Je réponds en gris à cette annonce désespérée où l'on voit la pensée en faillite en quête de pansements
( oui, à écrire ainsi: de pense -ment) pour chercher quelque masque à son absence. Des anti- corridas aimeraient y aller. Je suis perplexe.
Mais enfin, pourquoi? Pourquoi entrer en dialogue avec ces gens sans scrupule? Sauf à faire un mémoire de criminologie, je n'ai aucune fascination pour les psychopathes. Ils me dégoûtent, c'est tout.
Etes-vous sûr, chers amis, de ne pas entrer dans une jouissance trouble, vous aussi?
Qui dit dialogue, dit estime de l'autre, reconnaissance, demande d'amour. Je n'ai envers ces êtres abjects aucune demande. Si c'était le cas, je m'inquiéterais.
Certes, Il faut savoir ce que dira Chemama, un psychanalyste aficionado ( contradiction dans les termes). Il y a utilité du contre-poison de la cohérence théorique à opposer aux sottises pseudo-analytiques qui seront proférée au nom de la psychanalyse pour justifier l'injustifiable du point de vue justement de l'analyse.
Qu'est ce que la barbarie au regard de l'éthique élémentaire qu'est l'éthique analytique ? Son ennemie!
On est dans le règne du n'importe quoi...regardez vous même. Je vais pas pleurer sur eux...Mais enfin, quel manque de sérieux.
Le mouvement anti-taurin :
Sources et enjeux de l'animalisme contemporain
Samedi 30 janvier Théâtre d'Arles Journée proposée par
SUERTE (Société d'Etudes et de Recherches sur les
Tauromachies Européennes) Et coordonnée par Annie Maïllis
et Francis Wolff.
La corrida a toujours eu ses détracteurs. Ce qui est
nouveau, c'est que c'est désormais au nom de la " défense
des animaux " que se fait le procès.
Ha ? en quoi est-ce nouveau ? Au nom de quoi contester cette pratique, sinon ?
Cette défense est
parfois l'expression d'une sensibilité tout à fait
respectable ;
Trop généreux.
Ha ? la générosité les choque! Comme c'est "normal" venant de ces féroces !
mais elle se formule souvent en avançant des
arguments prétendument " écologiques "
ha ? lesquels ? le pet des bovins? pas souvent utilisé par les anti corrida mais plus pour rallier au végétalisme.
ou des
raisonnements moralisateurs fondés sur une méconnaissance
de l'éthique tauromachique
L'éthique cruelle de Sade ? Appeler ça méconnaissance, en en apportant quelle preuve ? Aucune? c’est donc juste une affirmation gratuite et tout le monde le voit, purement projective.
> et de la nature du taureau de
combat,
« Nature du taureau »… qui le destine à QUOI ? A SE FAIRE COUPER EN RONDELLES ? A SE FAIRE TORTURER PAR PLUSIEURS PERSONNES? Quel pathétique manque d'argumentation qui se fonde sur de la prétendue nature pour justifier de tortures! quel manque cruel de cojones!
DRÔLE DE NATURE, NON ? Vous CONFONDEZ AVEC votre structure aficionada , le SADO MASOCHISME .
quand ce n'est pas de la vie animale en général.
BEN VOYONS. L’animal en général et en particulier est à vos pieds pour que vous preniez votre pied, c’est ça, la nature animale ? mais alors là, quelle ignorance ! comme si la vie animale consistait à venir parader devant des hommes sans aucune moralité pour s’entretuer juste pour leur joke! Là, ce serait vraiment une générosité suspecte...
Même Sade ne se risquait pas à un tel déterminisme de la « nature » de la victime. Il parlait plus alors de cette nature humaine qui atteint la jouissance en la faisant naître du péché.
L'animalisme contemporain consiste en effet non pas à
avoir une conduite respectueuse vis-à-vis des espèces
animales, mais à les confondre toutes avec d'inoffensifs
animaux de compagnie transformés en purs objets
fétichisés.
Ha vraiment ? Qui confond l’animal, être vivant , indépendant de la connerie humaine et sensible, lui, avec un pur objet de jouissance, objet fétiche de complétude phallique utilisé comme godmiché pour atteindre l’orgasme tauromachique?
C'est pourquoi on a pu dire que plus les
animaux sont aimés, moins ils sont connus et reconnus dans
leur nature propre.
C’est beau l’autocritique. Mais quand on ne veut pas savoir à ce point qu’on parle de soi, ça se nomme déni. Et on rappelle que c’est justement le mécanisme de défense propre aux pervers.
On pourrait dire aussi que
l'animalisme contemporain, loin d'être le prolongement de
l'humanisme, en est à bien des égards la négation.
A quels aspects de la vie urbaine et de l'idéologie
contemporaine est dû cet engouement débordant et naïf pour
des animaux par ailleurs si peu estimés pour ce qu'ils
sont ?
débordant et naïf ?
Que répondre à cette injure sinon par ce cri du coeur: pauvres épaves de l’intelligence humaine qui se croit encore vivante alors même qu’elle n’est plus qu’un vestige, un artefact, un ânonnement fantomatique !
Quels aspects historiques, mythiques et symboliques
de l'animalité se trouvent occultés par ces mouvements de
plus en plus proliférants et divers ?
Z’ont jamais entendu parler du REEL ? eux ils peuvent causer symboles…ils sont perdus dans leur imaginaire où ils s’idéalisent par leurs déblatérations car sinon, ils se haïraient !
L'animalisme est-il
un " progrès moral " ou comporte-t-il des risques éthiques
qu'il convient de mesurer ?
