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Psychanalyse et animaux.

Difference homme et animaux. Et si vous aviez tout faux?

21 Novembre 2009, 19:32pm

Publié par Jo Benchetrit

J'ai eu envie de faire connaitre ceci est sur le site de 30 millions d'amis, une histoire qui ressemble à une fable de La  Fontaine et dont la morale est soit celle-ci: si tu es enfermé avec celui que tu croyais ton ennemi par celui qui se presentait comme ton ami, sache que l'union avec ton compagnon d'infortune est la seule voie pour supporter la situation imposée par  le traitre.
Soit celle-là: l'homme est vraiment le plus  pourri des bêtes.

voici donc ce que vous verrez avec photos ici



L'âne et le loup, compagnons d'infortune


 
 
Forcés de partager la même "cellule" pendant plusieurs mois, l'un aurait dû manger l'autre. C'était en tout cas les plans de leur geôlier. Mais contre toute attente, les deux animaux prisonniers se sont alliés pour attendrir les autorités de leur pays. Ils sont aujourd'hui tous les deux libérés, sains et saufs. Une histoire qui a séduit la Fondation 30 Millions d'Amis.

Les desseins humains sont parfois bien cruels. Un fermier albanais du petit village de Patok à quelques dizaines de kilomètres de la capitale Tirana, désireux de se débarrasser de son vieil âne et ne sachant pas comment s'y prendre, fit appel aux services de quelques compères voisins leur demandant de capturer le loup qui décimait leurs troupeaux perchés dans la montagne alentours.

Ni une, ni deux, voilà la joyeuse troupe armée jusque aux dents en vadrouille. Sire loup les croise. Mal lui en prend. Car le voilà prisonnier des lacs de ses poursuivants. La bête gémit, hurle, mais ses ravisseurs restent sourds et le jettent sans sourciller dans le minuscule enclos du vieil âne.
Le plan humain prend forme : le loup apeuré et affamé devrait bientôt ne faire qu'une bouchée de l'âne famélique. Les curieux affluent tout le long de la clôture pour assister au carnage. Les heures passent... Les jours... Les mois... Rien !
Mieux : Sire loup s'endort régulièrement entre les sabots de celui qu'on lui désignait comme proie. L'âne, de son côté, profite de l'air dissuasif de son protégé pour éloigner les audacieux qui auraient l'heur de s'en prendre à lui. Voilà les deux compères unis par les liens de la geôle et partageant la même misère : quelques mètres carrés de terrain embourbé et un pauvre toit de tôle.

Parmi les badauds assistants à la scène quotidienne, certains s'émerveillent de l'entente inespérée entre ces deux animaux. Nombre d'entre eux souhaiterait voir une grâce accordée à l'âne et au loup. Une bonne âme trouve de bon ton d'alerter les autorités et de lancer une pétition en s'adossant à la très puissante TWA (Transborder Wildlife Association) basée à Korca, une ville du sud-est albanais proche de la frontière grecque. Et voilà une pétition lancée à travers le pays. Internet aidant, ladite pétition fait bientôt le tour du monde. Des lettres affluent dans les bureaux des ministres chargés de l'environnement.

Le loup et l'âne de Patok deviennent des célébrités internationales. Sous la pression conjointe des amoureux des animaux et des médias locaux et étrangers, les autorités finissent par décider du sort des deux bêtes. L'âne se retrouve ainsi replacé dans un vert pâturage loin de son ancien tortionnaire, quant au loup il retrouve ses forêts originelles. Le fermier est pour sa part condamné à 10 000  euros d'amende pour violation de la loi interdisant la détention d'une espèce protégée chez soi et pour maltraitance envers des animaux.

Une issue heureuse que la Fondation 30 Millions d'Amis tenait à saluer dignement.

Article publié le : 18-08-09

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La philo en petite classe: un bon truc? ou une fausse bonne idée?

21 Novembre 2009, 13:48pm

Publié par Jo Benchetrit

Si la philo ça sert à déculpabiliser les tueurs en mettant sur un même plan les ceusses qui cherchent à survivre en mangeant et les gens qui tuent pour ne pas "être envahis", concept très humain et très relatif à  la névrose de chacun , alors, là, je ne suis plus pour la philo en classe.
Et je suis psy pour enfants.
C'est pourquoi, je suis choquée de la façon dont est traitée cette phrase d'un élève:

 « Si nous, on ne tue pas les animaux, on va se faire envahir. »

