Lettre à l'humain moyen suivi de Citations sur le rapport aux animaux. EN voici. EN avez vous d'autres?
Article interactif.
Prière d'utiliser abondamment les commentaires...
Pour que cet article soit une mine où ceux qui le veulent pourront puiser l'or des mots que nous leur offrirons.
Afin que parler ne soit pas vain et que cette lettre envoyée à l'humain moyen parvienne à son destinataire.
On le déplore depuis que l'homme est sur Terre, avec sa soi-disant supériorité intellectuelle, aucune réelle intelligence n'a la puissance de lutter contre lui pour améliorer le monde.
Qu'on ne me demande pas d'aimer l'humain moyen car c'est lui qui détient les clés du monde et il n'est qu'un barbare féroce .
Il salit le monde de son égoïsme et de sa cruauté acéphale.
Il empêche tout progrès de notre espèce.
Il me fait souffrir en martyrisant les vivants de la Terre.
Il ne tient pas compte de l' intelligence tant sensible qu' intellectuelle, la méprise, la roule dans la farine...Et la fait frire avec ses autres victimes.
Je suis ainsi panée par lui, pas née?
Plutôt ne pas être né que d'avoir à subir le tyrannie de cet insubmersible père Ubu, l'humain à qui je m'adresse et qu'il me faudrait aimer comme ...comble d'ironie, mon semblable!
On me demande de m'identifier à un aficionado? à un chercheur sur animaux?
A un gastronome qui ne voit pas l'horreur derrière son plat?
Qui pense qu'on en fait tout un plat de ses plats alors que presque tout le problème est là, hélas, dans son électroencéphalogramme plat devant la tyrannie de cette sacro-sainte panse qui l'empêche de penser!!
De sa sensibilité gustative du palais qui le rend si laid de son ignorance volontaire.
Je ne pourrai l'aimer que lorsqu'il sera aimable mais pour l'instant sa quête insatiable de plaisirs au détriment des autres vivants me le rend proprement imbuvable.
Donc, je te parle, inhumain moyen,
Mais que sont ces saveurs qui mangent ton cerveau?
Bon, voilà que je semble, mon semblable ne point te respecter...Mais non, je veux enfin pouvoir le faire. Alors, Sois respectable .
Change, petit homme, mon alter-ego qui altère le monde et les êtres sensibles perdus dans le désert de ton coeur surchauffé pour toi-même mais glacé pour les autres, change enfin que je puisse t'aimer. Tu te demande ce que je te reproche. Tu dis que j'exècre ton ego et demande que tu soignes ton esprit et tu ne vois pas ce que j'attends de toi ?
C'est que l'ego n'est pas l'esprit et est parfois blessé par l'esprit, à entendre comme pensée.
Désaltère ton esprit assoiffé par ton mépris pour lui. à la fontaine rafraîchissante des citations suivantes de ceux qui n'ont pas laissé leur intelligence au vestiaire de leur existence:
Prière d'utiliser abondamment les commentaires...
Pour que cet article soit une mine où ceux qui le veulent pourront puiser l'or des mots que nous leur offrirons.
Afin que parler ne soit pas vain et que cette lettre envoyée à l'humain moyen parvienne à son destinataire.
On le déplore depuis que l'homme est sur Terre, avec sa soi-disant supériorité intellectuelle, aucune réelle intelligence n'a la puissance de lutter contre lui pour améliorer le monde.
Qu'on ne me demande pas d'aimer l'humain moyen car c'est lui qui détient les clés du monde et il n'est qu'un barbare féroce .
Il salit le monde de son égoïsme et de sa cruauté acéphale.
Il empêche tout progrès de notre espèce.
Il me fait souffrir en martyrisant les vivants de la Terre.
Il ne tient pas compte de l' intelligence tant sensible qu' intellectuelle, la méprise, la roule dans la farine...Et la fait frire avec ses autres victimes.
