Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Psychanalyse et animaux.

Des beaufs sadiques (chasseurs) viennent du monde entier pour assassiner "leur" ours en Roumanie: grave! il ,n'y reste plus que 2000 malheureuses cibles.

8 Octobre 2005, 22:00pm

Publié par Jo benchetrit

Tuer des ours, pourquoi faire? Les manger? Les dépecer pour s'habiller? que nenni. Là, l'homme n'a aucune raison à oppposer aux arguments des anti-sadiques humains. Si, un seul: ils aiment ça, tuer les grosses bêtes! Le beauf est l'animal le pire,sans doute mais c'est un mal très répandu, la beauferie. Le beauf mange du foie gras, mais il peut croire être bon s"il n'aime pas les corridas. seulement il peut aussi les aimer! Le beauf est un jouisseur de la vie.

Sa devise: "Avec moi, ou sans moi, il y aura des horreurs. Alors, autant que ce soit AVEC moi!"

les riches aiment comme le beauf de nos campagnes se payer la sensation d'en avoir entre les jambes...Pénis que de crimes en ton nom...C'est comme les malheureux fauves de cirques ou zoos, qui filent une retraite pas paisible du tout comme cibles dans des enclos, pour la chasse en boite de milliardaires bande-mou et sans scrupules.

http://www.aves.asso.fr/article.php3?id_article=53

Un point sur la chasse à l'ours en Roumanie
vendredi 7 octobre 2005 par Sylvie CARDONA
Si la situation des ours en Roumanie nous préoccupe plus particulièrement
c'est parce que nous craignons que la population ursine ne puisse supporter
ces prélèvements intensifs bien longtemps.
Les chiffres communiqués par les autorités roumaines aux organismes
européens et à la CITES ne sont pas fiables, or ces mêmes organismes se
basent sur cette unique source pour autoriser ou réglementer les quotas de
chasse. Même si certains biologistes ont pu, au cours des dernières années,
réaliser des estimations fiables qui permettent de penser que la population
des ours se maintient à 2000 individus, ils ne peuvent guère se faire
entendre, ni au niveau du gouvernement roumain, ni au niveau des
institutions européennes.

Le drame est que les sociétés de chasse en Roumanie et les administrations
de ce pays avancent le chiffre faramineux de 6 000 ours pour dans l'espoir
d'augmenter les quotas de chasse et attirer davantage de chasseurs venus du
monde entier qui espèrent faire un "carton" sur un plantigrade. On vient de
loin et on paie fort cher pour avoir la peau de l'ours...

Que pèse l'animal face aux retombées économiques de la chasse à l'ours ?
Faut-il se féliciter qu'une minorité de Roumains profite de la destruction
de leur faune pour s'enrichir ? Nous pouvons offrir des alternatives aux
populations locales en développant notamment le tourisme vert, car les
massifs montagneux et forestiers de la Roumanie sont de toute beauté et
abritent une faune riche variée, et notamment de nombreux prédateurs.

Mais il faut agir vite et convaincre les autorités de la nécessité de
protéger l'ours en Roumanie. En effet, en mars 2005 le Conseil international
de la chasse et de la conservation du gibier avait émis une recommandation
visant à s'opposer à une décision de l'Union Européenne, qui recommandait
aux Etats membres de ne plus autoriser le commerce d'ours bruns roumains
comme trophés. Pour l'instant, même les agences de tourisme et de chasse
semblent se montrer prudentes sur les quotas d'ours à abattre qu'elles
proposent à leurs clients, en raison de cette décision européenne. Mais le
lobby de la chasse est puissant, et la décision de l'UE n'est pas
juridiquement contraignante. Il faut impérativement que ces quotas de chasse
soient revus à la baisse.

En conséquence, AVES FRANCE a décidé d'agir au niveau européen pour
contribuer à la protection des ours roumains. Nous vous tiendrons
régulièrement informés de l'avancement de ce dossier, et nous espérons que
la communauté europpéenne saura nous entendre.

Sylvie CARDONA
Secrétaire Générale et Trésorière d'AVES FRANCE

Commenter cet article