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Psychanalyse et animaux.

barbarie-symptome et psychanalyse

Mes voeux pour 2013: Ne cherchons pas à vivre mieux, mais à vivre meilleurs.

1 Janvier 2013, 05:11am

Publié par Jo Benchetrit


http://www2.joliecarte.com/images/carte/nouvel_an_bonne_resolution/proteger-planete-bonne-resolution.jpg

 

On voit apparaître des cartes de voeux soulignant l'inquiétude écologique. C'est un début. Mais reste le plus dur: la prise de conscience anti-spéciste. Indispensable afin que l'être vraiment humain  ne soit plus la denrée rare que l'on sait, au point que cette vertu de bonté, générosité, protection de l'autre, acceptation de l'autre et conscience que celui ci est semblable en dépit des differences, compréhension même hors mots du point où il en est, compassion, ne soit pas, étonnament, l'apanage des autres animaux, en particulier de ceux qui vivent en  notre compagnie. 



 

 

Mes voeux pour 2013? Que l'humanité fasse sienne cette devise inspirée de Socrate, ceci pour 2013,et les autres années, siècles et, soyons fous, millénaires :

Ne cherchons pas à vivre mieux, mais à vivre meilleurs.*

Après, amour, gloire et beauté, santé et chance ne nuiront pas!!!

Mais n'oublions pas:

ce n'est que lorsque les hommes épargneront de leur médiocrité barbare les autres animaux de cette plan'être que l'on finira enfin par l'être, meilleurs.
 

En effet comment une oeuvre de bienfaisance basée sur de la cruauté serait-elle authentiquement bonne, dites moi ça, sincèrement?

Croiriez vous un être qui n'aurait de cesse de torturer qui vous affirmerait: soyez bons comme je le suis?

C'est pourtant ce que fait l'humanité.

C'est pourtant aussi ce que firent bien des meneurs de foule. Pensez à l'Inquisition qui a asphyxié le monde durant des siècles au nom du Christ, symbole de bonté. Pensez aux intégristes islamistes et autres...Non, la bonté ne souffre pas d'exception et on ne peut être bon si on ne l'est qu'avec certains.Ce qui ne signifie en rien, soyons clairs, aimer tout le monde, chose impossible comme le soulignait Lacan. Mais être ouvert à cette possibilité.


     Racisme,spécisme, sexisme, même combat...Trop spéciste pour le réaliser? Pour ceux qi ne le sauraient pas le spécisme est le racisme anti- autres espèces.  Racisme=condescendance, et...finalement penser que l'autre homme nest pas un homme mais une bête, c'est à dire... une chose.   Donc tout racisme est un "ratisme", haine du rat en l'autre. Donc un...spécisme.

 Espérons la fin de ce monde fait par nous pour nous, monde autiste, qui mange des animaux alors qu'il n'en a pas besoin, qui les martyrise avant, qui les utilise de mille manières sans aucune considération...un monde de fats dangereux à foutre d'urgence aux poubelles de l'histoire.

Ces gens, de surcroît, se plaignent sans cesse. ils seraient toujours très très mal lotis, victimes de mille injustices et seraient, ô combien, touchés par crise.

Certes, ça arrive. Mais est-ce que ce constat nous exonère de notre propre responsabilité? Des foules de geignards- uniquement-sur-leur-sort, soi-disant fauchés et  portant fourrure d'ecorchés vifs en Chine ou ailleurs, qui se bourrent d'animaux, de foie gras, de caviar, de lait et d'oeufs produits par la souffrance,  me font honte, peur et même, soyons francs, cauchemarder.

Boussole:

Compassion bien dirigée commence par les autres.

 Alors, si vous avez envie que je vous aime, rions...voyez ce qu'il vous reste à faire: devenir meilleur, s'ennoblir de cette qualité appelée, comble du paradoxe: humanité!

Je conclurai sur un joke d'une femme  qui sauve  des sangliers du fusil des chasseurs (Barrage contre le Pacifique!): "les cochons ont besoin  de gens bons." 

Il convient d'ajouter: nous aussi.

Epargner autrui, (  les animaux, "les plus autruis des autruis". Formule audacieuse et magniquement anti-spéciste de la philosophe E. de Fontenay, in Le silence des bêtes,car au fond, c'est les dire nos semblables), c'est donc aussi, restons dans le ton, épargner les truies...dont je rappelle le calvaire insoupçonné en général.

 


      *"
On ne peut mieux vivre qu'en cherchant à devenir meilleur." Socrate

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je ne comprends pas les hommes mais je les explique. Superiorité metaphysique ? Ou mégalomanie?

31 Décembre 2012, 08:58am

Publié par Jo Benchetrit

animos ds l'oeil n

 

Tandis que chaque jour, je reçois des infos provenant de personnes essayant de réfléchir au plus près du réel à ce qu'il convient de faire pour avoir une attitude responsable et donc éthique, je ne peux que constater que les hommes en majorité, surtout en France mon cher pays, semblent involuer vers les bas- fonds de l'immoralité.

On sait par exemple l'horreur du foie gras, et on en parle beaucoup mais en France, en 10 ans, la consommation a vu une augmentation de 25%

Ce qui signifie que  nos actions sont vaines. Le lobby du foie gras nous a complètement eus.Les pubs montrent sans cesse que cette abomination est NORMALE dans les fêtes. Grande est leur influence sur les esprits grocs, rien à en tirer.

Mais  nous devons continuer.Peut etre que la revolution finira par arriver. Et pas possible anyway de faire partie des profiteurs du monde des animaux.

Alors, pour se donner du courage, une citation peu connue d'un auteur du 19°siecle:

"Nous avons besoin d'un autre concept plus sage et peut-être plus mystique des animaux. Loin de la nature universelle et vivant dans un univers artificiel compliqué, l'Homme dans la civilisation étudie les créatures à travers le prisme de sa connaissance et l'image déformée de ses croyances.
Nous les traitons avec condescendance pour leur incomplétude, pour leur tragique destin d'avoir pris forme tellement loin en dessous de nous.
Et en ceci, nous nous trompons, et nous nous trompons grandement car l'animal ne devrait pas être mesuré par l'Homme.
Dans un monde plus ancien et plus complet que le nôtre, ils évoluent finis et complets, dotés d'extensions des sens que nous avons perdues ou jamais atteintes, vivant par des voix qu'on n'entendra jamais.
Ils ne sont pas nos frères, ils ne sont pas nos subordonnés, ils sont d'autres contrées, prises avec nous dans le filet de la Vie et du Temps, compagnons prisonniers de la splendeur et de la fatigue de la Terre."

Henry Beston
("The Outermost House") 1925
"Nous avons besoin d'un autre concept plus sage et peut-être plus mystique des animaux. Loin de la nature universelle et vivant dans un univers artificiel compliqué, l'Homme dans la civilisation étudie les créatures à travers le prisme de sa connaissance et l'image déformée de ses croyances.
Nous les traitons avec condescendance pour leur incomplétude, pour leur tragique destin d'avoir pris forme tellement loin en dessous de nous.
Et en ceci, nous nous trompons, et nous nous trompons grandement car l'animal ne devrait pas être mesuré par l'Homme.
Dans un monde plus ancien et plus complet que le nôtre, ils évoluent finis et complets, dotés d'extensions des sens que nous avons perdues ou jamais atteintes, vivant par des voix qu'on n'entendra jamais.
Ils ne sont pas nos frères, ils ne sont pas nos subordonnés, ils sont d'autres contrées, prises avec nous dans le filet de la Vie et du Temps, compagnons prisonniers de la splendeur et de la fatigue de la Terre."

Henry Beston
("The Outermost House") 1925

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L"amour des animaux. Veterinaires et argent. Aimer n'est pas aider.

29 Décembre 2012, 06:21am

Publié par Jo Benchetrit

 

Je n’ai pas trouvé de statistiques sur l’ amour des animaux mais il me semble en essayant d’en évaluer à partir du nombre d’animaux des particuliers, près de 1/personne( on est dans les 50 millions d’animaux pour 65 millions d’humains) qu’une majorité de français diront qu’ils aiment les bêtes.

Ça pose la question du : qu’appelle t on aimer ?

En français particulièrement , où le mot aimer peut recouvrir aussi bien like(apprécier) que love (aimer d’amour) c’est déjà assez ambigu , ce mot d’amour.De   plus, aimer est soit oblatif soit narcissique, dit on classiquement. Ce  sur quoi Lacan a tranché : « L’amour est toujours narcissique. » Néanmoins on peut aimer de manière consciente de façon non prédatrice, voulant le bien de l’autre, comme on dit en italien : « te voilo bene ». Après, vouloir le bien n’est pas toujours aussi  clair que ça, si on n’est pas à l’écoute des besoins et désirs de l’autre, y compris celui d’être parfois tranquille.

Ceci dit, pour les animaux, paradoxalement, il arrive que ceux qui déclarent les aimer fassent beaucoup plus leur malheur que ceux qui  affichent à leur égard une froide indifférence. Du moins à l’égard des animaux de compagnie qui sont victimes de coups de cœur et de désamour,  plus de 500.000 seraient tués par an faute de maitre. On n’a pas les chiffres exacts pour différentes raisons dont les assassinats d’adultes, de chiots et chatons par leurs maîtres. Ce qui fait près de 2000 animaux euthanasiés après anesthésie ou pas, en cabinet ou dans les refuges surchargés qui « font de la place » pour en accueillir d’autres, à la chaine, ou tués de manière encore plus cruelle par particuliers ou même fourrières dont certaines pratiquent le gazage. Et ce fléau  touche toute race, tout âge, du chiot au pépère.   Le marché de la mort des animaux est florissant pour les vétérinaires qui se prêtent volontiers au jeu.Les mêmes peuvent afficher dans leurs vitrines des publicités pour des expositions canines ou félines, sans réaliser le moins du monde la contradiction entre tuer des chiens, des chiots et chatons  non désirés et en faire naître. Les animaux, à leurs yeux, ne sont-ils donc que choses consommables et jetables pour qu’ils ne réalisent   pas que leur responsabilité de vétérinaires est d’épargner des vies ? Est-ce donc une profession  sans déontologie ? La plupart, en plus, encouragent les maitres à faire faire une portée afin que je ne sais pas trop quoi, du style : « c’est bon pour leur santé. On arrivera toujours à les placer, surtout de race, et blabla. » Et tant pis pour les déjà nés. Eux, on  les tuera sans   plus d’état d’âmes. D’autre part, tout n’est pas rose pour les chiens et chats de race qui subissent beaucoup, entre le trafic et les élevages en batteries ou pas, le tout  effectué sans  aucun respect et qui occasionne beaucoup de pertes. C’est donc là que l’amour des bêtes peut être  bien plus toxique que l’indifférence de ceux qui ne vont pas alimenter ce terrible système.

Alors qu’il est urgent dans un tel contexte d’arrêter de faire naître et d’éponger les déjà nés, tout en préconisant dès que possible la stérilisation, on ne peut que se demander si le marché de la mort et de la naissance n’est pas trop lucratif puisqu'il fait oublier que  les  vétérinaires  pour certains ont choisi ce métier par amour des animaux. Et pas uniquement pour la magnifique aubaine  qu’ offrent bien des maîtres, prêts à tout payer , à juste titre d’ailleurs quand il s’agit de les soigner, pour l’amour de ces êtres-anges, eux qui nous sauvent bien souvent des difficultés à vivre dans un monde d’humains. 

 

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Vivement dimanche du 23/12/12. Drucker fait applaudir Laurence Ferrari dans un spectacle aficionado.

23 Décembre 2012, 15:15pm

Publié par Jo Benchetrit

Ferdinand pas dans la norme ne rêve pas de se faire massacrer dans une arène!

