Sujet du bac philo ES: "Interprète-t-on à défaut de connaître ? » !
Réflexion d'un singe sur "Interprète-t-on à défaut de connaître ? "
Il me semble certain que oui, fatalement.
Ensuite, si on a des éclaircissements...on réajuste si on est honnête et lucide.
D’autres peuvent en rester sur leur interprétation première. Parano oblige.
"La paranoïa, c'est la personnalité." Lacan
Avec ça, on n'est pas sorti de l'auberge de la lecture des dits et non-dits des autres vécus comme malveillants.
Ce qui debouche sur ce sujet que je suggere au bac suivant: Est-ce que l'on ne s’empoisonne pas la vie avec des choses qui n’en valent pas la peine?
C'est sûr que si, au lieu d'être parano, on était papillon, on ne se paierait pas ce luxe.

Le papillon pense que la vie est trop courte, que c’est marrant ce qu’il voit,mais qu’il peut pas s’attarder pour l’excursion, il doit se chercher en vitesse une mamillonne.Mais est-ce qu’il pense que l’homme est le seul à penser qu’il pense???Ça m’étonnerait qu’il puisse imaginer qu’une telle fatuité existe.Les hommes au sens d’humains sont rares. La plupart ne pensent qu’à eux. Mais réfléchissent-ils?Tout ça pour dire que l’homme ne pense pas autant qu’il le croit.;)Il interprète les capacités des animaux à sa sauce, sans chercher à les connaître, et, bien-sûr, en se donnant toujours le beau rôle.
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