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Psychanalyse et animaux.

experimentation animale

Au responsable du Telethon 2009 : ne donnez plus si on continue la vivisection.

4 Décembre 2009, 17:37pm

Publié par Jo Benchetrit

Ecrire là pour protester contre la recherche sur animaux donc contre le Telethon:


telethon@spl03.net
Le fond du problème du monde est l'incroyable égoïsme humain, nommé humanisme. Or, erreur fatale, celui-ci se donne comme une vertu.
Et pourtant, au nom de l'amour de l'homme pour l'homme (on reconnaîtra au passage la définition du narcisse) que de crimes odieux! sur les animaux d'abord, nos martyrs: près de 100 milliards de victimes des humains par an!!!
Mais aussi d'autres hommes "déclassés" et comme vous dites, vous les humanistes, "ravalés" au rang de la bête, selon l'air du temps, car noir ou arabes, ou juifs, ou tutsie etc.
N'oubliez pas ceci: la fin de l'histoire de Narcisse c'est qu'il meurt en se noyant dans le lac qui reflète son image.
Alors, un peu de pudeur et d'instinct de vie. Laissez tomber les dons au Telethon, donnez aux assoces qui défendent la vie des faibles, des martyrisés dans les cirques, les labos, les élevages, des enfants soldats, malades, mais sans que cela aille à la recherche...etc!
Humain, réveille toi! tu n'es pas le nombril du monde, juste son tyran et le bras armé de l'instinct de mort.


Au fond, donc, la maladie, c'est l'homme.



Le 4 déc. 09 à 18:32, jo a écrit :




 Là, on peut dire que vous y aller fort avec les petits nenfants  en devanture! Votre faux-bon coeur m'écœure car il est le mal déguisé en bien,  définition de la perversion. Pierre Bergé à   raison, sauf que je ne donnerai pas au Sidaction pour les même raisons: la torture.

L'honnête homme dit non à sa santé si il doit pour cela tuer des êtres qui ne sont pour rien dans ses maladies.


Moi, j'en ai marre de ce mépris des vivants sensibles; un animal ça souffre, alors, en quoi doit-on choisir un humain? AU nom de quelle immoralité doit on se servir  sur la souffrance des autres à notre merci?

 Je suis pour le progrès humain, notre santé y gagnerait. Faites des expériences sur des cellules humaines. Et foutez la paix aux bêtes qui n'ont pas à payer pour nous.
Zut alors, j'en ai plus qu'assez de cette fausse bonhomie d' ogres monstrueux qui utilisent le fric des collectes pour mettre à mal  des innocents.
HONTE aux cyniques. les animaux ne peuvent se défendre, alors vous abusez d'eux?
Viol, massacres, tortures, on n'utilise pas ces mots qd il s'agit des animaux. mais pourquoi sinon pour eviter de se poser la seule question quI vaille: 
DE QUEL DROIT?


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L'auteur de "l'animal est il une personne?", Yves Christen, est un vivisecteur! Donc un tortionnaire.

3 Novembre 2009, 03:26am

Publié par Jo Benchetrit

Déprimant: Christen est un chercheur sur animaux, pour l'Alzheimer, donc un tortionnaire, un collegue à Chapouthier, un escroc, donc, qui pirate nos mouvements?  N'oubliez donc pas...Il ecrit pour la fondation IPSEN. du labo de triste renommée qui innonde nos sillons de Botox testé  sur des souris torturées.
Que fait David Chauvet de DDA avec ces gens là? je l'ignore. et Yves Bonnardel? Et Armand Faracchi?
Je pensais y aller, mais là, je ne sais plus. DOUTE CARTESIEN...
Ou alors ce serait pas pour faire des compliments.


 

 
 






 
 

 
reçu d'Armand Farrachi



TABLE RONDE 

à l'université Paris V René Descartes, samedi 14 novembre, de 14h à 16h. 

Amphithéâtre GIROUD



Organisée par Tribune pour l'Animal,  association de Science Po Paris, 

et Droits des Animaux

L'ANIMAL EST-IL UNE PERSONNE ?

De la négation de la pensée animale

Aujourd'hui, les avancées de la science (éthologie cognitive, neurosciences) en matière de cognition animale contredisent radicalement les conceptions cartésiennes de "l'animal machine". Mais tandis que les preuves de la continuité cognitive entre l'humain et les animaux s'accumulent, le sens commun reste imprégné de l'idée que l'animal est dépourvu de conscience. Or, il se trouve que nous exploitons massivement les animaux pour notre consommation courante, notamment carnée. La négation de la pensée animale, ou mentaphobie, sert-elle nos intérêts ? Sommes-nous en présence d'une stratégie d'exclusion des animaux de notre sphère de considération morale ? 