L'histoire de Ferrari montre que c'est une aficionada comme Duperey, sinon, elle ne dirait pas que  les taureaux aiment la corrida. Qui aime se faire trucider ?

C'est qd même clair, non? je suis choquée que ça ne saute pas aux yeux des spectateurs. Ferrari doit bien rire de s'être ainsi infiltrée et fait applaudir par des amis des animaux! Et j'avoue que c'est d'un ridicule inouï. Et de sa part c'est diabolique.

Parfois, la bêtise innocente dessert les animaux. J'ai laissé ceci, mais vous aussi devriez grogner: 

 

 Avec des marionnettes en fond, Ferrari et son mari au violon ont raconté l'histoire d'un toro, Ferdinand, qui, contrairement à ses congénères, ne voulait pas se battre!!!Mais "le plus grand rêve" de ses congénères était de se battre dans une corrida dans la grande arène de Madrid!!!
Là, on voit les marionnettes d'un toro ravi à la corrida!
Gasp.
La maman vache tolérante acceptait que Ferdinand soit différent des toros "normaux"...Le tout,  très ludique, pour enfants dès 2 ans.
je suis horrifiée que l'on puisse applaudir à des gens qui osent dire que la corrida, http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/9/93/Corrida_0019.jpgcette torture abominable imposée à de pauvres animaux par et pour des psychopathes, est désirée par les taureaux, et ce, de surcroît, dans une émission spéciale animaux.
 
clic contacts sur la droite.

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CATHERINE HUBBARD, 6 ans, rêvait d'offrir un refuge aux animaux.les victimes de Newton, du criminel Adam Lanza, avaient un visage.

21 Décembre 2012, 05:45am

Publié par Jo Benchetrit

http://cdn.abclocal.go.com/images/kgo/cms_exf_2007/news/national_world/kgo-catherine-hubbard-600-730.jpg


Crève -coeur! photos accessible  sur le net des pauvres petits massacrés par ce dingue americain, dont la mère inconsciente comme les parents de chasseurs...a pu sans le vouloir inciter au pire avec ses armes.
Une des victimes de NewtonCATHERINE HUBBARD6 ans, jolie petite rousse si "vivante",  rêvait d'offrir un refuge aux animaux.
C'est un peu notre petite soeur. Preuve que la mort est bien injuste...  tuant une adorable gamine au grand coeur, porteuse d'espoir de progrès humain.
Nous qui voyons tant d'horreurs, nous qui sommes temoins de tant d'injustices, nous qui savons qu'aujourd'hui seront  tués en plus des morts "normales"de la banalité hurlantes des abattoirs (30 millions/semaine rien qu'en france!!!!!!!!!) et des labos, des fourrières qui tuent de plus en plus jeunes animaux(500.000par an faute de maitres alors que les debiles sont en train  d'en acheter dans des animaleries, qui vont etre jetés après les fêtes!!!!, aujourd'hui, une serie de jeunes chiens en bonne santé de 1 an),  nous qui souffrons de ne pas être aveuglés par la megalomanie humaine, sa cruauté et sa bêtise incommensurable, et deplorons que le monde fait par les humains soit une série de monstruosités...nous, que je crois de vrais "humains", avons besoin que nos petites CATHERINE HUBBARD vivent! Le monde terrestre vivant n'a plus que l'espoir des enfants pour sa   survie...pas de ceux qui sont pollués par les ecoles de corrida, la chasse et autres traditions pourries.
Ceci est un appel aux dons au refuge de la ville:

Newtown shooting victim can be honored by donating to local animal shelter.. RIP to little CATHERINE HUBBARD..xox 
As a tiny community struggles to get through each day, the world watches. The stream of information released to the public has brought us from just a list of names to faces and now insight into who the victims were as individuals. Now we can more fully realize the magnitude of their loss. It becomes personal.

With the victims' lives taking shape before our eyes, there is bound to be one story that hits closest to home. For this writer, it is the little red-haired girl who reportedly wanted to open an animal shelter when she grew up. Six-year-old Catherine Hubbard's obituary mentions her "passion for animals" and calls for donations to a local animal shelter in lieu of flowers. 
CATHERINE HUBBARD'S OBITUARY- 
LINK: http://links.causes.com/s/clHu7w?r=fLlv

EXAMINER NEWS STORY - Dec 17th 2012 
http://links.causes.com/s/clHu7Q?r=fLlv

The animal shelter of choice is The Animal Center, located right in Newtown. There is a link to donate on their website, or you can mail your memorial gift to PO Box 475, Newtown, CT 06470. 
LINKS: 
http://links.causes.com/s/clHu77?r=fLlv
http://links.causes.com/s/clHu8x?r=fLlv

 

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Viard se lave les pieds.il est donc nazi. dial entre lui et M.Scharapan

18 Décembre 2012, 19:04pm

Publié par Jo Benchetrit

 

 

 

 

S'il devait ne rester qu'une phrase aux sadiques des arènes: 

nous ne sommes pas aussi dupes de vos blablas que vous.

Mon mail à Viard puis 

 

d'excellentes reponses  de Michele Scharapan, pianiste, à la mauvaise foi impuissante de Viard qui en serait pitoyable si j'avais assez de pitié pour un tortionnaire aficionado impitoyable.. Ils n'ont  pas d'arguments car il ne peut y en avoir aucun.i l y a plus d'arguments chez les exciseurs, à la limite, qui diront que c'est une obligation culturelle et ou religieuse par exemple.

 

Là, ils n'ont rien si ce n'est leur sale et ridicule jouissance.

Vous essayez de faire croire qu'il y a sur le net des infos d'accointance  entre  le tueur d'enfants A L. et PETA.

Ha bon? A 1° vue, je ne vois rien sur ce thème. Rumeur initiée par vous? 

De plus vous envoyez à une  amie une photo d'Hitler avec sa chienne 

avec cette mention qui se veut fatale: "lui aussi aimait les animaux."

 

Moi, je vais en faire courir une autre, de rumeur, aussi sophiste:

Hitler se lavait les pieds, il était nazi.  

 

 

Viard 

se lave 

sans doute

les pieds.  

Il est donc sans doute nazi. 

 

 

 

 

Ça montre que même si par ailleurs vous avez 

sans doute un cerveau, sur le sujet de défendre votre jouissance psychopathe, vous êtes 

dans  le desert, mon pauvre.

 

 

Par contre, vous le savez bien sûr, des etudes serieuses* montrent que helas pour tout le monde, et en premier pour ces pauvres bêtes harcelées par la pourriture humaine, la torture animale est dans la biograpie de tous les serial killers, ce qui ne saurait etonner que les anthropocentristes autistiques. Psychopathes de tous pays, unissez vos efforts pour trouver des arguments pour expliquer que non   seulement l'aficionado  est avec les animaux ce qu'il convient d'appeler un salaud, mais qu'en prime, il a raison...

My god! Que d'energie perdue pour rien.

Un conseil: assumez ce que vous êtes, ou changez.

Mais cet entre-deux est ridicule.

DItes le haut et fort: "je suis abject  et si ça vous plait pas, tant pis pour vous, j'ai une loi perverse pute à mes genoux."

ça, au moins c'est du psychopathe courageux.

 

Non, protéger les faibles des puissants sadiques n'est en rien nazi.

Regardez le nazi qui se faisait des juifs de sa fenêtre  au petit dej dans le film "La liste de Schindler". ça c'est du vrai salaud et ça ne cherche pas d'alibi à sa libido tordue.

comme les afioc, ça rit bien à chaque coup porté. Du haut de sa fenêtre, une belle place d'arène, voilà du bon et vrai, de l' authentique nazi pour qui l'autre n'est rien de plus qu'une cible de foire. Comme pour vous, un taureau n'a pas de sensations internes autre que de vouloir vous faire plus ou moins bander, c'est à dire à des années lumiere de sa veritable   subjectivité que vous imaginez de maniere délirante n'être qu'à votre service et heureux sous vos sévices. 

 

A ce stade de folie, je ne crois plus qu'on puisse changer... vous êtes prisonnier de cette jouissance archaïque indigne.

Rares  sont ceux qui s'en sortent et voient enfin l'animal pour ce qu'il est et pas ce qu'un afioc croit. 

C'est pourquoi, je le sais, ce mail est inutile.

S'il devait ne rester qu'une phrase: 

nous ne sommes pas aussi dupes de vos blablas que vous.

 

 VOICI LE DIAL, À LIRE EN PARTANT DU BAS:

 

 

M. Scharapan:

 

 

 

Hitler aimait SON  chien, pas les animaux!

Décidément, monsieur Viard , vous manquez de culture.. et d' arguments ! Hitler a fait euthanasier  TOUS les animaux appartenant aux  juifs..Et puis, ne dites vous pas aimer les taureaux que vous torturez ?? Allons, un peu de cohérence dans ce cas..vous avez mauvaise pioche sur toute la ligne !

 

Début du message réexpédié :

 

De : André VIARD Date : 18 décembre 2012 19:22:18 HNEC

À : Michèle Scharapan 

Objet : Rép : Réalité..et non fantasme taurin

 

 Hitler aimait les animaux

 

Le 18 déc. 12 à 17:32, Michèle Scharapan a écrit :

 

 

 

 

Monsieur,

 

 

 

SERIAL KILLER ET AMI DES ANIMAUX

 

 Selon une information qui circule sur la toile, Adam Lanza, le serial killer de l'école du Connecticut, serait un sympathisant du PETA, organisme anti taurin notoire très engagé dans la défense des animaux. Si l'information se vérifiait de manière officielle, elle illustrerait le danger induit par la défense à outrance des droits de l'animal au travers des mouvements anti spécistes. 

 

 

Votre  phrase ci-dessus, renseigne sur votre peur de voir votre divertissement sadique disparaître.  Aussi, je me permets, afin de tenter de remettre votre pensée à l' endroit, de vous donner  à lire ce rapport du FBI qui  lui a une véritable valeur , au contraire de votre pathétique divagation.

 

 

 Avec mes salutations, et bonne méditation sur l' analyse du FBI ..

 

Michèle Scharapan

www.michele-scharapan.com

 

 

 

*Cruauté envers les animaux et violence humaine

 

Les recherches en psychologie et en criminologie montrent que les gens qui commettent des actes de cruauté envers les animaux ne s’arrêtent pas là. Beaucoup d’entre eux reportent cette violence sur leurs semblables. Les spécialistes s’entendent tous sur le fait que les mauvais traitements infligés aux animaux et l’abus de l’homme sont étroitement associé dans le crime et sont des indicateurs d’une psychose dangereuse qui souvent dépasse celle faite aux animaux. L’humain, qui est capable de violence envers un animal, peut certainement l’être envers un être humain et c’est prouvé.

 

“Les meurtriers… ont très souvent commencé en torturant et tuant des animaux alors qu’ils étaient encore des gosses” selon Robert K. Ressler, qui a développé des profils de tueurs en série pour le FBI. Des études qui ont depuis convaincu des sociologues, législateurs et tribunaux, que les actes de cruauté envers des animaux méritent notre attention. Ils sont le signal d’une pathologie violente qui peut inclure des victimes humaines.

 

Un long parcours de violence

 

Maltraiter un animal n’est pas le simple résultat d’un désordre mineur de la personnalité, mais le symptôme d’une perturbation mentale profonde. Les recherches en psychologie et en criminologie montrent que les gens qui commettent des actes de cruauté envers les animaux ne s’arrêtent pas là. Beaucoup d’entre eux reportent cette violence sur leurs semblables.

 

Le FBI a constaté qu’un des traits de caractère, qui apparaît régulièrement dans les bases de données de leur ordinateur sur les violeurs et les meurtriers en séries, est qu’ils ont eu un passé de violences envers des animaux. Le manuel sur le traitement des désordres psychiatriques inscrit la cruauté envers les animaux comme un critère diagnostique de trouble du comportement.

