Labrador perdu. Cardiaque! Très grosse récompense. Env.lahonce, 64;
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natura Sharpei Age : 34 Inscrit le : 09 Mai 2006 Messages : 110 Localisation : Biarritz |
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Colère et tristesse. Analysons et changeons. La débilité volontaire des hommes va jusqu'à leur faire douter de l'évidence tant sensorielle que logique de la sensibilité, de l'intelligence, et même de la conscience de tout ce qui n'est pas homme.
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natura Sharpei Age : 34 Inscrit le : 09 Mai 2006 Messages : 110 Localisation : Biarritz |
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Selon des organisations de défense des animaux, les marchés européens sont confrontés à une recrudescence de fourrures de chiens et de chats en provenance d'Asie destinés à la confection. Les services des douanes françaises ont annoncé jeudi la saisie de plus de 4.000 vestes et manteaux importés de Chine dont certains étaient en partie confectionnés à partir de fourrure de chats ou de chiens. (Reuters/Krishnendu Halder)
Les services des douanes françaises avaient annoncé la veille la saisie de plus de 4.000 vestes et manteaux importés de Chine dont certains étaient en partie confectionnés à partir de fourrure de chats ou de chiens. C'est la première saisie de cette ampleur jamais effectuée dans l'Hexagone.
Interdit depuis 2006 en France, le commerce des peaux des animaux de compagnie fait l'objet d'une interdiction au niveau de l'Union européenne qui sera effective fin 2008.
"Ça répond à un problème qui devient de plus en courant", a déclaré à Reuters Christophe Marie, responsable du bureau de protection animale à la Fondation Brigitte Bardot.
"Ça ne porte plus sur le commerce de fourrure en peau du type vison des pieds à la tête, mais plutôt sur des morceaux pour cols ou poignets. C'est beaucoup plus difficile d'identifier la nature de l'espèce quand il s'agit de petites pièces", a-t-il expliqué.
Les morceaux de fourrure saisis en octobre par les douanes de Villepinte, au nord de Paris, provenaient notamment de chiens viverrins, des petits canidés parfois élevés en Asie pour leur fourrure - mais pas pour leur chair.
Après une première saisie de 700 vestes, les douaniers ont remonté la filière jusqu'à un entrepôt de l'Est parisien où ils ont découvert 3.300 autres pièces de vêtements, en provenance de Chine.
"L'étiquetage indiquait qu'il s'agissait de produits en fourrure synthétique. Lorsque les agents ont ouvert la porte, ça sentait très fort. Ils ont fait des prélèvements qui ont révélé qu'il s'agissait de fourrure de chats et de chiens", a raconté une porte-parole des douanes.
Pour l'association Fourrure Torture, "le faux étiquetage s'explique par le fait que les stocks de fourrure ont de plus en plus de mal à s'écouler auprès des consommateurs".
Ces prises "révèlent une nouvelle fois que les consommateurs doivent rester vigilants", déclare dans un communiqué Olivier Rafin, directeur de l'organisation.
Selon Fourrure Torture, deux millions de chiens et de chats sont tués pour leur fourrure chaque année dans le monde.
Elizabeth Pineau, édité par Yves Clarisse
Mini tour de france de la beaufitude cruelle contre pigeons et chats - Psychanalyse et animaux.
"Le plus souvent bêtise est soeur de méchanceté." Sophocle (495 av. J-C - 405) Le problème de notre société de consommation, c'est qu'elle est devenue de plus en plus obsessionnelle. PROPRETE...
http://psychanalyse-et-animaux.over-blog.com/article-24654329.html
j'avais ecrit ça. necessaire me semble t il pour completer..
Rien de vif ne doit dépasser. Si vous êtes la femme d'un obsessionnel, vous avez au moins la chance d'avoir une bonne aide pour le ménage!
Parions qu'il mettra de l'ordre à la maison.
