On peut y perdre son latin. Les animaux sont torturés sans cesse pour la nourriture, dans la recherche, et même dans l'art, qui en devient pseudo-art.
Une pulsion non sublimée ne saurait être civilisée. Les parents doivent être clairs là dessus, c'est leur devoir d'éducateurs.
Il existe pourtant une loi qui reconnaît enfin la sensibilité des autres animaux et qui , de ce fait, prévoit des sanctions. Cependant des milliards d'animaux échappent à cette protection sous prétexte d'utilité. Passons sur la monstruosité d'un tel cynisme pour en venir là où je veux vous amener: les serial killers ont, selon le FBI tous été des bourreaux d'animaux.
Ce n'est donc pas sans conséquence de faire du mal aux animaux.
Ainsi, un client de corrida et a fortiori si il est un enfant prend des risques. Les aficionados ou les touristes qui sont les plus coupables car ce sont eux qui font vivre les corridas sont des gens qui torturent des animaux en payant des massacreurs à gage qui reçoivent ainsi d'eux une procuration. Est-ce pour cela que que les espagnols sont à la fois les champions d'europe de coutumes montrueuses envers les bêtes et des crimes sur leurs conjointes?
En tous cas, nous sommes tous dans ce cas de manière plus masquée en achetant de produits issusde torture animale.
Et nous ne pouvons que constater que, sans être serial killer en permanence, les humains sont le plus souvent des bombes à retardement, si on se réfère à leurs exploits entre eux pendant les guerres, ou au succès populaire de l'expérience nazie à laquelle tant de gens ont participé par action, intention et ou complicité tacite.
La relation entre la maltraitance animale et les tueurs en série
http://agir-pour-les-galgos.over-blog.com/article-20444328.html
Information du FBI concernant la cruauté contre les animaux
Ces derniers 18 mois nous avons vu sept fusillades à l'intérieur des écoles: pour chacun de ces cas, nous avons appris que les auteurs de ces crimes avaient abusé, torturé et tués des animaux avant de passer à des victimes humaines.
Le FBI utilise des rapports de cruauté sur les animaux pour analyser le potentiel de supposés criminels violents
Les maîtres d'écoles, les pères et étudiants sont avertis et entrainés pour débusquer les symptomes alarmistes. De fait, le Département de l'Education des Etats Unis, publie un pamphlet où l'on étudie la cruauté sur les animaux et où on la définit comme étant un symptome d'avertissement sur un jeune potentiellement dangereux.
En 1993, le Congrès National PTA concluait: " Les enfants élevés dans des notions de justice, de compassion pour les animaux, deviennent plus justes, pleins de bonté et considérés par leur entourage. Le fait de le maintenir dans cette ligne de caractère, aboutira à en faire des êtres tournés vers les autres, plus humains, plus respectueux des lois, des citoyens de valurs."
Mai 1988/Springfield, Oregon: Kip Kinkel tua ses parents et deux compagnons de classe et en blessa 22 autres. Il avait déjà une histoire de crimes et tortures sur animaux, se vantant d'avoir "volé" une vache, tué chats et écureuils, en leur introduisant des pétards dans la gueule.
Mars 1988/Jonesboro, Ark.: Mitchell Johnson et Andrew Golden tuèrent au fusil quatre étudiants et un enseignant. Un ami avoua qu'Andrew, tuait de temps en temps quelque chien avec un rifle calibre 22
Décembre 1977/West Paducah,Ky.: Michael Carneal séquestra et tua trois de ses compagnons de classe pendant qu'ils étaient en prière.Il s'était déjà vanté auprès d'un ami d'avoir brûlé un chat sur un bûcher.
Octobre 1997/Pearl,Miss. : Luke Woodham cogna sur sa mère jusqu'à la tuer, sur ce il tua avec arme à feu deux compagnons de classe et en blessa plusieurs autres. Dans son journal intime il avait écrit qu'avec un ami, ils avaient écorché, brûlé et torturé son chien, jusqu'à le tuer.
Abus sur les humains et abus sur les animaux: un crime.
Les actes de violence sur les animaux ont été largement reconnus comme des indicateurs d'une dangereuse psychopathie qui ne s'arrête pas sur les animaux eux-mêmes.