Par un : "hé oui" qui en dit long sur le manque de réflexion de l'icelui. 
Une question: qui a écrit ce texte? un chasseur? ou bien le prof est-il chasseur?
La morale absolue,   ça existe et ça n'est donc  pas un concept relatif. Le moralisme, règles relatives aux us et coutumes hic et nunc, c'est autre chose, même si l'idéal est que l'absolue y soit respectée.
Mettre sur le même  plan l'animal humain, espèce envahissante entre toutes, qui a étendu son territoire à toute la planète et les autres animaux qui ne peuvent à peine que survivre dans le meilleur des cas, si on le leur autorise! est une sottise dangereuse si on s'en sert pour légitimer son ostracisme.
Ainsi, je suis plus que perplexe devant ce texte là:
http://www.sudouest.com/gironde/actualite/bassin-darcachon/article/774977/mil/5377644.html#comment_lire



Jeudi 19 Novembre 2009

LÈGE CAP-FERRET.

La philo en primaire
Sébastien Menvielle dans sa classe, à l'école de Lège. (photo d. p.)
Sébastien Menvielle dans sa classe, à l'école de Lège. (photo d. p.)

Nous voici ce mardi, au milieu des élèves de CM1 de l'école publique de Lège. Et cet après-midi, ils font de la philo. Oui oui, Alexia, Marine, Léo, Jules, Nathan, Pauline, Antoine et les autres philosophent avec leur instituteur, Sébastien Menvielle.

Au début, ce dernier a raconté une histoire : un loup se balade dans la forêt, rencontre un agneau et le mange. Alors, c'est bien ou c'est mal ? Ben, ça dépend...

Le mal a plusieurs visage

Nathan se lance : « Non, c'est pas mal, il avait faim. » D'accord, mais pour l'agneau, c'est bien ? « Ha ben non, l'agneau... » Alexia reprend le fil de la réflexion : « C'est mal pour l'agneau mais bien pour le loup. » Ainsi, le mal aurait plusieurs visages et se transformerait selon l'angle de vue. Et donc, à partir d'un loup et d'un agneau, une histoire toute simple, on peut faire de la vraie philosophie.

Poursuivons. Léo a une idée : « Si nous, on ne tue pas les animaux, on va se faire envahir. » Ce qui n'est pas faux. Pauline : « Le lion ne nous attaque que si on va sur son territoire. Mais nous, s'il vient dans notre maison, on le tue aussi. » Hé oui.

« Alors, reprend l'instituteur, à partir de quel moment est-ce bien ou mal de faire quelque chose ? » Et là, les phrases se liant les unes aux autres, voilà les élèves parlant « d'un mal pour mon bien ».

Par exemple lorsqu'on va chez le dentiste, quand on obéit à ses parents, quand on fait du sport, quand on fait ses devoirs. « Et pourriez-vous décider tout seul ? » « Ha non ! répond Marine. Le dentiste, si on m'oblige pas, j'y vais pas. Je reste dans la voiture et j'attends. » « Ouais mais tu vas avoir des caries ! », rigole Pauline. « Et des dents jaunes ! », embraye Jules.

Diogène leur parle à tous

Voilà comment philosophent les élèves de CM1 de l'école de Lège. Des fois, il y a même quelques références, comme le grec Diogène, philosophe cynique du Ve siècle avant Jésus-Christ, celui-là même qui vécut dans un tonneau, bref, un personnage susceptible d'accrocher l'imaginaire.

« En fait, j'ai pris plusieurs éléments du programme en CM1 pour proposer un cours de philo, explique Sébastien Menvielle, l'argumentation, la prise de parole en public, l'éducation à la citoyenneté. J'utilise aussi une collection de petits livres intitulée Les Goûters Philo. En classe, on part d'un petit exemple concret et on discute. »

Le point de départ peut être l'actualité, comme l'invasion de l'Irak par exemple où là encore la relativité du mal explose en pleine figure : « À la fin, on comprend vite que le bien de l'un n'est pas forcément celui de l'autre. » Plusieurs notions sont ainsi passées au grill comme le bien, le mal, le désir, etc.

Bon, alors à quoi sert la philo ? « C'est pour notre vie », répond Pauline. Et elle a raison...

Auteur : David Patsouris 

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SOS euthanasie 4 chats de Bordeaux faute de maître fiable.

21 Novembre 2009, 13:29pm

Publié par Jo Benchetrit

Je transmets ce SOS, que voulez vous, j'en reçois tant! je sais c'est pas ma vocation! et pourquoi pas?

4 chats de 2 à 10 ans recherchent en urgence un foyer car leur maitresse déménage et ne peut tous les garder. Ceci est un S.O.S.

Chat placé Tatoué, Castré et Vacciné

 
Ils se trouvent sur Bordeaux en Gironde
 
Nous avons besoin de vous pour exister et permettre à notre association de vivre.
Par vos dons, adhésions, parrainages, en devenant bénévoles ou familles d'accueil, ...
 
