Pesticides, cancer des agriculteurs, jetez moins,mangez bio. Crime ecologique.
Effet boomerang du viol de la nature, des agriculteurs développent cancer et Parkinson dus, c'est prouvé après enquête, aux pesticides.Tant va la cruche à l'eau, disait Perette, qu'à la fin elle se casse.
Voir un article sur Politis:
http://www.politis.fr/Cancers-des-agriculteurs-la-fin-d,26979.html#forum30968
Pas besoin de faire une étude de plus(par torture animale) pour prouver que nous sommes tous contaminés par cette agriculture de dingues, tous, y compris les animaux sauvages et domestiques.
Les produits animaux sont tout autant contaminés, voire plus, car les animaux sont nourris de ce qu' on ne voudrait pas avaler qui se concentrent dans leur chair et produits oeufs et laitage: OGM et pesticides ++. Les carnistes sont donc eus! ils mangent des saloperies à leur insu.
Le poisson concentre tout autant, et même plus, toutes les saloperies qui sont déposées par les hommes, agresseurs suicidaires d’essence, soumis à la pulsion de mort de manière tragique, dans leur écosystème.
Que la France, terre indécente du foie gras, des corridas, des combats de coqs, soit la 1° utilisatrice d'Europe en poisons pour son agriculture ne devrait pas nous étonner.
La nature a une image de tout à l'égout, de poubelle, pour ces animaux décérébrés que donc nous sommes. Comme je le dis souvent, "le seul singe assez idiot pour scier la branche sur laquelle il est assis, c'est l’homme."
Tout le paradoxe humain est résumé dans cette phrase car c'est peut être le seul à avoir su inventer la scie. Je dis peut être car sait-on jamais? On en découvre tous les jours sur les animaux.
La maladie des agriculteurs se retrouve en place d'indice de l'effet boomerang du viol de la nature, mais nul n'est à l'abri. Et même si les trouvailles médicales peuvent réparer parfois nos méfaits, le cancer gagne du terrain.
Sachant que nous consommons autant que nous jetons, il faut savoir que trop produire pour donner à la gourmande poubelle est une aberration centrale. Vaudrait mieux cesser ces conneries et ne plus jeter, acheter la moitié en bio de ce qu'on achète en non bio, même plus cher, ça ne coûterait pas plus cher au final. Et d‘ailleurs, plus il y a de consommateurs, moins c’est cher. Toutes les subventions devraient aller au bio. Stop aux aides à l’agriculture criminelle contre la nature. Au contraire, sanction.
Le boulanger près de chez moi jette environ 100kg de bonne nourriture tous les 3 jours, sandwichs au poulet, jambon, fromages etc, , gâteaux, pains, et met des saletés dessus pour éviter qu'on récupère. OBSCENITE.
Cet abruti fait partie des criminels écologiques banals. Le crime écologique devrait être sanctionné.
Et ce n'est qu'un exemple parmi des millions.
Sachant que les cantines scolaires, les repas servis en hôpital se retrouve en grande partie dans les poubelles, il ne viendrait pas à l'idée des responsables de faire de bons repas pour les gens et pas pour les poubelles?
Songez que des milliards d'animaux dans le monde mènent une vie atroce pour le dieu surproduction et qu'ils se retrouvent pour moitié à la poubelle! Obscénité, cruauté, légèreté, illogisme...tout cela se symbolise bien dans la production agricole et le secteur alimentaire en général. Les pêcheurs jettent 80% des animaux tués pour rien. Les poubelles des grandes poissonneries sont recouvertes de toxiques pour dissuader la récup, là aussi.
Et les lois? Elles ne servent qu'à être transgressées. L'épandage aerien, par exemple, terriblement dangereux, est interdit mais de nombreuses dérogations l’autorisent!
« "C'est un coup de Napalm sur la biodiversité", estime le vice-président EELV du conseil régional de Midi-Pyrénées, Gérard Onesta. "Le problème concerne toute la France, c'est effrayant. La puissance publique donne une dérogation générale et systématique. C'est un scandale sanitaire majeur. Quand on épand, tout le monde en prend : les promeneurs, les enfants qui jouent dans le jardin, les animaux, les cours d'eau, les élevages. Et ce sont des produits de grande toxicité". Au ministère de l'Agriculture, on rappelle que "la règle c'est l'interdiction, les cas particuliers c'est la dérogation". Toutefois le député PS Gérard Bapt, président du groupe santé environnementale de l'Assemblée nationale, s'étonne de la multiplication de ces fameuses dérogations. »
Ben aux Antilles, c'est à nouveau autorisé; le prefet se rejouit! C'est honteux.
Idem dans les Landes.
Ils nous tuent, ils ne nous font pas de bien. Révoltons nous!