Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Psychanalyse et animaux.

Selon le traité sur la constitution européenne, toute personne a droit à la vie. Or l'animal est une personne.Les aficionados ont peur!

28 Septembre 2005, 22:00pm

Publié par Josette benchetrit

...Donc l'animal a droit à la vie.
Quoi de plus naturel en somme?

Mais, me direz-vous les animaux ne sont pas

des personnes. "Ils sont... personne."

De la merde ou de l'or selon, pour leur propriétaire...car s'ils ne sont personne ils ne sont pas à tout le monde, s'ils sont domestiques. les sauvages, eux le sont, et rien en France ne vient les défendre;, sinon qu'ils sont quand même eux aussi reconnus par le code pénal comme êtres sensibles. Toutes sces notions cohabitent tranquillement alors même qu'on ne veut tirer aucun conséquence du fait qu'en les reconnaissant comme sensibles, ils sont de facto des personnes!

Mais dans le méli mélo des esprits;, certains sont plus niés que d'autres...élevages et labos en particuliers... où ils sont

des choses...

Tandis que ceux qu'on chouchoute, c'est plutôt...

du tout affectif, tout-à-l'égoût de nos demandes d'amour inassouvies ailleurs...de nos désirs de frime ou tout autre raison mauvaise de cohabiter avec un animal. Les seules qui se tiennent: l'adoption et le fait de les recueillir. Ceux achetés, déjà, partent avec le handicape d'être considérés comme un bien, meuble immeuble ou pas, mais "bien" quand même.( Variante de la devise de l'homme: "Mes biens, c'est mon bien."

Ce qui fait dire à leurs "propriétaires" qu'ils ont le droit de faire ce qu'ils veulent avec leur bête.

Sale mentalité! Ils oublient que la loi est pour tout le monde. Mais ils le peuvent car la loi qui sanctionne la cruauté est peu appliquée. Car, cette loi arrachée de haute lutte, loi Gramont d'abord, est en fait une sorte d'OVNI dans la cour des autres lois qui, elles, ne voient pas les choses de cette manière, mais plutôt comme ce qui suit:

En résumé des objets partiels du phallus au sein en passant par le RIEN.

Et le bébé/ogre humain a le droit de réaliser TOUS ses désirs les + monstrueux sur eux. Donc, c'est la preuve que ce ne sont pas des personnes.
Voilà où la belle humanité en est rendue: à croire que son autisme lui dit la vérité sur le réel!!!!
Et bien, non, de même que les noirs, les femmes, les juifs et tous les hommes méprisés de la Terre ont pu se démontrer aux yeux des tyrans pour ce qu'ils sont, des personnes, ils faudra admettre que les animaux le sont au sens où ils sont une subjectivité pensante --et oui --et sensibles, c'est si évident que le démontrer est une perte de temps.

La cause animale sera celle du 21° siècle qui ne sortira de ses dérives barbaresques que par cette porte de la dignité humaine. Et de sa propre sécurité. A force de considérer tout le reste du monde comme il considère les bêtes;, l'homme a abouti à se figer dans la position régressive du narcissisme primaire d'où tout lui paraît sans subjectivité, et tout serait à ses yeux des objets à sa disposition...ainsi la terre aux richesses s'épuisera et lui, comme un imbécile, se retrouvera bien dépourvu quand la bise sera venue.

La vie humaine risque fort de ne pas s'en remettre car bien des indicateurs sont au rouge. Du point de vue des écosystèmes, déjà, et aussi de celui du terrorisme. Car si la nature est parfois dangereuse toute seule, le coup de pouce que lui donne l'homme va peut-être la rendre invivable.

Et si l'homme est assez fou pour tuer l'autre homme pour des questions de fanatisme religieux, en considérant l'incroyant comme un chien...si celui-ci n'est pas considéré pour ce qu'il est, une personne, et bien je ne donne pas cher de la vie de l'infidèle que les non-islamistes est aux yeux des fous d'Allah.

Les adeptes de la religion funeste des coroidas ont du sang sur les yeux mais ont peur de la constitution européenne: ils ne veulent pas que cette horreur soit menacée par elle.

 

 

RESTE CECI/

Article-III-121

Lorsqu'ils formulent et mettent en oeuvre la politique de l'Union dans les domaines de l'agriculture, de la pêche, des transports, du marché intérieur, de la recherche et développement technologique et de l'espace, l'Union et les États membres tiennent pleinement compte des exigences du bien-être des animaux en tant qu'êtres sensibles, tout en respectant les dispositions législatives ou administratives et les usages des États membres, notamment en matière de rites religieux, de traditions culturelles et de patrimoines régionaux.

 

Commenter cet article