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Psychanalyse et animaux.

Même les cons pleurent. Jacques Durand dans le journal Liberation(alienation? Non; Collaboration!) : Corridas. Le cave se rebiffe.

3 Septembre 2007, 05:05am

Publié par Jo Benchetrit

Les anti-corrida sont de plus en plus entendus, si ce n'est écoutés. Ils seront au Grenelle de l'environnement. Libération qui usurpe son nom en se plaçant du côté de l'occupant aficionado, envoie au front un des siens, Durand.

Celui-ci nous nargue en agitant des chiffres que tout   anthropologue un peu sérieux prendrait pour indices  inquiétants sur notre santé mentale. Il semblerait, selon lui, que les aficionados soient de plus ne plus nombreux. Si c'est vrai que le nombre de spectateurs augmente dans les arènes de l'indignité humaine, c'est déprimant.
Pour ma part, cependant, je ne crois pas dans le progrès humain. Quand on observe l'histoire, on ne peut qu'être d'accord avec Freud dans "Malaise dans la civilisation" pour qui la civilisation n'est rien qu'un vernis prêt à craqueler sur le susbtrat, la barbarie. Je dis ailleurs que celle- ci est la structure mentale et donc la pathologie des hommes.
Pas de quoi, alors, être optimiste.
Mais de là à pavoiser comme le fait Durand dans Libé, le mur de l'inconscience et du cynisme est dépassé.
Qui s'en étonnerait de la part de quelqu'un qui peut voir une torture en trouvant ça beau?



Donc, M.Durand, les comm après votre article dans les pages, tenez vous bien, Kulture !!! sont fermés aux contestataires. Seul un commentaire laudatif ecrit par Jacques Durand ou un proche y est affiché de manière narquoise. Soit. J'espère que  les autres auront la sagesse de vous laisser parler seul, M. Durand.
Voici ce que je lui ai laissé en mail, donc:
 

La saison des arènes pleines


Ainsi, on écrit à l'auteur, donc les commentaires sont fermés. On comprend pourquoi. Libé, journal né de la contestation de Mai 68, et que j'ai aidé,comme j'ai pu en tant qu'étudiante, par mon soutien et même financièrement à ses débuts, a trahi sa mission de soutien à la libération des opprimés avec cette histoire décadente de corridas et n'aime pas les contestataires!!!!
Ce que vous dites est évidemment mû par le désir de vous justifier et de paraître bon. Mais enfin pourquoi ne pas assumer et faire comme Sade, l'éloge de la cruauté? Que d'hypocrisie et d'alibis idiots. Franchement, vous y gagneriez en tranquillité car personne ne viendrait vous contester vos arguments.
On a en effet le droit, hélas, dans notre monde d'humanisme intégriste de faire aux autres ce que nous ne voudrions pas subir, si ces autres sont des non hommes ou assimilés comme animal par l'air du moment. Le légal et le légitime ne se superposent pas toujours et avec les animaux, presque jamais, car nous sommes avec eux des tyrans implacables. Injustice du narcisse kamikaze. J'arrête, car je ne pense pas vous convaincre d'avoir enfin un peu de compassion et encore moins de jugeote. 


Allez sur le site, vous allez voir sur la droite les liens sur les articles de M.Durand.

J'ai été voir celui sur son article "Même les taureaux pleurent", ayant en 1/10° s cru trouver chez ce monsieur une once d'"humanité".

Que nenni, n'ayez crainte, l'homme ne manque pas de cohérence dans l'incohérence: les taureaux pleureraient, selon ce monsieur, de la mort d'un de leur tortionnaires !
Décidément avec les aficionados médiatisés, le mur du çon est complètement défoncé!

ET comme il n'a pas de cran, il choisit semble-t-il jusque là uniquement les mails de ceux qui l'encensent. A le lire, il n'ya que des "bravo" à ses  déblatérations.

C'est ça aussi le courage des toreros: on s'assure d'abord de ne pas courir de risques. On "prépare" avec la cruauté qu'on sait les taureaux à cette fin.

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J
Ce mr Durand, encore une de ces races de CONS pas assez rapidement en voie de disparition à mon goût.Mais, laissons faire Mère Nature, elle saura bien quoi faire de cet idiot doublé d'un abruti pour lequel on peut regretter que la mère n'ait pas avorté en son temps ! (et je reste pôli quant à sa filiation).En tout cas votre réponse à cet "aficionado" va j'espère laisser des traces dans son cortex attardé, du moins s'il a pris la peine de lire votre message ...
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