 

Des études ont démontré que les criminels violents et agressifs ont plus souvent maltraité des animaux quand ils étaient enfants que des criminels considérés non agressifs. Une enquête, sur des patients psychiatriques qui avaient torturé à plusieurs reprises des chiens et des chats, montra que tous avaient aussi un taux élevé d’agressions envers les gens, dont notamment un patient qui avait assassiné un garçon.

 

Pour les chercheurs, une fascination de la cruauté envers des animaux est un signal d’alarme du comportement psychotique des violeurs et des tueurs en séries. Selon Robert Ressler, le fondateur de l’unité des sciences comportementales du FBI, “Il y a des gosses qui n’ont jamais appris que c’est mal d’arracher les yeux d’un chiot.”

 

Tueurs notoires

 

L’histoire est remplie d’exemples tristement célèbres : Patrick Sherrill, qui tua 14 collègues de travail dans un bureau de poste, avait dans son passé volé des animaux de compagnie de son voisinage, pour que son propre chien s’exerce à les attaquer et les mutiler. Earl Kenneth Shriner qui viola, poignarda et mutila un garçon de 7 ans, était notoirement connu dans son quartier comme l’homme qui mettait des pétards dans le rectum des chiens et pendait des chats. Brenda Spencer, qui fit feu dans une école de San Diego, tuant deux enfants et blessant neuf d’autres, avait déjà torturé à plusieurs reprises des chats et des chiens en mettant notamment le feu à leurs queues. Albert DeSalvo, “l’étrangleur de Boston”, qui tua 13 femmes, piégeait pendant son enfance, des chiens et des chats dans des cageots et les tuait en lançant des flèches à travers les trous. Carroll Edouard Cole, condamné aux meurtres de 35 personnes, déclara que son premier acte de violence fut d’étrangler un chiot quand il était encore enfant.

 

En 1987, trois lycéens du Missouri furent inculpés pour avoir battu à mort l’un de leur camarade de classe. Plusieurs années auparavant, ils avaient commencé à pratiquer des actes de mutilations répétées sur des animaux. L’un avait par ailleurs avoué qu’il avait tué tellement de chats qu’il avait fini par ne plus les compter. Deux frères qui ont tué leurs parents, avait précédemment raconté à leurs camarades de classe qu’ils avaient décapité un chat. Le tueur en série Jeffrey Dahmer empalait des têtes de chiens, des grenouilles et des chats.

 

Plus récemment, les deux lycéens assassins : Kip Kinkel 15 ans de Springfield et Luke Woodham 16 ans de Pearl avaient torturé des animaux avant de faire feu dans leurs écoles. Eric Harris et Dylan Klebold, les étudiants du Lycée de Colombine, qui ont tué 12 camarades de classe avant de retourner leurs armes contre eux, s’étaient vantés auprès de leurs amis, d’avoir mutilé des animaux.

 

“Il y a un point commun à toutes les fusillades de ces récentes années,” déclara le docteur Harold S. Koplewicz, directeur du Centre d’Études sur l’Enfance à l’université de New York. “Vous avez un enfant qui a des symptômes d’agression envers ses pairs, un intérêt pour les armes à feu, la cruauté envers les animaux, l’isolement social, ce qui fait beaucoup de signes d’avertissement que l’école a ignorés.”

 

Malheureusement, beaucoup de ces criminels déjà violents dès l’enfance continuèrent leurs actes de cruauté sans qu’aucun soin ou mesures ne soient pris - jusqu’à ce que leur violence soit finalement dirigée vers des humains. Selon l’anthropologue Marguerite Mead : “Une des choses les plus dangereuses qui puisse arriver à un enfant, est de tuer ou torturer un animal et de s’en sortir sans aucune punition.”

 

“Quelqu’un qui s’est habitué à considérer la vie de n’importe quelle créature vivante comme sans valeur, finit par penser qu’une vie humaine ne vaut rien”.

 

Comprendre et prévenir la cruauté envers les animaux ” pourraient sauver des vies humaines… et rompre le cycle de la violence

 

Les preuves de ce lien sont ‘incontestables’

 

‘Depuis 1987, les psychiatres admettent que la maltraitance des animaux est un symptôme important d’un comportement antisocial dans le présent et potentiellement dans le futur’ a expliqué Frank Ascione, professeur de psychologie à l’Université d’État de l’Utah et éminent pionnier dans l’étude du lien entre le mal fait aux animaux et la violence interpersonnelle. Ascione, qui s’est félicité de la tenue de cette conférence en y voyant `une étape décisive pour l’évaluation de nos connaissances actuelles sur ces questions’, l’a inaugurée en présentant la synthèse de trente ans de recherche sur ce lien.

 

Comme Frank Ascione l’a déclaré aux participants, des recherches montrent que la maltraitance des animaux est particulièrement répandue dans les foyers dans lesquels les enfants sont maltraités ou dans lesquels la femme est frappée par son compagnon.

 

Cette idée a reçu le soutien d’une autre spécialiste éminente, Eleonora Gullone, professeur associé de psychologie à l’université Monash, en Australie. Il est ‘incontestable que l’agression dirigée vers les animaux et l’agression dirigée vers les humains ne constituent pas deux comportements distincts : de façon prévisible, les deux comportements sont liés’ a-t-elle déclaré. `En fait, la maltraitance des animaux peut servir d’indicateur des autres types de violence avec une précision remarquable, qu’il s’agisse de la violence familiale, de la criminalité ou de la maltraitance des enfants.’

 

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Cruauté animale et violence humaine

 

Les spécialistes s'entendent tous sur le fait que les mauvais traitements infligés aux animaux et l'abus de l'homme sont étroitement associé dans le crime et sont des indicateurs d'une psychose dangereuse qui souvent dépasse celle faite aux animaux. L'humain, qui est capable de violence envers un animal, peut certainement l'être envers un être humain et c'est prouvé.

 

Prenez par exemple le cas des tueurs en séries, les enquêteurs du FBI après avoir consulté leurs dossiers ont trouvé que tous avaient un passé lourd de cruauté envers les animaux, sans exceptions.

 

Le Docteur Albert Schweitzer humanitaire a dit « Quiconque s'étant habitué à regarder la vie de n'importe quelle créature vivante comme si elle n'avait aucune valeur, risque dangereusement de se faire aussi à l'idée que les vies humaines sont sans valeurs. » M.Alan C.Brantley (agent du FBI) a dit : « Certains agresseurs tuent et blessent des animaux en pratique avant de s'en prendre aux êtres humains. »

 

TED BUNDY, le célèbre tueur en série qui a viola et tua plus de 40 femmes, avoua avoir été témoin pendant son enfance de la violence que son père portait aux animaux.

 

Il avoua par la suite avoir lui-même torturé des animaux.

 

THOMAS LEE DILLION, tueur en série, tua plus de 1000 animaux en se promenant en voiture et en tirant sur les animaux du Quartier.

 

Les sociologues, législateurs ainsi que les tribunaux sont tous convaincus sur le fait que les actes de cruautés perpétrés sur les animaux méritent toute notre attention. Elles sont les premières indications d'une pathologie de violence qui peuvent mener à la violence humaine.

Les agresseurs ou enfants qui abusent les animaux réagissent habituellement à la colère ou à la frustration avec violence et rage.

 

« Les tueurs commencent très souvent par torturer et tuer des animaux quand ils sont tout jeunes », selon Robert K. Ressler, qui a travaillé au FBI sur l'étude des profils des tueurs en série. Il mentionne aussi qu'il est très rare qu'un homme ayant porté des gestes de violences envers un animal ne s'en tienne qu'à ces derniers, plusieurs d'entre eux continuent leurs actes de violences sur les êtres humains.

 

Leur violence est directement dirigée au membre de la famille qui est le plus vulnérable soit l'animal de compagnie.

 

Comme disait Roberta Hacker de Femme en transition (agence de ressource et consultation) : «Les animaux deviennent un outil pour renforcir le sentiment de pouvoir des agresseurs ! »

http://www.kapricodesign.com/cdda/articles.htm#cruaute

 

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La relation entre la maltraitance animale et les tueurs en série

Information du FBI concernant la cruauté contre les animaux

 

Ces derniers 18 mois nous avons vu sept fusillades à l'intérieur des écoles: pour chacun de ces cas, nous avons appris que les auteurs de ces crimes avaient abusé, torturé et tués des animaux avant de passer à des victimes humaines.

Le FBI utilise des rapports de cruauté sur les animaux pour analyser le potentiel de supposés criminels violents

Les maîtres d'écoles, les pères et étudiants sont avertis et entrainés pour débusquer les symptomes alarmistes. De fait, le Département de l'Education des Etats Unis, publie un pamphlet où l'on étudie la cruauté sur les animaux et où on la définit comme étant un symptome d'avertissement sur un jeune potentiellement dangereux.

 

En 1993, le Congrès National PTA concluait: " Les enfants élevés dans des notions de justice, de compassion pour les animaux, deviennent plus justes, pleins de bonté et considérés par leur entourage. Le fait de le maintenir dans cette ligne de caractère, aboutira à en faire des êtres tournés vers les autres, plus humains, plus respectueux des lois, des citoyens de valurs."

 

Mai 1988/Springfield, Oregon: Kip Kinkel tua ses parents et deux compagnons de classe et en blessa 22 autres. Il avait déjà une histoire de crimes et tortures sur animaux, se vantant d'avoir "volé" une vache, tué chats et écureuils, en leur introduisant des pétards dans la gueule.

 

Mars 1988/Jonesboro, Ark.: Mitchell Johnson et Andrew Golden tuèrent au fusil quatre étudiants et un enseignant. Un ami avoua qu'Andrew, tuait de temps en temps quelque chien avec un rifle calibre 22

 

Décembre 1977/West Paducah,Ky.: Michael Carneal séquestra et tua trois de ses compagnons de classe pendant qu'ils étaient en prière.Il s'était déjà vanté auprès d'un ami d'avoir brûlé un chat sur un bûcher.

 

Octobre 1997/Pearl,Miss.: Luke Woodham cogna sur sa mère jusqu'à la tuer, sur ce il tua avec arme à feu deux compagnons de classe et en blessa plusieurs autres. Dans son journal intime il avait écrit qu'avec un ami, ils avaient écorché, brûlé et torturé son chien, jusqu'à le tuer.

 

Abus sur les humains et abus sur les animaux: un crime.

Les actes de violence sur les animaux ont été largement reconnus comme des indicateurs d'une dangereuse psychopathie qui ne s'arrête pas sur les animaux eux-mêmes.

 

" Quiconque qui a été habitué respecter la vie d'une quelconque créature vivante a des chances négligables d'en arriver à considérer la vie humaine comme négligeable elle-même", écrivit le Dr Albert Schweitzer.

 

En accord avec Robert Ressler, qui étudie les profils des tueurs en série pour le FBI: "Les tueurs en série petit à petit, commencent en tuant et en torturant les animaux dans leur enfance".

 

Ces etudes ont convaincu les sociologues, les hommes de loi et les cours de justice, que les actes de cruauté sur les animaux doivent attirer notre attention. Ces actes seront les premiers symptomes d'une pathologie violente, qui suppose des victimes humaines.

 

Les abus sur les animaux ne sont pas seulement le résultat d'une déficience mibeure de la personnalité de l'abuseur, mais plutôt un symptome d'une profonde perturbation mentale.

 

Les investigations de la psychologie et de la criminologie montrent que ceux qui ont commis des actes de cruauté sur les animaux ne s'arrêtent pas là, nombreux sont ceux qui passent à d'autres êtres humains.

 

Le FBI a démontré que les faits de cruauté sur les animaux sont un des traits qui apparaissent régulièrement dans leurs ordinateurs de statistiques, quand ils répertorient les antécédents des violeurs ou assassins en série. D'autre part le Manuel de Psychiatrie et Désordres Emotionnels répertorient la cruauté sur les animaux comme un critère de diagnostic pour les désordres de conduite.

