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Psychanalyse et animaux.

Georges Mandel, ou quand Petain a fait assassiner un "coupable" d'être à la fois juif et bien plus intelligent que lui.

24 Janvier 2011, 22:23pm

Publié par Jo Benchetrit

http://www.histoire-en-questions.fr/vichy%20et%20occupation/francais%20contre%20francais/personnalite2.jpg


Intelligent, honnête, travailleur, consciencieux jusqu'à l'épuisement, sans indulgence pour la médiocrité, dévoué corps et âme à sa mission de ministre de son pays, la FRANCE, trop parfait pour être aimé des flemmards qui l'entouraient, mais forçant le respect jusqu'à son assassinat, même par ses ennemis, tel était Mandel, haï comme juif et comme  trop clairvoyant par les minables dont le chef, Petain, qui a fini par lui ôter la vie.

La fille de Mandel, 14 ans, très proche de son papa,  attendait qu'il  soit libéré de la prison petainiste  dès que les allemands auront perdu la guerre, ce qui ne saurait tarder été 1944 .
A la place, elle a appris son assassinat par la milice, ces sortes de gens minables et violents, qui, comme on les connaît encore, se font jouissance d'avoir un ascendant sur des plus valables qu'eux.

Je viens de voir sur la  5 le film sur Georges Mandel  de Claude Goretta, avec une superbe interprétation de Jacques Villeret.* Pour ceux QUI ONT UNE FACHEUSE TENDANCE À OUBLIER, CE   FILM REDONNE UNE IMAGE REELLE DU BARBARE PETAIN qui l'a envoyé au camp de Buchenwald.

Je suis en colère contre les pétainsites qui l'ont assassiné mais aussi contre des gens qui, comme Mitterrand ont osé continuer à lui rendre hommage( en  mettant des fleurs sur sa tombe), malgré qu'il savait TOUT, y compris le vel d'hiv!!! Et aussi contre moi qui ai voté pour cet   individu en 81 pour cause qu'il se disait de gauche, et contre tout ceux qui veulent redorer le blason du sinistre criminel PETAIN, le traître dont on peut dire qu'il avait des côtés vraiment débiles et terriblement mechants, comme tout raciste.


Est ce que Mandel explique Sarkozy? ce ne serait pas impossible car visiblement, Sarko l'admire.


CHERCHANT DE LA DOC SUR Mandel, JE SUIS TOMBÉE SUR çA (evene). =

 

Georges Mandel, le moine de la politique
Georges Mandel, le moine de la politique
de Nicolas Sarkozy
[Biographie]
Editeur : Grasset

Publication : 18/5/2005

Informations [pratiques]

Prix éditeur : 19.9 euros - Prix Fnac.com : 18.91 euros



Georges Mandel (1885-1944), le plus proche collaborateur de Clémenceau, plusieurs fois ministre, fut un des grands symboles de la République. Sa fin tragique - il fut fusillé en forêt de Fontainebleau par la milice... - donna encore plus de relief à une existence qui n'en manquait guère. Cet homme était habile et courageux ; il fut insulté comme personne et se battit avec obstination pour que la vie parlementaire et le service public soient aussi exemplaires qu'il était possible dans le contexte tumultueux de la Troisième République. A travers cette bio Nicolas Sarkozy a voulu rendre hunhommeà unhomme politique largement méconnu et dont le destin fut toujours, pour lui, un exemple et une source d'inspiration.

 


  1885-1944

...

12
(Une vie bien "bourgeoise")

Au rez-de-chaussée du 67 de l'avenue Victor-Hugo, on était accueilli par un immense portrait de Richelieu. L'essentiel de la décoration était constitué de livres. Ceux-ci s'entassaient par milliers. Ils étaient pour leur majorité consacrés à l'histoire et surtout aux biographies.
Mandel aimait à rechercher dans la vie des autres des enseignements pour son quotidien. Il rêvait aux destins qu'il lisait, imaginant qu'un jour son tour viendrait aussi. Peu de romans, quelques essais.

La demeure était bourgeoise, sans luxe ostentatoire. Deux domestiques administraient la maisonnée et une institutrice suivait les études de Claude.
On vit ainsi accrochés aux murs de l'appartement de l'avenue Victor-Hugo, où Mandel emménagea en 1936, des tableaux aux signatures illustres: Le Château d'Ornans de Gustave Courbet, un Utrillo de la période blanche, deux Canaletto, un Boucher ou encore du mobilier ancien de l'école française.
Même si les cours de l'époque n'étaient pas ce qu'ils sont aujourd'hui, ces achats témoignaient d'une réelle aisance financière.

Ce ne sera pas le moindre des tourments qui seront imposés à Mandel que de savoir son appartement entièrement saccagé et pillé. La demeure de l'avenue Victor-Hugo était plus spacieuse que celle de l'avenue Mozart. Mandel avait fort peu besoin de rangements puisqu'une mémoire quasi infaillible lui permettait de retrouver dans l'instant le moindre document.

Bien que résidant dans le 16e arrondissement de Paris, à deux pas de la Chambre des députés, Mandel avait coutume d'aller séjourner régulièrement au Ritz, le palace de la place Vendôme. Il y avait ses habitudes.
Olivier! le célèbre maître d'hôtel, lui faisait tenir dès son arrivée l'habituel jus d'orange, accompagné d'une sole grillée.

Pourquoi cet attachement au Ritz? On sait que Georges Mandel n'y attachait guère d'importance. Était-ce pour lui un lieu de calme et de tranquillité? Il l'avait tout autant dans ses confortables demeures.
Cela lui permettait-il de résoudre des problèmes ponctuels de domesticité? Ceux-ci devaient revenir avec une singulière régularité, si l'on en juge par la fréquence de ses passages.

