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Psychanalyse et animaux.

Aux tueurs de pigeons, aux-malades-de-la-phobie-des-vivants. Dépigeonisation?

25 Août 2010, 10:48am

Publié par Jo Benchetrit

 

Déconnerisation: si vous connaissez, dites le moi. Notre société hygieniste mène au pire, y compris à la tuerie de certains humains. Ainsi, on a constaté en turquie que le s mêmes dirigeants ayant éradiqué les chiens d'Istambul(d'une façon ignoble)  ont ensuite tué les arméniens.Voire mon article sur mon blog (en finir avec la barbarie)et les videos d'un film magnifique primé à cannes qui y sont.
La notion d'hygiènisme est donc très dangereuse et pose l"'humain en position paranoïaque. Ainsi,tuant, il se donne bonne conscience à se dire en état d'auto défense. Alors que ce ne sont que mensonges, raclures de bidet et calomnies que véhiculent les ennemis des oiseaux. Un Jour, vous aussi pouvez être victime de rumeurs criminogènes. ne venez pas vous plaindre alors, vous qui n'hesitez pas à faire massacrer en toute impunité des êtres qui, sans doute vous ne savez pas qui ils sont. Et ce sont il se trouve des êtres extraordinaires. Mais vous mourrez comme vous avez vécu: idiots!
Car, dites moi entre 4 yeux,  avez vous une seule fois dans votre vie connu qq qui  est mort d'une quelconque maladie filée par un pigeon?
Moi, je connais des MILLONS de pigeons massacrés par des gens de peu qui se croient normaux alors que si on y regarde de plus près on ne voit que de s gens qui considèrent les vivants comme de la crasse!
belle humanité, vous qui empoisonnez le monde et détruisez les conditions de vie sur terre! ...tout ça fait par des gens banaux.Des gens comme nous! Honte au singe assez débile pour scier la branche sur laquelle il est installé en bon UBU ridicule convaincu de sa superiorité alors qu'il  demontre sa sottise continue.
laissez un commentaire sur ce site qui ne passe pour l'instant que ceux des ennemis:
je tras nsmets:
Bordeaux : article de presse


Suite à notre campagne de mailing sur Bordeaux, nous avons eu un article
de
presse.


Vous pouvez réagir à cet article en fin de texte sur les pigeons du média
Sud Ouest, SVP REAGISSEZ car les pigeons et leurs protecteurs sont mis à
mal.



BORDEAUX


http://www.sudouest.fr/2010/08/25/les-pigeons-depigeonnes-168557-2780.php

et sur le site Des Pigeons et des Hommes :
http://cousin.pascal1.free.fr/nalo.html#bordeaux_sudouest082010

LA PRESSE


Toujours les mêmes mensonges. Notez bien l'habituelle diabolisation : Il
s'agit d'une lutte sanitaire, commence-t-il. Le pigeon est vecteur de
germes, bactéries pathogènes, virus ou parasites. Et celui-ci : Le
Service pour l'assistance, le contrôle du peuplement animal (Segpa)
assure euthanasier les oiseaux par injection avant de les gazer au CO2.
Outre que le dépigeonneur s'appelle la SACPA et non SECPA, il ment en
déclarant qu'il injecte des barbituriques aux pigeons avant de les gazer
car cette injection ne peut être réalisée d'après le code rural que par
un vétérinaire et vu le prix payé par pigeon tué, il est impossible que
cela soit vrai, à moins qu'il travaille à perte...


Article sur Sud Ouest le 25 août 2010 de Isabelle Castéra
lien :

http://www.sudouest.fr/2010/08/25/les-pigeons-depigeonnes-168557-2780.php
Les pigeons dépigeonnés


Les défenseurs de pigeons bataillent pour que cesse l'euthanasie des
volatiles en ville.

