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Psychanalyse et animaux.

la porte de l'ethique: savoir

pourquoi il FAUT stériliser les chats.

1 Octobre 2006, 03:29am

Publié par Jo benchetrit

*
Coups de griffes
Coups de griffescoups de pattes et ronrons...
---
Stérilisez! 20/09/2006
Sur 100 chatons donnés par des particuliers:
*Abandons 32% dont :
- euthanasie : 46%
- maladie/ faim : 27%
- accidents mortels : 14 %
- empoisonnement : 12%
- réadoptés : 1%
*Morts accidentelles ou provoquées 58%
*Chats heureux 7%
Prenez des garanties, ne les donnez pas comme des petits pains!!! Et surtout, stérilisez!!!
http://www.le-chat-libre.com/rubriques.php?id=9

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Pourquoi il faut signer avec Corinne Touzet contre la fourrure

30 Septembre 2006, 18:18pm

Publié par Jo benchetrit

Petit vison rapté de l'enfer et apprivoisé.

 

Voici un courrier sur la petition de l'AFIPA:

 
 
 
Il faut continuer à soutenir l'AFIPA et en particulier Nicolas Biscaye son fondateur et Monique Leroux sa directrice ainsi que toute l'équipe qui travaille à leurs cotés.
L'union fait la force et des représentants sincères et emblématiques comme Corinne Touzet, Michael, Liane Folly sont un soutien formidable pour lutter contre ces horreurs.
Continuons ensemble et faisons passer le message.
 
 
  contre le commerce de la fourrure . FAITES CIRCULER MASSIVEMENT.......MERCI

Je vous transmets ce mail , il faut signer si cela n'est pas encore fait........
 
Je ne sais pas si certains d'entre vous ont vu l'émission de Cauet hier soir, je suis tombée dessus au moment où l'actrice Corinne Touzet parlait de son combat contre la foururre et les tortures infligées aux animaux élevés dans cet but. Ses larmes d'émotion au moment de la diffusion de photos de chiens et chats enfermés dans des conditions atroces ont visiblement fait mouche. L'équipe de l'émission (pour laquelle je n'ai habituellement pas beaucoup de considération) a énormément soutenu l'actrice et son combat en répétant à plusieurs reprises les adresses internet où signer les pétitions anti-foururre et en critiquant ouvertement ce commerce. Corinne Touzet a quitté le plateau sous les "ovations" du publique présent, debout.
Peu après, je suis allée sur les fameux sites internet qui étaient totalement submergés par les utilisateurs!
Alors bon ce n'est peut-être pas grand chose mais cela fait quand même plaisir de voir cela (même si une fois de plus c'était en fin de soirée) en sachant que cette émission est tout de même populaire et qu'elle a peut-être fait réagir de nombreuses personnes.   Anne


 

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La santé de Ben Laden, la haine et l'amour. Celui qui sème un sentiment ne doit pas s'étonner qu'il pousse

24 Septembre 2006, 05:37am

Publié par Jo benchetrit

ON APPREND CE JOUR QUE BEN LADEN EST MORT...

ENFIN, PEUT-ETRE, CAR A L'INSTAR DE MAURICE CHEVALIER QUI AVAIT ANNONCE une bonne dizaine de fois sa sortie, (il n'a abandonné la scène que pour mourir ), on apprend épisodiquement cette (fausse) bonne nouvelle depuis des lustres.

Ceci dit, ça changerait quoi qu'il crève?

Lorsqu'un membre est gangrené, on peut toujours tuer le 1° microbe qui a attaqué ce membre, on ne pourra jamais le guérir ainsi, ce membre.

Il en est de même de Barbe Noire(devenue grise),  de celui sans qui les tours jumelles, les phallus dont il était jaloux, ne seraient pas effondrées avec l'espoir de trouver un jour la paix dans notre 21° siècle.
Les gens savent que le début est important mais il ne suffit pas de combattre le début, il faut aussi arrêter de semer la haine, si on ne veut pas de haine, ou l'amour, si on ne veut pas d'amour.

Et d'ailleurs, ne faut-il pas trouver l'origine de la haine ailleurs que dans ce Ben Laden machiavélique?
L'anti-américanisme imbécile de nos pays masochistes, maintes fois sauvés par le grand frère ( plutôt fils car les USA sont peuplés des enfants de l'Europe)"oncle" Sam, y est pour beaucoup. Des gens de peu, complètement irresponsables( enfin, manière de parler car c'est eux qui en sont en partie les agents) se sont réjouis de ces attentats pour m'a dit une ancienne amie", leur apprendre  l'humilité.

J'ai encore honte de cet amour que je lui avais donné, inconditionnellement, comme Elie doit repenser son passé avec Dieudonné.