En fait, l'explication la plus vraisemblable des séjours à l'hôtel Ritz réside dans la possibilité qu'il y avait pour lui d'entamer une véritable double vie avec Béatrice Bretty, tout en préservant la petite Claude.
Ibidem, pp. 216-217

13
(1939. Ministre des colonies)

Quelques mois après son arrivée rue Oudinot, Mandel pouvait être satisfait du travail accompli. Les colonies étaient désormais coiffées par un état-major, un plan de défense spécifique leur était consacré et, mieux encore, mis en œuvre, une armée avait été levée, des réalisations spectaculaires d'infrastructures engagées et, enfin, un début d'industrialisation était amorcé.

L'administration, de son côté, avait été remotivée. Les services du ministère des Colonies tournaient à vive allure. Le bilan de Mandel était si positif et tranchait à ce point avec les habitudes du passé que personne ne s'y trompait. Les services de propagande du Ille Reich, d'abord. Ils accusaient à longueur de colonnes Mandel d'être le « metteur en scène de la guerre ».

Les populations de nos colonies non plus qui, dès l'annonce de la guerre, répondirent en grand nombre à l'appel de la France. Les déclarations d'allégeance furent parfois poignantes. L'empereur d'Annam Sa Majesté Bao Dai déclara: « Notre nation fait partie intégrante de l'Empire français. Notre devoir est tout tracé. Nous nous rangeons au côté de la France pour lui apporter le concours de toutes nos énergies dans cette lutte gigantesque. »
Le roi du Cambodge envoya aux armées françaises ses deux fils et son neveu: « Nous sommes prêts à lutter au côté de la France contre un peuple basant son hégémonie sur la force et l'inégalité des races. »

Les manifestations de plus grand attachement à la mère patrie eurent lieu dans les territoires africains sous mandat. Au Togo, au Cameroun, au Sénégal, ce fut par dizaines de milliers que les plus jeunes rejoignirent l'armée française. Six mois après le début de la guerre, six cent mille hommes venus des colonies étaient ainsi à la disposition de la métropole.
Les réserves restaient considérables. L'état-major les évaluait à près de deux millions d'hommes, s'ans pour autant désorganiser l'économie coloniale. Mandel avait bien travaillé. Ce sera, hélas, insuffisant.
Ibidem, pp. 231-232

14
Ving-trois jours place Beauveau

A défaut d'avoir réussi à préparer la France à la guerre, à la doter de l'industrie et des structures nécessaires, Georges Mandel essaya, tout au long des quelques mois précédant le déclenchement du conflit, de mettre en place les hommes qui pouvaient encore symboliser le sursaut.

Dans cet acharnement à réveiller la France, il était décidé à saisir toutes les occasions. La première lui fut offerte par l'élection présidentielle du mois d'avril 1939. Albert Lebrun hésitait à se représenter. Mandel en profita pour pousser son candidat, Jules Jeanneney.
Ce dernier présentait de nombreux atouts: il avait été membre du gouvernement Clemenceau de 1917 et était resté fidèle aux enseignements de l'illustre président du Conseil. Il était par ailleurs président du Sénat, ce qui offrait l'avantage de revenir à cette tradition la plus ancienne de la IIIe République : le président de la Haute Assemblée était un locataire naturel de l'Élysée.

Hélas, la manœuvre échoua. Daladier, qui savait que jamais Jeanneney ne l'appellerait à Matignon, réussit in extremis à convaincre Albert Lebrun de se représenter. De surcroît, le président du Sénat n'avait ni l'envie ni la santé lui permettant de postuler à la magistrature suprême.

Lebrun fut réélu avec un score somme toute modeste. Ainsi, et à la différence de Clemenceau, Georges Mandel ne sut ou ne put jamais être un « faiseur » de présidents de la République. Une carte essentielle venait de lui échapper.
Ibidem, p. 247

15
(Juillet 1940. L'échec de l'accord avec les Anglais)

Les parlementaires du Massilia purent regagner la France le 18 juillet. Tous sauf un : Mandel. Le nouveau ministre de la Justice, Raphaël Alibert, avait décidé d'engager contre lui des poursuites pour « atteinte à la sûreté extérieure de l'État ». L'affront fait à Pétain avait laissé des traces.

Les éléments à charge étaient limpides: Mandel avait partie liée avec les Anglais et, ensemble, ils préparaient un complot. On tenait là le moyen d'éliminer politiquement un adversaire gênant. Convoqué à Rabat, il y fut arrêté. C'était la troisième fois en moins d'un mois. De ce jour, Mandel ne connaîtra plus la liberté.

Plus encore que Pierre Mendès France et Jean Zay, Mandel était visé par la clique de Vichy, tout entière vouée à sa perte. Pour la première fois, on vit ce dont était capable ce régime. Mandel essuya les plâtres.
Ibidem, p. 284

16
(Seul avec les Blum, à Buchenwald)

Le sinistre camp de Buchenwald fut la dernière étape de Mandel dans les geôles allemandes. Les conditions de vie y étaient moins pénibles que dans sa précédente prison.

Il avait été installé en bordure du camp dans « une petite maison d'officier ». Le régime qui lui était réservé n'avait rien de commun avec la situation des déportés «de droit commun ». Pourquoi y a-t-il été envoyé?

Le motif racial ne faisait aucun doute. Buchenwald était un camp de concentration (camp de « triage ») pour opposants au régime nazi. Mais Mandel, bien qu'israélite, était un otage trop précieux pour qu'on le sacrifie aux chambres à gaz! Il ne fut pas le seul dans ce cas: Léon Blum, dorénavant, partageait son sort. Le leader socialiste était juif lui aussi.