Les études ont montré que les criminels violents et aggressifs sont plus à rapprocher des enfants ayant abusé des animaux que les criminels considéré comme non aggressifs.

 

Un examen psychiatrique effectué sur des patients qui ont régulièrement torturé des chats et des chiens, a démontré que tous présentaient des troubles importants d'aggression sur les gens, comme par exemple un patient qui avait assassiné un enfant. pour les investigateurs, . une fascination pour la cruauté sur les animaux est un signal d'alarme rouge dans la vie des vloleurs et assassins en série. Le fondateur de l'Unité de Sciences du comportement au FBI, Robert Ressler, a dit: " Ceux ci ont été des enfants qui n'ont jamais appris que c'était très mal d'arracher les yeux à un petit chien".

 

L'Histoire est pleine d'exemples notoires: Patrick Cerril qui tua 14 compagnons de travail et se suicida ensuite, harcelait son chien et mutilait d'autres mascottes.

 

Earl Kenneth Shirner, qui viola, poignarda et mutila un enfant de 7 ans, était connu par son voisinage pour introduire des pétards dans l'anus des chiens et tendre des chats.

 

Brenda Spencer qui mit le feu dans une école de San Diego, tuant deux enfants et en blessant neuf autres, avait abusé de chiens et de chats. Souvent elle leur mettait le feu à la queue.

 

Albert DeSalvo, "l'étrangleur de Boston", qui tua 13 femmes attrappait dans sa jeunesse des chiens et des chats qu'il enfermait dans les grues à oranges et leur tirait des flèches qui traversaient les cagettes.

 

Carroll Edward Cole exécuté pour 5 des 35 homicides dont il fut accusé, a dit que son premier acte de violence, quand il était petit, avait été d'étrangler un petit chien.

 

En 1987, trois étudiants du secondaire furent accusés pour avoir tapé un compagnon de classe jusqu'à le tuer? Tous avait régulièrement pratiqué des actes de mutilation sur les animaux de nombreuses années avant. L'un d'entre eux a avoué avoir tué tant de chats qu'il en avait perdu le compte.

 

Deux frères qui avaient tué leurs parents avaientb raconté avant à leurs compagnons de classe avoir décapité un chat

 

Le tueur en série Jeffrey Dahmer avait empalé des têtes de chiens, de chats et de grenouilles.

 

Plus récemment, Kip Kinkel en Springfield, Ore., et Luke Woodham, 16, en Pearl, Miss., deux assassins de 15 ans torturaient des animaux avant de devenir alcooliques

 

Les étudiants de Columbine High Scholl Eric Harris et Dylan Klebold qui tuèrent 12 de leurs compagnons de classe avant de se tuer eux-mêmes se vantaient d'avoir mutilé des animaux de leurs amis.

 

" Il y a quelque chose en commun à tous ces tireurs de ces dernières années" dit le Dr Harold S. Koplewicz, directeur du Centre d'Etudes de la Ninez, à l'Université de New York.

" Nous sommes en face de jeunes qui présentent des symptomes d'aggression pour leurs semblables, un intérêt pour le feu, de la cruauté envers les animaux et beraucoup de signaux que les écoles ont ignorés."

 

Tristement, beaucoup de cette violence infantile chez ces criminels n'a jamais été examinée, jusqu'à ce qu'elle se retourne sur les humains. L'anthropologue Margaret Mead dit " une des choses les plus dangereuses qui puisse arriver à un enfant c'est de tuer un animal et de l'assumer.

 

J'en déduis que l'abus domestique est dirigé vers le plus fragile, l'abus d'animal et l'abus des enfants vont de pair.

 

Les parents qui nient à l'animal l'attention appeopriée ou abusent d'un animal, abusent aussi et négligent leurs propres enfants

 

Sur 23 familles britanniques, avec un vécu de négligence envers les animaux, 83% étaient identifiés par les experts comme à risques d'abus et de négligence

 

Une étude sur les femmes battues montre que 57% d'entre elles disaient que leur conjoint maltraitaient ou battaient les animaux. Une sur quatre disait rester avec son conjoint violent par peur de laisser ses mascottes avec lui

 

Bien que l'abus sur les animaux soit un signe important d'abus sur les enfants, le père n'est pas toujours celui qui harcèle l'animal. Les enfants qui abusent des animaux, souvent, répètent la leçon apprise à la maison: et comme leur père ils répondent à l'angoisse et la frustration par la violence. Sa violence est dirigée vers l'unique être de la famille plus vulnérable encore que lui-même: l'animal.

 

Un expert a dit: " les enfants de foyers violentes se caractérisent par leur participation à des bagarres", dans lesquelles il peuvent mutiler ou tuer un animal. Assurément, la violence domestique est la base la plus commune pour la cruauté infantile contre les animaux.

 

C'est une certitude partagée entre psychologues que la cruauté contre les animaux est un des meilleurs exemple de la continuité des perturbations psychologiques de l'enfance à l'âge adulte. En bref, un diagnostic détaillé pour évaluer la cruauté infantile sur les animaux devra être bien établi et se faire conjointement avec le Collège de Médecine Vétérinaire de l'Université de Cornell

 

Ecoles, parents, communautés et Cours de justice qui considèrent l'abus sur les animaux comme un "délit mineur" ignorent UNE BOMBE A RETARDEMENT

 

Par contre, les communautés qui appliquent des peines sévères contre les abuseurs d'animaux, examinent les familles, recharchent d'autres signes de violence et feront intensément appel à un consultant pour les personnes concernées

Les communautés doivent reconnaître que l'abus d'une QUELCONQUE être vivant est inacceptable et constitue un danger pour tout le monde

En 1993, la Californie fut le premier état à passer une loi, l'accusation officielles de contrôle animal, pour contrer les abus infantiles.

 

Le rapport d'abus est déjà dans les législations du Connecticut, Washington, DC. Une législation similaire a été introduite en Floride. L'abus sur les animaux de compagnie est un signal d'alarme de l'abus des membres à "deux pattes" de la famille dit le représentant Steve Effman. " Nous ne pouvons plus jamais ignorer cette connection".

 

Après une étude approfondie des liens entre l'abus animal et l'abus humain, deux experts ont conclu: "L'évolution d'une majorité de gentils dans la société humaine doit alors être aidée par notre promotion d'une éthique plus positive entre les enfants et les animaux".

http://www.veganimal.info/article.php3?id_article=493

 

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Crimes envers les animaux et crimes envers les humains

 

Le Centre national pour l’étude des crimes violents du FBI prend très au sérieux le lien entre cruauté envers les animaux et violence envers les humains. Alan C. Brantley, agent spécial du FBI aujourd’hui à la retraite, a évoqué une liste qu’il avait élaborée à l’attention des agents chargés du maintien de l’ordre pour l’évaluation des individus soupçonnés d’être dangereux. Il était révélateur de constater que la moitié des 16 traits de caractère qu’il avait identifiés chez les délinquants violents étaient liés à la maltraitance des animaux.

 

Comme l’a déclaré Jack Levin, célèbre professeur de sociologie et de criminologie à l’Université Northeastern de Boston, dans un discours intitulé “Le lien entre la maltraitance des animaux et les meurtres en série à caractère sadique”, la plupart des criminologues admettent que la violence exercée contre les animaux permette de prédire une violence future envers les animaux et envers les gens.

 

Il a appelé les décideurs publics et les responsables d’éducation à apporter une aide à tous les enfants qui font du mal aux animaux. ‘Ce faisant, nous limiterons aussi la cruauté envers les animaux.’

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On tue un enfant. Le père Noël est une ordure: il n'a pas empêché le geste du tueur d'enfants du Connecticut.

15 Décembre 2012, 10:14am

Publié par Jo Benchetrit


http://www.lepoint.fr/images/2012/12/15/adam-lanza-933387-jpg_780390.JPG

Le tueur americain en 2005. Adam Lanza. "si ce n'est toi, c'est donc ton frère." Bizarre en fait, dans une telle histoire, qu'on ait cru que le tueur était Ryan, son frère, dont i aurait porté le spapiers, celui qui a diagnostiqué son frere Adam  autiste. S'il le dit..."Le tireur présumé avait d'abord été identifié par les médias américains comme étant Ryan Lanza, 24 ans, le frère d'Adam, car ce sont les papiers d'identité de l'aîné qui ont été retrouvé sur le corps du tueur."

http://www.lepoint.fr/monde/fusillade-de-newtown-qui-est-adam-lanza-le-tueur-de-l-ecole-primaire-15-12-2012-1583755_24.php

  Le probleme est plus social. De quoi ce tueur est il le symptôme?

"Ce qui est forclos du symbolique réapparaît dans le réel." Lacan.

Dans la psychose, c'est le nom du père qui  est forclos.

"On tue un enfant"  est un fantasme décelé par Serge Leclaire.
C'est l'enfant mort symboliquement pour que nous puissions grandir. C'est donc le moi archaïque, cet enfant merveilleux du  narcissisme primaire quand nous étions dans les bras de notre mère, le véritable paradis perdu. C'est l'enfant du fantasme de toute-puissance, celui qui vous cloue à un âge régressé, celui dit par Leclaire et d'autres psy 
"l'enfant merveilleux" car aimé, admiré, désiré,jouissant sans interdit, dieu adoré des adultes, Narcisse him-self, sa majesté le bébé. C'est cet enfant que tout adulte doit tuer en lui,. A nous de faire le deuil du moi tout-puissant, qui est en realité  impuissant sous la coupe de  son Ça, lieu des pulsions.  

Abandonner la jouissance infantile sans la contrainte de l' interdit,  c'est ça devenir adulte. Y revenir, c'est le retour du refoulé, c'est plonger dans la barbarie.
http://nanojv.files.wordpress.com/2012/03/mohamed-merah-tueur-denfants2.jpg

La gueule hilare du tueur d'enfants Mohamed Merah que vous voyez là, c'est le reflet de ça, ce Narcisse qui se pense si beau et qui est si horrible et révulsant au niveau de sa jouissance indigne. Autant dire que le moi se confond là avec le ça, dans cette hideuse grimace qu'on n'a pas de mal à imaginer quand il tuait à tour de bras ceux qu'il avait decidé de haïr. 

C'est ce qui se voit dans le visage et le regard des aficionados, toujours si légers, rendus agréables et sociables par ce charme irresistible  de l'enfant du narcissisme primaire qui , chez eux, a fait retour  et s'est intallé par le biais du fascinant pervers, celui qui s'autorise ce qui est interdit, ce qui est mal. "Insoutenable légèreté de l'être"(très beau livre de Kundera). INTOLERABLE LEGERETÉ ETHIQUE.

LES BARBARES sont parfois PLAISANTS sans le poids que traînent ceux qui savent ce qu'est la responsabilité, la culpabilité, la souffrance d'autrui, ceux qui savent que l'homme pervers est une plaie, et qu'il est tout sauf adulte, tout sauf innocent. Enfin, tant quon ne les conteste pas car alors,ils sont méchants, car confrontés à leur effoyable vide, leur misère. AInsi nous sommes boien spuvent déçus de savoir certains afiocs, comme Arditti, Yves Calvi, pas mal de latroupe du Splendid, des gens   sympas, sans soucis...et pour cause qu'ils ont leur conscience tranquille comme celle dun bébé puisque dans le déni.

Mais il n'en reste pas moins que chez nous tous, ceux qui passent la limite, ceux qui transgressent, nous attirent. En effet, le mal attire, puisqu' il est précisément ce qui est désiré,  comme l'illustre par exemple l'attrait de l'histoire de Dracula. Bataille dit que la jouissance c'est la transgression. Et de la bouche d'un amateur de barbarie, puisque aficionado, on peut lui faire confiance: ce pervers savait de quoi il parlait.