Faut dire que ce n'est pas brillant !

L'irresponsabilité des politiquement corrects occidentaux alimente en effet la haine des pays arabes où ils   ont une audience particulièrement attentive même chez les musulmans non islamistes durs, mais aussi chez les autres, d'autres religions ou athéismes.
Prenons l'exemple de l'antisémitisme.
 Celui de droite est condamné, celui des musulmans et des européens est devenu politiquement correct car on l'a masqué sous un nouveau nom, l'anti-sionisme , c'est à dire l'anti-existence de l'état d'Israël.

Ouvrez la porte aux sentiments, et ils s'engouffrent. Ne vous plaignez pas ensuite, ce que ne manqueront pas de faire les Tartuffe du politiquement correct quand le mal sera déjà assez engagé pour que nul ne puisse l'arrêter.

Heureusement, semer l'amour est en principe moins dangereux, me direz vous. Et pourtant, au nom de l'amour, que de crimes furent commis! Et si semer l'amour chez des gens de passage dans votre vie plait à certains, c'est celui qui a marché dans ce délire qui va se retrouver bien embêté.

D'un autre côté, il se peut tout de même qu'il soit plus difficile de semer l'amour que la haine, sentiment propre au parano, mal aussi répandu que l'espèce humaine.

 

 

 

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Certaines bacteries en voie de disparition: non dégradation des pesticides.

21 Septembre 2006, 06:55am

Publié par Jo benchetrit

Même les bactéries souffrent de la canicule, et le fait que la chaleur les décime a une grave conséquence écologique: les saloperies que nous mettons dans la terre ne sont plus dégradées.


Environnement
La biodégradation de pesticides révèle que les canicules récentes ruinent les sols en décimant les microorganismes.

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/39053.htm  

Les pointes de chaleur de l'été 2006 rappellent l'été record de 2003 qui est considéré comme le plus chaud depuis 500 ans.

Ces périodes de chaleur excessive ont des conséquences sur les plantes qui souffrent aussi de la canicule comme en témoignent les pertes des récoltes.


Moins visibles sont les dommages que subit le sol.

La sécheresse cause en effet des ravages parmi les microorganismes qui font du sol un milieu vivant et une ressource incontournable pour les êtres humains.

 
L'équipe du Dr. Schroll du Centre de recherche sur l'environnement et la santé (GSF) près de Munich étudie quatre sols différents à l'air libre depuis 1997.

Pour mesurer la santé du sol et son activité régénératrice, Schroll observe au fil des saisons et des années la capacité du sol à dégrader de l'isoproturon; cet herbicide sert de modèle pour les pesticides les plus employés en agriculture.

 
Les pesticides sont dégradés par les microorganismes du sol.

 La teneur en eau, ou plus exactement la disponibilité de l'eau dans le sol, est déterminante pour l'activité des microorganismes: l'eau influence en effet d'une part la répartition de l'air et donc de l'oxygène dans le sol, et apporte d'autre part des substances nutritives ainsi que les produits à dégrader.
Le taux de dégradation d'isoproturon dans les sols observés par Schroll est passé de 60% à 15% après la sécheresse de l'été 2003.

 Des tests génétiques sur des communautés microbiennes révèlent que non seulement le nombre de microorganismes dans les sols-tests a fortement diminué, mais qu'en plus leur diversité s'est appauvrie: certaines espèces de bactéries ont même totalement disparu de la surface du sol.


L'équipe du GSF a en outre constaté que le sol ne s'est toujours pas remis de l'été 2003; même un arrosage idéal, réalisé artificiellement, n'a pas suffit pour restaurer les populations microbiennes.

Le labourage en profondeur peut en revanche aider les communautés de microorganismes à se reconstituer car les couches inférieures de la terre ont moins été touchées par la sécheresse; mais les pratiques agricoles actuelles sont insuffisantes et les prédictions de réchauffement climatique renforcent la menace de détérioration des sols.
Une question préoccupante, car les pesticides non dégradés risquent à terme de polluer les nappes phréatiques et de menacer les réserves d'eau potable.

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Celui qui sauve une étoile sauve l'humanité. Fais ce que tu dois et n'attends en retour que la satisfaction de l'acte bien fait

20 Septembre 2006, 06:15am

Publié par Jo benchetrit

 

Un matin, un petit garçon se promenait sur la plage déserte avec son grand-père.
Ils entretenaient tous deux une conversation très enrichissante. Le petit garçon était particulièrement 
 curieux de nature et posait plein de questions à son grand-père, doté d’une très grande sagesse.