Mandel était heureux d'avoir quitté l'enfer d'Oranienburg. Non pas, loin s'en fallait, que la vie soit devenue plus aimable à Buchenwald. Mais il avait retrouvé un compagnon avec qui il put avoir de longues conversations. Elles témoigneront de son évolution politique.
Il pouvait de nouveau correspondre avec ses proches, et notamment sa famille. Enfin, luxe suprême, il disposait d'un vieil appareil de radio.

Cependant, sa famille lui manquait par-dessus tout. Béatrice Bretty n'était toujours pas à ses côtés. Elle aurait pu venir à Buchenwald. Sa vie n'y aurait pas été mise en péril puisqu'elle n'était pas juive.
Mandel souffrit cruellement de cette absence. Il écrivit à sa fille: « Ta mamoune ne se décide toujours pas à venir. »

Pourquoi Béatrice Brett y n'a-t-elle pas répondu à cet appel? Pour Mandel, il s'agissait d'une nouvelle blessure. D'autant qu'il avait sous les yeux l'attachante proximité entre Léon Blum et son épouse.
Ibidem, p. 303

17
(7 juillet 1944, l'assassinat dans la forêt de Fontainebleau)

Mandel fut rapatrié d'Allemagne en avion. Le vol s'effectua sous la responsabilité des Allemands. L'avion se posa à Reims. Après un bref arrêt, une automobile l'emporta vers Paris.
Il passa d'abord deux jours dans un service allemand de la Gestapo, square du Bois-de- Boulogne. Il fut convenablement traité.

Le 7 juillet, il fit son entrée à la prison de la Santé, escorté depuis Berlin par un officier allemand, le Dr Schmitt. Ultime indulgence du destin: le directeur de la prison était un ancien subordonné de Mandel lorsque ce dernier résidait place Beauvau au ministère de l'Intérieur. Cette circonstance lui permit de bénéficier d'un traitement de faveur pour son retour dans les prisons françaises.
On l'installa dans la meilleure cellule. On lui fit porter des draps propres, et, suprême luxe, on lui autorisa la visite d'un médecin.


Le contact retrouvé avec ses compatriotes lui rendit sa superbe: « Jusqu'au bout, la forme aura été respectée. Je ne vous en remercie pas moins de vos bons offices. Tant que je serai dans vos murs, on ne me tuera sans doute pas... Mais, je ne crois pas qu'on me laissera longtemps sous votre protection. »

Mandel voyait juste. Son séjour à la Santé ne devait durer que quelques heures. Dans l'incroyable confusion qui régnait alors au sein du régime de Vichy, ordres et contrordres se succédaient, des informations étaient dissimulées, des initiatives se prenaient. Les rumeurs couraient, enflaient, s'entrechoquaient. Au-delà des faits et des exécutants, il sera difficile de distinguer parmi les responsables ceux qui savaient parce qu'ils décidaient et ceux qui ignoraient parce qu'ils avaient choisi de subir.

Le 7 juillet vers le milieu d'après-midi, Knipping, le plus proche collaborateur de Darnand, arrivait à la Santé. Il décidait du transfert de Mandel à la prison des Brosses près de Vichy. Agissait-il de son propre chef? Était-il sincère lorsqu'il évoquait cette destination? Pourquoi un tel empressement?

Cette précipitation ne disait rien de bon à Mandel. Lorsqu'il prit congé du directeur de la prison, il laissa tomber: « Mourir n'est rien. Ce qui est triste, c'est de mourir avant d'avoir vu la libération de son pays. »
Trois véhicules de la Milice l'attendaient. Dans la première voiture, où fut placé Mandel, se trouvaient quatre miliciens : Mansuy, Boéro, Néroni et Lambert, ses assassins.
Ibidem, pp. 309-310

18
(Morale ?)

Mandel avait dû trop longtemps se battre pour exister. Il continua à le faire alors que c'était devenu inutile.
On lui avait refusé trop longtemps sa chance pour qu'il soit en mesure de comprendre lorsque enfin on la lui offrit.
Il fut finalement le seul à ne pas voir toutes les étapes qu'il avait su franchir.
Il fut le dernier à ne pas croire en lui, en son influence.
Quand enfin il comprit, il était déjà trop tard.

Ce fut injuste. Ce fut cruel. Mais ce fut! Il fallait la passion. Mandel l'avait. Il fallait la contenir, Mandel ne le sut pas toujours.
Elle emporta tout sur son passage, ne laissant que le souvenir d'un destin qui aurait pu être achevé.

Mandel laisse finalement sa vie comme un exemple, son œuvre comme un regret, son rôle comme une trace. Il effleura l'Histoire. Il aurait pu la faire.
Ibidem, pp. 322-323

 

   
*Jacques Villeret, de son nom de naissance Jacky Boufroura, est un acteur français d'origine algérienne et tourangelle né le 6 février 1951 à Loches (Indre-et-Loire) et mort le 28 janvier 2005 à Évreux (Eure) des suites d'une hémorragie interne hépatique.


 


 

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Jonathan Safran Foer partout lu: là, dans sud ouest, le canard des canards gavés.

23 Janvier 2011, 06:44am

Publié par Jo Benchetrit

 Copié du journal Sud OUest. Le journaliste n'est pas très à l'aise avec la critique de la nourriture viandarde.

Sinon, pourquoi dit-il de lui:

"roué comme un singe ".
MARC BERTIN a peur de quoi?

mais il a le merite d'avoir entendu ce qui est en jeu:

« Si plus rien n'a d'importance, il n'y a rien à sauver. »



Le sang des bêtes
 Jonathan Safran Foer, pour la cause animale… mais pas seulement. Photo dr
Jonathan Safran Foer, pour la cause animale… mais pas seulement. Photo dr
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MARC BERTIN

On pourrait dire que c'est une histoire juive, et, comme toute histoire juive, elle traite de culpabilité. Il était donc une fois un romancier se souvenant d'un petit garçon qui raffolait du poulet aux carottes de sa grand-mère.