Merci de nous soutenir et de nous aider dans notre combat
 
Cordialement
 
Laurent Blanchard & Didier Talou
Association "Vénus"
06.08.92.31.75.
06.79.17.07.09.
site internet : http://www.associationvenus.com
 




 

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Petition contre le massacre des chiens de chasse en Espagne.

19 Novembre 2009, 17:18pm

Publié par Jo Benchetrit

Je transmets et compte sur vous.


Contre la mise a mort des chiens en espagne

URL Courte : http://4500.lapetition.be/

LA GRANDEUR D'UNE NATION SE MESURE A LA FACON DONT ELLE TRAITE SES ANIMAUX - GHANDI

L’ESPAGNE ce qui s'y passe nest pas digne d un pays de l'UE et ceux qui ferment les yeux la dessus non plus

CECI DOIT CESSEER


HONTE A L ESPAGNE............ET DIRE QUE C EST UN DES PAYS D EUROPE OU ON SE SENT BIEN....QUAND ON VOIT CA, L IMAGE EST TOUTE AUTRE ET FAIT FROID DANS LE DOS, DONNE MAL AUX TRIPES. REGARDEZ LEURS MAINS PLEINES DE SANGL’ESPAGNE :

l' enfer des galgos, ...pensez y lorsque vous irez en vacances dans ces pays tortionnaires
je diffuserais cet article tant que j'y verrais venir des nouvelles personnes qui decouvrent leur enferL’ESPAGNE 

Le malheur des Galgos c'est qu'ils ne valent rien mais rapportent beaucoup: le secteur de la chasse en Espagne génère 4.808 millions d'euros, emploie 225.000 personnes et génère 1,5 millions de salaires et ce juste pour la saison de chasse, une situation qui justifie que chaque année quelques 50.000 Galgos meurent de manière atroce!"


GALGOS : AGISSONS 

[http://agir-pour-les-galgos.over-blog.com/article-17626770.html]
: COMMENT PARTICIPER Connaissez-vous le sort réservé par les chasseurs espagnols à ces MILLIERS de Galgos et Podencos chaque année en Espagne? Torturés et tués dans des conditions effroyables dans un pays d'Europe où les lévriers n'ont même pas le statut d'animal de compagnie ce qui est désastreux pour eux ( ils sont considérés comme chiens de travail et donc éliminés pour la plupart en fin de chasse dans des conditions atroces) Un massacre, chaque année renouvelé et entretenu grâce à des élevages (crias) qui réalimentent un marché réservé à ces "malades mentaux" que sont pour beaucoup d'entre eux les chasseurs espagnols. Selon une coutume archaique, ces derniers se prétendent liés à leur chien par un code d'honneur qui les autorise, si leur chien les déçoit dans ses fonctions de chien de chasse, à laver leur honneur en les torturant ! >>> pendus à un arbre quand ce n'est pas sur la façade de leur maison, brûlés vifs à l'acide, jetés au font d'un puit sec, écorchés vifs trainés derrière une voiture, les pattes ou la truffe coupées au sécateur etc .... quand on sait que ces chiens attachés court en plein soleil ou dans le noir d'une cave ne sont nourris (pain et eau) et abreuvés que tous les 3 jours on comprend qu'ils puissent ne plus être performants pour la chasse en très peu de temps. On ne parle pas de cas isolés mais de MILLIERS de chiens ainsi sacrifiés chaque année. Quelques vidéos à voir (certaines images sont dures mais il faut avoir le courage de les voir) 

Arlo Galgo adopté - Holocaust 

Que deviennent les autres, ceux qui en fin de période de chasse sont abandonnés? Ils seront "acheminés" vers des perreras. Les perreras sont des refuges municipaux que l'on pourrait qualifier de couloirs de la mort puisque la seule issue des Galgos et de leurs compagnons d'infortune est l'euthanasie, à peu près sous 2 à 3 semaines, et ce sans aucune démarche d'encouragement à l'adoption. Il va sans dire que vu ce qui les attend on ne va pas se donner la peine de soulager leurs derniers instants de vie: ils seront maltraités, mal nourris, vivant dans leurs excréments, quelquefois même dans certaines perreras pourra-t-on voir des pitbull mélangés aux Galgos ou autre petit chien, un moyen peut-être d'économiser quelques euthanasies. Une perrera, celle de San Lorenzo de El Escorial Des milliers de chiens, chaque année, dont les Galgos constituent le plus grand nombre, qui meurent gazés ou euthanasiés

Signer la pétition / De petitie ondertekenen. Signer la pétition / De petitie onderteken

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deux recettes de foie gras végétalien.

