Russie: JO d'hiver honteux: les homophobes y vont bien, mais pas les ours ni les blaireaux!
Bien - sûr, il n'y pas de pays en dehors de tout reproches. Mais il y a parfois sur un point ou l'autre une avancée de la civilisation, qui se confond avec l'avancée de la tolerance, du regard bienveillant sur chacun, tant que cet autre n'est pas un humain nuisible.
La façon qu'ont certains de regarder dna la culotte de leur voisin pour voir s'il jouit là où on lui dit de jouir est une forme d'inceste. L'homophobie est donc incestueuse. L'inceste, c'est quand on ne respecte pas l'intimité de l'autre, tant que celui ci...ne commet pas ce qui est denoncé ici, à savoir empieter sur la liberté d'autrui.
Le probleme cest que la jouissance ideale, absolue, dont chacun est nortagique, cest la jouissance du coprs dela mère, cest cette idée du apradis perdu, temps mythique de la fusion m§ère-enfant. Lhomme, comme aimanté par cette amour absolu perdu , source de toutes les completudes, voudra revenir à ce temps, et cest cela que cherche l'amour.
Mais on retrouve aussi la jouissance preoedippienne, donc d'avant le temps où l'interdit de profiter du corps de la mere pour y satisfaire ses pulsions n'est pas encore operant. Le pere n'opere que plus tard, même si l'interdit est dejà dit avant. Mais il n'est pas vraiment père-su. L'education, peu à peu, doit faire entendre cette voix paternelle, cette voix du tiers en fait: tu ne dois pas abuser de ta mère elle n'est pas à toi. il ya un autre qui peut la revendiquer; En fait ce qui se dit cest: tu n'as pas le droit de faire nimporte quoi pour sacrifier à ton Dieu, la jouissance, car ce serait alors impossible pour toi de devenir un sujet desirant. Tu serais au pire psychotique et au mieux pervers.
C'est donc à la mère de transmettre la voix paternelle. Mais il faut savoir lire que la mère estcelle qui occupe cette place de mère, et le pere occupe celle du père. Mas nul besoin que ce soit un homme, lepere et une femme, la mère, pour que ça marche. Lemessage dit metaphore paternelle est qui est emis par la mère dit: repsecte le desir, celui de ta mère, comme le tien, afin que des limites se tracent sur le sable entre toi et l'autre. Limite qu'on appelle aussi bien ...justement...le respect.
Tout ça pour dire que toute atteinte à lintimité et à lintegrité sont denature incestueuse.
ceci etant posé, la Russie choisie pour les JO de lhiver 2014 ne repscet pas l'intilité des homs, ni lintegrité des ours.
pourle ours, voyez On evoice. extrait:
Novembre 2013. One Voice a enquêté dans les centres d’entraînement pour les chiens en Russie. Elle y a découvert le cauchemar des animaux sauvages qui y sont utilisés. Pour les ours en particulier, c’est une véritable torture…
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Comme l’explique l’un des investigateurs : « Leurs conditions de vie misérables me hanteront jusqu’à la fin de mes jours. On ne sort ces ours de leurs cages que pour lâcher des chiens sur eux. Lors d’une séance à laquelle nous avons assisté, l’ours a été attaqué et mordu par les chiens toute la journée, et il est resté ensuite enchaîné à la poulie aérienne toute la nuit pour être utilisé à nouveau le lendemain.»
C’est un sort épouvantable pour des animaux considérés comme de grands voyageurs et de grands explorateurs, et qui sont parmi les mammifères les plus intelligents qui existent.
Les lâchers de chiens sur les blaireaux
Les enquêteurs ont assisté à un concours de chiens testés sur des blaireaux. L’un d’eux raconte : « À trois reprises, nous avons vu un chien attraper un blaireau par le cou et le secouer vigoureusement. Quand le chien tenait le cou du blaireau entre ses dents, les employés du centre venaient séparer les animaux. Nous pouvions voir que le blaireau saignait autour du cou. Un blaireau a aussi blessé deux chiens en notre présence. Un chien a même été emporté hors de l’enclos. »
Les investigateurs ont appris qu’il était d’usage de remplacer les blaireaux quand ils étaient épuisés ou blessés, afin que le concours soit équitable. L’un des spécialistes a expliqué que la veille, ils avaient dû remplacer le blaireau à sept reprises. « On nous a dit qu’on laissait les blaireaux se remettre de leurs blessures après l’épreuve ou qu’on les tuait quand les blessures étaient trop graves », rapporte un investigateur.
Une souffrance à long terme
Cette enquête de One Voice sur l’utilisation des animaux sauvages en Russie pour tester les prédispositions et les aptitudes des chiens destinés à la chasse, a mis en évidence une souffrance animale sévère et intense. Il a été précisé aux enquêteurs que les ours étaient parfois utilisés pendant une quinzaine d’années mais dans deux centres, les employés leur ont confié que leurs ours étaient devenus trop gros pour pouvoir encore servir. Dans un centre, ils ont précisé qu’ils envisageaient de remplacer leur ours. Dans l’autre, ils ont proposé à l’un de nos investigateurs de chasser leur ours : « Pour 1000 euros, ils m’ont dit qu’ils le relâcheraient et que je pourrais le traquer et l’abattre. »
Télécharger le rapport d’enquête
Voir la vidéo des tests sur les ours.
Voir la vidéo des tests sur les blaireaux.
Pour mettre un terme à cette souffrance, One Voice lance une nouvelle campagne internationale. Rejoignez-nous pour que les animaux sauvages soient protégés en Russie !
Pour les homos, en Russie, une nouvelle loi donne raison aux tabasseurs de "pédés".