Une sacrée grand-mère, puisqu'elle avait survécu à la Shoah et aux privations avant d'immigrer aux États-Unis. Or, s'il est un lien qui fait sens - quelle que soit sa religion -, la nourriture vaut bien toutes les célébrations.

Aussi, s'interroger sur la notion de transmission à travers le simple partage d'un repas ou la confection d'un plat peut conduire à cette redoutable interrogation : « Faut-il manger les animaux ? »

A priori, un questionnement fort éloigné des préoccupations d'un écrivain ; même si ce dernier est devenu végétarien et possède un chien. Alors, simple matière à fiction ou essai chez un auteur talentueux et roué comme un singe ?

Subsistance

À vrai dire, difficile de trancher. L'homme a « payé » de sa personne, allant jusqu'à infiltrer en compagnie d'activistes de la cause animale des abattoirs hautement sécurisés.

Les données sont multiples, les chiffres provoquent le vertige, chaque source est correctement citée.

Un travail scrupuleux mis au service d'un livre tout sauf politique, car ici réside la fascination de cette entreprise : celle d'un homme de plume, ni philosophe ni militant, reconnaissant ses propres contradictions mais cherchant à comprendre la raison même de la cruauté à l'œuvre lorsque l'espèce humaine asservit le règne animal pour assurer sa subsistance.

Une telle attitude n'est-elle pas encore plus dérangeante lorsque la survie de la première n'est nullement en jeu ?

Pourquoi exercer tant de violence, les animaux étant déjà « traités juridiquement et socialement comme des marchandises » ?

Tous responsables mais pas coupables. Pas si sûr. « Si plus rien n'a d'importance, il n'y a rien à sauver. »

Sages sont les grands-mères.

« Faut-il manger les animaux ? », de Jonathan Safran Foer, traduit de l'anglais (États-Unis) par Gilles Berton et Raymond Clarinard, éd. de l'Olivier, 363 p., 22 €.

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Brioude : une caméra cachée dénonce les conditions d'abattage de moutons

23 Janvier 2011, 06:19am

Publié par Jo Benchetrit

Je transmets; no comment.

http://www.lamontagne.fr/editions_locales/haute_loire/brioude_une_camera_cachee_denonce_les_conditions_d_abattage_de_moutons@CARGNjFdJSsBFxwCAR4-.html

 Haute-Loire
BRIOUDE
Religion et croyance
jeudi 18 novembre 2010 - 18:42
*Brioude : une caméra cachée dénonce les conditions d'abattage de moutons
*
*L'association de défense des animaux L214 a tourné une vidéo en caméra 
cachée, mardi, à l'abattoir de Brioude, lors de l'Aïd-el-kébir. Où elle 
dénonce notamment « des violations flagrantes de la réglementation »*

Mise en ligne mercredi après-midi sur le site Youtube, la vidéo - 
tournée en caméra cachée - dure un peu plus de quatre minutes et montre 
l'abattage rituel, mardi, à Brioude, de plusieurs moutons, dans le cadre 
de l'Aïd-el-kébir. Son auteur, Sébastien Arsac, est un défenseur 
convaincu de la cause animale.

*L'abattage dans le collimateur*

Salarié de l'association de défense des animaux L214, il est déjà 
l'auteur de plusieurs films réalisés clandestinement sur les conditions 
d'abattage en France. Et les images tournées en début de semaine, aux 
portes de l'abattoir brivadois (*), sont, pour lui, « une nouvelle 
illustration du non-respect des règles en vigueur en matière d'abattage, 
qu'il soit rituel ou classique ».

« Sur le film, on voit très nettement que le sacrificateur cisaille la 
gorge des animaux au moment de leur mise à mort, provoquant des 
souffrances pourtant évitables. Or, la circulaire du 26 octobre 2010 des 
ministères de l'Agriculture et de l'Intérieur précise clairement que le 
geste de la saignée est précis et doit se faire en une seule fois, sans 
cisaillement. Par ailleurs, nous avons noté que l'immobilisation des 
animaux jusqu'à la fin de la saignée n'est pas respectée. Là encore, la 
réglementation n'a visiblement pas été appliquée », explique-t-il. Non 
sans indiquer que l'association « n'envisage pas de porter plainte, mais 
souhaite profiter de cette action pour alimenter le débat sur l'abattage »

Un constat que Denis Meffray, directeur départemental adjoint de la 
direction départementale de la cohésion sociale et de la protection de 
la population, ne conteste pas.

« Si je me réfère aux images tournées mardi, note-t-il, le geste du 
sacrificateur ne semble effectivement pas très maîtrisé et il est 
vraisemblable que des animaux ont souffert inutilement. Ne disposait-il 
pas d'un couteau assez affûté ? La laine trop épaisse ou les cornes de 
certains animaux ont-elles compliqué son geste ? Quoi qu'il en soit, au 
regard du film, on peut rejoindre le constat fait par l'association. De 
là à dire que les 150 moutons tués mardi à Brioude pour l'Aïd-el-kébir 
ont tous subi le même traitement, je ne le pense pas. Deux inspecteurs 
de nos services étaient présents tout au long de cette journée et ils ne 
semblent pas avoir relevé d'incidents systématiques. Par ailleurs, les 
installations de l'abattoir de Brioude, qui fait actuellement l'objet 
d'une totale rénovation, représentent désormais ce qui se fait de mieux 
du point de vue technique. Quoi qu'il en soit, nous avons ouvert une 
enquête pour disposer rapidement de tous les éléments utiles ».

L'intégralité de l'article à lire ce vendredi dans La Montagne

La vidéo (déconseillée aux âmes sensibles ) 
<http://www.lamontagne.fr/editions_locales/haute_loire/brioude_une_camera_cachee_denonce_les_conditions_d_abattage_de_moutons@CARGNjFdJSsBFxwCAR4-.html>

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Plainte de Gaïa. La stérilisation des pigeons sur la sellette à Bruxelles (cruauté) en caméra cachée.