" Quiconque qui a été habitué respecter la vie d'une quelconque créature vivante a des chances négligables d'en arriver à considérer la vie humaine comme négligeable elle-même", écrivit le Dr Albert Schweitzer.
En accord avec Robert Ressler, qui étudie les profils des tueurs en série pour le FBI: "Les tueurs en série petit à petit, commencent en tuant et en torturant les animaux dans leur enfance".
Ces etudes ont convaincu les sociologues, les hommes de loi et les cours de justice, que les actes de cruauté sur les animaux doivent attirer notre attention. Ces actes seront les premiers symptomes d'une pathologie violente, qui suppose des victimes humaines.
Les abus sur les animaux ne sont pas seulement le résultat d'une déficience mibeure de la personnalité de l'abuseur, mais plutôt un symptome d'une profonde perturbation mentale.
Les investigations de la psychologie et de la criminologie montrent que ceux qui ont commis des actes de cruauté sur les animaux ne s'arrêtent pas là, nombreux sont ceux qui passent à d'autres êtres humains.
Le FBI a démontré que les faits de cruauté sur les animaux sont un des traits qui apparaissent régulièrement dans leurs ordinateurs de statistiques, quand ils répertorient les antécédents des violeurs ou assassins en série. D'autre part le Manuel de Psychiatrie et Désordres Emotionnels répertorient la cruauté sur les animaux comme un critère de diagnostic pour les désordres de conduite.
Les études ont montré que les criminels violents et aggressifs sont plus à rapprocher des enfants ayant abusé des animaux que les criminels considéré comme non aggressifs.
Un examen psychiatrique effectué sur des patients qui ont régulièrement torturé des chats et des chiens, a démontré que tous présentaient des troubles importants d'aggression sur les gens, comme par exemple un patient qui avait assassiné un enfant. pour les investigateurs, . une fascination pour la cruauté sur les animaux est un signal d'alarme rouge dans la vie des vloleurs et assassins en série. Le fondateur de l'Unité de Sciences du comportement au FBI, Robert Ressler, a dit: " Ceux ci ont été des enfants qui n'ont jamais appris que c'était très mal d'arracher les yeux à un petit chien".
L'Histoire est pleine d'exemples notoires: Patrick Cerril qui tua 14 compagnons de travail et se suicida ensuite, harcelait son chien et mutilait d'autres mascottes.
Earl Kenneth Shirner, qui viola, poignarda et mutila un enfant de 7 ans, était connu par son voisinage pour introduire des pétards dans l'anus des chiens et tendre des chats.
Brenda Spencer qui mit le feu dans une école de San Diego, tuant deux enfants et en blessant neuf autres, avait abusé de chiens et de chats. Souvent elle leur mettait le feu à la queue.
Albert DeSalvo, "l'étrangleur de Boston", qui tua 13 femmes attrappait dans sa jeunesse des chiens et des chats qu'il enfermait dans les grues à oranges et leur tirait des flèches qui traversaient les cagettes.
Carroll Edward Cole exécuté pour 5 des 35 homicides dont il fut accusé, a dit que son premier acte de violence, quand il était petit, avait été d'étrangler un petit chien.
En 1987, trois étudiants du secondaire furent accusés pour avoir tapé un compagnon de classe jusqu'à le tuer? Tous avait régulièrement pratiqué des actes de mutilation sur les animaux de nombreuses années avant. L'un d'entre eux a avoué avoir tué tant de chats qu'il en avait perdu le compte.
Deux frères qui avaient tué leurs parents avaientb raconté avant à leurs compagnons de classe avoir décapité un chat
Le tueur en série Jeffrey Dahmer avait empalé des têtes de chiens, de chats et de grenouilles.
Plus récemment, Kip Kinkel en Springfield, Ore., et Luke Woodham, 16, en Pearl, Miss., deux assassins de 15 ans torturaient des animaux avant de devenir alcooliques
Les étudiants de Columbine High Scholl Eric Harris et Dylan Klebold qui tuèrent 12 de leurs compagnons de classe avant de se tuer eux-mêmes se vantaient d'avoir mutilé des animaux de leurs amis.
