Le fascisme expliqué aux enfants, illustré par l'article de Marianne après la mort de Meric, assassiné par un JNR.
Certains renvoient dos à dos les fachos et les anti-fachos.
Je pense que c’est vraiment indispensable qu’il y ait des antifachos. Une vigilance de chaque instant est nécessaire et si on se tient à ce que j’ai pu détecter, il y a des gens qui trimbalent des rumeurs effrayantes...et honteuses.
Mettre dos à dos les antifachos et les neo nazis : non, pas souhaitable et parfaitement injuste. C’est comme mettre dos à dos les chasseurs et les militants qui s’interposent entre la proie et eux. Ne pas oublier que l’ED continue à faire des manifs, à tabasser, à nuire. La tolérance par rapport aux barbares
mène au pire. Et là, à tuer un être rare, très jeune, de plus, vegan. Par contre, il était hyper imprudent car on ne peut pas injurier le Diable. Je vous concède donc que les méthodes de cette jeunesse de valeur ne sont pas bonnes avec des gens aussi dangereux.
C’est la loi qui devrait, comme pour nos luttes animalistes , être protectrice et ferme.
Les fachos ne devraient pas avoir le droit de distiller leur venin pousse- au-crime. A force, ça finit par coloniser les esprits par effet d’hypnose subliminale.
Les éloigner de la PA , c’est aussi servir la cause animale. Ces fans dragueurs de PA ne font qu’appliquer les méthodes d'Hitler pour ensuite, une fois au pouvoir, mettre en taule les militants pro animaux qui les gêneraient.
Voyez les exploits des fachos et dites moi en quoi cela a un rapport avec les anti fas.
Ces mouvements – numériquement ultraminoritaires (quelques centaines d’individus) – se sentent pousser des ailes depuis des mois. Quelques faits qui dénotent un climat de violence particulièrement pesant…
La présidente du Front Comtois a nié toute implication des membres de son organisation. A Toulouse, Matthieu Clique – ex-chef de file du Bloc Identitaire toulousain – est mis en examen, soupçonné d’être l’auteur d’une violente agression dans la nuit du 31 mars au 1er avril contre un étudiant Chilien, dont la tête aurait heurté le trottoir, causant un traumatisme crânien le laissant hémiplégique.
Il ne s’agit pourtant pas de faire d’amalgame et de mettre en cause les organisateurs de La Manif pour Tous. Toutefois, force est de constater que des groupuscules ultrnationalistes y ont vu un moyen de « s’exprimer ».
Devant son refus de « baisser les yeux », ils se saisissent des tables, des chaises et sacagent les lieux. L’agression avait suscité une vive émotion dans le pays. Bilan : le patron, son associé et un serveur sont blessés.
Les quatres suspects ont été interpellés, puis remis en liberté sous contrôle judicaire. Leur procès aura lieu le 26 juin. Le même soir, une quinzaine de membres des Jeunesses Nationalistes prirent d’assault la permanence lyonnaise du Parti Socialiste ; s’en suivirent des échauffourées avec la police. Une goutte d’eau, diraient les associations antifascistes locales.
Il s’est notamment « illustré » dans le combat contre le mariage gay, au côté du Groupe Union Défense (GUD) – unis entre autre sous la bannière du Printemps Français, qui semble aujourd’hui fonctionner comme une nébuleuse.
Leur leader, Alexandre Gabriac, cultive un certain don pour ameuter les journalistes. Exclu du Front National pour un salut nazi en 2011, il multiplie depuis « les bons mots », les provocations et les remarques déplacées … Bref, il fait son beurre en proférant des horreurs.
Seulement voilà, le Collectif Vigilance 69 et les associations gays et lesbiennes locales sont aujourd’hui exaspérés et s’insurgent contre l’inaction des pouvoirs publics. Manifestations sauvages, insultes homophobes, agressions à répétition…
Jeudi 30 mai, Jean-Jack Queyranne, président PS de la région Rhône-Alpes, a annoncé avoir déjà réclamé à Manuel Valls la dissolution de ces « groupes néo-nazis ou nostalgiques du fascisme mussolinien », rapporte ledauphine.com.
Ces groupuscules n’hésitent plus à frapper en plein jour. En marge de la commémoration du meurtre de Brahim Bouarram, le 1er mai dernier, des échauffourées ont opposé des militants d’extrême droite et le service d’ordre d’Action antifascistes Paris-Banlieue (vidéo youtube ) – mouvement auquel appartenait Clément Méric.