La croyance en soi et en son charme irrésistible est la preuve que ces êtres ne savent pas lâcher leur jouir pour entrer dans  l'ère douloureuse mais constructrice du désir non assouvi et interdit s'il nuit à d'autres que soi. Et , en échange, une joie profonde, née au sein du desespoir de l'echec face au tsunami de la vilenie humaine, celle du devoir accompli,celle, sereine, qu'ont ressenti les justes. 


 On n'a pas encore la bobine recebnte du tueur américain, ADam lanza. Il est plutot Adam Lanza...Attendons. On l'imagine, à partir de ce qui est dit sur lui, moins expansif, moins heureux de lui que Merah, mais aussi certain  d'avoir raison, que ses revendications sont justes, que sa haine etait méritée, sa punition des autres d'inspiration d'obédience quasi- divine. Des barbares en toute innocence. 


Le tueur avait peut être un sentiment de jalousie car sa maman le « trompait » avec  d’autres enfants ? Elle  ne pourra plus s’en occuper, en tous cas, puisqu'il l’ a tuée, elle d'abord. Et pour être certain que même si elle revenait, il n’y aurait plus d’enfants, il a  tué ses élèves. On ne prend jamais assez de précaution.

 

Le fait est que sa  tuerie soulève le problème  de la liberté de posséder des armes aux USA.
Les anti-armes aux USA perdent, même si des milliers de personnes sont massacrés par des dingues chaque année. Force est de déplorer que, comme en France contre le foie gras, la fourrure, les corridas sanglantes et perverses, la vivisection représentée par le gluant Téléthon, les cirques  avec animaux,  être contre le lobby des armes aux USA est  un combat perdu d’avance. La bêtise et la cruauté sont les 2 mamelles de l’humanité.
La pulsion  de mort, partout, est plus forte que la raison et que le cœur.

En admettant que ce garçon ait été autiste comme le dit son frère, la société est responsable  de permettre la possession des armes apparemment par n’importe qui, même si il y aurait des restrictions, dont les problèmes mentaux graves.

Et pendant ce temps-là, hélas, les rodéos crèvent des animaux, les barbares abattoirs industriels de Ford battent leur plein, et, hélas, aucun « dingue » ne va se défouler là où il y a de vrais salauds plutôt que contre d’ encore innocents petits qui ont râté tous leurs Noël  et ceux de leurs ex-futurs enfants. 

 

Pourquoi la Pulsion de mort marche-t-elle si bien dans un monde où l'amour de la vie est proclamé  sur tous le modes, y compris celui de la haine de la  vieillesse?

L'homme est pris entre desir de jouir comme l'enfant merveilleux mais barbare et murir donc se savoir mortel pour être viable et vivable.

 C'est pourtant l'enfant narcisse qui gagne avec l'aval de la loi, bien souvent. Pourquoi les états s'y plient-ils?
Mais  parce que le désir monstrueux est plus fort que celui de construire et de vivre!

Peutêtre pourriez vous vous dire...

Vous êtes tous complices de ce qui est sur terre. Formule mélancolique mais ô combien véridique.
Alors, au lieu de pleurer des larmes de Tartuffe, que chacun s'insurge une bonne fois contre sa propre cruauté. Et puisque Noël arrive, boycottez les lieux et produits de Thanathos, comme les cirques avec animaux et autres choses produits de la  terreur humaine.
Foie gras, viande,lait, oeufs etc.
Le jour où le mot "respectons les vivants" sera notre mot d'ordre, ça ira déjà mieux.

Mais oui, je sais, je vous vois sourire. Vous vous dites que n'y êtes pour rien. Vous devriez vous demander si, au fond, vous n'êtes pas vous aussi des barbares en toute innocence. Les plats des fêtes de nouvel an et de Noël en témoignent pourtant, regorgeant d'animaux torturés.

NON? Ben, excusez moi, mais je fais mon boulot: la mission de la psychanalyse est de retrouver le Réel masqué par nos affects et blablas.

Ceux qui défendent les animaux des griffes vampiriques de l’enfant merveilleux du narcissisme humain savent que c’est d’autant plus difficile qu’il s’agit de se mêler de quelque chose d’intime : la jouissance de chacun. Dans le champ du rapport aux bêtes, l’enfant merveilleux du narcissisme peut jouir là sans limite à causes des lois perverses faites sur mesure pour le monstre en soi. Nous, car je m’inclus en tant que psychanalyste dans ce combat,  demandons aux hommes de renoncer à leur jouissance primaire, de la transformer, de la sublimer. C’est cette renonciation, le meurtre symbolique de l’enfant merveilleux du narcissisme en soi. C’est aussi bien  ce qu’on nomme la castration symbolique.

C'est par cette issue que le symptôme  cesse de harceler le sujet et ceux qui pourraient être sa victime.

Le rôle de la cure est de tuer cet enfant où le patient a régressé et qui le rend malheureux , lui d'abord, non sans affecter ses proches et d'autres. Le symptôme est trans-individuel.
A défaut de tuer cet enfant de manière symbolique, les tueurs d'enfants les tuent de manière réelle. "Ce qui est forclos du symbolique réapparaît dans le réel." Lacan. Et j'irai jusqu'à dire que les tueurs d'animaux sont des tueurs d'enfants. Abraham n'en est-il pas la preuve? 

Le père de la civilisation monothéiste qui est la nôtre est présenté comme ayant pu admettre comme normale une demande de Dieu de tuer son 1° né, eu après bien des efforts... Cette terrifiante demande (finalement fausse, une sorte de test pour mesurer l'amour, la foi, ou la crédulité au choix)vise à montrer l'abjection des sacrifices qui étaient usuels à l'époque.

Mais l'homme est incurable, et, bien que Dieu ne le lui aie pas demandé, il a tué ensuite un pauvre bélier qui passait par là, croyant sans doute que Dieu voulait du sang là où il demandait une preuve d'amour en lui faisant accepter le sacrifice d'Isaac, et en retour, dieu a montré son amour pour Abraham, en  refusant ce sacrifice. "Je te demande de refuser ce que je t'offre, parce que ce n'est pas ça". Lacan.

Jouissance, quand tu nous tiens... C'est sur cet état régressif que notre espèce s'est installée avec des lois qui nous protègent les uns des autres, mais pour l'enfant permanent que la culture nous impose d'être, il y a peu d'espoir de devenir vraiment non nuisible.

Tant que tuer un boeuf sera considéré comme moins grave que de tuer les mêmes que soi, je crains que cette injonction ne nous pervertissent à jamais et que les Merah et autres tueurs aient de beaux  "jouirs" devant eux. Car en effet, il s'agit bien de notre ennemi intime, le difficilement dépassable narcissisme. Les mêmes que soi qui m'aiment assez pour ne point me tuer sont, du coup, les plus dangereux si la paranoïa, comble du narcissisme, s'en mêle! 

Oui, paradoxe, c'est la meilleure façon  pour se mettre en danger,et aboutir à ce qui est aujourd'hui deploré:le meurtre des autres, vécus soit comme différents soit comme trop comme soi, donc rivaux et à tuer aussi.
Fermer la porte à son narcissisme, à son amour exclusif  de soi , c'est triste par certains côtés, mais n'est-ce pas au final ouvrir la porte vers le monde, vers la vie de tous les possibles, sauf celui qui nous renvoie à nous retrouver dans l'antichambre, piège aux illusions et à la haine, derrière la porte de la barbarie, perversion de chaque pore dit polymorphe?

Fermer la porte de ce qui nous rend barbare, n'est-ce pas le rêve poursuivi depuis longtemps par les hommes dits de bonne volonté? Il est temps de s'interroger sur leur échec qui est aussi le nôtre.

Sophocle (né il y a plus de 2000ans en 495 avant JC) disait déjà:"Bêtise est bien souvent soeur de cruauté".

Pourquoi s'étonner alors que l'homme le plus intelligent devienne simplement idiot quand il jouit cruellement?

Ceux qui croient que le devoir de mémoire suffit à ce que "plus jamais ça"oublie que le devoir de réfléchir doit y être associé.

C'est dans cette mouvance que je m'inscris.  Après ce qui a eu lieu, il me semble clair que

le devoir de tout civilisé est de faire en sorte de trouver comment le rester. Mine de rien, je crois que c'est très difficile mais encore plus, je cois surtout qu'il faut trouver comment le DEVENIR,civilisé. Je pense que le rapport hors loi  aux bêtes nous en eloigne. A vous de me prouver que je me trompe...

 Le concet de "banalité du mal" d'Hannah Arendt doit désidéaliser le diable.Il n'est pas plus interessant que le banal rond de cuir grisâtre Eichmann   ayant occupé une grande place dans l'execution et même la conception de la solution finale.
 

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Une manif contre le handballer Guynel Pintor , Tortionnaire de ses chiens....HA! faut dire que les Antilles sont n° 1 de la maltraitance animale de France.

28 Novembre 2012, 22:45pm

Publié par Jo Benchetrit

Déshonorant pour la France d'avoir un tel  sujet  psychopathe  s'en tirer avec une sanction ridicule vu ses crimes. Il a martyrisé de nombreux chiens. Mais n'écope  pas d'1 seul jour de prison ferme...quel laxisme écoeurant!Deux rescapés rendus invalides sous les coups et un troisième mort sous la torture, enfermé dans un sac poubelle retrouvé dans une rivière de Sélestat...

Je transmets:

Mercredi 28 novembre 2012

CHIENS GUYNEL PINTOR TORTIONNAIRE

 

Pintor dehors ou repens-toi !

 

Une nouvelle manifestation contre le joueur Gynel PINTOR est annoncée lors des rencontres de D1 NANTES - SELESTAT les 11 et 12 mai 2013.

En quelques jours, 9228 personnes précisément ont lu les deux pages consacrées les 24 et 25 novembre 2012 au tortionnaire de chiens Guynel PINTOR, maillot 15 indésirable du SELESTAT ALSACE HANDBALL club. Depuis sa création, il y a moins d'un, c'est un chiffre rarement atteint par un petit blog comme Animalus recevant une moyenne de 450 visiteurs uniques par jour avec des pics plus élevés. Sans compter les milliers de partages sur les réseaux sociaux, on peut dire que PINTOR a fait fort ! 

Comment, en effet, trouver des circonstances atténuantes, excuser et pardonner l'acharnement barbare  que Pintor a exercé à l'encontre de ses propres chiens ? Deux rescapés rendus invalides sous les coups et un troisième mort sous la torture, enfermé dans un sac poubelle retrouvé dans une rivière de Sélestat...

Ces actes de cruauté répétés n'ont pas échappé aux protecteurs des animaux depuis la récente et faible condamnation de Pintor par le tribunal correctionnelle de Colmar à 4 mois de prison avec... sursis. La prison ferme lui aurait valu le banissement de son club. Une justice qui aurait tenu compte de la notoriété de Pintor, espoir montant du handball français ? 

Rassemblement citoyen contre Guynel Pintor

De mémoire de sportif, on n'a jamais vu un Pintor sur un terrain !   Pour mettre un terme à sa carrière de tortionnaire PRO et de joueur sans valeurs morales, toute la France se mobilise contre cet individu qui souille le handball, la ville de SELESTAT et la Protection Animale.  Son club a décidé de l'écarter de l'entraînement des jeunes joueurs mais pas du banc de touche. Des cyberactions sont en cours et, après les Alsaciens, ce sont les Bretons qui s'affairent à préparer à PINTOR un accueil digne de son pedigree en mai 2013. A cette occasion, un site citoyen a été créé : Rassemblement contre Guynel Pintor à Nantes. 