19 Novembre 2009, 17:12pm

Publié par Jo Benchetrit

Coucou tout le monde, en prévision des fêtes, et pour ceux que ça intéresse, voici deux recettes de foie gras végétarien. J'ai oublié de vous dire, que gourmande comme je suis, j'ai déjà essayé la deuxième qui est très bonne. Pour les truffes, j'ai acheté des truffes chinoises dans le quartier chinois de Lyon, elles sont assez parfumées et pas chères, pas comme les "vraies" truffes ......

Impérial de Foie gras végétarien

12 parts, (38 calories)

500g de tofu tendre

2 échalotes hachées

20g de margarine végétale

1 bteille de vin liquoreux

2 sachets d’agar agar (_g)

1 c à soupe de miso

30g de levure maltée en paillettes

sel poivre

curcuma (pour la couleur)

pain



Faire fondre la margarine dans une poêle et y faire cuire à feu doux les échalotes pendant 20mnutes

Chauffer 1/2l de vin, y dissoudre l’agar agar et le curcuma puis porter à ébullition en fouettant

Mixer finement le Tofu, le miso et les échalotes, ajouter la levure et l’assaisonnement puis mélanger la préparation au vin

Tasser dans un moule à cake huilé et placer au réfrigérateur pendant 3 ou 4 heures

Coupez en tranches et servir frais, sur du pain, avec le reste de la bouteille de vin.



Autre recette, meilleure, mais plus calorique

Prendre la même chose que ci-dessus, mais :

-Doublez l’agar agar = 16g, rajoutez un petit verre d’eau + un grand verre de vin

- 4 échalotes en tout

- Ajouter dans le mélange à cuire 4 cuillères à soupe de pseudo « bouillon de poule » en poudre acheté dans un magasin de produits cacher. (chez cash cacher pr ex)

- Ajouter 4 c de levure

- Mettre ½ ou une grosse boite de châtaignes cuites (on en trouve de supers à la vapeur chez intermarché).

- Mixez le tout,

- Puis

- - des truffes (vraies pour ceux qui veulent claquer leur fric …) ou pour les autres, des truffes chinoises ou des olives noires sans noyau en petit bouts ou mixées.



Beurrez largement le moule avec des tranches de margarine, illusion parfaite rappelant le foie gras !

Puis rajouter dans le mélange chaud 100g de margarine (végétarienne pour les végétaliens voir étiquette)

Bon appétit.

Bises

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'Pour que l' esclavage des animaux dans les cirques cesse enfin

19 Novembre 2009, 17:08pm

Publié par Jo Benchetrit

Regarder le billet 'Pour que l' esclavage des animaux dans les cirques cesse enfin :'

Billet de blogue ajouté par LA TIGRESSE :

L 'ASSOC A BESOIN DE VOS signatures pour l' abolition des animaux dans les cirques NOUS avons deja obtenu 800 signatures mais ca ne suff...

Lien de billet de blogue :
Pour que l' esclavage des animaux dans les cirques cesse enfin :

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York volé à Paris. NE JAMAIS ATTACHER SON CHIEN DEVANT UN MAGASIN !!!

19 Novembre 2009, 17:03pm

Publié par Jo Benchetrit


Subject: york volé à Paris
NE JAMAIS ATTACHER SON CHIEN DEVANT UN MAGASIN !!!
 
 
Une dame nous a signalé le vol de son chien samedi 14 novembre, devantle magasin Casino, Bld Vincent Auriol, 13ème Paris par 2 hommes (accentdes pays de l'Est).

Voici son signalement :
NOM : Twist
AGE : 8 ans
TATOUAGE (à l'intérieur de la cuisse) : ZHD 276
Il portait un harnais marron, une médaille avec un numéro de téléphone et une laisse avec enrouleur.


Merci à tous les parisiens d'être vigilants et si vous voyez un york avec des mendiants, essayez de voir son tatouage.

Si vous le voyez appelez le 06 30 31 04 95

Merci de diffuser ! 
 

