Éléphants: la grande menace se redessine à cause de gens comme Juppé. "Ivoire rien".
Juppé, ce grand anti -ecolo, notre ministre de la non-ecologie désavoue Chirac.
Envoyez lui cette lettre. C'est un début.
Je transmets :
Envoyez lui cette lettre. C'est un début.
Je transmets :
Merci de noter mon total désaccord avec votre politique !! c'est une honte
pour la France !!!
mettez vos coordonnés ici
merci à vous tous
Marie Rose
MORATOIRE SUR LE COMMERCE INTERNATIONAL DE L'IVOIRE :
ALAIN JUPPE TRAHIT LA PAROLE DE JACQUES CHIRAC
Paris, le 1er Juin 2007 – Alors que commence dimanche à La Haye la 14ème
conférence de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces
de faune et de flore sauvages menacées d’extinction) , la Fondation Brigitte
Bardot vient d’apprendre que la France ne soutiendrait pas la proposition
d’un moratoire de 20 ans sur le commerce de l’ivoire. Or, le 7 mars dernier,
Jacques Chirac s’engageait par écrit auprès de la Fondation à ce que la
France plaide pour un renforcement de la lutte contre le braconnage
d’éléphants et le commerce illégal de produits dérivés.
Depuis juin 1997, les populations d'éléphants d'Afrique ne sont plus toutes
classées en Annexe 1 de la CITES. En d’autres termes, le commerce
international de l’ivoire n’est plus interdit, mais simplement réglementé.
Les dernières estimations font état de 300 000 éléphants en Afrique
aujourd’hui, contre 2,5 millions en 1970.
6 mars 2007 : le Président Chirac s’engage à protéger les éléphants
Dans un courrier envoyé à la Fondation, Jacques Chirac indique clairement la
position de la France en faveur d’un « renforcement de la lutte contre le
braconnage et le commerce illégal [de l’ivoire]» et d’une « suspension des
ventes légales qui permettra de réunir toutes les garanties voulues de
contrôle et de traçabilité, et de s’assurer que les ventes légales ne
favorisent pas les activités illégales ».
Il insiste également sur la promesse de la France de s’engager « à
l’occasion de la prochaine conférence des parties de la Convention sur le
commerce international des espèces en danger, en faveur d’une plus grande
protection de cette espèce inestimable ».
1er juin 2007 : Alain Juppé désavoue les promesses de l’ancien Président, et
donc la position de la France
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