De nombreuses rencontres sont encore au programme du championnat de France de la D1: CHAMBERY, TOULOUSE, CESSON-RENNES, TREMBLAY, BILLERE, DUNKERQUE, MONTEPELLIER, AIX... et bien-sûr à SELESTAT où le SAHB, actuellement en 9ème place sur 14, recevra encore PARIS, CRETEIL, SAINT-RAPHAËL, IVRY selon le calendrier officiel ici :

http://www.ff-handball.org/competitions/championnats-nationaux-mf/d1m/resultats.html

La polémique sur HAND-PLANETE : réunion Pintor le 30 novembre !

Son club entreprend des démarches de "rachat" auprès de la SPA de Ebersheim qui n'avait certainement pas les moyens d'aller en appel vu qu'elle lance des SOS nourriture pour ses chats. Mais ne nous y trompons pas,  cela reste une initiative de blanchiment d'image du club pas de Pintor, devenu un personnage détestable même si certains lui trouvent des excuses aberrantes de type "erreur de jeunesse", à 21 ans ! Il ne s'agit pas seulement de cruautés "sur son chien" car il n'a été condamné que pour la dernière affaire sur son Berger Malinois. Trois animaux connus ont été martyrisés et son Sharpei en est mort. Voici le communiqué du SAHB publié aujourd'hui sur le site Hand-Planète :

Sélestat Alsace Handball

"Bonjour,

Reconnu coupable d’actes de cruauté sur son chien, Guynel Pintor, joueur du SAHB, a été condamné à quatre mois de prison avec sursis et 3800 € d’amende par le tribunal correctionnel de Colmar. N’ayant pas été l’objet d’un appel ni par le joueur ni par la SPA -qui avait porté plainte- cette sanction est devenue définitive lundi 26 novembre 2012.
Le club rappelle que Guynel Pintor a assumé devant la justice l'entière responsabilité de ses actes et que son club, ses dirigeants, ses joueurs et supporters ne peuvent être tenus partis prenante au regard des actes regrettables qu'il a commis.

 
L’ensemble du club condamne fermement les actes commis et ne les cautionne aucunement. Les faits reprochés à Guynel Pintor étant strictement liés à sa vie personnelle, le club, ayant consulté son avocat, ne prendra pas de sanctions disciplinaires à l’égard du joueur.

 

Cependant, face à ces événements, le club a décidé d'agir en respectant le cadre imposé par la loi française et, au lendemain de la condamnation de Guynel Pintor, a convoqué le joueur afin de lui signifier sa profonde désapprobation à l’égard de son comportement inqualifiable.

 

Le club a aussitôt demandé au staff médical de mettre en place une prise en charge psychologique pour l’intéressé avec un accompagnement permanent.

 

Le Club a également sollicité le Président de la SPA locale pour mettre en place une action commune en faveur de la cause animale. Une réunion se tiendra à ce sujet ce vendredi 30 novembre. 


Par ailleurs, même si Guynel Pintor a toujours été très apprécié des enfants et les témoignages des parents sont nombreux à le confirmer, le club a décidé de suspendre jusqu'à nouvel ordre toute intervention de M. Pintor auprès des jeunes.

Cordiales salutations."

Ne manquez pas de donner votre avis courtois ici : http://www.hand-planet.com/Polemique-Pintor-Selestat-frappait-son-chien_a18955.html 

Pétition ou repentir sincère ?

L'initiative d'une pétition est à l'étude pour demander à la FFB, fédération française de handball son exclusion définitive des clubs, même s'il n'a pas commis de faute professionnelle. A moins que PINTOR ne fasse un communiqué de presse personnel dans un journal sportif, qu'il demande pardon à ses chiens en les nommant  ; pardon à toute les associations de protection animale ; qu'il annonce et effectue un don ou partenariat auprès de la SPA DE MOYENNE-ALSACE à Ebersheim qui a reccueilli sa dernière victime sanglante ; enfin, que PINTOR parraine officiellement un refuge de protection animale qui pourrait être le RSP MARTINIQUE, département dont il est originaire, et lui verse des subsides sur ses royalties, d'ailleurs déductibles des impôts. Mais que tout ceci ne soit pas téléguidé par un club terni qui veut redorer son blason !

C'est sans  doute à ces conditions que les défenseurs des animaux le laisseront tranquille. Mais PINTOR aura-t-il le courage de faire face honnêtement à ses adversaires et de faire amende honorable publique ? Pintor a des choix  à faire : c'est lui seul qui voit, son club ne peut pas et ne doit pas le faire à sa place. 

Pour prendre exemple sur des toréros repentis dont Alvaro MUNERA (une page d'Animalus du 24 août 2012 toujours très lue), celui-ci a demandé pardon officiellement, bien que la corrida soit une immonde tuerie légalisée, et consacre désormais sa vie à protéger les animaux depuis son fauteuil roulant.  

Repentir : Anti corrida un toréro au grand coeur Alvaro MUNERA raconte...

http://animalonestmal.over-blog.com/article-anti-corrida-un-torero-au-grand-coeur-alvaro-munera-raconte-109364681.html

Lire en rubrique spéciale "Guynel Pintor bourreau" : 

Le 24 novembre 2012 http://animalonestmal.over-blog.com/article-selestat-animalsace-manifestation-contre-guynel-pintor-handballeur-tortionnaire-de-chiens-impuni-112784270.html

Le 25 novembre 2012 http://animalonestmal.over-blog.com/article-selestat-67-handball-le-bourreau-de-chiens-guynel-pintor-a-eu-des-visiteurs-en-colere-112822946.html

RSP Martinique Respecter Soigner Protéger :  

http://www.rspmartinique.org/#Accueil.E

Alerte nationale à toutes les associations !

Les cyberactions se poursuivent sur le mode crédible "fair-play".  

Merci de votre modération et participation.

https://www.facebook.com/RassemblementContreGuynelPintorANantes?ref=hl

Bien amicalement,

Cerizette

Le 28 novembre 2012

 

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Contre l'admiration pour le style de Celine, n'oubliez pas le réel atroce qu'il a provoqué avec ses potes.

26 Novembre 2012, 18:41pm

Publié par Jo Benchetrit

http://www.musees-franchecomte.com/gallery_images/site_1/102/750/3094/affiche-petain-musee-resist.jpg

<Celine, grand écrivain? Mais à ce stade, on ne peut pas lui décerner de  lauriers, Too much est trop 

 

OUI, Je suis PLUS FRANÇAISE que lui.Je n'ai pas offert la France et son honneur, ainsi qu'une partie des français aux allemands et à leurs bourreaux, moi!

Je rappelle que cette putain de Petain n'était plus maréchal pour   crimes contre l'humanité.
On l'a degradé et c'est...dégradant pour celui qui le dit de lui rendre ses galons perdus dans le fleuve de sang de ses victimes.

 

Son exposition sur "le" juif et la France a montré une galerie de portraits et caricatures  assez immondes "du" juif montré comme le plus laid possible...tels que le  décrivait l'horrible Bagatelles* pour un Massacre de Celine. Donc, M. l'abject  Petain et votre fan le parano Celine, si vous me lisez d'où vous ne pouvez pas plus pourrir que vous l'etiez dejà, sachez que les mannequins les plus recherchés sont certes, réjouissez vous, les aryens scandinaves,mais aussi les israéliens.

On est loin de vos fantasmes:http://jssnews.com/wp-content/uploads/2009/12/item_img_zoom_1907_fr_expo_juif_france-215x300.jpg

 



http://alyaexpress-news.com/wp-content/uploads/2012/07/mia-Kirshner.jpg

comme:
L'actrice canadienne vraiment jolie : Mia Kirshner

Mecs: j'aime bien Mahler!

ou
*Voici des extraits de la 13° partie du honteux délire de Celine:

La 14eme partie de "BAGATELLES POUR UN MASSACRE"

de LOUIS-FERDINAND CELINE est ICI

et ICI ses autres pamphlets.


"S’il faut des veaux dans l’Aventure, qu’on saigne les Juifs ! C’est mon avis ! Si je les paume avec leurs charades, en train de me pousser sur les lignes, je les buterai tous et sans férir et jusqu’au dernier ! C’est la réciproque de l’Homme.
Je voudrais qu’il soit proclamé, pour que le peuple sans vertèbres, dit français, retrouve un peu son amour propre, absolument conclu, certain, trompeté universellement, qu’un seul ongle de pied pourri, de n’importe quel vinasseux ahuri truand d’Aryen, vautré dans son dégueulage, vaut encore cent mille fois plus, et cent mille fois davantage et de n’importe quelle façon, à n’importe quel moment, que cent vingt-cinq mille Einsteins, debout, tout dérétinisants d’effarante gloire rayonnante... J’espère que l’on m’a bien compris ?..."
"Tout de même, il suffit de regarder, d’un petit peu près, telle belle gueule de youtre bien typique, homme ou femme, de caractère, pour être fixé à jamais... Ces yeux qui épient, toujours faux à en blêmir... ce sourire coincé... ces babines qui  relèvent : la hyène... Et puis tout d’un coup ce regard qui se laisse aller, lourd, plombé, abruti... le sang du nègre qui passe... Ces commissures naso-labiales toujours inquiètes... flexueuses, ravinées, remontantes, défensives, creusées de haine et de dégoût... pour vous !... pour vous l’abject animal de la race ennemie, maudite, à détruire... Leur nez, leur "toucan" d’escroc, de traître, de félon, ce nez Stavisky, Barmat, Tafari... de toutes les combinaisons louches, de toutes les trahisons, qui pointe, s’abaisse, fonce sur la bouche, leur fente hideuse, cette banane pourrie, leur croissant, l’immonde grimace youtre, si canaille, si visqueuse, même chez les Prix de Beauté,  l’ébauche de la trompe suceuse : le Vampire... Mais c’est de la zoologie !... élémentaire !... C’est à votre sang qu’elles en veulent ces goules !... Cela devrait vous faire hurler... tressaillir, s’il vous restait au fond des veines le moindre soupçon d’instinct, s’il vous passait autre chose dans la viande et la tête, qu’une tiède pâte rhétorique, farcie de fifines ruselettes, le petit suint tout gris des formules ronronnées, marinées d’alcool... De pareilles grimaces comme l’on en trouve sur la gueule des Juifs, sachez-le, ne s’improvisent pas, elles ne datent pas d’hier ou de l’Affaire Dreyfus... Elles surgissent du fond des âges, pour notre épouvante, des  tiraillements du métissage, des bourbiers sanglants talmudiques, de tout l’Apocalypse en somme !...
Malheur au damné ! Crève donc animal impossible !... Rebut ! Tu ne sursautes même plus d’effroi à la vue de tels monstres ! Tu ne vois pas ta torture et ta mort inscrites, ravinées sur ces hures ? Quel miroir te faut il donc ?... Pour voir ta propre mort ?... Toutes les laideurs veulent dire toutes quelque chose. Regarde ! Puisque tu es trop fainéant pour lire dans les livres, déchiffre au moins apprends à lire sur la figure des Juifs l’arrêt qui te concerne, personnellement, l’Arrêt, l’Annonce vivante, grimacière, de ton massacre.
Nous avons mille fois, cent mille fois pire que les Fermiers
Généraux. Nous avons les Juifs et les francs-maçons.
Juifs ! Fixe ! Vous crevez pas l’imagination !
Vous l’avez lourde et gaffeuse
Je ne suis pas le cagoulard N°1
Je ne suis pas payé par Goering.
Ni par Musso ni par Tardieu !...
Ni même par Mr. Rothschild ! (Tout est possible)
Je ne suis paye par personne...
Je ne serai Jamais paye par personne.
Je ne veux fonder aucun parti.
Je ne veux pas monter sur l’estrade.
Je ne veux dominer personne Je n’ai pas besoin d’argent.
Je n’ai pas besoin de puissance
Vraiment je n’ai besoin de rien.
Mais je suis chez moi, et les Juifs m’emmerdent
Et leurs manigances me font chier
Je le dis tout haut, à ma manière...
Comme je le pense.
Repos !
Fixe !... Si l’on refoulait tous les Juifs, qu’on les renvoie
En Palestine avec leurs caïds francs-maçons – puisqu’ils s’adorent –
Nous cesserions d’être "Intouchables"
Au pays des Emirs nègrites...
Nous n’aurions ni guerre, ni faillite...
Avant longtemps... longtemps... longtemps...
Et nous aurions beaucoup de places vides... immédiatement
Tout de suite... les meilleures en vérité...
Nos enfants n’auraient plus besoin
D’aller supplier, quémander...
Aux Juifs... francs-maçons... et autres bouliphages Ténias...
Vermines, "Fermiers lombricaux" de la Viande commune...
Quelques petits restes de pitance...
L’aumône... la charité...
Ils n’auraient plus besoin de supplier les Juifs
De bien vouloir les laisser vivre...
Subsister, sur leur propre territoire, encore un petit instant...
Sursis ! Avant d’aller crever pour eux...
Pour leurs diableries, leurs farces, leurs complexes...
Leurs prodigieuses ventrées
De pieuvres juives
Dans les furieuses terribles batailles.
Dans les grandes fournaises Kabaliques.
Repos !
Autrefois, quand les Juifs devenaient rétifs et insolents, les Rois devenaient cruels. Le Juif Simon ne voulait pas ouvrir ses trésors au Roi Henri III, le roi le fit venir, lui fit arracher 17 dents, séparant chacune de ces extractions de cette demande : "Prête-moi tes trésors..."
A la dix-septième le Juif céda. "

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Genocide des juifs.Les enfants.Shoah.Solution finale.Nazisme.Celine.