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En Lituanie, des moins que rien jettent un chien du haut d'un pont et se filment

19 Novembre 2009, 11:03am

Publié par Jo Benchetrit


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Ces immondes, à visage découvert, ont balancé d'un pont ce si gentil petit chien qui s'est gravement blessé. N'allez pas voir si  vous craignez pour votre coeur.
Un grand élan sur le net , on a retrouvé ces abrutis. Du moins l'un d'eux, celui qui l'a jeté fierement.
On espère qu'il sera puni, et bien, car c'est trop facile pour un psychopathe de se faire une notoriété sur le net. 
Je transmets:
Cette pauvre merde s'amuse à jeter un chien du haut d'un pont. Vous n'êtes pas obligées d'aller voir la vidéo, elle est hard

http://www.facebook.com/l/a27d3;www.liveleak.com/item?a=view&token=f04_1258418085

Par contre, faites comme moi, allez lui pourrir la gueule: 

http://www.facebook.com/Valdelis 

 

Lettre à envoyer en bas.
Merci de transmettre à vos proches.
A tous ceux qui ont regardé cette vidéo, je tiens à signaler que des dizaines de milliers d'internautes l'ont regardée et ont éprouvé exactement le même sentiment qu'eux : l'envie de balancer du même pont les trous du cul qui ont jeté ce chien.
 
Nouvelles en lituanien :
en anglais :
en français :
en polyglotte :
 
Le chien, polyfracturé, a été pris en charge :
Sa survie dépendra de l'existence de lésions internes.
 
L'auteur aurait été identifié et arrêté grâce aux internautes, notamment lituaniens : il s'agirait de Svajunas Beniuk, 22 ans. Ce n'est pas un Lettonien (Latvian), comme indiqué sur cette vidéo, mais un Lituanien (la Lettonie et la Lithanie étant comme on sait des républiques baltes membres de l'Union Européenne depuis 2004).
 
Je suggère de demander des précisions à l'ambassade de Lituanie chancellerie@ amb-lituanie. fr :
 
[titre : Emoi considérable sur internet : un chien jeté d'un pont en Lituanie]============ ========= ========= ========= ========= ========= ====
Monsieur l'Ambassadeur,
                                                                                  








 

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Corrida sur un blog à l'eau de rose et flots de sang. Un torero repenti pour lui répondre.

17 Novembre 2009, 21:49pm

Publié par Jo Benchetrit

Je copie colle le tout pour y aller  si vous n'y croyez pas.
ça vaut le coup! 
ce qui suit sont mes commentaires.
le titre de son article: le courage.


Par rose
- Publié dans : Les PPS 
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Repentance et corrida : l'horreur d'une barbarie festive

18943 lectures / 64 commentaires11/01/2008, 10:53

Repentance et corrida : l'horreur d'une barbarie festive
Corrida à Arles (France) en septembre 2004
crédit : Jérôme Lescure, 
CRAC
Après avoir voué toute sa vie à la corrida et avoir tué plus de 500 taureaux au cours de sa carrière, Chiquilín, alias Rafael Jiménez González, torero de Cordoue, est en plein repentir et parle de l'amour dont peuvent témoigner nos amis « les bêtes ».

« Désormais, je ne puis supporter d’assister à une mise à mort, les animaux ressentent la douleur et souffrent comme nous, les taureaux nous regardent comme avec un air de gentillesse. Maintenant j’ai pitié d’eux et je ne serai plus capable de tuer un taureau. Il m’en a coûté de porter mes dernières estocades quand j’ai compris la bonté de l’animal. Une fois, un taureau qui me tenait au sol, me regarda puis m’épargna. J’ai vu des taureaux pleurer. C’est une chienne que j’ai depuis huit ans et qui m’a incité à un nouveau regard vis-à-vis des animaux. Avant, j’allais à la chasse très souvent, mais maintenant je suis incapable de tuer une mouche. L’autre jour, un grillon m’a empêché de dormir une partie de la nuit, jusqu’à ce que je me lève et le découvre dans un pot de fleur. Je l’ai observé et je l’ai sorti. Il s’est passé quelque chose de très curieux dans mon rapport avec tous les animaux. » (D’après un article dans le journal espagnol ABC du 28 octobre 2007)
La tauromachie : une barbarie festive
« Il m’a toujours semblé que lorsque le taureau était tué, une part même d’humanité périssait avec l’animal. » Angelo Rinaldi

La puissance du taureau a toujours fasciné l'homme et bien des cultures ont sublimé le sacrifice du noble animal, mi-bœuf, mi-fauve, selon des rites collectifs ou initiatiques. Transfuge contemporain des jeux du cirque, la corrida moderne doit ses fondements aux divertissements taurins médiévaux, organisés pour divertir la noblesse espagnole. Bien qu’en appelant à des critères strictement païens, cette boucherie sanguinaire fait bon ménage avec le christianisme affiché par l’Espagne la plus conservatrice. 