OUI, mon chéri, cherche, cherche! Ton nez de truffier Rantanplan va sans doute tomber sur un beau trésor. Les risque éthiques de l’animaliste ? Celui de respecter les plus faibles que soi ? Oui, pour Sade, c’est un risque terrible.
Quels lieux communs aux
différents discours anti-corridas sont avancés depuis plus
d'un siècle ?
Cherche.
N'en recoupent-ils pas d'autres empruntés à
des sphères étrangères à la corrida ?
Ho ! là ! des agents étrangers infiltreraient-ils les anti-corrida ?
Pourquoi la défense
de la corrida est aussi une défense de la nature de l'homme ?
La NATURE humaine ? Mais qui encore ose parler de NATURE humaine alors même que chacun sait qu’il n’y a pas de nature humaine ! Tout juste de la culture, des cultures…LA nature humaine ? Lacan doit se retourner dans sa tombe, Lévi-Strauss aussi. Et Sartre pas mieux.
Même le point commun à tous les humains, la barbarie, n’est pas réductible à de la nature. Mais, selon moi, à la pathologie humaine, son symptôme, sa structure.
Déjà que la situation est désespérée, si on appelait ça de la nature, on serait foutu. Il n’y a pas d’un côté les méchants, de l’autre, les gentils. Il y a chez tout le monde des Km de bêtise humaine dont l’autre face est la barbarie, le tout s’appelle : la jouissance acéphale de l’humain moyen.
Certains sont pour que cela s’arrange, pour que l’on tente de se guérir. D’autre pas.
C’est tout.
vlà l'annonce complete deces adeptes du déni:
Le mouvement anti-taurin Sources et enjeux de l'animalisme
contemporain
Samedi 30 janvier Théâtre d'Arles Journée proposée par
SUERTE (Société d'Etudes et de Recherches sur les
Tauromachies Européennes) Et coordonnée par Annie Maïllis
et Francis Wolff.
La corrida a toujours eu ses détracteurs. Ce qui est
nouveau, c'est que c'est désormais au nom de la " défense
des animaux " que se fait le procès. Cette défense est
parfois l'expression d'une sensibilité tout à fait
respectable ; mais elle se formule souvent en avançant des
arguments prétendument " écologiques " ou des
raisonnements moralisateurs fondés sur une méconnaissance
de l'éthique tauromachique et de la nature du taureau de
combat, quand ce n'est pas de la vie animale en général.
L'animalisme contemporain consiste en effet non pas à
avoir une conduite respectueuse vis-à-vis des espèces
animales, mais à les confondre toutes avec d'inoffensifs
animaux de compagnie transformés en purs objets
fétichisés. C'est pourquoi on a pu dire que plus les
animaux sont aimés, moins ils sont connus et reconnus dans
leur nature propre. On pourrait dire aussi que
l'animalisme contemporain, loin d'être le prolongement de
l'humanisme, en est à bien des égards la négation.
A quels aspects de la vie urbaine et de l'idéologie
contemporaine est dû cet engouement débordant et naïf pour
des animaux par ailleurs si peu estimés pour ce qu'ils
sont ? Quels aspects historiques, mythiques et symboliques
de l'animalité se trouvent occultés par ces mouvements de
plus en plus proliférants et divers ? L'animalisme est-il
un " progrès moral " ou comporte-t-il des risques éthiques
qu'il convient de mesurer ? Quels lieux communs aux
différents discours anti-corridas sont avancés depuis plus
d'un siècle ? N'en recoupent-ils pas d'autres empruntés à
des sphères étrangères à la corrida ? Pourquoi la défense
de la corrida est aussi une défense de la nature de l'homme ?
Telles sont quelques-unes des questions qui seront
abordées et débattues au cours de cette rencontre.
-9h30 Ouverture officielle du colloque par M. Hervé
Schiavetti, maire d'Arles
-9h45 Présentation de la journée par Annie Maïllis et
Francis Wolff. Président de séance Christophe Chay,
journaliste
-10h00 : Roland Chemama, psychanalyste : " Que refuse de
voir l'animaliste ? "
-11h00 : Jean-Pierre Digard, directeur de recherche
émérite au CNRS : " Zoomanie et animalisme. Ethnographie
d'un anti-humanisme "
-11h45 : François Mesleard, chercheur écologue au Centre
de recherche de la Tour du Valat (Arles) et Alain
Dervieux, ingénieur écologue au CNRS " Enjeux écologiques
de l'élevage extensif de taureaux "
-14h30 : Présidente de séance : Evelyne Lanfranchi,
Présidente de l'union des Clubs taurins arlésiens. Annie
Maillis, professeur en Classes Préparatoires aux Grandes
Ecoles : " Ce taureau qui rassemble les hommes "
-15h.15: Francis Wolff, professeur de philosophie à
l'Ecole Normale Supérieure (Paris) " Séductions et dangers
de la nouvelle éthique compassionnelle animaliste. "
-16h15 : Table ronde animée par Catherine Le Guellaut
(libraire, écrivain)
Invités pressentis : Estelle Rouquette (Conservateur du
Musée de la Camargue, Parc Naturel de Camargue), Juan
Bautista (matador de toros), Jacky Siméon (razeteur), Marc
Moustacakis (Directeur pôle culturel, SAN Istres),
Francine Fournier (éleveuse de toros de combat).
-17h00 : Conclusions
-18h00 : Annonce des cartels de la feria de Pâques aux
Ateliers SNCF
(Communiqué)
http://www.jies-arles.com/article-d-accord-c-est-pas-pour-tout-de-suite--39555464.html
Il parle, ce Chemama-la de faire un blabla sur ce que les animalistes ne veulent pas voir. Rien que ça, ça me fout en rogne. Parce que nous, nous voyons le réel que les pro corridas ne voient pas. En particulier, le leur!