En débattront le biologiste Yves Christen (
L'animal est-il une personne ?, Flammarion, 2009), l'éthologue et directeur de recherche au CNRS, Pierre Jouventin (Les confessions d'un primate, Belin, 1999), le doctorant en philosophie Enrique Utria (Droits des animaux, théories d'un mouvement, DDA, 2007), David Chauvet, juriste de formation (La mentaphobie tue les animaux, DDA, 2008), Yves Bonnardel, éditeur (et auteur de « En finir avec l'idée de Nature, renouer avec l'éthique et la politique », Les Temps Modernes, mars-juin 2005).
 



Université Paris V René Descartes,  45 rue des Saints-Pères, 75006 Paris. 

Métro : Saint-Germain-des-Prés  



Informations : da_chauvet@hotmail.com 



 

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Infiltration de Wickam Laboratories (UK) qui martyrise des dizaines de milliers de souris chaque année

1 Novembre 2009, 23:17pm

Publié par Jo Benchetrit

 Il  existe d'autres méthodes  pour tester le botox, cf.ce qu'en dit Antidote,  mais IPSEN, labo  à boycotter s'acharne sur les souris. Ce labo malheureusement n'est pas le seul.
Sachez donc garder vos rides, hélas , tant  que ces infectes personnages ne se résignent  pas à ne pas sacrifier 500 souris qui meurent étouffées pour chaque sortie de Botox.  .Voir comment ils leur brisent le dos avec une pointe de stylo (le même qui servira ensuite à écrire les rapports de toxicité) en tentant "maladroitement" (= sauvagement) de les euthanasie et les laissent agoniser ainsi.
 Vivisection: ce terme vague et vaste englobe toutes les manipulations invasives que subissent les animaux dans les labos de la honte. J'ai du mal  à lire ça.
Quelle chose etrange que ce monde d'hommes! Il s'idealise, se  monte au pinacle, tant qu'il ne voit pas ses pieds mais est pourtant la chose la plus vile possible, la plus basse...
Comment peut-on être autant dans l'illusion?
Ci-git notre estime de nous-mêmes, dans ces endroits de torture, de maltraitance, de sadisme innommable.
Nous nous voilons la face et laissons les êtres les plus sensibles et vulnérables entre les mains de BRUTES.
 
  Infiltration de Wickam Laboratories (UK) qui martyrise des dizaines de milliers de souris chaque année

 

Après les récentes enquêtes en caméra cachée en Israël, voici une nouvelle infiltration récente menée 8 mois durant au Royaume-Uni au nom de la BUAV dans les sinistres laboratoires britanniques Wickham Laboratories (un CRO concurrent de HLS au service de l'industrie pharmaceutique britannique) .
 
http://www.timesonl ine.co.uk/ tol/news/ uk/article689809 9.ece (texte en anglais et fenêtre vidéo - scènes difficiles)
 
Ces scènes vidéo montrent notamment la manière dont des laborantins traitent les souris empoisonnées en mode Dose Létale 50 (DL 50) avec du Dysport (toxine botulique concurrente du Botox aussi et servant à lutter contre les contractions du muscle oculaire, les mouvements convulsifs faciaux et les spasmes musculaires) .
 
Voir comment ils leur brisent le dos avec une pointe de stylo (le même qui servira ensuite à écrire les rapports de toxicité) en tentant "maladroitement" (= sauvagement) de les euthanasie et les laissent agoniser ainsi.
 
D'après ce qu'a pu constater l'enquêteur, 41 088 souris ont été sacrifiées par ce labo à la réputation déjà lourde entre janvier et juin 2009 pour ces tests de toxicité... De quoi ne pas arranger les affaires d'Ipsen avec ses tests de Box sur des souris donc...
 
Voir aussi les injections ratées à répétition sur des lapins immobilisés en contention pendant 8 heures pour se voir administrer des substances médicamenteuses afin de vérifier si ces dernières provoquent de la fièvre.
 
Ça se passe comme ça au Royaume-Uni en 2009 - et pas que là-bas (la vivisection est un juteux marché international) , même si les autorités de ce pays ont décidé de diligenter une enquête de plus, pour la forme. 
 
Tout cela alors que des méthodes de substitution à la DL 50 sans animaux sont utilisées par d'autres labos britanniques (voir dossier Ibsen/Box ici :http://stopauxanima uxdansleslabos. blogspot. com/2009/ 08/ipsen- continu-de- tuer-des- millers-de. html)
 
Voilà à quoi servent les souris quand elle ne servent pas à la recherche sur la maladie d'Elsheimer. ..
 
 
Information à faire circuler à tous vos contacts, sur vos blocs, pages Vb, réseaux sociaux, listes de diffusion, forums...
 
************ ********* ***
Staff maim lab mice with ballpoints

Thousands of animals being used to test a wrinkle-erasing rival to Botox are facing cruel and agonising experiments at a Home Office-approved laboratory, an undercover investigation has found.

Secret footage of the tests on Dysport, a drug used to erase frown lines in cosmetic surgery clinics, shows laboratory staff accidentally breaking the backs of mice when trying to kill them with ballpoint pens. The pens were then used to fill out their death records.