  Toutes les deux minutes, le grand-père se penchait, ramassait quelque chose par terre qu’il rejetait aussitôt dans l’océan. Intrigué, après la dixième fois, le petit garçon s’est arrêté de marcher et a demandé à son grand-père :
 « Que fais-tu, grand-papa ? »

- Je rejette les étoiles de mer dans l’océan.

- Pourquoi fais-tu cela, grand-papa ?

- Vois-tu, mon petit fils, c’est la marée basse, et toutes ces étoiles de mer ont échoué sur la plage.
Si je ne les rejette pas à la mer, elles vont mourir parce que dans quelques heures elles sécheront sous les rayons chauds du soleil.

- Je comprends, a répliqué le petit garçon, « mais grand-papa, il doit y avoir des milliers d’étoiles
de mer sur cette plage, tu ne peux pas toutes les sauver. Il y en a tout simplement trop.
Et de plus, grand-papa, le même phénomène se produit probablement à l’instant même partout
sur des milliers de plages à travers le monde. Ne vois-tu pas, grand-papa, que tu ne peux rien y changer ? »

 

Le grand-père a souri et s’est penché, il a ramassé une autre étoile de mer.
 En la jetant à la mer, il a répondu ceci à son petit fils :
« Tu as peut-être raison, mon garçon, mais ça change tout pour celle-là ! »

Ce que fait ce grand- père est quand même plus utile à l'humanité et au monde que ce que font les écoles de chasse ou de corrida qui violent  le sens moral en formation des enfants et au final sont aussi pernicieux et traumatisants que des pédophiles, mais avec la bénédiction de la société et la complicité de la loi.

Mais aussi ce sens moral est largement émoussé par la nourriture carnée à laquelle on  contraint les enfants.

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Mon nouveau commentaire sur le blog de France culture au sujet de l'emission sur la différence animaux/hommes.

17 Septembre 2006, 10:38am

Publié par Jo benchetrit

Le surlendemain, j'ai laissé ceci sur le blog de France Culture.
 
Petite remarque sur une erreur de frappe: je parle de bourde de Singer pas de HORDE. LAPSUS intéressant, cependant ! mais de qui?
La question de savoir qui on sauverait du chien ou de l'enfant attardé, est aussi sotte que de demander à un enfant"qui tu préfères, ton père ou ta mère"? Lorsqu'on me la pose, ce qui arive souvent vu le peu d'imagination de nos congénères sur un sujet qui les rend débiles, je n'y réponds jamais. Elle reflète l'infantilisation mentale des hommes qui sont jaloux comme des enfants d'une fratrie de l'attention que les parents portent à leurs frères.
J'ai décidé de stigmatiser l'humanité comme n'existant pas, si on la définit de ce que le genre humain dit qu'elle est synonyme: "humaine, donc bonne".
Sa non-existence est donc son péché, puisque le genre humain se complaît dans le mal de la jouissance de ses pulsions monstrueuses de l'enfance d'avant la castration.
Quant au genre humain, je suis d'accord avec E. de Fontenay qui dit qu'il a été décidé par les hommes, et je rajouterai exactement comme un transsexuel "décide" qu'il n'a pas le sexe qu'il a.
Du coup, le genre humain est bâti sur un déni: il n'est pas du règne animal où la connaissance de la science le met.
Selon la façon de s'exprimer des pervers, "je sais bien (que je suis du "genre" animal) mais quand même (je ne m'y reconnais pas), Homo Sapiens rejette son animalité.
Et ce qui est grave, c'est que c'est de ce rejet qu'il déduit que l'autre animal est absolument autre, donc son négatif en tant que sujet. C'est-à-dire  une chose.
Le seul droit d'où découlent tous les autres c'est le droit des subjectivités des vivants sensibles à être maîtresses de leurs destins.
Merci d'avoir eu la bonté de laisser mes commentaires.
En y réfléchissant, j'ai apprécié qu'Elisabeth de Fontenay intervienne à sa façon toujours très nuancée et honnête. Mon souci est plus politique, cependant car c'est une question de rapport de force pour arriver à ce que les hommes deviennent des humains, une question de lois à faire passer, conformes à la morale transcendante, donc à la loi d'interdiction de l'inceste qui promeut la liberté de chacun, et donc   l'existence du sujet du désir  qui s'oppose à l'assujetti à la jouissance comme éthique.
*************
je rajouterai ceci:

A. FINKIELKRAUT interrogeant E. de Fontenay sur son livre "Le silence de bêtes" a bien compris que le nazisme, en tant que défense de la "vraie" humanité se purifiant de "l'animalité"( c'est ce que signifie le terme de sous-homme) juive...est de l' humanisme.

Donc, il n'est pas facile d'avoir de la lucidité.

