Pamela Anderson appuie le projet de loi contre la fourrure en Israël
Pamela Anderson, la célèbre naïade d’Alerte à Malibu vient d’écrire une lettre au Ministre Israélien des Services Religieux, Yakov Margi. Dans son courrier, elle exprime son soutien au projet de loi d’interdiction du commerce de la fourrure qui est susceptible d’être voté bientôt en Israël. Le vote de ce projet de loi qui devait avoir lieu en septembre dernier a été une nouvelle fois repoussé suite à la pression du lobby de l’industrie de la fourrure.
Pamela Anderson se joint ainsi à Paul McCartney, Chrissie Hynde, Alicia Silverstone, Leona Lewis, Brigitte Bardot qui ont déjà exprimé leur soutien à ce projet de loi qui serait, s’il passait, tout simplement une immense victoire pour les animaux et les militants anti-fourrure du monde entier !
Vous aussi, comme des milliers de personnes dans le monde entier faites connaitre votre soutien à ce projet de loi en écrivant au Ministre Israelien Yakov Margi.
L’horreur dans les élevages en Suède !
Une enquête réalisée secrètement dans les élevages suédois de visons révèle les terribles cruautés subies par les animaux.
Cette enquête montre une nouvelle fois les souffrances engendrées par l’industrie de la fourrure. Plus d’information
Mobilisation internationale pour un projet de loi en Israël
Le projet de loi en Israël pour bannir le commerce de la fourrure a déjà reçu un large soutien en Israël, mais aussi à travers le monde. Des célébrités internationales comme Paul McCartney, Brigitte Bardot, Chrissie Hynde... et des personnalités israéliennes ont apporté leur appui à ce projet de loi historique. Des hommes politiques à travers le monde encouragent une telle loi en Israël. Des dizaines d’associations sont mobilisées pour qu’enfin une loi interdise le commerce cruel de la fourrure. Vous pouvez aussi soutenir ce projet de loi via le site d’International Anti-Fur Coalition : http://www.antifurcoalition.org/support-bill-int.html
Fin du massacre massif des blaireaux en Côte d’Or
Le 30 juin 2010, à l’initiative du Rassemblement Anti Chasse et de l’ASPAS , 70 associations, dont Fourrure Torture, ont cosigné une lettre ouverte au préfet de la Côte d’Or contre une véritable opération de destruction massive de blaireaux.
En effet, en mars dernier, le préfet de la Côte d’Or a pris des arrêtés ordonnant la capture et la « régulation » de blaireaux sous le prétexte de dépister et lutter contre la tuberculose bovine, pouvant être véhiculée par le mustélidé.
Suite à cette mobilisation, le Préfet de la Côte d’Or a mis fin à la campagne de destruction des blaireaux. Les blaireaux restent cependant destructibles (piègeage, tir) dans un rayon de 1km autour des élevages infectés au cours des 3 dernières années.
La contamination des blaireaux loin des élevages infectés est inexistante. A proximité des élevages, elle est vraiment rarissime (sur les 507 blaireaux tués à proximité d’élevages infectés par la tuberculose bovine, seuls 14 blaireaux, soit 2,8%, étaient contaminés). Les blaireaux ne représentent donc absolument aucun danger pour les bovins, et vouloir les tuer pour lutter contre la bactérie serait inutile et aberrant.
Lettre ouverte au préfet de la Côte d’Or, cosignée par 70 associations
Récolte sanglante
Le vrai prix de la fourrure
Investigation en Finlande, premier pays producteur de fourrure de renards !
Fourrure Torture demande au Ministre de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche, l’arrêt des élevages d’animaux à fourrure
Faisant suite aux polémiques déclenchées à la mi-octobre à propos de la libération de visons à Saint-Cybranet en Dordogne, l’association Fourrure Torture a adressé ce lundi 9 novembre une lettre à Bruno Le Maire, ministre de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche, lui demandant de mettre un terme aux élevages d’animaux à fourrure. La France compte une vingtaine d’élevages de visons. Une simple volonté politique suffirait à mettre un terme aux élevages d’animaux à fourrure en France.
Dans le cadre d’une démarche constructive, Fourrure Torture souhaite la mise en place d’une reconversion pour les éleveurs d’animaux à fourrure afin que la France rejoigne des pays comme le Royaume-Uni ou l’Autriche, où les élevages d’animaux élevés pour leur fourrure ont disparu.
Fourrure Torture considère qu’il est totalement absurde de faire perdurer de tels élevages, au vu des conditions de vie et d’abattage des animaux, des risques encourus pour l’écosystème et de la non viabilité d’une activité sujette aux cours très fluctuants de la fourrure.
Les animaux à fourrure victimes de la mode !
Plus de 60 millions d’animaux sont tués chaque année pour leur fourrure
Bien que de nombreuses investigations menées à travers le monde révèlent les pires horreurs pour les animaux à fourrure, l’industrie de la fourrure attache une attention toute particulière à nier la réalité.
Dans les élevages, les animaux sont confinés dans des cages grillagées et minuscules. Ils y subissent des souffrances tant physiques que psychologiques avant de mourir gazés, électrocutés ou même dépecés vivants ! Quant aux animaux capturés dans la nature, ils agonisent des heures, voire des jours dans des pièges.
La cible préférée de l’industrie de la fourrure est aujourd’hui la clientèle jeune et peu informée de la souffrance des animaux due à cette industrie. La fourrure se retrouve ainsi principalement sur les cols et accessoires bons marchés. Même si de nombreuses marques de prêt-à-porter et de stylistes ont cessé d’utiliser la fourrure animale, certains continuent d’en banaliser le port sous la pression de l’industrie de la fourrure.
Chaque personne opposée à la souffrance animale se doit d’agir contre ce massacre !
Fourrure Torture lutte, de façon légale et pacifique, contre l’exploitation et la mort de tous les animaux à fourrure. Cette campagne s’articule autour de manifestations et de stands, afin de diffuser l’information auprès du public. Consultez l’historique et la charte de cette campagne pour plus d’information.