The film, obtained using a hidden camera inside Wickham Laboratories, a long-established facility in Hampshire that tests drugs for pharmaceutical companies, also shows rabbits being incompetently injected with other drugs.

Staff are filmed botching injections and swearing at struggling rabbits, which are immobilised in “stocks” for up to eight hours in experiments that test whether drugs cause fevers.

Many of the rabbit tests, although licensed by the government, are not required under international pharmaceutical testing standards. The Home Office itself boasts about how these tests can be replaced by “a new technique using human blood cells instead of rabbits”.

The footage, shot by an investigator from the British Union for the Abolition of Vivisection, has led the government to launch an inquiry. A Home Office spokesman said: “We take these allegations seriously and are taking urgent steps to look into them further. We authorise animal research only when it can be justified.

“We expect and require the highest standards, and will thoroughly examine any evidence that suggests these standards are not being met.”

The filming, compiled over a period of eight months, included a sequence in which a member of staff made a number of attempts to inject a rabbit.

She is recorded calling the animal “a little shit” and “a disgrace”. She warned the rabbit that it could end up with “ear-rings” — a reference to punctures in its ear from failed attempts at injections. Another member of staff is recorded remarking that blood is coming out of the rabbit’s ear.

William Cartmell, the official vet charged with overseeing the welfare of the animals used for testing at Wickham, is also a founder and a big shareholder in the company.

Last night he denied that this represented a potential conflict of interest and said he was “a professional” .

Lab records seen by the BUAV investigator show that Cartmell’s weekly inspections sometimes took 15 minutes, with one visit in March this year lasting only eight minutes. He argued this was adequate to check that the animals were being treated well and not suffering.

“The health status of the animals is at such a high level that the length of time involved is more than adequate,” he said. “The animals are under constant care unlike pet animals and farm animals.”

Dysport, which is made from botulinum toxin, is licensed in Britain for medical use to treat conditions such as involuntary eye muscle contractions, facial twitches and muscle spasms.

However, it is also used legitimately “off-label” as an alternative to Botox for cosmetic treatments to eliminate frown lines and wrinkles.

Each batch has to be tested by law to ensure that it is safe and of the correct potency. Lab records seen by the investigator show that 41,088 mice were used in Dysport tests at Wickham between January and June this year.

The method used — lethal dose 50 (LD50) — is classed as a “very severe” test by the government. Mice are injected with the toxin. They suffer progressive paralysis and the film shows them lurching from side to side as they become unable to walk properly. Some appear to suffer severe breathing difficulties before dying.

Government regulations require suffering animals to be put out of their misery. Wickham Laboratories’ records indicate that far more mice died during the tests than were killed humanely.

Official guidelines allow mice to have their necks broken to ensure a quick death, and pens are often used to do this. But film shot at Wickham shows that some were left writhing after their backs were mistakenly broken by staff.

Alternatives to the LD50 test have been developed and are being used at other laboratories in Britain.

The official government laboratory, the National Institute for Biological Standards and Control, uses non-lethal methods to test Dysport. Ten years ago it developed a test of the toxin using a test tube. It also uses a far less severe test on mice that does not kill them.

The BUAV, which has eight months of footage from Wickham, said the treatment of many animals was “appalling”.

Sarah Kite, BUAV’s special projects director, said: “The fact that extremely sick mice end up in the hands of incompetent staff, to have their backs broken and suffer such an agonising death is totally sickening.

“Our shocking findings show that crude, archaic and extremely cruel animal tests are still allowed in the UK even when an alternative test exists and animal testing is not required by official bodies.”

The revelations about the testing at Wickham have shocked dermatologists who use Dysport. Nick Lowe, who is known as Dr Botox and has conducted research into the toxin, said he was surprised that the LD50 test was still being used.

Lowe, whose clients at his London clinic include Anne Robinson, the television presenter, said he was “appalled” to hear that animals were being allowed to suffer in tests on the drug.

“I would like to know that all the drugs I prescribe for patients are evaluated in ethical ways. With my own range of skin-care products we do absolutely no animal testing. I am not in favour of that type of testing at all. I want the highest ethical standards,” he said.

Ipsen Biopharm, which manufactures Dysport, said it took the “allegations very seriously” and would be following them up with Wickham. “Animal welfare is of primary importance to Ipsen, and the approval of Wickham by the Home Office has been critical in Ipsen’s decision to work with this company,” said a spokesman.

“In no way would I, or any member of Ipsen staff, condone practices outside the approved procedures laid down for this type of test.”

Ipsen said that it used the LD50 test because it was required to but was “striving to replace the LD50 test as soon as suitable alternatives have been approved by worldwide regulatory authorities”.

Chris Bishop, the technical director of Wickham Laboratories, said he could not comment on the footage but would seek opportunities to improve lab practice. He said the company’s “animal technicians undergo extensive training programmes”.

