Quand euthanasier son animal?
Je suis actuellement peu prolixe, comme vous le voyez, car je suis ""en souffrance". Mon chat est très malade. Un cancer des os. Une fracture due à ce cancer le fait souffrir; cependant au lieu de le faire endormir de suite comme le suggere le véto, je le garde depuis 4 jours que le couperet est tombé.
Je suis seule devant cette décision.
Le pb avec le bonheur, c'est qu'au moment de la facture, on paie aussi cher que l'intensité du bien-être éprouvé.
Et là, c'est un max.
Ce petit me ravissait lorsqu'il était en bonne santé. un seul de ses regards, chacune de ses poses me semblait inédite, et elles étaient toutes pour moi une surprise lumineuse et une insondable source d'émerveillement ...15 ans sur un petit nuage et pour finir, une chute ...mortelle.
Là, encore, il y a qq. instants, derrière le canapé où il est couché, sans dormir, hélas, je lui ai caressé la joue et il l'a posée sur ma main avec confiance, a fermé ses yeux comme si ce contact le soulageait, et c'était encore un beau cadeau qe nous nous faisions. Je vais donc y retourner. Je suis partie car mes larmes coulaient, ce qui n'est pas bon pour lui.
Comment parler de la grâce absolue?
Parfois, avec les êtres, même avec les animaux, on a ressenti un jour un doute sur son amour, une petite ambivalence.
Mais là, jamais. Tout ce qu'il faisait était béni, même s'il me mordait en jouant, ou me griffait un peu histoire de me dire stop, tu m'embêtes, comme lorsque je lui touche par inadvertance le ventre, chose qui lui est très désagréable .
Ses grains de folie aussi m'amusaient. Tout venant de lui était accueilli par moi comme pain béni.
Sa façon de ne pas attaquer Gigi, ma petite pigeonne morte il n'y a que 4 mois, aussi m'épatait. il la regardait parfois d'un oeil gros malin mais c'était lui qui se faisait courser par la donzelle qui lui arrachait qq poils au passage. Tout ça sans doute pour me plaire et aussi par amour pour elle. Cette maladie, je pense, n 'arrive pas maintenant par hasard si proche d'un choc, celui d'avoir vu le corps de ma pigeonne.
Son grand amour pour moi est évident. il me pardonne de ne rien savoir faire d'efficace pour le défendre de l'assaut du cancer des os qui le fait tant de mal. il sait. Il sait que c'est la fin, il sait que je suis brisée comme sa patte..et irréparable comme elle.
Jen'ai jamais été comme certains injuste ou brutale. Jene comprends pas certains comprotements avec ses animaux sous pretsxte d'éducation. un peu de fermeté parfois, mais rien de bien grave, suffit à ce que ça ne deconne pas trop. De là à battre comme le font certains sauvages, alors là, c'est inexcusable.
Le destin est à la mesure de ses capacités affectives...et il est rude, du coup, lorsqu'elles sont immenses.
Le docteur qui va lui faire faire son voyage solitaire doit venir bientôt, ce soir ou demain... je préfèrerais tant le garder ....mais ce serait égoïste, m'a dit le véto.
Et il a les yeux si tristes!!! Attendre sans le soulager n'est pas acceptable non plus.
Je suis seule devant cette décision.
Le pb avec le bonheur, c'est qu'au moment de la facture, on paie aussi cher que l'intensité du bien-être éprouvé.
Et là, c'est un max.
Ce petit me ravissait lorsqu'il était en bonne santé. un seul de ses regards, chacune de ses poses me semblait inédite, et elles étaient toutes pour moi une surprise lumineuse et une insondable source d'émerveillement ...15 ans sur un petit nuage et pour finir, une chute ...mortelle.
Là, encore, il y a qq. instants, derrière le canapé où il est couché, sans dormir, hélas, je lui ai caressé la joue et il l'a posée sur ma main avec confiance, a fermé ses yeux comme si ce contact le soulageait, et c'était encore un beau cadeau qe nous nous faisions. Je vais donc y retourner. Je suis partie car mes larmes coulaient, ce qui n'est pas bon pour lui.
Comment parler de la grâce absolue?
Parfois, avec les êtres, même avec les animaux, on a ressenti un jour un doute sur son amour, une petite ambivalence.
Mais là, jamais. Tout ce qu'il faisait était béni, même s'il me mordait en jouant, ou me griffait un peu histoire de me dire stop, tu m'embêtes, comme lorsque je lui touche par inadvertance le ventre, chose qui lui est très désagréable .
Ses grains de folie aussi m'amusaient. Tout venant de lui était accueilli par moi comme pain béni.
Sa façon de ne pas attaquer Gigi, ma petite pigeonne morte il n'y a que 4 mois, aussi m'épatait. il la regardait parfois d'un oeil gros malin mais c'était lui qui se faisait courser par la donzelle qui lui arrachait qq poils au passage. Tout ça sans doute pour me plaire et aussi par amour pour elle. Cette maladie, je pense, n 'arrive pas maintenant par hasard si proche d'un choc, celui d'avoir vu le corps de ma pigeonne.
Son grand amour pour moi est évident. il me pardonne de ne rien savoir faire d'efficace pour le défendre de l'assaut du cancer des os qui le fait tant de mal. il sait. Il sait que c'est la fin, il sait que je suis brisée comme sa patte..et irréparable comme elle.
Jen'ai jamais été comme certains injuste ou brutale. Jene comprends pas certains comprotements avec ses animaux sous pretsxte d'éducation. un peu de fermeté parfois, mais rien de bien grave, suffit à ce que ça ne deconne pas trop. De là à battre comme le font certains sauvages, alors là, c'est inexcusable.
Le destin est à la mesure de ses capacités affectives...et il est rude, du coup, lorsqu'elles sont immenses.
Le docteur qui va lui faire faire son voyage solitaire doit venir bientôt, ce soir ou demain... je préfèrerais tant le garder ....mais ce serait égoïste, m'a dit le véto.
Et il a les yeux si tristes!!! Attendre sans le soulager n'est pas acceptable non plus.
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