les pigeons diffamés, affamés, assassinés de Santini, Sarkozy, Le Bouillonnec etc. cherchent pigeonniers contraceptifs et graines anticonceptionnelles.
Il faut réhabiliter les pigeons : nous leur devons bien ça ! Ceux qui ne se sont jamais essayé à empêcher les hommes de nuire ne peuvent en imaginer la difficulté. C’est dire à quel point cette espèce qui s’auto-sacralise comme « seule espèce morale »est attachée à la jouissance dans le mal qu’est sa propre barbarie.
"A mort, l'oiseau!"
"Amor, bel oiseau!"
Rares sont les animaux qui provoquent autant de passions contradictoires que les pigeons.
La haine et l'amour, deux choses aussi dangereuses les accablent. Ils ont inspiré de nombreuses oeuvres d'art, ce qui n'empêche pas leur persécution et un mépris immense.
Pourquoi se gêner ?
Qui sont-ils donc, ces petits bonhommes tristes et miséreux qui peuplent nos trottoirs à le recherche de la miette qui leur évitera la mort par famine, dont de nombreux sont victimes?
Il y a 200 espèces de pigeons dont certaines sont en voie de disparition. Le pigeon biset, celui des villes n'existe que sous la forme domestique, sauf en Corse, où il pourrait rester selon l'encyclopedie Encarta quelques pigeons bisets sauvages.
Le pigeon des villes, en tant qu'"animal domestique sans maître" se trouve dans la situation d'un chien ou d'un chat abandonné : il ne sait pas se débrouiller seul.
Les hommes en domestiquant font perdre en quelques générations les acquis de parfois quelques centaines de millions d'années d'adaptation et de transmission d'apprentissage entre les parents et leurs petits. C'est pourquoi la domestication est une infirmité. L'animal domestique est un handicapé de la vie car il restera pour toujours un enfant. Et ce processus semble irréversible. Peut-être que dans 10 millions d'années ?
C'est pour cela que les chiens adultes, contrairement aux loups adultes aboient et que les chats adultes jouent avec leurs proies comme les bébés félins qui apprennent à chasser.
Tout cela pour faire apparaître combien la situation des pigeons des villes est terrible. Il ne connaissent que les hommes pour les nourrir et mourraient à la campagne où les graminées sont éliminées aux pesticides (on les appelle mauvaises herbes parce qu’elles ne nous servent pas) et les champs cultivés gardés par des agriculteurs en armes.
Leurs habitats d'origine où ils furent capturés ont été souvent détruit: des falaises.
De toutes les façons, ils furent domestiqués par les Egyptiens il y a 6000ans et ne pourraient donc pas se réhabituer à la vie sauvage.
En effet il faut savoir que le processus de domestication est si irréversible que le code rural considère comme domestique un animal issu d'un parent domestique et d'un parent sauvage. Ce qui fait qu'au bout de X générations, on a toujours affaire à un animal domestique, ce que le ministère de l'agriculture va enfin bientôt reconnaître, selon la SPOV ( Société Protectrice des Oiseaux de Villes à Châtillon, 92) qui fut invitée aux négociations.
En conséquence nous devons demander l'abrogation de l'arrêté de la préfecture de police n° 120 qui les affâme en interdisant leur nourrissage par les bonnes volontés qui sont sanctionnées de ne faire ce qui n'est, finalement , que le devoir le plus élémentaire: "Tu es responsable de ce que tu as apprivoisé" St Exupéry, in le Petit Prince. cet article est en contravention par rapport à la loi qui interdit la crauté envers les êtres sensibles que sont les animaux pour le code pénal. En effet, affamer un animal domestique est passible de lourdes sanctions.
Nous sommes en dette par rapport à eux : ils ont sauvé des vies pendant les guerres, en sacrifiant la leur dans des conditions abominables, dans les gaz moutarde. La récompense ? On leur dit merci en les étouffant par la torture du vide d'air, ou asphyxiés au gaz carbonique.
Ils continuent pourtant à nous aider dans de nombreuses occasions. Ils sont utilisés comme facteurs, en particulier pour les secrets d'état. Ils sauvent encore des vies en amenant le sang et des médicaments entre les îles et le continent.
L'horreur de notre action sur les petits êtres sensibles, et vulnérables que sont ces oiseaux est une persécution grave et indigne de l'idée que nous nous faisons d'une humanité juste et donc respectueuse des autres vivants de la Terre.