26 Novembre 2012, 15:12pm

Publié par Jo Benchetrit

Certes, Sade était un sale type! Mais avouez que par rapport aux nazis les amis de Celine au style soi-disant  superbe, les  enfants mis au four vivants ou fracassés contre les murs etc... ça fait amateur.

Lire ensuite l'infâme Celine épanoui dans toute sa vilenie dans Bagatelles pour un massacre.

tout est à lire mais juste ceci peut suffire: 
Extrait:

LE MEURTRE DES ENFANTS

 

 

 

 

 

 Dans le bois de bouleaux qui jouxte le camp d'extermination d' Auschwitz - Birkenau, des déportés attendent d'être acheminés vers la chambre à gaz.

 

 

 

 

 

La "Solution finale" était le nom de code nazi pour la destruction délibérée, programmée, des Juifs d'Europe

 (Création du  site, le 25/4/2011)

 

Gérard Méchoulam. Fondateur et directeur éditorialiste. Tous droits réservés.

 

 

 

LE MEURTRE DES ENFANTS

 

    Les enfants furent des victimes des Nazis particulièrement vulnérables. On estime que plus d'un million d'enfants juifs fut exterminé en Allemagne et en Europe occupée.

 

Dans les ghettos nombreux furent les enfants qui moururent en raison du manque de nourriture, de vêtements ou de soins. Les Nazis considéraient que les enfants des ghettos étaient improductifs. Ils n'étaient en général pas utilisés pour le travail forcé ce qui augmentait leurs risques  d'êtres déportés plus tôt vers les camps de concentration et les camps d'extermination. Les enfants juifs furent parmi les premières victimes lorsque les Allemands et leurs collaborateurs cherchèrent à détruire les communautés juives en assassinant par fusillades ou en déportant vers un camp d'extermination.

 

 

 

Enfants déportés vers Chelmno

 

Après la sélection à Auschwitz et dans les autres camps d'extermination, la majorité des enfants était envoyée directement dans les chambres à gaz. Il n'avait aucune chance d'être sélectionnés pour le travail. Quelques enfants des camps, en particulier des jumeaux, furent utilisés pour les expériences médicales  nazies. Des enfants furent également abattus par les SS et les forces de police en Pologne et en Union soviétique. Les présidents des Conseils juifs (Judenrat) étaient contraints de prendre des décisions déchirantes pour remplir leurs quotas d'enfants destinés à la déportation. Janusz Korczak, célèbre pédiatre polonais et directeur d'un orphelinat dans le  ghetto de Varsovie, refusa d'abandonner les enfants dont il avait la garde. Il les accompagna dans le transport jusqu'à Treblinka , où il fut assassiné avec eux.

 

 

 

Sieg Maandag, jeune Juif hollandais survivant, 

marchant sur un chemin bordé de cadavres, à Bergen-Belsen, vers le 20 avril 1945.

 

Malgré les persécutions, de nombreux enfants trouvèrent des moyens de survivre. Beaucoup d'enfants firent passer clandestinement de la nourriture dans les ghettos. Certains enfants ou adolescents participant à des mouvements de jeunesse furent actifs dans la résistance ; d'autres participèrent à des évasions vers des camps de familles de partisans. Certains non-Juifs fournirent des cachettes aux enfants juifs et parfois, comme dans le cas d' Anne Frank, à d'autres membres de leurs familles. Kindertransport (Transport des enfants) fut le nom non officiel donné à une opération de secours qui amena des milliers d'enfants juifs réfugiés d'Allemagne nazie et des territoires occupés par l'Allemagne en Grande-Bretagne entre 1938 et 1940. En France occupée, par exemple, les habitants du Chambon-sur-Lignon cachèrent des enfants juifs, les sauvant ainsi de la déportation.

 

Source : Copyright © United States Holocaust Memorial Museum, Washington, D.C.

Translation Copyright © Mémorial de la Shoah, Paris, France

 

TUEURS D' ENFANTS

 

 

 

Femmes et enfants juifs hongrois arrivent au camp d'extermination 

d'Auschwitz-Birkenau le 26 mai 1944 pour y être gazés

 

    "Les monstres hitlériens du camp d'Auschwitz ont tué des centaines de milliers d'enfants, du plus jeune âge jusqu'à seize ans. Généralement, ils les envoyaient dans les chambres à gaz dès l'arrivée des convois. Seule une minorité d'adolescents valides se voyait retenue pour les travaux du camp.

 

L'instruction a établi que les Allemands épuisaient les enfants de huit à seize ans à  de rudes tâches physiques, au même titre que les adultes. Les coups, les tortures, un labeur accablant, tout cela avait bientôt raison de chaque enfant ; et alors on les achevait.

 

Jacob Gordon, ancien prisonnier, médecin de Vilnius : "... Début 1943, cent soixante-quatre garçons ont été sélectionnés à Birkenau et placés à l'hôpital où ils ont été mis à mort par des injections de phénol dans le coeur."

 

Waltraud Bakasch, de Düsseldorf (Allemagne), ancienne détenue : "... En 1943, pendant que nous faisions une clôture autour du crématorium n°5, j'ai vu de mes propres yeux des SS jeter au feu des enfants vivants."

 

Voici maintenant ce que les enfants sauvés par l'Armée rouge disent eux-mêmes des souffrances infligées par les bourreaux fascistes.

 

Le jeune Sami Mudianoc, né en 1930, habitant de la ville de Rhodes (1) (Italie) :"... On nous faisait travailler à quinze ou vingt enfants : nous tirions avec des cordes des chariots pleins de différentes cargaisons, surtout des cadavres que nous transportions dans un block spécial où ils étaient déposés, puis emportés au crématorium. Nous travaillions de quatre heures du matin jusqu'au soir. Fin octobre 1944, un Allemand qui faisait une inspection nous a punis parce que le block n'était pas propre. On nous a alignés à l'extérieur, à cent cinquante, et conduits dans les bains où on nous a complètement déshabillés et arrosés d'eau froide avant de nous ramener au block dans cet état. Résultat, beaucoup d'enfants sont tombés malades."

 

Le petit Andrea Lerinciakos, neuf ans, natif de la ville de Kles (Hongrie) :"... Une fois conduits au camp, block 22, nous avons été battus, surtout par les femmes allemandes chargées de veiller sur nous. Durant mon séjour au camp, le docteur Mengele m'a fait plusieurs prises de sang... En novembre 1944, tous les enfants ont été transférés au camp A, le "camp tsigane". A l'appel, l'un de nous manquait. Alors, Brandl, chef du camp des femmes, et son assistante Mandel nous ont fait sortir à une heure du matin et nous sommes restés dehors, en plein gel, jusqu'à midi..."

 

Quant aux enfants nés au camp, les SS les prenaient à leur mère et les tuaient. Les femmes qui présentaient une grossesse en arrivant au camp se voyaient isolées sur-le-champ dans une baraque spéciale pour un accouchement prématuré provoqué. En cas de résistance, les femmes enceintes passaient à la chambre à gaz.

 

Sofia Isaakovna Fljaks, Cracovie, ancienne détenue :" ...De nombreuses femmes arrivées au camp en août 1944 avaient des enfants de cinq à douze ans. Tous allaient au crématorium avec leurs mères dès leur entrée au camp. J'étais enceinte de sept mois. A l'examen, le médecin SS König a constaté ma grossesse et m'a envoyée au block V-3 (Birkenau). Nous y étions soixante-cinq, dans le même cas. Trois jours plus tard, on m'a fait une piqûre à la cuisse pour provoquer un accouchement avant terme. Les injections ont été renouvelées quatre jours durant. Au cinquième jour, j'ai accouché d'un enfant qui m'a été retiré. Il y a eu quatorze cas comme le mien pendant mon séjour au block. Nouveau-nés et prématurés étaient emportés, on ne sait où."

 

 

 

Enfants juifs rescapés  à Auschwitz-Birkenau

 

Parmi les rescapés d'Auschwitz examinés par les médecins, on compte 180 enfants dont : 52 de moins de huit ans et 126 de huit à quinze ans. Tous sont arrivés au camp dans le second semestre 1944, c'est-à-dire qu'ils y ont séjourné de trois à six mois. Tous ont subi un bilan médical qui a révélé 72 cas de tuberculose, 49 cas  de dystrophie alimentaire, 31 cas de gelure,etc."

 

(1)- Occupée par l'Italie elle fut restituée à la Grèce en 1947. (N.d.T)

 

TUERIES D' ENFANTS AU VILLAGE DE TSYBOULIEVO

 

     Au village de Tsyboulievo, dans le district de Vinnista, il y avait environ trois cents familles juives. L'hiver 1941-1942 fut rude. Les femmes étaient expédiées au travail entièrement dévêtues, et les vieillards les pieds nus. Un jour, les Allemands sélectionnèrent quelque cents enfants qu'ils emmenèrent dans un champ. Quelques instants plus tard, les policiers revinrent et annoncèrent aux mères : "Allez chercher vos chiots." Les mères se précipitèrent dans le champ en criant. Elles découvrirent, dans une fosse, les corps de leurs enfants.

 

Au printemps de 1942, on exécuta tous les Juifs. On les conduisait hors du village, on les déshabillait et on les fusillait. Les enfants étaient enfermés dans des cages posées sur des charrettes. Ils étaient enterrés vivants.

 

Tamara Arcadievna Rosanova abrita un Juif dans sa cave. Les Allemands mirent le feu à sa maison. Rosanova échappa à la mort par miracle.

 

Nadia Rosanova raconta :

 

"Doucia Kapitovskaïa fut menée avec son fils sur le lieu de l'exécution. Le mari de Doucia, un officier, était au front. L'enfant avait huit mois. Doucia jeta son fils par-dessus les têtes des Allemands en direction des passants et leur cria : "Mes amis, sauvez mon fils ! Que lui, au moins vive !"

 

L'enfant tomba sur la route. Un Allemand s'avança, souleva l'enfant par une jambe et alla lui éclater la tête sur la ridelle d'un camion."

