L'âne et le loup. La Fontaine est de retour. Inédit.

Ça pourrait s'appeler, dans le style fable de La Fontaine, "l'âne et le loup." A ceci près que c'est une histoire vraie.

Un loup, enfermé par la cruauté des hommes dans un petit réduit, s'ennuyait ferme depuis des années.
IL se serait laissé mourir, sans doute si son maître , au lieu de se fatiguer à lui tuer son vieil âne au dos cassé par le poids imposé par lui, ne trouva pas comme solution de le lui donner à dévorer tout vif.

L'âne sans autre forme de procès, dans la cage du loup affamé, de force, fut propulsé.

Imaginez la terreur!
Le loup, sembla d'abord effrayé. Depuis si longtemps que nul n'était passé si près de lui!
Il examina sa futur proie et ne vit qu'une paire d'yeux sur lui rivés, de belles oreilles, ma foi et surtout une douce chaleur"humaine" qui s'en dégageait. Le loup, que la captivité n'avait pas rendu idiot, fit un rapide calcul: si je le mange, j'étanche une faim qui, bientôt, va me reprendre.
Mais si je le garde, je satisfais pour longtemps mon désir d'avoir près de moi un peu de chaleur "humaine", celle qui manque tant aux hommes.
Et c'est ainsi que ces 2 là, qui deviennent  les meilleurs amis du monde, démontrent que l'âne et le loup ne sont pas "ceux" que l'on croient.

http://www.thepetitionsite.com/takeaction/171270834
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VOUS POUVEZ D’AILLEURS VOIR LES PHOTOS SUR LA PETITION

Pour que l'on libère le loup et l'âne (Albanie), signez cette pétition... Ils n'ont que vous comme espoir.

Ils sont prisonniers dans une minuscule cage. L'âne a été "offert" au loup pour s'alimenter. Mais il n'en a pas voulu et l'âne est devenu son compagnon d'infortune.Tous les deux sont désormais l'attraction du village et sont réduits à une vie misérable. Ils cohabitent dans des conditions primitives et sont totalement privés de leur liberté.

Ne les laissez pas mourir !

Merci de signer cette pétition et de la faire circuler à vos proches.
La pétition sera remise au Président d'Albanie.

http://www.thepetitionsite.com/takeaction/171270834

"Auschwitz commence partout où quelqu'un regarde un abattoir et pense : ce ne sont que des animaux." Theodor Adorno

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