De nos jours, on compte un torero tué pour 33 000 taureaux. Le risque de périr dans l’arène est donc quasiment nul pour le bourreau. À titre d’exemple comparatif, l’éventualité pour un patient de succomber à une anesthésie générale est de 1 pour 8000… Le taureau, quant à lui, n’a aucune chance, c’est clair. En Espagne, un cachet de 200 000 euros n’est pas exceptionnel pour un torero de renom. Depuis le XVIIIe siècle, et pour des millions taureaux mis à mort, les chiffres de la nécrologie tauromachique ne révèlent que 55 matadors, 111 novilleros, 59 picadors et 120 bandilleros tués dans l’arène. Quant au cheval, compagnon d’infortune du taureau, le caparaçon ne protégeant pas l’abdomen, il fini souvent éventré. Les yeux bandés, entre un mors sévère et des éperons acérés, la plus belle « conquête » de l’homme (l’expression révèle l’état d’esprit !) supporte un purgatoire. Ces chiffres tant disparates sont expliqués tant par le formatage des animaux, que par le panel de manigances qui président au combat. Vierge de toute intervention dans son patrimoine génétique, le taureau sauvage pèse plus de 600 kg et sa puissance le rend inabordable. Dès la fin du XIXe siècle, des élevages spécialisés parviennent à produire une race plus inoffensive et ne pesant que 400 kg. L’apprentissage au combat consiste à faire endurer au jeune animal une série de tests sélectifs et souvent cruels. Les taureaux « recalés » deviendront souffre-douleur pour l’entraînement des candidats matadors, ou prendront le chemin des fêtes populaires barbares. Les plus dignes subiront la préparation cosmétique susceptible d’épargner les hommes qui feront semblant de les affronter. Tout d’abord, le rite de l’afeitado qui veut que l’on scie 5 à 10 cm de corne. La mutilation qui dure une demi-heure consiste à repousser la matière innervée (telle celle d’une dent) vers sa racine et à reconstituer la pointe en résine synthétique qui sera poncée, puis vernie. Les sabots sont limés et incisés afin d’y encastrer entre les onglons des coins de bois. Le « grand jour » du combat arrivé, les yeux du taureau sont enduits de vaseline afin de lui faire perdre le sens de l’orientation, puis on lui administre tranquillisants, paralysants et hypnotisants. La brûlure causée par l’essence de térébenthine dont on enduit ses pattes fait qu’il n’aura de cesse de s’agiter. Des aiguilles dans les testicules l’empêcheront de se coucher, du coton au fond des narines lui rendra la respiration pénible, on lui inflige des coups de planche sur l’échine et les reins, plusieurs dizaines de fois on lui bombarde les reins de sacs de sable de 100 kg. Le reste n’est plus que l’épouvantable torture qui pendant vingt minutes va mettre en émoi les pires instincts d’un public aussi fat que de mauvaise éducation. 

La fanfare fait retentir son minable paso doble, la cuadrilla des « poupées aux costumes de papier » (Francis Cabrel) fait crânement son entrée dans les arènes, « Un peu de sable du soleil et des planches / Un peu de sang pour faire un peu de boue. » (Jacques Brel), le spectacle affligeant peut commencer ! Le protocole est quasiment toujours le même : les peones affolent, essoufflent et fatiguent l’animal. Les deux picadors le lardent de leurs longues piques plantées entre les quatrième et septième vertèbres dorsales, afin de toucher les muscles du cou, puis entre les quatrième et sixième vertèbres cervicales pour sectionner les ligaments de la nuque. Chaque pique pénètre à 15 cm jusqu’à huit fois de suite. C’est un travail d’artiste-boucher… L’animal gardant la tête baissée donne une impression de bravoure et les spectateurs l’imaginent prêt à charger, alors qu’il est déjà à moitié décapité. Arrivent ces harpons de 5 cm que sont les banderilles. L’objectif est de laisser le sang s’évacuer et d’empêcher une hémorragie interne mettant une fin précoce au « beau » spectacle. Quand les trois paires de banderilles sont plantées et que le bain de sang est à son comble, arrive le tercio, le dernier acte, celui de la mort du loyal animal. Une faena de muleta habile et raffinée annonce la mort prochaine. Avec des poses efféminées que l’Église réprouve (!), le matador porte l’estocade. Le premier coup est la plupart du temps raté et l’épée mal plantée dans le garrot ne fait que transpercer un poumon ou ressort par les flancs. Les taureaux peuvent recevoir jusqu’à dix coups d’épées avant de « mordre la poussière ». Un peon lui assénera le coup de grâce, un poignard planté dans la nuque sectionnant la moelle épinière. Encore secoué de spasmes, le corps du taureau est tiré par un attelage, précédé d’un tour de piste en cas de corrida « réussie ». Sous une pluie de fleurs, la « danseuse » exhibe fièrement les oreilles et la queue coupées. En transes, le public d’aficionados est en complet délire. Le raffinement de l’ « humanerie » est à son apogée. Six taureaux se succèdent ainsi lors de chaque lidia (corrida). « Ah! / Est-ce qu'en tombant à terre / Les toros rêvent d'un enfer / Où brûleraient hommes et toreros défunts ? » (Jacques Brel).
Les corridas en Espagne, au Portugal et en France
Dans les années 1960, il y avait en Espagne 400 corridas par an. Leur nombre actuel évolue autour de 1 600 ! Ceux qui pensaient qu’il s’agissait d’un spectacle franquiste, à savoir instrumentalisé par le dictateur pour amuser les foules frustrées, ont eu tout faux. La barbarie la plus primitive triomphe encore dans la jeune démocratie et les citoyens libres d’aujourd’hui n’ont rien gagné en dignité et en conscience par rapport aux sujets opprimés d’hier. Mais il est rapporté qu’aujourd’hui seul un quart de la population espagnole resterait fidèle à l’innommable fête. La majorité des Ministres du gouvernement Zapatero serait disposée à édulcorer la « fête nationale » en interdisant la mise à mort par estocade en public. L’Espagne suivrait alors l’exemple du Portugal où, au terme de la corrida, le taureau est tué hors plaza. On baisse d’un cran dans l’horreur. Le combat du gouvernement socialiste en faveur du statut des animaux, depuis si longtemps persécutés dans ce pays, s’est déjà illustré par l’adhésion, non transformée, au projet Grands singes, par la prohibition des combats de coqs et de chiens, par le durcissement des peines de prison à l’encontre des bourreaux d’animaux. La tradition taurine n’est pas partout dans la Péninsule aussi bien ancrée : Barcelone s’est autoproclamée ville antitaurine depuis 2004. Mais les Catalans sont-ils Espagnols ? Moins que les Nîmois, semble t’il !

