Réponse à un article de l'Humanité sur la "nécessité" de l'expérimention animale.
Je ne me lasse pas de féliciter le journal l'Humanité pour cette phrase/slogan où la vérité dépasse l'intention:
"Dans un monde idéal, l'humanité n'existerait pas".
En particulier tant qu'elle confondra son confort avec la santé de son espèce.
Or, se soigner sans tenir compte de comment on y arrive rend encore plus malade notre belle humanité. Le psychisme influe sur le corps. La pulsion de mort déchaînée par la recherche sur animaux atteind l'homme à pcourt pu moyen terme. Au final, la nature flouée ne pourra pas permettre la vie très longtemps.
Cf. L'animal partenaire de la médecine là:
> http://www.humanite.presse.fr/journal/2005-12-26/2005-12-26-820672
>
> Extrait :
>
> Les progrès de la médecine doivent beaucoup à l'expérimentation animale
> qui,
> aujourd'hui, reste un recours nécessaire bien que décrié.
Ma réponse:
Tout ce qui est nécessaire est-il souhaitable?
Si je vous dis, ce qui est vrai, que l'expérimentation sur les hommes est la
seule vraiment nécessaire et qu'elle ferait bondir les progrès de la
médecine, vous allez rétorqué que oui, mais que ce n'est pas moral.
Je suis d'accord. Sauf dans le cas de volontaires.
Cependant, je vous rétorque la même chose sur l'expé. sur animaux, vous savez, ces
innocents qu'on prend de force et qu'on met à notre service grâce à notre
puissance, notre pouvoir dû à l'abus que nous nous autorisons...mais là,
vous trouvez ça normal.
La morale a t elle 2 boussoles?
Non, je ne puis penser cela.
De même que le nord qui est montré par l'aiguille est constant, le bien est
fixe.
Sinon, on accepte d'être machiavélique et ça, ce n'est pas possible pour un
monde qui ferait le seul progrès qui nous sauverait, celui contre la pulsion
de mort.
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Mais , entre nous, mes chers amis lecteurs et les autres moins amis...La lucidité et les infos que je reçois me le disent bien, c'est mal parti. Le mal est bien parti, quant à lui, mais, incoherence de la langue, pas prêt à s'en aller. Car l'homme ne veut pas s'en défaire et y tient comme un sado-maso à son instrument de torture.
Ce qui n'est guère surprenant quand on garde en tête
que" l'homme est un pervers sexuel". (Lacan)