Je suis ainsi panée par lui, pas née?
Plutôt ne pas être né que d'avoir à subir le tyrannie de cet insubmersible père Ubu, l'humain à qui je m'adresse et qu'il me faudrait aimer comme ...comble d'ironie, mon semblable!
On me demande de m'identifier à un aficionado? à un chercheur sur animaux?
A un gastronome qui ne voit pas l'horreur derrière son plat?
Qui pense qu'on en fait tout un plat de ses plats alors que presque tout le problème est là, hélas, dans son électroencéphalogramme plat devant la tyrannie de cette sacro-sainte panse qui l'empêche de penser!!
De sa sensibilité gustative du palais qui le rend si laid de son ignorance volontaire.
Je ne pourrai l'aimer que lorsqu'il sera aimable mais pour l'instant sa quête insatiable de plaisirs au détriment des autres vivants me le rend proprement imbuvable.
Donc, je te parle, inhumain moyen,
Mais que sont ces saveurs qui mangent ton cerveau?
Bon, voilà que je semble, mon semblable ne point te respecter...Mais non, je veux enfin pouvoir le faire. Alors, Sois respectable .
Change, petit homme, mon alter-ego qui altère le monde et les êtres sensibles perdus dans le désert de ton coeur surchauffé pour toi-même mais glacé pour les autres, change enfin que je puisse t'aimer. Tu te demande ce que je te reproche. Tu dis que j'exècre ton ego et demande que tu soignes ton esprit et tu ne vois pas ce que j'attends de toi ?
C'est que l'ego n'est pas l'esprit et est parfois blessé par l'esprit, à entendre comme pensée.
Désaltère ton esprit assoiffé par ton mépris pour lui. à la fontaine rafraîchissante des citations suivantes de ceux qui n'ont pas laissé leur intelligence au vestiaire de leur existence:
" Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l'ignorance,
l'indifférence, la cruauté, qui ne s'exercent si souvent contre
l'homme que parce qu'elles se sont fait la main sur les bêtes."
Marguerite Yourcenar
"Plus l'homme est
féroce envers la bête, plus il est rampant devant les hommes qui le dominent" Louise Michel
Mahatma Gandhi,
disait : "Je hais la vivisection de toute mon âme. Toutes les
découvertes scientifiques entachées du sang des innocents sont pour
moi sans valeur."
L’aventurier Mark Twain : "Peu m’importe
que la vivisection ait ou non permis d’obtenir des résultats utiles
pour l’homme. La souffrance qu’elle inflige à des animaux non
consentants est le fondement même et la justification pour moi
suffisante de mon aversion, un point c’est tout."
La philosophe Florence Burgat, « lever le silence qui entoure ce
massacre trouble impardonnablement une fête qui en passe par le
sacrifice animal. Mais notre luxe le plus profond tient surtout dans
la douleur tonitruante d’animaux dont nous avons manqué la rencontre,
et qui, au fond de leur cachot, attendent quelque chose que nous ne
leur donnons pas ».
Marguerite Yourcenar:
« La protection de l’animal, c’est au fond le même combat que la
protection de l’homme »
« En pensée, Herman prononça l'oraison funèbre de la souris qui avait partagé
une partie de sa vie avec lui [...]. "Que savent-ils, tous ces érudits, tous
ces philosophes, tous les dirigeants de la planète, que savent-ils de quelqu'un
comme toi ? Ils se sont persuadés que l'homme, l'espèce la plus pécheresse entre
toutes, est au sommet de la création. Toutes les autres créatures furent créées
uniquement [...] pour être martyrisées, exterminées. Pour ces créatures, tous
les humains sont des nazis ; pour les animaux, la vie est un éternel
Treblinka." »
Isaac B. Singer (Nobel de littérature 1978), The Letter Writer
"On n'a pas un coeur pour les hommes, un pour les animaux, on a un
coeur ou
on n'en a pas" Victor Hugo
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