" Il y a quelque chose en commun à tous ces tireurs de ces dernières années" dit le Dr Harold S. Koplewicz, directeur du Centre d'Etudes de la Ninez, à l'Université de New York.
" Nous sommes en face de jeunes qui présentent des symptomes d'aggression pour leurs semblables, un intérêt pour le feu, de la cruauté envers les animaux et beraucoup de signaux que les écoles ont ignorés."
Tristement, beaucoup de cette violence infantile chez ces criminels n'a jamais été examinée, jusqu'à ce qu'elle se retourne sur les humains. L'anthropologue Margaret Mead dit " une des choses les plus dangereuses qui puisse arriver à un enfant c'est de tuer un animal et de l'assumer.
J'en déduis que l'abus domestique est dirigé vers le plus fragile, l'abus d'animal et l'abus des enfants vont de pair.
Les parents qui nient à l'animal l'attention appeopriée ou abusent d'un animal, abusent aussi et négligent leurs propres enfants
Sur 23 familles britanniques, avec un vécu de négligence envers les animaux, 83% étaient identifiés par les experts comme à risques d'abus et de négligence
Une étude sur les femmes battues montre que 57% d'entre elles disaient que leur conjoint maltraitaient ou battaient les animaux. Une sur quatre disait rester avec son conjoint violent par peur de laisser ses mascottes avec lui
Bien que l'abus sur les animaux soit un signe important d'abus sur les enfants, le père n'est pas toujours celui qui harcèle l'animal. Les enfants qui abusent des animaux, souvent, répètent la leçon apprise à la maison: et comme leur père ils répondent à l'angoisse et la frustration par la violence. Sa violence est dirigée vers l'unique être de la famille plus vulnérable encore que lui-même: l'animal.
Un expert a dit: " les enfants de foyers violentes se caractérisent par leur participation à des bagarres", dans lesquelles il peuvent mutiler ou tuer un animal. Assurément, la violence domestique est la base la plus commune pour la cruauté infantile contre les animaux.
C'est une certitude partagée entre psychologues que la cruauté contre les animaux est un des meilleurs exemple de la continuité des perturbations psychologiques de l'enfance à l'âge adulte. En bref, un diagnostic détaillé pour évaluer la cruauté infantile sur les animaux devra être bien établi et se faire conjointement avec le Collège de Médecine Vétérinaire de l'Université de Cornell
Ecoles, parents, communautés et Cours de justice qui considèrent l'abus sur les animaux comme un "délit mineur" ignorent UNE BOMBE A RETARDEMENT
Par contre, les communautés qui appliquent des peines sévères contre les abuseurs d'animaux, examinent les familles, recharchent d'autres signes de violence et feront intensément appel à un consultant pour les personnes concernées
Les communautés doivent reconnaître que l'abus d'une QUELCONQUE être vivant est inacceptable et constitue un danger pour tout le monde
En 1993, la Californie fut le premier état à passer une loi, l'accusation officielles de contrôle animal, pour contrer les abus infantiles.
Le rapport d'abus est déjà dans les législations du Connecticut, Washington, DC. Une législation similaire a été introduite en Floride. L'abus sur les animaux de compagnie est un signal d'alarme de l'abus des membres à "deux pattes" de la famille dit le représentant Steve Effman. " Nous ne pouvons plus jamais ignorer cette connection".
Après une étude approfondie des liens entre l'abus animal et l'abus humain, deux experts ont conclu: "L'évolution d'une majorité de gentils dans la société humaine doit alors être aidée par notre promotion d'une éthique plus positive entre les enfants et les animaux".
Je rappelle que le projet de loi de protection animale présenté par l'Argentine s'est basé sur le contenu de ce rapport du FBI :
http://www.canadianvoiceforanimals.org/gualeguaychu.html
Informe del FBI
La conexión entre maltrato animal y los asesinos seriales.
Informe del FBI sobre crueldad contra los animales.
En los últimos 18 meses hemos visto siete tiroteos en escuelas: en cada uno, hemos aprendido que los perpetradores de estos crímenes habían abusado, torturado y matado animales antes de accionar sobre víctimas humanas.