23 Janvier 2011, 06:13am

Publié par Jo Benchetrit

 

 

Et si on réapprenait à vivre avec les vivants?

 

 

Ames sensibles, allez y avec precautions:

http://cousin.pascal1.free.fr/index3.html


La stérilisation des pigeons de Bruxelles (suite)
en caméra cachée.

Une vidéo accuse la ville de Bruxelles de maltraitance animale
GAIA dénonce une boucherie sur pigeons vivants.

La SPA n'avait pas réagi comme GAIA, peut être à cause de la passivité apparente des doux oiseaux. Bizarre. on leur ouvre le ventre à vif, conscients...et ils ne bougent pas, donc, croit-on, ne sentent rien.

Mon experience m'aide  à comprendre: j'ai vecu une agression et que je n'ai pas reagi pour ne pas attiser la colère et donc risquer plus de violence de la part de mon agresseur.

  De plus, ce ne sont pas des mammifères, leur langage est autre. Voici la vraie raison de leur passivité :

  Ils friment pour impressionner leurs prédateurs, même sils sont mourants. C'est pour cela qu'il ne faut jamais relâcher un oiseau soigné avant au moins 10 jours. Vous serez surpris parfois de les voir retomber malades pendant ou au bout de ce delai. Par prudence, un oiseau ment sur son état.

 

Il faudrait bien que les gens de la PA en prennent conscience.

La clé: il faut savoir décoder un oiseau.

Il fera genre "je vais bien, tout va bien." pour leurrer les prédateurs. Il ne montrera pas sa souffrance et se cachera pour endurer et mourir.

 

C'est ainsi que les tortionnaires ouvreurs de ventre des oiseaux vivants se donnent bonne conscience et leurs méthodes séduisent les gens qui ne savent pas ce qu'est un oiseau. Peu de gens savent qu'un oiseau fera son possible pour se mettre hors de danger devant un possible prédateur par cette méthode : paraître en forme. Ce qui fait hélas leur perte avec les hommes.

 

du coup,  je l'ai vu, les gens les manipulent un peu comme des objets.

Même parmi les amis des oiseaux. Je ne parle pas de la grande et regrettée Nadia Fontenaille qui avait, elle, la façon de les respecter en les soignant. Depuis je n'ai vu presque personne qui sache faire ça.

On ne peut savoir ce qu'ils ressentent juste en observant à l'aulne de notre façon d'être les réactions des oiseaux qui, assommés de douleur et de terreur, ne réagissent pas...et il faut savoir qu'ils ne crient pas en cas de souffrance. Ne soyons pas anthropomorphiques: ils   ne sont certes pas comme nous dans leur comportement, mais comme nous dans leur sensibilité. Ils souffrent mais ça ne se voit pas.

je sais que l'on a du mal à faire valoir la lutte pour les pigeons au même titre que les autres combats de la PA, dont celle contre la corrida est me semble t il n° 1. Or ce que subissent les oiseaux avec le chaponnage sans anesthesie est aussi immonde que la castration à vif des taureaux, des cochons et des autres martyrs de  la folie humaine. 

Buffon  plaçait les oiseaux en 2° après les hommes .


"Descartes par son animal machine a prouvé une immense et tragique  lacune dans son raisonnement – quand on dit que le France est le pays de Descartes on a hélas raison mais pas dans le sens que l’on croit" ...Une collegue de lutte, Monique

 Descartes disait pourtant: "le bon sens est la chose la plus partagée au monde".

  Je crois que l'ignorance et l' absurdité sont encore mieux partagées. 

 

Mais les pigeons, pourtant incroyablement intelligents, n'ont p.ê. pas compris que les hommes sont bornés... et qu'ils détestent ceux qui leur disent la vérité sur ce qu'ils cherchent à se cacher.

 

La SA..A ne procède pas aux stérilisations par des vétérinaires mais de simples employés!  Le tout doit aller très vite: rentabilité.
 

Ils sont privés, mais font fourrière, assassinats de chats, chiens, pigeons en abondance, stérilisations (assassinats larvés  encore plus cruels par infection post "opération" -torture) partout en France et on le voit, ailleurs:

http://cousin.pascal1.free.fr/index3.html

La stérilisation des pigeons sur la sellette à Bruxelles (cruauté)
en caméra cachée.

A 1 minute 15 : "pour être opérés les pigeons sont envoyés à Paris au
sein d'une société qui gère les animaux errants. "
Devinez quelle est la société française en question.

QUELLE EST LA SEULE QUI LE FAIT EN FRANCE :
LA S.....A.

http://cousin.pascal1.free.fr/index3.html



reste ma question:

 

Pourquoi les hommes ont ils tant envie de tuer, d'eliminer?  Pourquoi se debarrasser des vivants?

 

La pulsion de mort les gouvernent car ils sont soumis à leur jouissance pulsionnelle regressive, du fait du rapport qu ils s'autorisent avec les bêtes.

Voir les commentaires

Moins d'un an , ce n'est pas beaucoup.

23 Janvier 2011, 06:04am

Publié par Jo Benchetrit

http://www.worldhorsewelfare.org/information/latest-news?view=show&content_id=3679

Moins d'un an, ce n'est pas beaucoup.

rien  pour les complices, sa famille.

 

Traduction Google:

"Après avoir vu les conditions dans les champs, ce n'est que je suis allé dans la cour que l'énormité de cette phrase m'a frappé, dit-il. «Il y avait des chevaux morts sur le terrain en face de moi, et à droite. J'ai regardé partout il y avait un cheval mort dans les stalles. C'était comme marcher dans un autre monde.

