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Psychanalyse et animaux.

Le groupe Doux n'est pas doux: il torture des poulets. Ha!, si seulement il n'était pas sauvé!

10 Août 2012, 10:23am

Publié par Jo Benchetrit

http://www.robertcasanova.fr/SURVIVRE/IMAGES/ENBATTERIE/usine-a-poulets.jpg

Usine de poulets.

http://deportations.free.fr/dachau_1933-34.gif

 

Camp de Dachau.

Ça se ressemble? Ben oui, les camps d' Hitler furent  inspirés par les camps d'élevage industriels  made in USA par l'infect   antisémite qui a conçu aussi les abattoirs industriels de Chicago, le tueur  d'animaux FORD.*

 

On chiale beaucoup sur les employés du groupe "Doux" en perdition.

Pas un mot sur les volailles du groupe "Doux"? Ben laissez moi vous dire que c'est  de l'élevage industriel et que
les animaux y souffrent mille morts avant l'agonie finale. Pitié d'abord et avant tout et exclusivement pour eux !  Pitié pour ces pauvres petits dont la vie n'a qu'un nom:souffrir.

Appeler ça DOUX ressemble au slogan d'Auschwitz:"la liberté par le travail."
Alors, pleurer sur les tortionnaires   de ce groupe  me ferait l'effet de pleurer sur des SS qui, à la fin de la guerre, se virent piquer leur job.
Faut plus déconner tout de même, et vous, lecteur,arrêtez de manger des animaux, particulièrement ces poulets dont la vie est un calvaire.
Honte sur nous, honte sur eux. Humanité bien pourrie qui oublie le réel imposé aux enfants innocents (bébés tués à 1mois et demi pour des animaux pouvant vivre 15 ans) et joyeux recyclage aux licenciés des camps de concentration en question. 

Elevages internationalement débectants au sens propre:

 

Les poules, c'est pas mieux.ne mangez pas d'oeufs.

*
Un éternel Treblinka, des abattoirs aux camps de la mort Charles Patterson


"Dans ce livre provocateur – que certains considéreront même comme scandaleux – mais courageux et novateur, l’historien américain Charles Patterson s’intéresse au douloureux rapport entre l’homme et l’animal depuis la création du monde. Il soutient la thèse selon laquelle l’oppression des animaux sert de modèle à toute forme d’oppression, et va jusqu’à établir un parallèle entre la façon dont l’homme traite les animaux d’élevage et la façon dont il a traité ses congénères pendant la Shoah. Un tel rapprochement est lui-même tabou, étant entendu une fois pour toutes que la Shoah est unique et ne saurait être comparée à aucun autre malheur collectif – à plus forte raison animal. Pourtant, l’auteur yiddish et prix Nobel de littérature Isaac Bashevis Singer (qui a écrit, dans une nouvelle dont le titre de ce livre est tiré : « Pour ces créatures tous les humains sont des nazis ; Pour les animaux, la vie est un éternel Treblinka. ») fut le premier à oser la comparaison. S’inspirant de son combat, Patterson décrit la façon dont l’homme s’est imposé comme « l’espèce des seigneurs » en réduisant à l’esclavage les autres espèces animales. Puis il analyse l’industrialisation du processus d’abattage dans les années 20 à Chicago, capitale mondiale de la viande. Très impressionné par la division du travail propre aux chaînes d’abattage, un certain Henry Ford s’en inspira pour optimiser ses usines d’automobiles. Or, Henry Ford était un fervent admirateur du jeune parti national-socialiste et ses thèses antisémites avaient rencontré un large écho dans l’Allemagne des années 30 : Hitler lui-même n’avait-il pas un portrait de l’homme d’affaires dans son bureau ? Troublante, la question de savoir si l’organisation des camps de la mort copiait les processus industriels inventés dans les abattoirs de Chicago nous amène au constat qu’en tout état de cause, la division du travail, cette douteuse avancée de l’homme moderne, a introduit quelque chose de nouveau dans notre civilisation : la banalisation du geste qui tue à un niveau jamais atteint d’insensibilité. Charles Patterson termine son essai par un hommage à Isaac Bashevis Singer et par des témoignages de défenseurs des droits des animaux, Juifs – au premier rang desquels le philosophe Peter Singer – comme non Juifs."
Il n'y a pas de quoi etre fier d'etre né juif ou chretien ou autre...c'est même sacrement idiot de l'être. Mais je suis fière pour eux que ces humains comme ces juifs sortent de leur égotisme pour elargir leur vision aux autres espèces.
 


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