“We have a culture of seeking continuous improvement and if there are observations which indicate such opportunities, we shall gladly embrace them, ” he said.

The company added: “The welfare and care of our research animals is paramount.”

Test rules

- The Home Office’s policy is to license animal experiments only “when there is no alternative research technique”.

- Ministers say they will not license tests which “cause severe pain or distress that cannot be alleviated” or where the animal’s death is the “end point”.

- The government has banned the testing of cosmetics, such as make-up and face creams, on animals.

- Tests on animals rose to 3.7m procedures in 2008, up 450,000 on the previous year.

- Mice and rats are the most commonly used animals in tests. The government also allows dogs, cats, horses and primates. Last year 3,354 primates and 4,271 dogs were used in tests in UK labs.

- Labs have a legal duty to keep animal suffering to a minimum. There are strict standards for humane killing, animal care, housing and health.

 

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A quoi servent les tortures avec du Botox?
Je copie colle de ce blog:


http://infos.petition.over-blog.com/article-35327918.html

Jeudi 27 août 2009

Des souris shootées au Botox pour rester belles

 Suite au « coup de gueule » de Brigitte Bardot concernant les tests de toxine botulique effectués par l’industrie cosmétique sur des souris de laboratoire, le Dr André Ménache, directeur du collectif Antidote, rend la société Ipsen particulièrement responsable de la souffrance infligée aux animaux.

 

Les injections de Botox, nom commercial de la toxine botulique, sur des souris sont-ils vraiment nécessaires pour obtenir un produit garantissant tous les standards de sécurité aux femmes qui y ont recours ? « Vous devez tout de même être au courant du fait que des scientifiques britanniques de l’Institut National des Standards et des Contrôles Biologiques (NIBSC) ont mis au point une procédure qui n’utilise pas d’animaux pour vérifier l’efficacité des lots de doses de ce produit », écrit le Dr André Ménache, directeur du collectif Antidote au laboratoire Ipsen.

 

Ipsen est un prolongement des Laboratoires Beaufour, laboratoire pharmaceutique français créé à Dreux en 1929 par le docteur Henri Beaufour. La stratégie de développement du groupe repose sur une complémentarité entre les produits des domaines thérapeutiques ciblés, moteurs de sa croissance, et les produits de médecine générale qui contribuent notamment au financement de sa recherche. Ipsen s’engage à chercher à « réduire l’utilisation des animaux pour tester les toxines dès que possible », un engagement qui paraît de pure forme.

 

Dans la lettre qu’il adresse au laboratoire, le Dr André Ménache précise que « D’ailleurs, vous ne serez pas la première société pharmaceutique à utiliser une telle solution ». Il prend comme exemple les entreprises Novartis en Suisse et Baxter aux États-Unis, qui « ont largement remplacé les lapins pour les tests de pyrogénicité (fièvre) en s’appuyant sur une méthode sans animaux (le test d’activation des monocytes — MAT) ». De plus, il met en doute la volonté affichée de la société Ipsen de s’affranchir de la souffrance animale, et note que « si cette méthode n’a été validée par l’Union européenne qu’en 2006, ces deux sociétés l’utilisent déjà depuis 2004 ».

 

« Il est donc pour le moins étrange que votre Déclaration susmentionnée concernant les tests de la toxine botulique s’appuie sur un article qui date de presque quatre ans vu les progrès scientifiques réalisés depuis et les possibilités de validation actuelles », conclut le scientifique. La fondation Brigitte Bardot et Antidote rappellent que 5.000 souris de laboratoire ont été sacrifiées sur l’autel de l’éternelle jeunesse que le Botox est censé apporter aux personnes qui l’utilisent, mais surtout pour permettre à l’industrie cosmétique d’éviter trop de frais en recherches. « Une faille juridique fait que ce produit n’est pas concerné par l’interdiction de tester des produits cosmétiques sur des animaux dans la mesure où le Botox a été développé initialement en tant que médicament », lit-on sur le site Internet « Bronzez sans Cruauté ».

 

Les tests de validation du Botox pratiqués sur ces animaux sont-ils vraiment nécessaires ? Sachant que « chaque lot d’injections de Botox nécessite la mort de 500 souris qui ont subi une lente agonie, de trois jours en général, le temps pour les muscles respiratoires de se paralyser ». Non, estiment ces défenseurs de la cause animale, citant le Dr Dorothea Sesardic, une scientifique qui a contribué au développement de la méthode sans animaux il y a 10 ans : « Ipsen devra rapidement céder sous la pression des consommateurs et adopter une méthode de test n’impliquant pas d’animaux si les personnes qui utilisent du Botox commencent à protester ».

 

Dans la mesure où il existe une méthode alternative pour tester ces produits, « Il ne s’agit pas de renoncer à des soins cosmétiques mais juste d’allier beauté et compassion et d’épargner d’horribles souffrances à des animaux ». Pour autant, les souffrances animales pourraient faire réfléchir les femmes qui ont recours à la toxine botulique pour conserver l’apparence d’une éternelle jeunesse. Le Botox, s’il arrive à faire illusion, est-il absolument sans danger pour la santé ?