 

«Il y avait aucun des bruits normaux associés avec une cour de l'écurie -. Chevaux se déplacer, manger, boire, crier à l'autre ou les bruits doux que les chevaux font lorsqu'ils sont sollicités, s'attendant à être nourris ou soignés Ils ont été totalement silencieux . Même les chevaux qui semblait dans un état corporel mieux paru  être déprimé, presque comme si ils avaient perdu leur dignité. "

 

Amersham mise à jour: James Gray emprisonnés pendant 8 semaines supplémentaires
27/05/2010

Horse négociant James Gray a été emprisonné pendant 8 semaines après apparaissant à Aylesbury Crown Court de ce matin. Il commence sa peine de huit mois de prison immédiatement.

 

 

Gray a été arrêté hier par la police dans le Worcestershire après fuite de la cour le mercredi 12 mai. Gray et son épouse (42) Julie, Jodie filles (27) et Cordelia Gray (21) et son fils James Gray Junior (17) avaient interjeté appel contre les peines prononcées à leur en Juin l'année dernière pour la cruauté envers les plus de 100 chevaux, poneys et ânes dans une affaire intentée par la RSPCA. Toutes les peines ont été confirmées avec James Gray à une peine 26 semaines de prison et une interdiction à vie de posséder et d'avoir des chevaux. Le reste de la famille ont été interdits de posséder et d'élever des chevaux depuis 10 ans.

 

Enregistreur de Aylesbury Son Honneur Christopher Tyrer a décrit le cas de «cruauté sur une échelle qui défie et a déclaré aujourd'hui que Gray fuite avait été" un acte final de la trahison de soi-même par vous-même ».

 

Il s'agissait d'une affaire qui fait les manchettes nationales. 31 chevaux, poneys et ânes ont été retrouvés morts et plus de 100 ont été retirés de broches de la Ferme, Amersham en Janvier 2008. Chef de file international cheval charité World Horse Welfare pris onze chevaux de la ferme dans ses broches de soins, qui ont tous été atteints de graves problèmes. Ils comprenaient Blakey, un maigre et de poux de pur-sang et Polly, une jument baie ans avec les pieds horriblement envahi et craquelée. Heureusement, tous les chevaux ont maintenant pleinement recouvré. Chef de la direction Roly commentaires Owers:

 

"World Horse Welfare est très heureux que James Gray a été arrêté et condamné à une peine supplémentaire de 8 semaines. Cette affaire a été tout simplement horrible, le pire dans l'histoire du Royaume-Uni juridique, dans lequel plus de trente chevaux sont morts. Dieu merci, après deux longues années, la justice a finalement été fait.

 

"Comme tous les organismes de bienfaisance en cause, le coût des soins pour les chevaux au cours des deux dernières années a été énorme. Nous attendons avec impatience d'être en mesure de trouver les aimer maisons nouveau prêt où ils peuvent s'attendre à une vie heureuse loin de la une qu'ils ont vécu dans les mains de la famille Gray. "

 

World Horse Welfare Field Officer Nick White a été l'un des premiers sur les lieux en Janvier 2008. Les souvenirs de ce jour-là restera avec lui pour toujours.

 

 "Après avoir vu les conditions dans les champs, ce n'est que je suis allé dans la cour que l'énormité de cette phrase m'a frappé, dit-il. «Il y avait des chevaux morts sur le terrain en face de moi, et à droite. J'ai regardé partout il y avait un cheval mort dans les stalles. C'était comme marcher dans un autre monde.

 

«Il y avait aucun des bruits normaux j'associe avec une cour de l'écurie -. Chevaux se déplacer, manger, boire, crier à l'autre ou les bruits doux que les chevaux font lorsqu'il est sollicité, s'attendant à être nourris ou soignés Ils ont été totalement silencieux . Même les chevaux qui semblait dans un état corporel mieux paru à être déprimé, presque comme si elles avaient perdu leur dignité. "

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Tom Regan 1989- Déclaration des Droits des animaux,video.

23 Janvier 2011, 05:54am

Publié par Jo Benchetrit

Tom Regan 1989- Déclaration des Droits des animaux

 

Convainquant, mais au lieu de s'améliorer, les humains bafouent de plus en plus ces droits!

Quant à savoir si ils apprécient ou pas la poésie, après tout, qu'en savons- nous?


Débat organisé à Londres par l'Institution Royale de Grande Bretagne en 1989, diffusé sur l'une des chaînes télévisées de la BBC

Vidéo intéressante de Tom Regan, sous-titrée en français depuis peu, et disponible sur Youtube et Vimeo. Regan y argumente en faveur d'une "Déclaration des Droits pour le Règne Animal".

4/1/2011

Voici les premiers mots de son discours : Les autres animaux que les humains mangent, utilisent pour la science, chassent, piègent et exploitent de diverses autres façons ont une vie par eux-mêmes, qui est d'importance pour eux, indépendamment de leur utilité pour nous. Ils sont non seulement dans le monde, mais aussi conscients de lui, et aussi de ce qui leur arrive. Et ce qui leur arrive leur importe.

Chacun a une vie qui se porte, du point de vue de l'expérience, mieux ou moins bien pour lui. Comme nous, ils apportent une présence psychologique unifiée au monde. Comme nous, ils sont quelqu'un, non pas quelque chose.

Sur ces aspects fondamentaux, les animaux non humains dans les laboratoires ou les élevages, par exemple, sont les mêmes que les êtres humains. Ainsi, l'éthique de nos rapports avec eux et des relations que nous entretenons les uns avec les autres doit reposer sur certains des mêmes principes moraux fondamentaux....


Source: Tom Regan - Déclaration des Droits des animaux - youtube
Autor: Tom Regan

Link: Tom Regan - Pour une Déclation des droits des animaux - vimeo

Date: 2011-01-19
Sur Wikki:

Tom Regan est considéré par les « défenseurs du respect de la vie des animaux » comme l'un des plus grands « défenseur du respect (de la vie) des animaux ».

