Caramel. Pizzeria. sa veritable histoire: Il a été piegé par Taillefert. Manif à Angers le 21/2/14.
MEURTRE AVEC PREMEDITATION AGGRAVÉ PAR DES ACTES DE BARBARIE...
ça coûte combien?
Si la victime est humaine et si vous avez la chance de commettre ça dans un état sans peine de mort, vous écopez de perpet en peine incompressible.
Mais si c'est un animal, le cynisme humain est alors à son comble et si vous avez peu de chance, vous repartez avec un petit sursis de rien du tout...c'est le cas de Taillefert, vu la honteuse mini-peine requise.
J'ai pris cette photo sur le net, d'un chat perdu à Reims en 2010. peut etre est-ce lui, ou un autre perdu...Attention de ne pas laisser vagabonder vos chats.
Un chat roux surnommé Caramel, qui est comme celui qu'il a assassiné. Son tortionnaire s'appelle Frederic Taillefert, on s'en souviendra! son portrait est ici, celui deTaillefert aussi.
Voici comment la soude a tout rongé après une nuit d'horreur:
Peine ridicule requise au regard de la souffrance infligée à un innocent. Il ne peut avoir que 4 mois avec sursis et peut être moins.
Encourageant pour les psychopathes. Et pour lui, en particulier ! Ce pervers n'en est pas à son 1° chat, selon ses dits.
Il ne s'est même pas présenté à la justice, ce lâche est plus couillu face à la faiblesse d'un chat, évidemment!!!!
Soyons nombreux à Angers ce jour-là Contre une justice fantôche qui ne punit pas les tortionnaires d'animaux, tous à la manif. Les droits des animaux doivent s'améliorer et la loi changer. Quand à l'application de cette loi maigrichonne trahie par, quelle abjection!...la 521-1 salie par l'alinéa 7 qui permet corrida et combats de coq*...cette application est absolument inadéquate :
Il y a un evenement face book là pour la manif:
https://www.facebook.com/events/1398899123692969/?ref_newsfeed_story_type=regular
La veritable histoire de Caramel, chat piegé, torturé, assassiné:
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A Brissac-Quincé (Maine-et-Loire), un homme a capturé un chat avant de l’asperger de déboucheur pour canalisations. La Fondation 30 Millions d’Amis, partie civile dans cette affaire, juge « bien faibles » les réquisitions du procureur à l’encontre de l’auteur présumé des faits. Verdict le 4 février 2014. L |
’affaire a été étudiée le 14 janvier dernier par le tribunal correctionnel d’Angers, en l’absence du restaurateur, jugé pour sévices graves commis envers un animal domestique. Quatre mois de prison avec sursis et une interdiction de détenir un animal durant trois à cinq ans ont été requis à l'encontre du prévenu par le procureur de la République. Des réquisitions « bien faibles » pour la Fondation 30 Millions d’Amis, au regard de la souffrance endurée par l’animal, alors que le Code pénal prévoit une peine plus lourde pour ce type de délit (jusqu’à deux ans de prison ferme et 30 000 euros d’amende, NDLR). |
« Ce chat, je vais finir par l’attraper » Piégé, retenu en captivité et torturé. C’est le calvaire subi à l’automne 2013 par un chat de Brissac-Quincé (49), surnommé Caramel en raison de son pelage roux. Il n’est pas loin de midi lorsque ce samedi 19 octobre, Jimmy, serveur dans une pizzeria locale, entend son patron visiblement excédé répéter avec obsession : « Le chat roux, je vais bien finir par l’attraper ». Pour arriver à ses fins, le restaurateur installe dans la cour à l’arrière de l’établissement une cage avec une trappe et un morceau de viande en guise d’appât. Le félin y restera prisonnier plusieurs jours sans que ne lui soit jamais servi ni eau ni nourriture. Pire, l’animal sera aspergé avec du déboucheur pour canalisations, ou soude caustique. Atroces souffrances Prévenus par les employés de l’établissement, les gendarmes de la commune interviennent. Le félin est aussitôt examiné par un vétérinaire. Le diagnostic est sans appel. « Le chat était irrécupérable. Il souffrait énormément. Il n’y avait rien à faire pour lui. Le vétérinaire a donc pris la décision de l’euthanasier » raconte Michel Bernardin, le président de la SPA autonome du Maine-et-Loire. Selon le quotidien régional Le Courrier de l’ouest du 26/10/13, le restaurateur aurait reconnu les faits. « J’ai craqué, j’ai pété les plombs tellement j’en avais marre d’avoir des chats errants qui importunent ma clientèle » expliquait-il. Le verdict sera connu le 4 février prochain. Article publié le : 16-01-14
Qu'il ne se fasse plus de souci, il n'en aura plus, de clientele, après cette terrible pub! Il s'appelle Taillefert, on s'en souviendra!
*Article 521-1 Le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende.
En cas de condamnation du propriétaire de l'animal ou si le propriétaire est inconnu, le tribunal statue sur le sort de l'animal, qu'il ait été ou non placé au cours de la procédure judiciaire. Le tribunal peut prononcer la confiscation de l'animal et prévoir qu'il sera remis à une fondation ou à une association de protection animale reconnue d'utilité publique ou déclarée, qui pourra librement en disposer.
Les personnes physiques coupables des infractions prévues au présent article encourent également les peines complémentaires d'interdiction, à titre définitif ou non, de détenir un animal et d'exercer, pour une durée de cinq ans au plus, une activité professionnelle ou sociale dès lors que les facilités que procure cette activité ont été sciemment utilisées pour préparer ou commettre l'infraction. Cette interdiction n'est toutefois pas applicable à l'exercice d'un mandat électif ou de responsabilités syndicales.
Les personnes morales, déclarées pénalement responsables dans les conditions prévues à l'article 121-2 du code pénal, encourent les peines suivantes :
- l'amende suivant les modalités prévues à l'article 131-38 du code pénal ;
- les peines prévues aux 2°, 4°, 7°, 8° et 9° de l'article 131-39 du code pénal.
Les dispositions du présent article ne sont pas applicables aux courses de taureaux lorsqu'une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Elles ne sont pas non plus applicables aux combats de coqs dans les localités où une tradition ininterrompue peut être établie.
Est punie des peines prévues au présent article toute création d'un nouveau gallodrome.
Est également puni des mêmes peines l'abandon d'un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité, à l'exception des animaux destinés au repeuplement.
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