Les mails sont tombés par dizaines sur les écrans des élus de Bordeaux,
durant tout le week-end. Une lettre ouverte au maire, protestant contre
« le massacre de milliers de pigeons dans la ville de Bordeaux chaque
année ». « Abandonnez ces méthodes cruelles, inutiles et archaïques.
Puis arrêtez de nous prendre pour des délinquants quand on jette un
reste de croissant ou une tranche de pain aux pigeons, aux moineaux et
autres oiseaux. Nous ne sommes pas responsables de vos politiques
environnementales désastreuses… »

Ces attaques auprès de la ville de Bordeaux sont chroniques, émanant de
personnes isolées, de groupes ou d'associations de défense des animaux.
À la mairie, on a l'habitude de traiter le sujet avec hauteur. La
dépigeonisation est, selon le service hygiène et santé de Bordeaux, « un
mal nécessaire ».

Depuis trente ans déjà

Philippe Latrille, directeur du service, n'a pas d'état d'âme, vis-à-vis
de ces « nuisibles » de centre-ville. « Il s'agit d'une lutte sanitaire,
commence-t-il. Le pigeon est vecteur de germes, bactéries pathogènes,
virus ou parasites.
De plus, il dégrade considérablement les bâtiments publics. À longueur
d'année, nous sommes sollicités par les administrés pour des affaires de
nuisances provoquées par les pigeons. Les gens se plaignent de certains
qui nourrissent les volatiles et les font proliférer. Des querelles
interminables. Nous avons donc un rôle à jouer. Il y a trente ans,
Bordeaux a commencé à travailler sur la régulation des populations de
pigeons. »

Et il y a trente ans, l'homme de la situation ce fut lui : Joël Paillé.
Appelé « le dépigeoneur ». Il sait tout sur ces volatiles, leurs
préférences, leurs habitudes, et leur pouvoir de nuisance. « Depuis
trente ans, affirme Joël Paillé, nous régulons. Nous euthanasions entre
5 et 10 000 pigeons par an, après capture, mais les procédés ont
beaucoup évolué. »

Aïe, c'est là que le bât blesse les défenseurs de pigeons. « Les oiseaux
capturés par les piégeurs sont souvent tués par des méthodes barbares
comme à coups de bâtons, passés en chambre de décompression explosive,
abattus au gaz carbonique pur ou étouffés dans des sacs plastique après
avoir absorbé de l'alphachoralose. Ce n'est pas acceptable. »

Dix jours de capture

Le dépigeonneur de Bordeaux ne s'émeut pas. Lui s'occupe de traquer les
pigeons sur les sites, de les capturer dans des cages ou des filets et
de les conduire chez un prestataire qui se charge de l'euthanasie. Le
Service pour l'assistance, le contrôle du peuplement animal (Segpa)
assure euthanasier les oiseaux par injection avant de les gazer au CO2.

« Il y a trente ans, on assurait 40 jours par an de capture d'oiseaux,
puis on a réduit pour en arriver à 10. C'est parce que la population des
pigeons a diminué d'autant. Mais aussi parce que nous avons des méthodes
alternatives moins violentes. Nous posons des produits répulsifs sur les
lieux stratégiques, notamment les rosaces des églises. Il s'agit de
piquants ou d'un système d'électro répulsion. Nous mettons en place des
pigeonniers et saisissons les œufs avant qu'ils n'éclosent. »

Philippe Latrille ajoute : « Si on cessait cette régulation, comme dans
les années 70, nous serions envahis, avec toujours ce danger sanitaire
potentiel, l'accumulation de fientes et la population de pigeons
dégénérerait. Nous assurons une bonne maîtrise des oiseaux,
aujourd'hui. »
Commenter cet article
R
<br /> <br /> Monsieur Juppé, maire de Bordeaux, a appris l'écologie chez les massacreurs de phoques du Canada.<br /> <br /> <br /> A l'UMP,parti si préoccupé par la sécurité du citoyen, on signe des accord avec les tueurs en série de la bande à Nihous qui, comme chacun le sait, ne font courrir de danger à personne...<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
J
<br /> <br /> Je suis de très près, mais le maire de Bordeaux n'est pas du genre "j'aime les animaux"<br /> <br /> <br /> Il y a eu des promesses faites à des assos de protection féline non tenues.....  M'énerve ce mec!!!!!<br /> <br /> <br /> <br />
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