Littérature[modifier]

Tom Regan a écrit ce qui est considéré comme l'une de ses plus grandes œuvres concernant la défense des droits des animaux : The Case For Animal Rights (fr) Défense des droits des Animaux (University of California Press, Berkeley) en 1983.

Théorie[modifier]

Il est l'auteur d'un livre qui, selon les mots de Peter Singer, « est la plus impressionnante tentative à ce jour pour développer une théorie éthique qui soit clairement basée sur des droits et qui inclut des animaux non humains parmi les détenteurs de ces droits ».

Citations[modifier]

  • « Je me considère comme un militant pour les droits des animaux, comme faisant partie du mouvement pour les droits des animaux. Ce mouvement, tel que je le conçois, est dédié à un certain nombre de buts parmi lesquels :
- l'abolition totale de l'utilisation des animaux dans les sciences ;
- l'élimination totale de l'élevage à des fins commerciales ;
- l'interdiction totale de la chasse pour le sport et le commerce ainsi que l'interdiction du piégeage. »[1]

Notes[modifier]

Voir aussi[modifier]

Articles connexes[modifier]
Liens externes[modifier]
Bibliographie[modifier]
Ce document provient de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Tom_Regan ».

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Délire policier: 15 jours de trou pour un chien arracheur de pare-choc de voiture de police.

23 Janvier 2011, 05:46am

Publié par Jo Benchetrit

Dans la serie POV BÊTE, ils sont devenus fous, on repart au moyen âge où les animaux étaient jugés et condamnés parfois au pire. On a tous en tête les chiens et chats brûlés vifs pour sorcellerie ou que sais je encore.
Enfin, un peu comme ce qu'on voit les animaux subir en Espagne barbare actuelle.: 

 

 

http://fr.news.yahoo.com/76/20100326/twl-quinze-jours-de-trou-pour-le-pitbull-1a8f422.html



Quinze jours de trou pour le pitbull arracheur de pare-choc de 
voiture de police.

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1022 mots compris par un chien.Et vous? :)

23 Janvier 2011, 05:38am

Publié par Jo Benchetrit

J'espère juste qu'on l'a pas embêté pour prouver ça.
Car en fait, la science, on aime ça, sauf qu'on doit penser avant tout aux conséquences de ce qu'on fait pour savoir, et éliminer toute source de désagrément.

 Et là, je le crains, ça n'a pas dû être trop marrant selon ce qu'on peut lire entre les lignes.
<http://fr.news.yahoo.com/55/20110110/tod-un-chien-est-capable-de-comprendre-l-17baed7_3.html>

Un chien est capable de comprendre le nom de 1 022 objets
Lundi 10 janvier
Un groupe de scientifique et de chercheurs américains ont réussi à dresser 
un chien pour lui permettre d'apprendre 1 022 mots. Il dépasse de loin un 
précédent record qui s'élevait à quelques 200 mots.
Les résultats publiés au "Behavioural Processes" sont surprenants. Un border 
collie a subi un entrainement intensif pour apprendre plus d'un millier de 
mots, alors qu'un chien moyen ne peut en connaître qu'une centaine. Ce sont 
deux chercheurs en psychologie, Alliston Reid et John Pilley, du Wofford 
College en Caroline du Sud, qui sont à l'origine du projet.
Ce chien a démontré une capacité de compréhension équivalente à celle d'un 
enfant de 3 ans. Il a fallu des heures de dressage pour qu'il puisse 
reconnaître des objets au milieu d'autres. Ce chien fait partie d'une race 
spécifique, habituellement utilisé par les bergers, et connue pour être 
intelligent, énergique, et docile.
A long terme, les travaux des chercheurs pourront permettre d'établir le 
lien qui unit la compréhension au langage chez les animaux. D'autres études 
vérifient d'ailleurs si d'autres races canines sont dotées des mêmes 
facultés. A terme, le but est également de voir si d'autres animaux peuvent 
communiquer avec un vocabulaire aussi fourni que celui des chiens. 

__._,_.___

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Cet appel à dons pour SOS co-voiturage d'animaux en sauvetage.

18 Janvier 2011, 06:08am

Publié par Jo Benchetrit

Je transmets. Envoyez chacun ne serait-ce que 5 euros. :

 

De :

Sarah Cahlan <sarahcahlan@gmail.com>
Pour : undisclosed-recipients: ;


http://rescue.forumactif.com/t312751-200-pr-sauver-9-chiens-et-2-chats-en-danger-de-mort-help#6900496
CONTACT pour diffusion: sarahcahlan@gmail.com
Je suis le relais pour pointage de dons et adresse du co-voitureur
DIFFUSION AUTORISEE PARTOUT, FAITES TOURNER!

Cet appel à dons fait suite à ce premier gros SOS co-voiturage, diffusé récemment:
http://rescue.forumactif.com/t312123-sos-meaux-77-besancon-25-belfort-90-pr-9-chiens-2-chats-en-tout#6884264

En effet, pas des moindres, 9 chiens, et 2 chats, risquant l'euthanasie, et sauvés grâce à ce transport, qui doit se faire au plus vite!!

Comme j'ai pu le dire dans d'autres cas, "pourquoi organiser des sauvetages aussi loin?".... 
La réponse est simple, AUCUNE solution sur place pour eux, et si on pouvait leur éviter cela, s'éviter une dépense d'énergie en recherche de solutions hors RP, et à passer à chercher un conducteur, et lancer un appel à dons, qu'il n'est jamais "agréable" de faire.... On le ferait....

Mais concrètement, c'est ça, ou la mort... On a choisi la vie, forcément!