Mais pour les enfants, ce sera pas simple, car l'enfant vit, derange, bouge.
l'ecraser de son desir mortifère ne me semble pas idéal.
Mais alors, où déverser sa haine du vivant, merdique par sa définition obsessionelle?
Sur les animaux,victimes innocentes des délires humanoïdes et mal protégés par nos lois anthropocentristes.
Ce désir de mort, de faire le vide, est éclairé du fait qu'au stade sadique anal où il est régressé, notre obsessionnel est dans le don à la mère de cette production où s'origine d'ailleurs le "don" artistique des peintres et autres arts plastiques.
C'est en cela que le peintre réussit là où l’obsessionnel pur échoue: il fait plaisir à l'Autre avec la même pulsion anale.
La mère est ravie lorsque son enfant fait. Signe de bonne santé digestive qu'elle doit surveiller, elle est inquiete si quelque chose ne tourne pas rond sur les fonctions elementaires du corps de l'enfant. elle lit dans les productions de l'enfant comme certaines voyantes dans le marc de café!. Et, lorsque bébé fait dans son pot, qu'il sait maitriser ses sphincters et qu'elle va enfin pouvoir arrêter de s'emmerder...avec les couches, elle est bien contente.
Le petit en conclut que ce qu'il fait là est exactement ce qu'elle désire pour jouir, sa mère.
Il va donc assimiler don et excréments. Mais n'oublions pas que les excréments, lorsqu'il était encore tout petit, pour le jeune enfant, c'est aussi les seules armes dont disposait le bébé colérique, avec ses urines, pour détruire la "mauvaise mère" qui l'oublie trop longtemps, à son sens, et qu'il hait tant qu'elle n'est pas sous son contrôle.
Donc ce don d’excrément est à la fois signe d'amour et de haine. Comme les feux d’artifice qui pétaradent pour faire beau, mais peuvent aussi tuer.
La bombe tue, le petard fait du bruit,mais le sens est le même, la maitrise de l'autre à qui on montre sa puissance. L'homme pétarade, en temps de paix comme de guerre. ce qui ne fait pas l'affaire des animaux qui peuvent en mourir dans les 2 cas.
Aussi, par amour, il donne ce dont l'autre ne veut pas...Car c'est agressif par ailleurs. Amour-haine, ambivalence des obsessionnels.
L'inconscient a des secrets qu'on ne peut pas révéler au pied levé. C'est pas pour rien qu'il est inconscient et ne veut être dévoilé à un sujet pas prêt à ça, sous peine d'être raillé et/ou rayé de la carte. D'où le terme d'analysant de Lacan, qui, ainsi, montre que le seul à pouvoir interpréter, c’est le sujet en présence réelle ou imaginée de son analyste. L'analysant se met à la place de son analyste, ce représentant d'un regard tiers qui permet la distance nécessaire au symbolique. Ainsi peut se poser le mot sur la chose, sur l’émotion, sur ce qui semble indicible.
Mais comment un cadeau à la mère, comment cette offrande d'amour peut-elle être aussi un objet de haine?
Comment peut on etre credible si on leur dit que le jeune enfant qu'ils etaient et sont à nouveau par regression offrait ça, ce cadeau peu glorieux mais attendu par les mères inquiètes de la santé de leur petit, et soulagées de cette production?
Comment leur dire que la merde haïe est en réalité leur objet de désir qui se presente en dénégation par:" je dois éliminer le sale que je n'aime pas ", ce qui veut dire en fait: "que j'aime." et que c'est pour cela qu'ils cherchent à supprimer ce et ceux qu'ils croient l'être, sales? Comment leur expliquer qu'ils sont dans la haine pour se sentir exister? Que haïr, c'est faire de l'Autre haï un paquet de merde à detester et éliminer?
Il faut pour comprendre cela se reporter au petit d'avant le stade sadique anal, lorsque le nourrisson n'avait que ça pour arme contre la mauvaise mère, celle qui le faisait attendre malgré ses cris et larmes s'il avait un quelconque besoin d'elle, une faim, une souffrance, une présence.
