne sert finalement qu'à tester les procédures d'un programme de vaccination de masse, un exercice de rodage pour les instances médicales et gouvernementales.

   

  Dans cette psychose du poulet, pour démontrer la virulence d'un virus ayant muté, la grippe espagnole est donnée en exemple. Récemment, l'armée américaine a ressuscité le virus qui, selon elle, déclencha cette épidémie qui a fait des millions de morts en l918-l919. En Alaska, les chercheurs exhumèrent les tissus gelés d'une femme. Des tissus pulmonaires, conservés dans le formol ont également contribué à reconstituer le code génétique d'un virus d'origine aviaire, adapté au cochon, puis à l'humain, selon les scientifiques du Pentagone. Il a été injecté à des pauvres souris, mortes quelques jours plus tard, ainsi qu'à des embryons de poulets. Plusieurs scientifiques se sont élevés contre cette recréation d'un virus mortel. Selon eux, les risques de libération délibérée ou accidentelle du virus dans la nature par l'armée américaine auraient dû justifier l'interdiction de leurs travaux.

   

 Ce n'est pas la première fois que l'armée américaine s'amuse avec des virus virulents et toxiques. Très intéressant de savoir que cette fameuse grippe dite espagnole n'est pas venue d'Espagne. Son nom provient d'une rumeur qui a circulé pendant la première guerre mondiale. Au moment où l'épidémie se propageait en sol européen, en France on croyait que la maladie venait de boîtes de conserve importées d'Espagne, dans lesquelles des espions allemands avaient introduits des microbes. Cette légende urbaine donna le nom à cette grippe.

     En fait, cette grippe espagnole s'est déclarée pour la première fois en l918, dans un camp militaire de Fort Riley, près de Boston.

Dans ce camp, les soldats étaient massivement vaccinés avant leur départ pour l'Europe. Avec des virus et des bactéries contre la variole, la diphtérie, le tétanos et la rage; avec plusieurs doses du vaccin contre la typhoïde.

A travers les États-Unis, dans tous les camps militaires, les soldats-cobayes furent vaccinés.

Les médecins de l'époque notèrent un grand nombre de soldats morts tout juste après les vaccinations ou ayant les symptômes des maladies dont ils venaient d'être inoculés.

 Puis la population civile s'est elle aussi fait vacciner, parfois de force. Des milliers de soldats dûment vaccinés traversèrent l'Atlantique.

C'est après ces vaccinations de masse que l'épidémie dite de grippe espagnole s'est déclarée aux États-Unis puis propagée à travers le monde.

 Assez étrangement, la Grèce et quelques autres pays qui n'avaient pas accepté ces vaccinations de masse, échappèrent comme par miracle au fléau de cette grippe.

 Aux États-Unis, les seuls qui ne furent pas grippés furent ceux qui refusèrent les vaccinations.

    En 1918 les vaccins inoculés aux soldats américains étaient cultivés dans des souches animales: chevaux, moutons, vaches et cochons. Une mutation s'est-elle produite dans ces cocktails toxiques? Que savait-on vraiment du pouvoir dangereux des bactéries et des virus à ce moment là, des effets secondaires des vaccins et surtout de la complexité du système immunitaire? Il faut que nous soyons terriblement ignorants ou manipulés par la peur pour croire que des vaccins injectés directement dans le sang et fabriqués avec virus mutants, bactéries, mercure, aluminium, gélatine, protéine de cochon ou sérum bovin peuvent apporter la santé.

L'actuel vaccin de la grippe donné au Canada, aux adultes comme aux enfants, contient du formaldehyde et du mercure. Il est cultivé dans embryons de poulets et serum de veau.

Quand au Tamiflu, cet anti-viral acheté à coups de millions de doses par plusieurs pays, il ne serait pas plus efficace qu'un placebo dans le traitement préventif et curatif de la grippe, selon un rapport de l'Office canadien de coordination de l'évaluation des technologies de la santé (OCCETS) - (rapports technologiques de janvier et novembre 2001).

De plus, il a de la gélatine dans ses composantes.


    L'élimination massive des volailles
    Tout ce tapage médiatique autour d'un nouveau vaccin contre la grippe aviaire cache une sordide vérité.

Les poulets sont doublement massacrés.

 Dans les fermes, les élevages mais aussi dans les laboratoires pour la fabrication des vaccins.

    De toute urgence, pour contrer cette épidémie de la peur, il faudrait mettre de l'avant une perception holistique de la santé, des méthodes alternatives de guérison.

Même en l918, des thérapeutes purent guérir nombre de leurs malades atteints de la grippe espagnole.

Alors que les médecins vaccinateurs perdaient près de 40 % de leur patients atteints, les homéopathes, par exemple, recensèrent à peine l % de mortalité parmi leurs patients. En l921, plus de 50 homéopathes ont témoigné de ce fait dans le "Journal of the American Institute of Homeopathy"; ils guérissaient leurs malades avec des doses de Gelsemium.

Le célèbre médecin américain Harvey Kellogg (1852-1943), dans son sanatorium Battle Creek, soigna avec succès plusieurs malades avec une alimentation végétarienne frugale (sans oeufs, alcool, tabac ou sucre), des bains et des jeûnes. Plus récemment, des médecins tels que Claus Junbeblut, Boissevain, Spilane, Archie Kalokerinos ou Frederic Klenner traitèrent des cas de grippe avec des doses massives de vitamine C.

L'extrait de pépin de pamplemousse - 30 gouttes dans l'eau, 3 fois par jour pendant 2 à 3 jours - stimule aussi les défenses immunitaires. Tout comme le chlorure de magnésium.


          La véritable prévention?

Ne pas se faire vacciner et ne pas manger de poulet.

 Pour ces oiseaux sacrifiés sur l'autel du commerce de la viande et des vaccins, pour les humains aussi, la solution la plus efficace, logique et éthique est une alimentation végétale, sans produits animaux.

Une solution trop simple évidemment pour les multinationales pharmaceutiques 


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2000 manifestants pour les animaux et la nature. le 5.11.2005Une tache: les verts qui faisait la pub du projet de recherche sur animaux le plus degueulasse possible, le projet REACH!

4 Novembre 2005, 23:00pm

Publié par Jo benchetrit

De retour de la manif du 5.11: magnifique! On était au moins

2000.

Mais comme nous n'avons pas brûlé de bus, personne n'est venu nous filmé, je crois. Et pour l'instant FR3 n'en a pas parlé.
Faut dire que les djeunes des banlieues se font entendre, eux et occupent toute la scène. On est en pleine guerilla urbaine partout en France. Alors, une manif "bon enfant"...ça paraît trop fade, sans doute. Le monde va à sa perte, mais on s'en fout car on veut du spectacle.

J'ai donc envie de tout  vous raconter , ainsi que ma rencontre avec le  directeur de la SPA , le docteur Serge Belais, après son beau discours mais c'est pour plus tard: laissons d'abord reposer.(included moi!)

Les verts: j'en suis verte!

ils font de la pub pour le projet REACH qui prévoit de martyriser des animaux par dizaines de milliers pour tester sur eux tous les  produits chimiques existants, les cons. C'est ahurissant. L'ingnorance est telle que certains, d'une main tendaient un tract à la gloire du projet REACH, de l'autre signait contre l'experimentation animale.

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