El FBI usa reportes de crueldad animal para analizar del potencial de los sospechados como criminales violentos.
Maestros, padres y estudiantes son advertidos y entrenados para buscar síntomas de alarma. De hecho, el Departamento de Educación de Estados Unidos, publica un panfleto, donde se coloca la crueldad contra los animales, como un síntoma de advertencia de un joven potencialmente peligroso
En 1993, el Congreso Nacional PTA estableció:" Los niños entrenados para extender la justicia, bondad y compasión para con los animales, se vuelven mas justos, bondadosos y considerados en sus relaciones con el prójimo. El entrenamiento del carácter en éstas líneas, dará como resultado seres con una afinidad más amplia con los demás, más humanos, más apegados a las leyes, en síntesis, ciudadanos más valiosos"
Mayo de 1988/Springfield, Oregon: Kip Kinkel mató a sus padres y dos compañeros de clase e hirió a otros 22. Tenía una historia de crímenes de animales y tortura, alardeaba de haber "volado" una vaca, matado gatos y ardillas, introduciendo petardos en sus bocas.
Marzo 1998/Jonesboro, Ark.: Mitchell Johnson y Andrew Golden mataron a tiros cuatro estudiantes y un maestro. Un amigo dijo que Andrew, mataba de tanto en tanto, algún perro con un rifle calibre 22.
Diciembre 1997/West Paducah, Ky.: Michael Carneal disparó y mató a tres compañeros de clase mientras estaban rezando. Le había comentado a sus amigos, que había quemado un gato en una hoguera.
Octubre 1997/Pearl, Miss.: Luke Woodham apuñaló a su madre hasta matarla, luego mató a disparos a dos compañeros de clase e hirió a muchos otros. En su diario había escrito que con un amigo, habían apaleado, quemado y torturado a su perro, Sparkle, hasta matarlo.
Abuso humano y abuso animal: copartícipes de un crimen.
Los actos de violencia contra los animales ha sido largamente reconocidos como indicadores de una peligrosa psicopatía que no termina con los animales en sí mismos.
"Cualquiera que ha sido acostumbrado a cuidar de la vida de cualquier criatura viviente tiene una chance despreciable de arribar a la idea de que la vida humana es despreciable" , escribió el Dr. Albert Schweitzer.
De acuerdo a Robert Ressler, quien diseñó los perfiles de los asesinos seriales para el FBI: "Los asesinos seriales muy a menudo, comienzan matando y torturando animales, cuando eran niños".
Estos estudios han convencido a los sociólogos, los hacedores de leyes y las cortes, que los actos de crueldad contra los animales deben merecer nuestra atención. Estos deben ser los primeros síntomas de una patología violenta, que incluya víctimas humanas.
El abuso animal es no sólo el resultado de un defecto menor de la personalidad del abusador, sino un síntoma de un profundo disturbio mental.
Las investigaciones de la psicología y la criminalística muestran que los que cometieron actos de crueldad contra los animales no paran ahí, muchos de ellos agreden a otros seres humanos.