C'est le stade où l'on fantasme tuer l'autre haï avec sa seule arme quand les larmes ne suffisent pas, ses pré-créations, son urine et ses excréments. où la pensée est toute puissante pour compenser l'absence de pouvoir d'un bébé dépendant du bon vouloir de l'Autre, sa mère.
Mais c'est aussi le temps nécessaire au bébé pour se savoir exister en dehors de sa mère, dans la douleur sans doux leurre de fusion. Ce savoir du paradis perdu mais du sujet trouvé ne peut advenir que dans la haine de l'objet d'amour.
On peut comparer cette névrose à la politique de Gribouille qui consiste à se jeter à l'eau de peur d'être mouillé par la pluie.
Ainsi, de peur de mourir, l'obsessionnel se fait mort. Quoi de plus mortel, en effet, qu'un vivant?
C'est pourquoi l'obsessionnel est un nettoyeur.
Tout ce qui est donné à lui comme étant de la salissure doit être éliminé car il menace notre vie, c'est à dire notre immortalité. Car quoi de plus immortel et "intuable" qu'un mort?
Donc, s'il faut d'abord éliminer les excréments, signe de vie, il faut ensuite se charger de sortir de là le coupable, le vivant. Un vivant au paradis, ça fait desordre. Un producteur de saleté.
Le problème de notre société de consommation c'est qu'elle est devenue de plus en plus obsessionnelle.
PROPRETE: le maître-mot.
Le désordre, c'est pareil, c'est un signe de vie qu'on peut assimiler à des excréments.
Or l’obsessionnel est régressé au stade sadique anal. l'âge du don à la mère de son petit popot bien rangé dans son petit pot.
Là où il y désordre, il y a vie. C'est comme un jardin laissé "à l'abandon"; En fait aux bons soins de Dame Nature, où la vie reprend ses droits, où les petites bêtes viennent se nourrir et prospérer sur les "mauvaises " herbes non saccagées par des herbicides, poisons des jardins à la française, pelouses rasés à la brosse, bien dégagées autour des oreilles. Les jardins non trop entretenus, sources de vie pour les insectes et où, enfin, la vie est le maitre-mot, sont tellement plus beaux, pourtant. Là où il y a vie, l’obsessionnel voit de l'en trop, de la merde. C'est cet obscur objet de son désir qu'il ne supporte pas car ça le submerge, ça le fait jouir, ça le tue, c'est sa petite mort à lui et aussi son angoisse car il y en trop. C'est comme l'enfant constipé qui ne peut satisfaire sa mère, ce qui ne peut que l'angoisser.
Considérer l'autre haï comme de la merde, l’éliminer, c'est donc une façon de combler sa mère.
Le trop fait peur. il faut du vide. L’obsessionnel est dans le trop et comme un enfant avec sa pelle ou ses mains enlève le sable pour creuser un trou, il a comme Sisyphe une tâche épuisante: trouer le réel pour se sentir soulagé de cette merde qui l’habitait et qui, une fois disparue, est à nouveau l'objet de son désir. Desir, manque de l'autre aimé, puis haï s'il resiste, puis aimé à nouveau s'il se soumet, enfin retrouvé dans la jouissance, puis à nouveau à éliminer.
C'est comme l'humain actuel, ce tueur ecolo qui va sauver une espèce en voie disparition après qu'il l'ait laminée. Je ne t'aime que morte, quoi!
Je n'ai rien contre la propreté mais m'insurge contre le fait ô combien effrayant que les vivants soient considérés comme des salissures.
On sait que l'objet a de l’obsessionnel, c'est la merde, et que sa peur est d'être mortel. Pour ne pas mourir, rien ne vaut le fait d'être dejà mort.
Etre mort, ça implique que ça ne soit pas plein. Donc il faut jeter.
Faire le vide, c'est aussi transformer tout en cet obscur objet de desir obsessionnel, la merde.