 

 

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Signez contre la vivisection, pratique sadique immonde.

23 Septembre 2009, 19:23pm

Publié par Jo Benchetrit

N'honorez plus les chercheurs s'ils continuent à se croire tout permis.
.
> Avec PETA, par une signature de 10 secondes, aidez les animaux martyrs des labos, livrés au pire des pulsions humaines.
>

>

Dear Helene ,

I recently wrote to you about the chilling details of what really goes on in the dark world of vivisection. Following a dogged campaign in which we employed the Freedom of Information Act, Oxford University has released information concerning the cruel treatment that a macaque named Felix endured when vivisectors conducteddisabling and invasive experiments on his brain.

This is the first time that a UK laboratory has effectively been forced to reveal secrets of this kind to the public, and it means that we are now able to evaluate the government's decision to grant a license to perform an experiment – and try to hold someone accountable.

We must now build on this historic precedent and use the information gained to help save other animals who are every bit as vulnerable and sentient as Felix was.

We need you to take two vital steps today to help us fight against cruel vivisection:

1) Contact the government minister to demand that European law is changed to reduce animal suffering and to support more accurate non-animal tests.

2) Make an urgent donation to PETA today to help fund our vital work for animals.

These two actions will take you only minutes – but your support today will enable us to continue to spare animals from experiments.

For the sake of every animal who is mutilated in any laboratory in the world, please help us end this cruelty.

Very truly yours,

> Ingrid E Newkirk
> Founder


>

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Expérimentation animale 24 09 09 à 19h : conférence de Florence Burgat (philosophe) et André Ménache

18 Septembre 2009, 14:17pm

Publié par Jo Benchetrit

http://53.img.v4.skyrock.net/530/cathykaczka/pics/605561009.jpg

Copié du

blog de Meryl Pinque que je vous invite à decouvrir là:

24 septembre 2009 à 19h : conférence de Florence Burgat (philosophe) et André Ménache sur le thème Expérimentation animale : un mal nécessaire ? à Paris, au 10-18 rue des Terres au Curé (salle Tilleul), 75013, métro Olympiades (ligne 14).

Intervenants :

Florence Burgat, philosophe, traitera des aspects éthiques. Elle est l'auteur de plusieurs livres et d'un dossier consacré àl'expérimentation animale dans la toute nouvelle "Revue semestrielle de droit animalier" éditée par la Faculté de droit et de sciences économiques de Limoges.
André Ménache, docteur vétérinaire, directeur d'Antidote Europe, traitera des aspects scientifiques et des avantages des méthodes sans animaux pour la santé humaine.

Entrée libre.

http://www.antidote-europe.org/confs_fr.htm





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54 millions d’animaux sacrifiés dans le projet REACH (One Voice

18 Septembre 2009, 14:11pm

Publié par Jo Benchetrit

One voice ne fait pas son auto critique. Je l'attends toujours car One Voice a demandé REACH.


Expérimentation : 54 millions d’animaux sacrifiés dans le projet REACH (One Voice)
FAC20.preview.JPG
Le docteur vétérinaire André Ménache, directeur d’Antidote Europe*, fait le point sur les avancées présentées lors du congrès mondial sur les alternatives à l’expérimentation animale.

54 millions d’animaux seront utilisés pour le projet REACH.

Il est plus que jamais nécessaire de convaincre l’Union européenne de recourir à une science moderne et performante, excluant les expériences sur les animaux.

De bonnes nouvelles en Suisse et en Allemagne

Le 7ème congrès mondial sur les alternatives aux expériences sur les animaux a eu lieu à Rome, du 30 août au 3 septembre 2009, et a accueilli 900 participants.

La suite là: http://perseides.hautetfort.com/


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Pétition contre l'experimentation animale. Elèves et étudiants, dites NON à vos profs.

18 Septembre 2009, 13:55pm

Publié par Jo Benchetrit

BB. Ma Fondation a cofinancé un test cellulaire, réalisé sur cellules humaines, qui prédit à 82 % les effets toxiques sur l'espèce humaine, contre 65 % lorsque la souris est prise pour « modèle » et 61 % lorsqu'il s'agit du rat.

Il faut absolument se donner les moyens de développer ces méthodes alternatives et mettre un terme définitif à l'expérimentation animale qui symbolise aujourd'hui la préhistoire de la recherche, une science sans conscience dont nous ne voulons plus.

DDD. A-t-on atteint des sommets en tuant des souris pour le botox ?

BB. Les sommets sont atteints depuis bien longtemps mais l'homme peut toujours aller plus loin dans l'ignominie.

Des milliers de souris sont tuées par injections de toxine botulique.

Tous ces animaux morts, dans des souffrances ignobles, pour permettre à certains de cacher quelques rides qui finiront par revenir de toute façon…

DDD. Qu'attendez-vous des citoyens et des pouvoirs publics ?