La France ne compte guère plus de 5 000 énergumènes amateurs de corrida, essentiellement dans les villes dites taurines du Sud-Ouest, là où, selon Claude Nougaro, l’Espagne « pousse un peu sa corne ». Bien qu’interdite par la Loi Grammont depuis 1850, pour combler le déficit de ses activités coupables, la filière « tauro-machiste » profiterait indûment des subventions agricoles européennes à destination des bovins mâles et des vaches allaitantes. Les élevages français de taureaux destinés aux corridas présentant l’avantage de ne pas être identifiés comme tels, l’estimation des subventions ainsi « détournées » n’est pas facile à calculer. Selon l’Anti Bullfighting Committee Belgium, elle atteindrait 2 millions d’euros.
L'abandon et les tortures chez les chiens de chasse
L'indignation légitime contre la corrida espagnole ne doit pas servir à cacher d'autres pratiques et traditions qui ne sont pas davantage à l'honneur d'un État de notre communauté. Un secteur traditionnel de chasseurs espagnols, les galgueros, pratique la chasse avec lévriers. D'autres lévriers courent dans des épreuves non officielles avec des paris engagés. Après ses jeunes années (deux-trois ans), le galgo cesse d'être « utile » et en aucun cas les propriétaires n'envisagent d'assurer à leur compagnon une retraite heureuse. Qui plus est lorsque le brave chien a « déshonoré son maître » par son inaptitude à courser le lièvre ou par un mauvais score lors des compétitions. Nous sommes au pays de l'honneur ! Absolument dépréciés en Espagne, nullement considérés comme chiens de compagnie, les lévriers sont relégués au rang de matériel jetable, ils sont bons à éliminer quand jugés... en fin de course. Même les refuges ne peuvent les proposer à l'adoption et s'ils les recueillent, c'est en qualité d'anti-chambre de la mort. Alors, les « utilisateurs » de galgos les fusillent, les brûlent, les mutilent avant de s'en débarrasser sur une décharge, les pendent, les balancent dans des puits ou les abandonnent massivement (10 000 abandons annuels). Il est difficile de comprendre que l'on puisse abandonner son chien, mais qu'on lui impose des tortures raffinées et des sévices sadiques auparavant relève alors d'une psychopathie collective, pour ne pas dire toute nationale. Et pourtant, d'innombrables lévriers sont retrouvés éborgnés, pendus les pattes frôlant à peine le sol afin que la mort tarde, ou agonisant sur des bords d'autoroutes avec une patte volontairement brisée. Telle est, en Espagne, la mort cauchemardesque des lévriers, ces non-chiens dont la courte vie peuplée de brutalités « inhumaines » aura été un pénible purgatoire. Ici, d’étranges hommes ont promulgué l’apartheid dans le monde canin.
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Auteur
Michel Tarr
Commentaire n°1 posté par les vrais amis des animaux ne vont pas aux corridas! Aujourd'hui à 22h47