El FBI ha encontrado que la historia de la crueldad contra animales es uno de los rasgos que regularmente aparecen en sus computadoras, cuando revisan los antecedentes de violadores ó asesinos seriales. Además el Manual de Psiquiatría y Desórdenes Emocionales lista la crueldad contra los animales como un criterio de diagnóstico para los desórdenes de conducta.[1]
Los estudios han mostrado que los criminales violentos y agresivos son más propensos de niños a haber abusado de los animales, que los criminales considerados no agresivos. [2]
Un examen a pacientes psiquiátricos que han repetidamente torturado gatos y perros, encontró que todos ellos tenían altos niveles de agresión contra la gente, como por ejemplo, un paciente que había asesinado un niño. [3] Para los investigadores, una fascinación con la crueldad por los animales, es una bandera roja en las vidas de los violadores y asesinos seriales. [4] Dijo Robert Ressler, fundador de la Unidad de Ciencias del comportamiento del FBI: " Estos eran niños que nunca aprendieron que está muy mal arrancarle los ojos a un perrito".[5]
La historia está repleta con notorios ejemplos: Patrik Cerril, que mató 14 compañeros de trabajo en una oficina de correos y luego se suicidó, hostigaba a su perro a atacar y mutilar otras mascotas. [6]
Earl Kenneth Shirner, quien violó, acuchilló y mutiló a un niño de 7 años, era conocido en su vecindario por colocar petardos en el recto de los perros y ahorcar gatos .[7]
Brenda Spencer, quien le prendió fuego a una escuela en San Diego, matando dos niños y lastimando a otros nueve, había abusado de perros y gatos. Frecuentemente les prendía fuego la cola .[8]
Albert DeSalvo, el "estrangulador de Boston", que mató 13 mujeres, en su juventud, atrapaba perros y gatos y luego de colocarlos en grúas para naranjas, les tiraba flechas que atravesaban las cajas .[9]
Carroll Edward Cole, ejecutado por 5 de los 35 homicidios de que fue acusado, dijo que su primer acto de violencia, fue cuando niño, había estrangulado un perrito.[10]
En 1987, tres estudiantes de secundaria fueron culpados de golpear a un compañero de clase hasta matarlo Todos ellos tenían repetidos actos de mutilación de animales, varios años antes. Uno de ellos confesó haber matado tantos gatos, que había perdido la cuenta.[11]
Dos hermanos que mataron a sus padres le habían contado previamente a sus compañeros de clase, que habían decapitado un gato.[12]
El asesino serial Jeffrey Dahmer había "empalado" cabezas de perros, gatos y ranas.[13]
Más recientemente, Kip Kinkel en Springfield, Ore., y Luke Woodham, 16, en Pearl, Miss., dos asesinos de 15 años, torturaban animales antes de tirotear borrachos.[14]
Los estudiantes de Columbine High School Eric Harris y Dylan Klebold, que dispararon y mataron a 12 compañeros de clase, antes de dispararse a sí mismos, se ufanaban de haber mutilado animales de sus amigos.[15]
" Hay algo en común a todos los tiradores de los últimos años", dijo el Dr. Harold S. Koplewicz, director del Centro de Estudios de la Niñez, en la Universidad de New York.
" Tenemos jóvenes que tienen síntomas de agresión hacia sus pares, un interés por el fuego, crueldad contra los animales, aislamiento social, y muchos signos de alerta que las escuelas han ignorado" .[16]
Tristemente, mucha de la violencia infantil de estos criminales no ha sido examinada, hasta que se volvió en contra de los humanos. La antropóloga Margaret Mead dice " una de las cosas más peligrosas que le puede suceder a un niño es matar ó torturar a un animal y cargar con ello" .[17]
Debido a que el abuso doméstico está dirigido al más desvalido, el abuso animal y el abuso de los niños a menudo van de la mano. Los padres que niegan al animal la necesidad de un cuidado apropiado ó abusan de animales, también abusan ó descuidan a sus propios hijos.
Algunos adultos abusivos, saben muy bien que serán mas reprochados por abusar de un niño en público que por abusar de un animal. En el 88% de 57 familias de New Jersey, que fueran tratadas por abuso de infantes, los animales de la casa eran abusados. [18]
De 23 familias británicas, con historia de negligencia con animales, el 83% habían sido identificadas por los expertos, como riesgosas por abuso ó negligencia. [19]
Un estudio de mujeres golpeadas, muestra que el 57% decía que sus parejas maltrataban ó mataban animales. Una de cada cuatro, decía que se quedaban con el golpeador, por miedo a dejar sus mascotas con ellos.[20]
Mientras que el abuso de animales es un importante signo de abuso de niños, el padre no es siempre quien hostiga al animal. Los niños que abusan de los animales, tal vez, repitan la lección aprendida en casa; y como sus padres, respondan a la angustia y a la frustración con la violencia. Su violencia es dirigida al único ser de la familia mas vulnerable que ellos mismos: el animal.