BB. Les pouvoirs publics doivent remettre en cause le principe de l'expérimentation animale en soutenant les chercheurs qui travaillent au développement de nouvelles méthodes.

J'attends aussi qu'ils reconnaissent un droit d'objection de conscience à l'expérimentation animale comme cela existe dans plusieurs pays européens.

Ma Fondation a travaillé à la rédaction d'une proposition de loi, enregistrée à l'Assemblée Nationale, il est temps aujourd'hui d'adopter ce texte.

Je lance d'ailleurs un appel aux étudiants pour qu'ils refusent de participer aux expérimentations et même aux dissections inutiles pratiquées dans les établissements scolaires.

Nous avons mis une pétition en ligne(www.fondationbrigittebardot.fr), il est important de la signer et de la diffuser.

http://www.ladepeche.fr/article/2009/09/13/671856-Trente-millions-de-cobayes.html



La liberté commence avec celle de dire non à tous les ordres qui vont contre votre conscience.
j'ai fait mes études sans accepter de faire des expé. Il le fallait, j'ai dit non, et n'ai jamais été sanctionnée. 
Dire oui, c'est démontrer qu'on aurait pu être un nazi bien obéissant aux ordres ls pires. 

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Le syndrome de Frankenstein: REACH, le cauchemar .

27 Août 2009, 19:24pm

Publié par Jo Benchetrit

 


Je vais encore faire plaisir et me faire des amis:

Ne me parlez plus de REACH, car là, on atteint (REACH) des sommets dans la puanteur dite humaine. Envoyons ça à ceux  qui ont porté ce projet comme on porte un serpent dans son sein, (ou disons un Alien  pour ne pas offenser les serpents).
Donc à ceux qui avaient le pouvoir à Antidote— je crois que M.Menache n'en était pas— qui auraient tort de jouer l'indignation car  défaut d'intelligence prédictive vaut ici comme tjrs avec les humains   pour faute et j'avais assez hurlé contre à l'époque, mais ces "savants " trop sûrs d'eux ne savent pas qu'il ne faut pas balayer d'un revers de manche les mises en garde des non dupes.
Brefle, je suis indignée. "Merci" à tous les amis des bêtes (dont 30 millions) qui ont soutenu REACH et aux Verts qui sont avec d'autres dont le WWF je crois, à l'origine du projet et ont osé défiler avec nous pour les animaux en Novembre 2005 tout en soutenant béatement le projet avec cette mise en garde de tartuffe: faut pas utiliser les animaux ( ou pire encore: pas trop d'animaux, lol. toute la tartuffade est dans le pas trop). ha! les verts adorent ce projet et se frottent les mains de leur victoire (faut dire que seule les espèces en voie d'aneantissement sont objet de la protection écologique pol. cor. le reste, c'est juste de la morale et ça, ça ne semble pas trop   empêcher de dormir l'humain moyen). Oui, j'ai voté pour eux, comme quoi...mais je crois m'abstenir de tout vote à présent. Tout cela m'écœure.
Et surtout  ne me demandez pas pourquoi je deviens de plus en plus misanthrope car vous le savez tous: la connerie des autres est plus supportable que celle dans ses propres rangs. et là, je la vois partout et ça me fout en l'air. Ceux qui ont cru pouvoir faire évoluer le système en sont de graves, et en plus de salement cruels et disons le, abjectes, car ils ont parié sur la vie des autres. Qu'ils aillent donc se proposer comme cobayes, ce ne serait que justice.
un article de moi
 
 
Oui, il faut que cela   se sache, la connerie vient de ce narcissisme solidement arrimé à notre peau qui nous fait croire qu'il suffit de rêver pour que ça arrive, de rêver avec les gens dans notre famille d'idées et de sensibilité "qu'ils" allaient obtempérer. Cette méconnaissance de l'adversaire est une absolue catastrophe.  Moi, j'ai cauchemardé depuis le début de VOTRE projet, jen'ai cessé de le dire...Mais que suis-je? une modeste fourmi qin'alalient pas faire déplaner une armée d'inconscient qui manifestaient à Strasbourg pour qu'on leur teste tout pour leur petite santé et celle de leurs enfants gniangnian...
Et en plus ça fait au moins 4 ans (debut de ce projet Frankeinstein: on crée un monstre et ensuite on voit que c'est la cata) que je ressasse ma hargne impuissante.  
  L'ennemi est trop fort et il est en chacun (surtout chez les débiles volontaires, les plus pires: rien de plus dangereux qu'un imbécile sûr de lui. Mais le probléme c'est que c'est de l'humain moyen que je cause là).

