Photos colorisées d'une jeune fille de 14 ans assassinée par les abrutis nazis par injection de phénol dans le coeur.

Les photos colorisées d'une Polonaise de 14 ans tuée à Auschwitz provoquent l'émotion

Portraits de Czesława Kwoka une adolescente polonaise de 14 ans décédée le 12 mars 1943 à Auschwitz suite à une injection de phénol dans le Soixante-quinze ans après sa mort, le portrait ph...

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14 ans, l'âge d'avoir "Toute la vie devant soi", assassinée à Auschwitz.
Les photos de cette jeune fille de l'âge d'Anne Franck, tuée elle aussi par des racailles dits nazis, encore presents avec ceux qui, aujourd'hui, font une quenelle en osant ricaner devant chez elle, ces photos nous touchent car la couleur nous la rend plus réelle donc plus directement imaginable telle qu'en elle-même, avec la tronche un peu insolente des ados, une fillette qu'on pourrait croiser. Le nez rouge d'avoir pleuré, les stigmates de coups sur la bouche, la colere et la tristesse insoutenable dans le regard. Le photographe, dans une 3° photo, a sans doute eu envie de la montrer aussi jolie qu'elle l'etait, en lui mettant un turban comme pour cacher les quelques cheveux restants après avoir été rasée.
Cette petite dite "prisonnière politique" a le visage du courage.
Tuée comme tant d'autres victimes, sans autre raison que la déraison de minables debiles et megalos. Nous t'aimons, petite. Mais peut être pas autant que nous haïssons tes bourreaux.

Comble de la bêtise heureuse, ces psychopathes s'imaginaient supérieurs à toi, jolie petite martyrisée.

Si après ça, vous apprenez à dire "bête comme un nazi ", et non plus "bête comme un âne" (alors que les ânes sont intelligents), ça indiquera que cette colorisation a été utile. Il suffirait d'une couleur dans les photos pour que les gens en manque d'imagination et d'empathie redeviennent humains...
Pourquoi dire cela?  Le psychopathe  peut seduire par sa capacité de transgression alors que l'idiot immoral qui se croit intelligent et superieur aux autres  est finalement perçu pour ce qu'il est: rien qu'un minus  méprisable, "un sans couilles" comme dit Samuel Benchetrit au sujet de Bertrand Cantat.
 

Ce n'est pas pour rien que les videos d'L214 ont fait un tel bruit. Sans voir le rouge du sang, auraient elles eu le même impact? Peut etre pas.  Nous aimerions la même choses montrant les experiences sur animaux. Il en faut des astuces pour trouver le chemin jusqu'au coeur sec des hommes quand on veut y  insuffler la defense de la vie.

Il est bien plus simple au débile d'y injecter la mort.

Comment ne pas  voir, par ailleurs, dans le nazisme, un écho du rapport des hommes aux animaux?

Le nazisme est un spécisme car il permet à des megalos de tuer au nom de la différence d'espèce entre hommes(aryens) et les autres(animaux).

En ce sens le spécisme  comme le nazisme sont la quintessence de l'humanisme.

Et, comble d'aveuglement, il y a des humanistes qui arrivent à croire que les enfants de nazis de l'actionnisme le plus honteusement speciste dénonçaient le nazisme alors qu'ils ne faisaient que s'identifier à leurs peres pour leurs basses oeuvres. On ne denonce pas un tueur en tuant des innocents. Pour tuer le père, il y a d'autres methodes que de  tuer des enfants. Les animaux comme tout être entre les mains d'un plus fort qui le dessaisit des decisions sur sa vie sont des enfants.

Et le meurtre du père est symbolique; il est bon de rappeler que ce n'est pas dans le réel du sang et des excrements de peur qu'on peut acceder à la castration symbolique mais bien au contraire, on est là en plein retour du refoulé propre à la barbarie.

Par contre la photo colorisée puisqu'il s'agit de ça est une porte d'entrée au réel de cette barbarie insoutenable mais inconsciemment desirée par le pervers acephale en chacun et malencontreusement réalisable légalement sur les animaux.

Depuis le néolithique, où la reproduction des especes a été exploitée par les hommes à leur seul profit, le pb de la perversion humaine se pose. Je milite pour des limites, donc une thérapie volontaire des humains.

 Utopie complete. Pourquoi?Parce que le symptôme, c'est la jouissance.

On dit des psychopathes, comme on le disait des nazis, que ce sont des gens ordinaires par ailleurs. Est-ce si vrai? Ordinaires,  mais pas foutus de dire non à leurs pulsions comme on le fait d'ordinaire avec les bêtes. 

Quel impact a sur notre psychisme cette perte des repères moraux élémentaires, de nos tabous, de nos limites?  est-ce que cela explique que nous ne puissions pas vivre en paix avec les autres humains? Est ce que sans la sous-estimation des autres espèces ravalées au rang de choses sans subjectivité, on aurait eu la terreur nazie, autre nom de la jouissance pré-oedipienne? En effet, avec le nazisme et dans les guerres, on a bien vu que le tabou de tuer l'autre homme saute dès lors que l'autre homme est dit non humain, comme chien, rat, etc.

Cette petite est bien un être humain, comme vous qui me lisez, et même un animal humain! Le grand progrès contre le pervers en chacun ne serait-il pas d'en arriver à considerer l'autre animal comme un être de subjectivité comme nous, un alter ego, pas une chose, pas une métaphore, pas un intrus, pas un être né pour être à notre service, pour nos besoins ou notre jouissance?

Comments

[honorius]

Que ce soit pour les hommes ou les animaux, les bourreaux sadiques sont toujours là... Je doute qu'un jour cela change, mais ce n'est pas pour ça qu'il faut baisser les bras. Biz

[Jo Benchetrit]

c'est vraiment ça! on doit continuer.mais les plus sadiques gagnent car ils sont les plus nombreux et les plus cons. en plus, la foule rend idiot. Et ils sont la foule.