Un experto dijo: " Los niños de hogares violentos se caracterizan porfrecuentemente participar en apuñalamientos ó golpizas", en los cuales pueden mutilar ó matar un animal. Seguramente, la violencia doméstica es la base más común para la crueldad infantil, contra los animales.[21]
Es una creencia compartida entre psicólogos que la crueldad contra los animales es uno de los mejores ejemplos de la continuidad de las perturbaciones psicológicas de la niñez a la adultez. En breve, un proceso para el diagnóstico, que evalúe la crueldad animal infantil, tendrá que ser bien estudiado, y debe hacerse en conjunto con el Colegio de Medicina Veterinaria de la Universidad de Cornell.[22]
Escuelas, padres, comunidades y cortes que consideran el abuso animal como "un crimen menor" están ignorando UNA BOMBA DE TIEMPO.
No así, las comunidades que tengan penas severas para los abusadores de animales; examinen a las familias, buscando otros signos de violencia, y requiriendo intensivamente, un consultor para los perpetradores.
Las comunidades deben reconocer que el abuso de CUALQUIER ser viviente es inaceptable y nos pone en peligro a todos.
En 1993, California fue el primer estado en pasar a ley, la requisitoria de oficiales de control animal, para reportar abuso infantil.
El reporte de abusos, ya está en las legislaciones de Connecticut, y Washington, D.C. Una legislación similar, fue introducida en Florida. El abuso de las mascotas es una señal de alarma del abuso a los miembros de "dos piernas" de la familia, dice el representante Steve Effman. " No podemos enfrentar la ignorancia de esta conexión nunca más" .[23]
Después de un extensivo estudio de los lazos entre el abuso animal y el abuso humano, dos expertos concluyeron: " La evolución de una mayor gentil y benigna relación en la sociedad humana, debe, entonces, estar ayudada por nuestra promoción de una más positiva y nutriente ética entre los niños y los animales" .(24)
Referencias
[1]Daniel Goleman, 'Child's love of cruelty may hint at the future killer', The New York Times, 7 Aug. 1991.
[2]'Animal abuse forecast of violence', New Orleans Times-Picayune, 1 Jan. 1987.
[3]Alan R. Felthous, 'Aggression against cats, dogs, and people', Child Psychiatry and Human Development, 10 (1980), 169-177.
[4]Goleman.
[5]Robert Ressler, quoted in 'Animal cruelty may be a warning', Washington Times, 23 June 1998.
[6]International Association of Chiefs of Police, The Training Key, No. 392, 1989.
[7]The Animals' Voice, Fall 1990.
[8]The Humane Society News, Summer 1986.
[9]International Association of Chiefs of Police.
[10]Ibid.
[11]Ibid.
[12]Lorraine Adams, 'Too close for comfort', The Washington Post, 4 Apr. 1995.
[13]Goleman.
[14]Deborah Sharp, 'Animal abuse will often cross species lines', USA Today, 28 Apr. 2000.
[15]Mitchell Zuckoff, 'Loners drew little notice', Boston Globe, 22 Apr. 1999.
[16]Ethan Bronner, 'Experts urge swift action to fight depression and aggression', The New York Times, p. A21.
[17]Margaret Mead, Ph.D, 'Cultural factors in the cause and prevention of pathological homicide', Bulletin in the Menninger Clinic, No. 28 (1964), pp. 11-22.
[18]Elizabeth DeViney, Jeffrey Dickert, and Randall Lockwood, 'The care of pets Within child-abusing families', International Journal for the Study of Animal Problems, 4 (1983) 321-329.
[19]'Child abuse and cruelty to animals', Washington Humane Society.
[20]Sharp.
[21]Cornell University College of Veterinary Medicine, Animal Health Newsletter, Nov. 1994.
[22]Ibid.
[23]Sharp.
[24]Stephen R. Kellert, Ph.D., and Alan R. Felthous, M.D., 'Childhood cruelty toward animals among criminals and noncriminals' , Archives of General Psychiatry, Nov. 1983.
Links relacionados:
http://www.minoriasorda.com/modules.php?name=News&file=article&sid=5185
http://www.vet-uy.com/articulos/artic_ba/008/ba008.htm
http://www.gevha.com/index.php?option=content&task=view&id=5
http://www.gevha.com/index.php?option=content&task=view&id=16&Itemid=2
http://www.gevha.com/index.php?option=content&task=view&id=268&Itemid=2