 


Début du message réexpédié :
 

Le programme REACH nécessitera jusqu'à 54 millions d'animaux de laboratoire et sa mise en oeuvre coûtera 9,5 milliards d'euros au cours des 10 prochaines années, soit 20 fois plus d'animaux et six fois plus d'argent que prévu initialement, [comme le rapportent des scientifiques] dans le journal Nature.
"http://www.nature.com/news/2009/090826/full/news.2009.860.html
"Une nouvelle analyse scientifique de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health a constaté que le nombre de substances chimiques pré-enregistrées pour le programme REACH pour chaque industrie a largement dépassé les prévisions et implique un volume énorme de test."

"Hartung et Constanza Rovida [les scientifiques en question] déclarent que jusqu'à 101000 substances chimiques pourraient être concernées par REACH, soit trois fois plus que lors des estimations précédentes."

=> Donc 54 millions d'animaux EN PLUS sur une période de 10 ans , en plus de tous ceux déjà suppliciés annuellement en Europe.

Seul espoir pour ce "dossier" : que les industriels européens du profit se rendent compte qu'il existe des méthodes sans animaux beaucoup plus rapides et économiques pour tester toutes ces substances, comme le préconise Antidote Europe, et qu'ils fassent eux aussi pression, pour leur porte-monnaie, c'est sûr, sur les instances européennes.
"Le monde n'avance que grâce à ceux qui s'y opposent." Goethe

http://florianelia.over-blog.com/articles-blog.html
"


Il faut mettre de la conscience dans tous les gestes de notre vie quotidienne. Cette inconfortable vigilance est le prix à payer pour  tenter d'améliorer le  monde qui va à vau-l'eau du fait du refus de réfléchir  des hommes.
http://vegan.fr/
 

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expérimentation animale, vivisection ou non : capitale de la douleur.

16 Août 2009, 05:45am

Publié par Jo Benchetrit

Recherche sur animaux : certains arguent d’une inutilité, du fait de l’impossibilité réelle d’extrapoler d’une espèce à l’autre, afin d’en finir avec cette pratique abusive, dont on sait combien elle est douloureuse et angoissante. Le mot "utile" est superflu. En effet, une souffrance souvent abominable est imposée à des individus sensibles, dits animaux, sans que leur intérêt ne soit visé. Cette simple précision ne vaut elle pas dissuasion? La chose la plus importante est éthique. Sinon, nous avouons la vérité: à savoir que nous avons fait un choix, celui de la barbarie. Il me semble évident que celle-ci, , utile ou futile, est à condamner, et ce, quelque soit la race, l'âge, en un mot la classe dans laquelle nous avons rangé la victime,  si on ne veut pas devenir une marionnette entre les "mains" de la pulsion de mort qui fait de nous une terreur pour nous comme pour les autres, une erreur de la nature, un Kamikaze en un mot.
C'est pour cela que l'on ne doit jamais donner à la recherche. Telethon et Sidaction: à proscrire!


http://www.lemague.net/dyn/spip.php?article6499

Parmi les formes d’utilisation des animaux, l’expérimentation semble occuper une place à part, présente Florence Burgat dans le premier numéro de la Revue semestrielle de Droit animalier, ouvrage périodique édité par la faculté de droit et des sciences économiques de Limoges. Le MAGue vous propose quelques extraits les plus significatifs de son point de vue dans cette tribune libre accordée à la philosophe Florence Burgat.

 

 

 

Parmi les formes d’utilisation des animaux, l’expérimentation semble occuper une place à part. En effet, lorsqu’il s’agit de soupeser la légitimité morale de chacune d’elles, on apprécie les avantages qui en sont retirés à l’aune d’un calcul qui met en balance les coûts pour l’animal et les bénéfices pour l’homme ; les fins ne sont donc pas toutes jugées systématiquement bonnes. Au regard de cette évaluation utilitariste, la fin justifie les moyens et les intérêts individuels sont subordonnés à ceux du plus grand nombre.

De cette mise à l’épreuve, la chasse, la corrida, le port de fourrure ou la consommation de foie gras, notamment, devraient sortir vaincus puisqu’ils n’ont que le plaisir comme critère, au contraire de l’expérimentation animale qui relèverait d’un plus noble dessein : produire de la connaissance, dont une partie peut être utile à la santé humaine, voire animale dans certains cas. Mais un tiers de son domaine à peine pourrait tirer parti d’un tel calcul, car l’expérimentation est loin de se cantonner à la recherche médicale ; le recours aux animaux n’est pas une exception, il constitue au contraire la règle généralisée et systématique, comme l’énumération des domaines où ils sont convoqués en convainc.

Quoique déséquilibrée et viciée dans son principe, puisque celui qui souffre subit en pure perte pour lui maux et plaies dont il ne réchappera pas, cette balance conduit à qualifier l’expérimentation de « mal nécessaire ». On élimine ainsi la question portant sur la légitimité de l’expérimentation et on l’élève dans le même temps au rang d’une pratique désormais « éthique ». Toute interrogation sur les fondements est donc d’avance tranchée et l’« éthique » cantonnée à la déontologie des bonnes pratiques : tu ne feras point souffrir inutilement les animaux de laboratoire. Du reste, prendre vraiment au sérieux l’injonction du « respect » dû aux animaux de laboratoire ne laisserait pas indemne leur statut, et un tel risque ne saurait être pris.