C'est pourquoi, il faut exiger de tout ceux qui croient que tout est permis avec les autres vivants, en ne réalisant pas le mal qu’ils font, de bien vouloir reconsidérer leurs a priori même si cela leur coûte. La multiplication des plaintes auprès des mairies aboutit à les utiliser comme de pratiques boucs émissaires.
Ils sont, à cette fin, diffamés : nous savons à présent que les pigeons ne sont pas porteurs de maladies transmissibles à l'homme. (du moins, cela ne s'est jamais produit selon le rapport de la DSV de 1996).
La raison invoquée des fientes de notre société hygiéniste et impitoyable est parfois réelle, parfois fantasmatique car, il suffit à certains d'en apercevoir une aile pour, tout de suite, imaginer être engloutis dans les déjections...en particulier chez les obsessionnels pour qui l'objet du désir, la merde, est sans cesse invoquée.
Il faut considérer que le fait de transformer le plomb en or est un fantasme obsessionnel qui signifie en fait l'inverse: transformer tout en plomb, en déchet.
Nous savons enlever une fiente d'un balcon en 3 secondes mais contre nos pollutions atmosphériques qui empoisonnent tout le monde, y compris les autres animaux que nous oublions toujours, on ne trouve pas de parade. Pourtant c’est l'animal humain qui est responsable de ces nuisances mortelles ( la pollution provoquerait en France entre 6000 et 9000 morts humains par an).
Aussi on croit agir en tuant les pigeons, comme pour se venger de ce qui nous réduit à l'impuissance, en croyant qu'ainsi, tout ira mieux. Mais c'est un fantasme magique de primitifs !
De plus d'autres pigeons prennent leur place, et on recommence jusqu'à un acharnement obsessionnel en les capturant pour les massacrer jusqu'à une fois par mois comme à la Défense, ou comme ils le faisaient jusque-là à Neuilly où les défenseurs ont pu faire annuler une capture et a cru réussir à sensibiliser la municipalité à la solution efficace et "humaniste" des pigeonniers contraceptifs. ( Annulation de la tuerie à Bagneux aussi). Mais , dès que la pression flanche, les mairies recommencent! Ainsi, Le Neuilly de Sarkozi et l'Issy les Moulineaux de ce " brave" Santini" ont reculé pour mieux recommencer dès que les défenseurs ont tourné le dos: comment avec une poignée de bonnes volontés surveiller les milliers de municipalités qui emploient ces procédés infâmes?
Vu ce qu'ils font à ces pauvres oiseaux après capture, la population, lorsqu'elle est infomrée,malgré tout, ne veut pas de ça dans sa majorité. du moins c'est ce qu'on dit ùmais les "corbeaux" dénoncent en faisant comme si on les emmenait à la campagne!
Par ailleurs, ces captures génocidaires sont inutiles : seuls 30% des pigeons se reproduisent ; peu d'endroits libres pour nicher et les jeunes ne le peuvent pas non plus.
Lorsque les parents sont tués, les autres, ceux qui n'avaient pas de nid, prennent ceux des génocidés et essaient de reconstituer l'espèce car chez les autres animaux, la vie est le plus important.
Chez l'homme, c'est la pulsion de mort la plus forte.
Ce n'est pas difficile, puisque
la mort est la gagnante,
toujours.
Un jour, l'homme se retrouvera seul, ou presque, les insectes l'accompagneront et le persécuteront, faute de prédateurs.car les pigeons sont aussi insectivores et leur absence ainsi que celle des nombreux autres oiseaux qui sont en voie de disparition, laisseront la place aux moustiques et qui sait, à la recrudescence de la malaria et du paludisme. Notre pays devient un pays chaud, avec l'effet de serre, et ce que je dis là est loin d'être impossible.Et ça s’est vu chez Mao et ailleurs. Réagissons à temps. Résistons !
Demandons à la préfecture de Paris l'abrogation de l'article 120 qui punit le nourrissage au lieu de le subventionner, en particulier sous forme de graines contraceptives. Exigeons l'arrêt des tueries et la mise en place partout de pigeonniers contraceptifs et là où c'est impossible, de la distribution de graines contraceptives.