Le vide, le bien rangé, comme dans un cimetière, d'objets qui ne changent pas plus de place que les tombes, ça rassure paradoxalement l'immortel parce que donc déjà mort.
Or les vivants gênent du fait qu'ils rappellent à l'homme qu'il a mal tué en lui ce qui trouble sa sécurisante monotonie, les affects.
L'Autre vivant est un autre qui lui dit: "tu es vivant aussi, donc tu vas mourir."
C'est pour cela que l’obsessionnel hait l'autre de toutes les forces de son souhait de ne pas ressentir de désir ni donc d'amour pour l'Autre vivant. D'où sa haine des pigeons, des animaux en général dès qu'ils ne sont pas sous son emprise mortifère, sous ses ordres, comme le font les dompteurs, ces tortionnaires que je denonce ailleurs..
L'animal idéal pour lui, c'est un animal empaillé. Celui, qui, mort, ne le derangera en rien en lui renvoyant l'image rassurante de ce qu'il veut être: une momie vivante.
Il faut savoir que sa peur se situe au niveau du placard qui peut recéler un mort, ou encore de son propre corps qui peut être pourri decomposé sous la peau. Donc faut que tout au moins apparaisse parfait, le plus parfait possible. Le temps est l'ennemi, il faut le mater en étant son esclave, Toujours à l'heure. Pile poil.
Analement esclave ou maître, notre obsessionnel est ravi dès qu'à l'ombre de son maître, il peut jouer l'enfant, et se déresponsabiliser en disant qu'il obéit aux ordres, à la règle, à la loi.
L'homme en général subit cette problematique infernale d'un rapport à l'autre qui oscille entre trop (de l'autre et envahi) et pas assez (donc seul et abandonné comme mauvais objet, déchet).
Le problème de l'obsessionnel? il n'est pas vraiment capable de dialectiser, de mettre des mots pour s'adresser à l'Autre, pour s'expliquer. Il parle, pourtant, est (trop) dans le détail, mais oublie qu'il s'adresse à quelqu'un, à un alter ego.
C'est un peu l'inverse de l’hystérique pour qui l'autre, c'est important, y compris en le voyant de manière parano, comme celui qui jouit de son malheur.
Mais toutes ce structures peuvent avoir des ponts entre elles.
La base de l’obsessionnel est ...l'hysterie. Donc, faisable pour lui de retrouver l'Autre, si toutefois il le veut bien. Sil veut bien se risquer à sortir de sa coquille sans se sentir menacé de vie, donc de mortalité.
C'est aussi l'effet de l'analyse de rendre hystérique un discours qui ne s'adresse pas à un autre extérieur. Freud au sujet de l'homme au rats, affirmait que son intestin pendant l'analyse était devenu hystérique, ce qui veut dire que ses dysfonctionnements parlaient.
Faire parler le hors langage, le réel, c'est rendre dicible l'indicible et montrer que ne pas parler , lui aussi, veut dire.
Le toro brave s’inscrit dans une longue tradition d’élevage ou les méthodes, les savoir-faire restent très ancrés à la tradition. Le monde de l’élevage brave reste assez imperméable aux progrès scientifiques qui touchent les élevages des autres animaux dits « de rente ». Le mode d’élevage est celui d’un bétail rustique, peu médiqué (les soins aux animaux braves représentent seulement 0,4 % de leur coût total). Mal nourri, peu entraîné, peu étudié, le bétail brave résiste comme il le peut aux contraintes de sa vie à la dure. Il est un cas à part, un survivant, une chance quand il arrive aux arènes comme on aime le voir, fort, bien constitué et brave. De sa naissance à ses cinq ans, il restel’hypothétique combattant que nous verrons, peut-être, si la nature l’a conservé digne des arènes, et un tout petit peu, éventuellement, le souci des hommes.
Pour ceux que ça intéresse, le résumé de cette conférence est lisible ici :