« Depuis que les grandes gueules ont pris Carcassonne, les taurins ont fait main basse sur la ville et la corrida devrait être reine ici ! ? » Écœurés, les anti-corridas, comme d'habitude, à l'heure de montrer leur total désaccord face à la feria. Hier après-midi, à l'extérieur des arènes, juste avant la seconde corrida du week-end, Marie-José Garcia, au nom du CCAC (comité carcassonnais anti-corrida), copieusement épaulée par ses amis des associations de même famille, dont le FLAC (fédération de liaisons anti-corridas), est intervenue pour rappeler la raison d'être spécifique d'une telle opposition à Carcassonne : « Tout le monde sait qu'il n'y a aucune tradition taurine ici, la preuve avec l'interruption des corridas durant 48 ans ! Et je rappelle aux tristes amateurs de ces spectacles horribles que l'Espagne elle-même a réduit d'un tiers le nombre de ses corridas en 2008. » Et la présidente du CCAC de souligner que « tant que la corrida ne sera pas abolie par le Parlement européen, interdiction relayée par les autorités françaises, elle continuera de dérouler son tapis de sang ».

Hier, derrière les barrières de sécurité bien gardées par des troupes policières joliment fournies (on ne sait jamais…), les anti-corridas sont restés calmes mais déterminés. Voilà quelques jours pourtant, le club taurin avait gentiment suggéré l'ordre suivant à la municipalité et à la police : « Mettez-nous ça là-bas » en pointant du doigt les « anti ».

« Stop corrida », « corrida, la honte », « ne jouissez pas de la souffrance et de la mort », etc. : les slogans de sortie sont connus depuis le temps où les « anti » s'échinent à faire rétablir le bon sens. Mais ce n'est visiblement pas pour demain la veille.

Signez la pétition contre le martyr des taureaux 

Il y a les corridas, mais il y a aussi des coutumes dans certaines régions d'Espagne tout aussi cruelles.

Ainsi à Medinaceli les villageois s'amusent à brûler vifs les taureaux après avoir enduit de colle le dessous de leurs pattes pour ne pas qu'ils puissent s'enfuir. 
 

Une pétition est mise en ligne contre cette horreur:

http://getactive.peta.org/campaign/toro_de_fuego

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Coup de gueule contre coup de feu: à Courry, une femme innocente blessée par un chasseur:elle a voulu se reposer dans la nature!!!quelle folie!

16 Novembre 2009, 19:33pm

Publié par Jo Benchetrit

QUI, de la palombe et du chasseur FIER DEVANT UN CADAVRE D'OURS,  a l'air con?

 

On nous gonfle avec le principe de précaution à tout bout de champ et on laisse ces hordes sauvages s'approprier  l'espace public, massacrer les animaux libres donc à tout le monde, ou à eux-mêmes, z’ont le droit de posseder leur vie comme vous et moi et helas ces irresponsables dangereux,c es nuisibles!

En plus ces débiles profonds, car il faut l’être  pour aimer tuer,  sont armés! Nous , on sort  avec une bombe lacrymo, on se retrouve au poste. Eux ils nous assassinent tranquillement, armés jusqu’aux dents, sans passer d’alcotest alors que faut pas allumer son briquet sur leur passage, ça explose !

Quel monde pourri! Les  chasseurs dehors, foutez le camp! où ça? Ben oui, bonne idée ! Dans un parc et entretuez -vous. On peut aussi inviter des vivisecteurs, des abatteurs, des aficionados, des dresseurs d’animaux, des directeurs de zoos, des bouffeurs de foie gars, de viande, d’œufs et de laitage, des tueurs de pigeons de ville etc …Soyons pas radins, on peut  fournir votre gibier et avec plaisir. Ainsi  tout le petit monde des barbares légaux foutraient enfin la paix aux êtres les plus innocents qui soient : leurs victimes.

 

Mais là, je voulais vous parler de cette pauvre femme:


"L’habitante de Courry qui a été blessée mercredi par un chasseur est toujours hospitalisée à Nîmes. Contrairement à ce que nous avions dans un premier temps indiqué, cette dernière ne faisait pas partie d’une chasse, mais prenait simplement le soleil, à quelques centaines de mètres des premières maisons du village.

Selon les premières constatations, un chasseur aurait cru identifier un faisan et lui aurait en fait tiré dessus, la blessant sérieusement à la tête et au visage. Une information a été ouverte et le chasseur a été mis en examen. C’est la gendarmerie de Saint-Ambroix qui mène cette enquête."


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