 

MEURTRE  A DJANKOÏ

 

   Les Allemands emmenaient des groupes de gens, des enfants et des vieillards détenus au camp, près d'un fossé antichars qui se trouvait non loin de la ville. C'était l'hiver, il y  avait de la neige, les gens avaient faim, ils étaient malades et se traînaient à peine. On les pousse. Un enfant de trois-quatre ans reste en arrière. Un Allemand le frappe avec une matraque en caoutchouc. L'enfant tombe, se relève, et après avoir couru quelques pas, il tombe à nouveau. La matraque en caoutchouc s'abat à nouveau sur sa tête.

 

On les fait mettre en rang près du fossé et on entreprend de les fusiller. Les enfants s'enfuient de tous côtés. Les Allemands sont fous de rage et se mettent à courir après les enfants, à leur tirer dessus ; ils les attrapent et, les saisissant par les pieds, leur tapent la tête par terre.

 

Extraits de l'ouvrage " Le livre noir" Textes et témoignages réunis par Ilya Ehrenbourg et Vassili Grossman. Solin / Actes Sud.1995. "Le Livre Noir" sur l'extermination scélérate des juifs par les envahisseurs fascistes allemands dans les régions provisoirement occupées de l'URSS et dans les camps d'extermination en Pologne pendant la guerre de 1941-1945.

 

LA DÉPORTATION DE 4000 ENFANTS DE DRANCY A AUSCHWITZ

 

    Georges Wellers est né en Russie en 1905. Il était chef de laboratoire à la Faculté de Médecine de Paris quand il a été arrêté par la Gestapo en décembre 1941. Interné à Drancy de juin 1942 à juin 1944, il s’est occupé des enfants arrêtés dans la grande rafle du Vel’dHiv. le 16 juillet 1942. Ces enfants ont été déportés à Auschwitz et gazés dès leur arrivée avec leurs infirmières vers la fin du mois d’août 1942. Déporté à son tour à Auschwitz, puis à Buchenwald, Georges Wellers a été libéré par les Américains en avril 1945.

 

Dès 1946, il a consigné ses souvenirs dans un récit sobre et précis, De Drancy à Auschwitz. Il a publié depuis de nombreuses études sur la déportation et l’extermination des Juifs, qui font autorité par l’étendue de leur information et par leur rigueur scientifique.

 

 

 

Camp transitoire de Drancy.

 

« Dans la deuxième moitié du mois d’août on amena à Drancy 4 000 enfants sans parents. Ces enfants avaient été arrêtés avec leurs parents le 16 juillet. Deux jours plus tard, les parents et les enfants furent envoyés de Paris au camp de Pithiviers. Là, on sépara les enfants des parents. On déporta les parents directement de Pithiviers et on envoya les enfants par groupe de 1 000 mêlés à 200 grandes personnes étrangères à Drancy.

 

Ces enfants étaient âgés de deux à douze ans. On les déchargea des autobus au milieu de la cour comme de petites bestioles. Les autobus arrivaient avec des agents sur les plates-formes, les barbelés étaient gardés par un détachement de gendarmes. La majorité des gendarmes ne cachaient pas leur sincère émotion devant le spectacle ni le dégoût pour le travail qu’on leur faisait taire.

 

Les tout-petits ne connaissaient souvent pas leur nom, alors on interrogeait les camarades, qui donnaient quelques renseignements. Les noms et prénoms ainsi établis étaient inscrits sur un petit médaillon de bois, qu’on accrochait au cou de l’enfant. Parfois, quelques heures après, on voyait un petit garçon portant un médaillon avec le prénom de Jacqueline ou de Monique. Les enfants jouaient avec les médaillons et les échangeaient entre eux.

 

 

 

Fillette endormie, photographiée dans le camp de Drancy, 

peu de temps avant sa déportation vers Auschwitz

 

Chaque nuit, de l’autre côté du camp, on entendait sans interruption les pleurs des enfants désespérés et, de temps en temps, les appels et les cris aigus des enfants qui ne se possédaient plus.

 

Ils ne restèrent pas longtemps à Drancy. Deux ou trois jours après leur arrivée, la moitié des enfants quittaient le camp, en déportation, mélangés à 500 grandes personnes étrangères. Deux jours plus tard, c’était le tour de la seconde moitié. La veille de la déportation les enfants passèrent par la fouille, comme tout le monde. Les garçons et fillettes de deux ou trois ans entraient avec leur petit paquet dans la baraque de la fouille où les inspecteurs de la Police aux Questions Juives (PQJ) fouillaient soigneusement les bagages et les faisaient ressortir avec leurs objets défaits. On installa près de la porte de sortie une table où, toute la journée, des hommes volontaires refaisaient tant bien que mal les paquets des enfants. Les petites broches, les boucles d’oreilles et les petits bracelets des fillettes étaient confisqués par les PQJ. Un jour, une fillette de dix ans sortit de la baraque avec une oreille sanglante parce que le fouilleur lui avait arraché la boucle d’oreille, que, dans sa terreur, elle n’arrivait pas à enlever assez rapidement.

 

Le jour de la déportation, les enfants étaient réveillés à cinq heures du matin, et on les habillait dans la demi obscurité. Il faisait souvent frais à cinq heures du matin, mais presque tous les enfants descendaient dans la cour, très légèrement vêtus. Réveillés brusquement dans la nuit, morts de sommeil, les petits commençaient à pleurer et, petit à petit, les autres les imitaient. Ils ne voulaient pas descendre dans la cour, se débattaient, ne se laissaient pas habiller. Il arrivait parfois que toute une chambrée de 100 enfants, comme pris de panique et d’affolement invincibles, n’écoutaient plus les paroles d’apaisement des grandes personnes, incapables de les faire descendre : alors on appelait les gendarmes qui descendaient sur leurs bras les enfants hurlant de terreur

 

Dans la cour. ils attendaient leur tour d’être appelés, souvent en répondant mal à l’appel de leur nom ; les aînés tenaient à la main les petits et ne les lâchaient pas. Dans chaque convoi, il y avait un certain nombre d'enfants qu’on ajoutait pour terminer : c’étaient ceux dont les noms étaient inconnus. Ces derniers étaient marqués sur la liste par des points d’interrogation. Cela n’avait pas beaucoup d’importance : il est douteux que la moitié des malheureux bambins ait pu supporter le voyage, et les survivants étaient sans doute détruits dés leur arrivée.

 

Ainsi il a été déporté de Drancy en deux semaines 4 000 enfants sans parents. Cela se passait dans la seconde moitié du mois d’août 1942 ».

 

11400 ENFANTS JUIFS DÉPORTÉS DE FRANCE ENTRE 1942 ET 1944

 

Grâce aux efforts de Serge Klarsfeld, historien et président des Fils et filles déportés juifs de France, unis à ceux du Mémorial de la Shoah et du Ministère de l'Education nationale, les enseignants peuvent désormais accéder à la liste des 11400 enfants juifs déportés de France entre 1942 et 1944.

 

Cette liste comprend les noms, prénoms, l'adresse d'arrestation et la date de déportation de ces enfants ainsi que les photos ou documents qui ont pu être retrouvés.

 

Serge Klarsfeld s'est attaché à restituer, en plus d'une identité, un visage et une histoire aux 11400 enfants déportés de France entre 1942 et 1944, pour le seul fait d’être nés juifs. 

Il a reconstitué les listes des convois, rassemblé des milliers de photos envoyées par des familles dispersées dans le monde entier. 

Pour parvenir aux résultats publiés dans cette « liste des enfants déportés de France », il a fallu mener des recherches dans de nombreuses archives départementales, confronter des documents, compiler, s’immerger dans les fichiers de la Préfecture de Police et dans les fichiers des camps de Drancy, Pithiviers, Beaune la Rolande. Il a fallu également collecter les actes de naissance en France en Belgique, au Luxembourg et en Allemagne. 

 

Depuis 2005, les noms et les visages des enfants juifs déportés de France sont dans l’exposition permanente du Mémorial de la Shoah. 

 

Aujourd’hui, cet immense travail est à la disposition des enseignants pour les aider à mener des travaux de recherche avec leurs élèves.

"J’ai conçu le Mémorial des enfants Juifs déportés de France comme un instrument de mémoire... Demain, telle plaque commémorative sera apposée ; telle reconstitution de l’existence éphémère d’un enfant juif sera proposée par un instituteur ou un professeur à ses élèves pour leur faire comprendre l’antisémitisme meurtrier du IIIe Reich et de ses complices de Vichy » Serge Klarsfeld

 

LES "ENFANTS DU CHEMIN NOIR" 

 

 

 

Voie ferrée dans le camp d'extermination de Treblinka

 

"Nous marchions sous un soleil ardent dans un champ où le lupin poussait dru. Le bruissement des feuilles mortes et le craquement des cosses se fondaient en un son triste, presque mélodieux. Décoiffant sa tête chenue et tremblante, notre vieux guide s'est signé et a dit :

 

 - Vous marchez sur des tombes.

 

Nous marchions sur la terre du camp de la mort de Treblinka où les allemands acheminaient les Juifs de tous les coins d'Europe et des territoires occupés de l'URSS. 

 

Ici, les Allemands ont exécuté des millions de gens. Un chemin noir, terrible, fend les champs de Treblinka : noir parce que recouvert de cendres humaines sur une distance de trois kilomètres.

 

Des tonnes de cendre arrivaient dans des chariots. Des enfants prisonniers de onze à treize ans, l'étalaient sur la route. On les appelait : les "enfants du chemin noir".

 

Par une journée gelée de février 1943, un convoi de marchandises, avait amené au camp de la mort de Treblinka, entre autres "passagers", soixante garçons. C'étaient des enfants Juifs, de Varsovie, Vilnius, Grodno, Bialystok et Brest. A la descente du convoi, on les avait séparés de leur famille ; les adultes allaient au camp de la mort, et les garçons au "camp de travail".

 

Le Hauptsurmführer  Van Eipen, Allemand de Hollande  chef de ce camp, a pensé qu'il trouverait toujours le temps d'exterminer ces garçons et qu'il valait mieux, en attendant, les faire travailler. Aussi a-t-il donné l'ordre à l' Untersturrmführer Fritz Preifi de les prendre sous son commandement.

 

Preifi a sélectionné seize petits parmi les plus chétifs, cachectiques, bleuis par le gel, et les a confiés au borgne Swiderski. 

 

Le borgne  Swiderski avait vécu naguère à Odessa, mêlé à de sombres affaires. Au camp, c'était le "spécialiste du marteau".

 

Après avoir aligné les enfants, Swiderski a sorti un marteau de sa ceinture puis, crachant dessus comme un menuisier avant d'enfoncer un clou, a entrepris de les tuer par des coups portés entre les deux yeux. Les corps fragiles s'effondraient sur la terre gelée. Rapidement, facilement, la vie s'éteignait en eux. Les garçons sanglotaient avec retenue. Et c'était plus terrible encore qu'une plainte à gorge déployée. Les prisonniers adultes, qui avaient vu mille et mille morts, se cachaient les yeux de la main. Un petit garçon roux aux yeux bleus, les cheveux frisés couleur de cuivre doré, a protesté :

 

 - C'est une mauvaise mort. Vous feriez mieux de nous fusiller.

 

 - Vous fusillez ? a répété Swiderski en montrant son oeil aveugle, le droit, je ne sais pas viser.

 

Il a levé le marteau pour tuer le garçon roux, mais Preifi a arrêté le bourreau Et le garçon roux est sorti des rangs.

 

Extrait de l'ouvrage : " Le livre noir" Textes et témoignages réunis par Ilya Ehrenbourg et Vassili Grossman. Solin / Actes Sud.1995.

 

"Le Livre Noir" sur l'extermination scélérate des juifs par les envahisseurs fascistes allemands dans les régions provisoirement occupées de l'URSS et dans les camps d'extermination en Pologne pendant la guerre de 1941-1945

 

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