La cruauté contre les autres animaux est punie par le code pénal. Les affamer alors que ce sont des animaux domestiques est donc en soi un délit. Il faudra bien saisir la justice un jour.
Faisons pression sur nos municipalités pour que ça cesse, ces captures immondes. Ecrivons au ministère de l'agriculture. Bougeons ! Eduquons les enfants, informons les gens, nous sommes les seuls à le pouvoir. Nous avons avec nous la vérité et la sensibilité. Nous avons aussi l'intelligence et la possibilité de comprendre que la souffrance est intolérable, et que la vie de chacun est aussi respectable quelque soit sa race ou son espèce.
L'abus de pouvoir de l'homme, l'animal le plus hargneux et puissant de la planète, on en a marre. Et on le dit bien haut.
Il faut protester aussi contre les pics sur lesquels ils s'embrochent bien plus souvent qu'on ne le croit : Le jabot ouvert, l'estomac déchiré, ils mettent des jours pour mourir en pourrissant sur place, le pieu de ferraille les transperçant.
Il coinvient de demander simplement leur remplacement par des pics à bouts ronds. Est-ce trop exiger?
Quand aux fils des poubelles, et autres fils et cheveux dans lesquels ils s'entortillent, et qui les mutilent en s'enfonçant dans la chair, qui les coincent jusqu'à la mort dans les branches ou autre support où ils se ligotent, que chacun soit prudent, et ramassent ceux qui tombent dans les rues.
Un peu d'attention à l'autre, que diable, et le monde peut changer. Grâce à nous tous, le monde s'améliorera. C’est comme au volant, n'imitez pas cette affreuse pub pour une voiture Audi, où on voit bien que la voiture passe sur les pigeons à toute allure. Alors, au volant, à pied, comme dans d’autres circonstances : cool ! respect ! Et tout le monde s'en portera mieux. Vopus n'écrasez pas les hérissons? Alors, pensez aussi à lever le pied en ville car les oiseaux des villes, sont les premières victimes du prédateur automobile, car, abrutis par la faim et la pollution, ils n'ont pas les bons reflexes au moment où il faut, surtout s'ils sont en train de teneter de manger un truc au milieu de la rue ou dans les caniveaux.
Nous pouvons gagner contre la méchanceté qui dégrade les êtres humains parce que nous pouvons commencer par nous changer. Contre la barbarie, nous le devons. Et ce sera gagner contre les instincts kamikazes des hommes qui se suicident (sans le savoir) en tuant, tuant, jusqu'à l'écoeurement !
Viva la Vida ! Mais une vie digne et respectueuse de l’autre sous toutes ses formes.
Ce n’est pas parce qu’un autre ne me ressemble pas qu’il ne doit pas être défendu !
C’est la formule la plus exacte de la civilisation.
La solution pour plaire aux grognons délateurs nostagiques de la belle époque...et pour plaire aux amis de la vie: les graines anticonceptionnelles et
les pigeonniers contraceptifs.
Mais si vous saviez comme ce simple mot que nous avons pour les femmes remporté de haute lutte : contraception, a du mal à passer pour les pigeons!
Les mairies ont leurs sociétés de mort honteuse attitrées et c'est facile: comme le "bon" et plein d'humour Santini, on passe des contrats de 3 ans. Il étudiera la solution des graines anticonceptionnelles et des pigeonniers contraceptifs, quand le contrat qui vient de commencer avec la SAGPA, société tueuse, sera terminé! Dans 3 ans, on étudie et jusque là on tue. Quant à M. Le Bouillonec député -maire de Cachan, il continue à faire la sourde oreille et ne dit pas si il continuera à ne plus utiliser une société aux méthodes atroces, Hygiène Action, qui utilise le vide d'air: Imaginez: dans un sac plastique, on vous y met et on retire peu à peu l'air qui s'y trouve, jusau'à déchirer vos poumons par aspiration. Drôle de procédé légal en France où la peine de mort épargne les tueurs:
Conclusion: vaut mieux être un serial killer qu'un serial crotteur, dans notre belle société civilisée.
Et les serials killers qui expédient au paradis (enfin, si il y en avait un ils y seraient les premiers: les animaux sont les plus innocents des innocents.) ceux que nous trouvons de trop, chiens, chats, oiseaux, ragondins, furets, (putois) etc. Eux pourrons continuer à être payés pour sévir dans l'indifférence générale.
Pourquoi se gêner?