On tente donc (c’est ce que je voudrais montrer), de manière très contrôlée et à des fins dilatoires, de mobiliser l’attention en direction de la seule procédure : un vocabulaire outrancièrement éthique est mis en place, tandis que la notion de « modèle animal » constitue le moment culminant et le piège profond de l’abstraction. L’expérimentation sur les animaux est un mal nécessaire, dit-on. Est ainsi admis le double principe selon lequel les animaux sont au service des fins de l’homme et selon lequel on ne peut se passer d’eux pour faire progresser la recherche. Tout se passe par ailleurs comme si la reconnaissance du mal pardonnait la faute à demi.

On présente comme une nécessité ce qui relève en réalité d’une décision métaphysique, morale et politique, sinon d’un pur pragmatisme cynique : puisque la continuité psycho-biologique entre les animaux et l’homme est établie, profitons-en ! Il est à plusieurs égards sophistique de caractériser l’expérimentation animale comme un « mal nécessaire » : entreprise planifiée et routinière, elle est fondée sur le choix délibéré qu’une partie des organismes servira à la compréhension d’autres organismes, les premiers ne valant que biologiquement, les seconds valant moralement, et métaphysiquement aux yeux de certains.

Aussi une continuité forte, voire une identité, entre l’animal et l’homme est-elle requise, et affirmée, pour valider l’expérimentation sur le plan scientifique, tandis qu’une discontinuité, d’un tout autre ordre et jamais clairement définie, intervient à pour permettre l’exploitation sereine de la continuité biologique préalablement posée. Un dualisme interne à l’homme vient prêter main-forte à cette logique : le corps humain est qualifié d’« animalité organique », de sorte que cette part vile peut être réparée par du vil (substances ou organes animaux ou, sur un plan plus abstrait, connaissances provenant de l’expérimentation animale) sans que son porteur en soit lui même avili.

Mais qu’en est-il de la vie mentale, qu’il va donc falloir naturaliser à l’extrême et distinguer de toute « intériorité », qu’on réservera à l’homme ? C’est là, dans le cas de la modélisation des psychopathologies, que les limites du fondement analogique sur lequel repose l’expérimentation sont les plus manifestes. C’est aussi là qu’apparaît avec le plus de force le paradoxe de l’expérimentation : l’animal de laboratoire ne présente pas seulement l’avantage d’être un « organisme entier » : il a une vie psychique que l’on peut détraquer à loisir.

On soumet des rats à une lumière intense, au bruit, à des chocs, à des traumatismes en tout genre qui sont censés reproduire le « stress de la vie moderne », et l’on teste leur résistance à tout ceci grâce aux antidépresseurs, anxiolytiques, etc. On évoquera le « test de la nage forcée » : lorsque les animaux comprennent qu’il n’ont aucune possibilité de cesser de nager, on regarde si le groupe auquel l’antidépresseur a été administré résiste mieux que l’autre à une situation sans issue. Ne doit-on pas, par parenthèse, s’interroger sur la psychologie de ceux qui ont conçu ces tests ? Plaques chauffantes ou réfrigérantes, piscines destinées à la nage forcée, et différents modèles de guillotines, pour en finir !

La vue de ces équipements déniaise le candide, qui appréciera aussi l’humour du fabriquant : sur la plaque réfrigérante, un rat à la Walt Disney est déguisé en skieur, mais il a à proximité sa « bouée canard », car la neige fond à haute température ! Par quel tour de passe-passe le cancer de la souris, dont le développement doit permettre d’élaborer un traitement sur l’homme, est-il moins terrible et moins douloureux pour elle que pour « nous », la terreur induite d’un animal rendu fou de peur moins pénible pour lui que pour « nous » ? « Qui, nous » ?

le 15/08/2009

Voir en ligne : Le n°1 de la Revue semestrielle de droit animalier est ici.

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Rejoindre la marche virtuelle de ceux qui refusent la torture légale de l'expérimentation animale.

12 Juillet 2009, 16:24pm

Publié par Jo Benchetrit

A
DE QUEL DROIT?
Un tortionnaire va à nouveau lui faire qq chose
. MAIs quoi????


Souris rendue malade, petite chose martyrisée,sans force, sans autre issue que la mort. les grosses mains du bourreau vont encore la tourmenter . Imaginez l'angoisse pour elle qui ne sait pas ce qu'on va encore lui faire subir.
C'est inacceptable, non?
Allez sur le site www.spa.asso.fr cliquer dans l'encadré "Faites de l'expérimentation animale une histoire ancienne" puis sur "Soyez actif " à gauche et enfin sur "Public soyez actifs" Afin de signer pour des méthodes substitutives et rejoindre la marche virtuelle de ceux qui refusent la torture légale et inutile de millions d'animaux désarmés.
 

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