En outre, l'opportunité inespérée a pointé le bout de son nez, à savoir une personne possédant une camionnette, qui sera en mesure de faire voyager les chiens confortablement, et qui pourra aussi, car c'était notre souci, séparer les chats des chiens, ce qui est parfait, car jamais nous n'aurions pu infliger un si long trajet à des chats avec comme voisins directs des toutous qui stresseront eux mêmes pendant le trajet!

Cette personne est habituée aux sauvetages, et aux longs trajets, et ça aussi, c'était un souci, car gérer autant d'animaux nécessite certes un équipement, mais également de garder son sang froid. 

Évidemment, on ne peut pas lui laisser faire ce trajet "pour la gloire", et nous nous devons de couvrir les frais de carburant, pour cette ENORME EPINE qu'il nous ôte du pied!


Avant de vous parler du trajet, parlons des animaux (je précise que bien évidemment, des photos suivront):

- 4 croisés Labradors, qui vont au même endroit
- un Bichon
- une femelle Beagle de 9 ans
- un anglo-français
- un Golden
- un dernier X Labrador

- 2 chats craintifs



Le trajet est le suivant:

45230 Saint-Maurice-sur-Aveyron (domicile de la personne) => Meaux (77) => Besançon => Belfort => Retour dans le 45


1050 km environ
Plus de 11h de route (sans les pauses)
Cela fait environ 200 € de frais (80 € de péages, 120 € de gasoil)




Relativisons.... 200 € est une somme...Oui, mais déjà, qui peut faire le trajet d'une traite? Quasiment personne....
Et honnêtement, il faut tout de même du courage pour se faire ce trajet, et une grosse dose d'énergie, et ça, ça n'a pas "de prix"!
Ensuite, il fallait réunir les conditions optimales de transport, notamment en termes de sécurité pour tous....
Au mieux, on le faisait en deux fois, et cela revenait "au même", voire à plus encore...
Enfin, et je déteste calculer de cette façon, 11 vies dont chacune sera sauvée moyennant 18 € la vie, ma foi, il n'y a pas photo...
Et sincèrement, je n'aurais même pas rêvé cette opportunité en postant mon appel à co-voiturage initial....

Pour conclure, quelques rappels évidents, mais importants:
- des photos des animaux seront prises
- évidemment, ils sont accueillis là où on ne les euthanasiera pas plus tard,sinon nous ne collaborerions pas avec des structures
- toute promesse de dons, ici, en MP ou hors Rescue sera pointée dès la promesse lancée
- l'adresse du co-voitureur sera donnée en MP ou retour mail
- cet appel est en principe visible de l'extérieur, afin que tout le monde puisse suivre son évolution
- enfin, il n'y a pas de petit don, ne vous excusez pas de ne donner QUE 10 €, c'est une somme, et pas des moindres, et ce n'est que comme cela qu'on avance, en faisant avancer la solidarité petit bout par petit bout!

 par avance à ceux qui participeront ou relayeront! 


200 € A RASSEMBLER PR LA VIE DE 9 CHIENS & 2 CHATS, POUR MERCREDI, DATE DU TRANSPORT! 

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Vive la révolution tunisienne !!! Les chasseurs suédois s'en souviendront.

18 Janvier 2011, 05:28am

Publié par Jo Benchetrit


Ils sont allé tuer au soleil. Le goût pervers des chasseurs est pour une fois sanctionné. Je sais, leurs agresseurs ce ne sont pas des justiciers proanimaux, des horrifiés par la cruauté des hommes qui s'exporte et ne se contente pas de la barbarie des locaux envers les "bêtes".
C'est juste une bavure policière ou des insurgés. N'empêche, si ça pouvait les dégoûter de la chasse...

Et je l'avoue, le "calvaire " des assassins ne me fait pas autant pleurer que celui de leurs victimes. Et vous?

 

Ils ont quitté la froidure du grand Nord pour se relaxer en Afrique du Nord au climat plus clément...

Ils auraient pu y aller pour admirer la beauté du Maghreb, la douceur tunisienne, le coucher de soleil sur la mer, le ciel à l'horizon aux reflets roses et bleus, les jolies maisons blanches avec des volets bleus. C'est beau, la Tunisie!

La nature, que nous savons en perdition de notre fait, ça se respecte. Mais eux, si ils se déplacent , c'est pour détruire. Et la Tunisie devrait aussi respecter sa nature au lieu de l'ouvrir aux porteurs d'armes.
Ben Ali, ou pas, je ne me fais aucune illusion, ce seront à jamais les animaux qui seront  soumis à la dictature  des tunisiens, comme partout ou presque. Sinon, peuple tunisien, étonnez nous et interdisez la chasse, comme en Israël, n'en déplaise au diffamateur antisémite Michel Tarrier qui lui, pille le Maroc de ses papillons !.
Les chasseurs de tous le s pays se ressemblent: sans gêne ni scrupules, ils partent chez eux ou à l'étranger avec en tête une seule chose: "combien je vais tuer pour épater les copains, leur montrer que j'en ai une plus grosse, que je ne suis pas une tapette ?".

 

 

http://fr.euronews.net/2011/01/17/tunis-des-chasseurs-suedois-devenus-gibiers/

 

Preuve de la tension qui règne à Tunis, douze  touristes suédois ont été passés à tabac par une foule déchaînée hier. Ils étaient venus il y a dix jours chasser le sanglier dans les montagnes tunisiennes. 
  
Ils revenaient de l’aéroport, où leur vol avait été annulé, quand ils ont été arrêtés à un barrage routier. Ove Oberg raconte son calvaire : “On ne sait pas si c‘était la police. Quand ils ont vu nos fusils, ils sont devenus fous. Ils nous ont mis par terre, frappés, et ils hurlaient…”

 
Au moment de l’incident, la police, très nerveuse,   fouillait les voitures à la recherche d’armes. Après quelques heures au commissariat, tous les chasseurs ont été libérés.   

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