Veggie pride: C'est la fête. 19 mai 2007!
Enfin une occasion de s'amuser. On est trop sérieux, confronté au réel insoutenable et comme les carabins, on a aussi envie/besoin de rire, de s'éclater, de s'aimer, de voir la vie du meilleur angle possible.
Espérons qu'on le pourra pour la Veggie Pride cette année, et qu'on montrera de nous un visage qui donnera envie aux autres de nous rejoindre.
Alors, les jeunes de tout âge, il faut sortir le 19 mai 2007, "monter" à Paris, fontaine des innocents à Paris, m° Chatelet les Halles. C'est la fête du végétalisme et accessoirement du végétarisme qui devra disparaître car complice du pire comme le carnivorisme .
Il y a 2 jours de FETE, du moins je les espère tels, non seulement à Châtelet mais aussi dans le 18°!!!!
Faut montrer aux carnassiers que nous ne sommes pas les tristes personnages mystico-débiles qu'ils croient mais de bons vivants, de fins gourmets, ou des gros goinfres pareil qu'eux, sic, et que ce n'est pas parce qu'on est contre la barbarie qu'on ne rit pas en se tirant la barbichette!!! (Hem! On fait ce qu'on peut, hein?)
Et puis, si toute cette misère que ces pervers inconscients viandards sans scrupule ou avec, pour les animaux ça ne change rien, imposent aux animaux n'existaient pas, on ne serait pas forcés de faire des fêtes pour se sentir bien. Ce serait joyeux chaque jour, notre planète. Quand on pense qu' il suffirait de si peu...une simple décision de ne plus se nourrir comme des salopards...pour que tout sur cette terre soit enfin acceptable.
Alors, il est de notre devoir de montrer que notre façon de nous alimenter n'est pas une punition mais au contraire la récompense d'une éthique qui se voudrait de plus en plus rigoureuse, chacun devant faire des progrès sur cette voie.
Changer d'habitude ça peut sembler une sorte de mort, de reniement de soi et son passé, de desidealisation de sa famille de sa culture...et pourtant c'est exactement ce que nous devons faire pour être civilisé, pour être dans le désir, le changement d'objet. Les traditions c'est parfois sympath, certes, mais c'est la jouissance du sur place, c'est la mort pour échapper à la mort. Et j'en veux pour preuve que la compulsion à la répétition, nous apprend Freud, c'est la pulsion de mort qui l'inspire.
Donc tuons l'enfant merveilleux du narcissisme primaire qui devrait appartenir au passé pervers...et vivons enfin dans le présent éthique, mais pas étique.
Début à 14 heures Place Joachim Du Bellay. Plus...
Des millions d'humains dans le monde refusent de faire martyriser et tuer des animaux pour leur consommation. Qui en entend parler ?
On nous apprend à mépriser les animaux non humains et à devenir leurs bourreaux. Lorsque la barbarie est la norme sociale, il est difficile de dire « non ». Nous sommes fiers d'avoir su dire « non ».
Par sa simple existence, le végétarisme met en cause la légitimité de l'exploitation animale. C'est pourquoi il est ignoré, ridiculisé, diffamé. On veut nous faire honte de notre compassion. Nous ne nous laisserons pas intimider.
Droit à un temps de parole équitable, droit à des repas végéta*iens dans les collectivités, droit de refuser toute participation à l'exploitation animale par notre travail ou nos impôts...
Aux animaux élevés et tués on n'accorde aucun droit. Nous entendons exercer pleinement nos droits, parce que ce sont les seuls que ces animaux puissent aujourd'hui, indirectement, posséder. Nous parlerons pour eux jusqu'à ce que le massacre cesse.
En un jour ordinaire, d'un pays en temps de paix...
Des oiseaux empalés rôtissent dans les vitrines. Des corps démembrés garnissent les étals. Sur les ponts des bateaux, des poissons tressaillants lentement s'asphyxient. Dans les hangars fétides, de mornes vies s'écoulent. On coupe à vif des becs, des dents, des testicules. On enfonce des embucs jusqu'au fond des gosiers.
Partout roulent des camions bourrés de condamnés. Ceux qu'on va égorger, saigner et dépecer.
En ce jour ordinaire, ceux qui ont peur et mal se comptent par millions. Dans ce pays en paix, la torture et le meurtre sont le lot quotidien.
Pour plus de détails, consultez le manifeste.
Page mise à jour le 19/02/07
Début à 14 heures Place Joachim Du Bellay. Plus...
Des millions d'humains dans le monde refusent de faire martyriser et tuer des animaux pour leur consommation. Qui en entend parler ?
On nous apprend à mépriser les animaux non humains et à devenir leurs bourreaux. Lorsque la barbarie est la norme sociale, il est difficile de dire « non ». Nous sommes fiers d'avoir su dire « non ».
Par sa simple existence, le végétarisme met en cause la légitimité de l'exploitation animale. C'est pourquoi il est ignoré, ridiculisé, diffamé. On veut nous faire honte de notre compassion. Nous ne nous laisserons pas intimider.
Droit à un temps de parole équitable, droit à des repas végéta*iens dans les collectivités, droit de refuser toute participation à l'exploitation animale par notre travail ou nos impôts...
Aux animaux élevés et tués on n'accorde aucun droit. Nous entendons exercer pleinement nos droits, parce que ce sont les seuls que ces animaux puissent aujourd'hui, indirectement, posséder. Nous parlerons pour eux jusqu'à ce que le massacre cesse.
En un jour ordinaire, d'un pays en temps de paix...
Des oiseaux empalés rôtissent dans les vitrines. Des corps démembrés garnissent les étals. Sur les ponts des bateaux, des poissons tressaillants lentement s'asphyxient. Dans les hangars fétides, de mornes vies s'écoulent. On coupe à vif des becs, des dents, des testicules. On enfonce des embucs jusqu'au fond des gosiers.
Partout roulent des camions bourrés de condamnés. Ceux qu'on va égorger, saigner et dépecer.
En ce jour ordinaire, ceux qui ont peur et mal se comptent par millions. Dans ce pays en paix, la torture et le meurtre sont le lot quotidien.
Pour plus de détails, consultez le manifeste.
Page mise à jour le 19/02/07