NI d'avoir une éthique irréprochable.

Pas tant parce que l'on ne supporte pas les privations que cette éthique exige, ni les déceptions et blessures narcissiques que cette lucidité inflige, mais parce que les  sociétés exigent en général de suivre ce que la majorité croit.
L'ideologie dominante est une doxa aussi tyrannique que les religions intégristes. "On" veut que chacun soit conforme.

"On" veut, pour ce faire, vous entraîner dans le sens du  violent courant qui cherche à vous  éloigner de votre lucidité et qui a pour nom le discours courant, bourré d'illusions mortifères auxquels les humains sont amoureusement attachés.

 Cette difficulté s'accroît si vous essayez de transmettre ce qui est et que vous en savez, après  avoir littéralement arraché ces connaissances à ceux qui commettent des atrocités sous couvert de servir l'humanité.
Ce Réel est soigneusement dissimulé par la société qui, ainsi, protège nos congénères de tout  réveil...fatalement désagréable. Tout réveil pourrait donner envie à certains de changer et de réaliser une autre façon de vivre...
Ce qui effraie la plupart de ceux qui se laissent couler dans la facilité de la répétition.
Or, à présent, il suffit de peu pour savoir : grâce à Internet, de nombreuses infos circulent, vidéos en camera cachées dévoilent la part d'une cruauté insoutenable qui se cache chez chacun, et qui s'exprime sans scrupule envers les animaux.
Mais plutôt que d'apprendre, l'homme s'arque-boute sur ses privilèges et essaie de ridiculiser les défenseurs des animaux afin de les tuer imaginairement. Il met entre lui et le réel un écran de fumée...Sa passion de l'ignorance est aussi forte que son désir de jouir sans aucune limite au service de quoi elle est.
 

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Débat sur difference animaux/hommes sur France culture le 15.09: déception!

15 Septembre 2006, 15:48pm

Publié par Jo benchetrit

 Avant de vous copier ce que je viens d'envoyer à m.Alberganti au sujet de son émission de cet après midi, je rappelle ceci, qui est simple comme l'oeuf de Colomb:

L'humanité n'existera que lorsqu'elle aura admis comme allant de soi de respecter le 1°droit des animaux qui est le  même  que le  sien : celui à la liberté de vivre pour soi et pas selon une pré-destination déterminée par ue autre espèce. 

Or, c'est sur le déni de ce droit qu'elle a posé ses fondations, faisant de ce poroblèle le centre de son impuissance à exister en tant qu'humanité. Pourquoi? Parce qu'elle se définit du fait que son nom veut dire: bon, intelligent, empathique.

Or, avec les non-hommes, de facto, elle ne l'est pas.
Comme pour se sortir de cette aporie, pour ne pas dire de cette impasse, elle a créé une dérive en disant humaine ... l'erreur.

 Je propose un petit glissement vers son réel tel qu'il apparaît aux yeux des justes et des victimes:

L'horreur est humaine.

Et qu'on ne me sorte pas l'histoire de la cruauté des chats ...j'y ai fait un sort dans un article, ce me semble.Et qu'importe d'ailleurs...puisque ce dont il s'agit ici c'est de faire exister l'humanité, pas de faire de l'éthologie.

  

 

Bonjour cher M. Alberganti,
 
C'était bien parti mais Mme de Fontenay, décidement humaniste  malgré sa connaissance et son admiration pour Lévi-Strauss, a contesté que vous classiez à la suite de ceux qui sont allés sur votre blog, les hommes dans le strict règne animal.  
 Mme de Fontenay a une grande ambivalence concernant ce sujet...qui tient justement à cette bourde ( et pas horde comme il est ecrit par erreur sur mon comm dans le blog de FRance Culture) bourde provocatrice et stupide, connaissant les humains, de Singer sur le choix idiot et classique du "qui vous sauveriez si...un enfant arriéré ou un chien?".
Mais elle a raison de dénoncer le hobby de demander  la frontière de l'humanité élargie aux seuls singes.
Néanmoins son ambivalence tout à la fois sert et dessert notre sujet. On n'est pas là pour abonder dans le sens de l'idéologie dominante, criminogène, des animaux vus comme des biens comme le firent peu ou prou vos invités. Mais elle est la seule, peut-être  à vraiment s'être inquiétée d'eux.
Ce qui fait qu'elle est incernable.Quel dommage que vous tous n'ayez pu avoir un discours cohérent sur ce sujet crucial et fondateur de notre espèce ! 
Mon avis:
 
Se demander si les animaux ont des droits ou si il vaut mieux parler de devoirs de l'homme, c'est, permettez moi ce mot a-propos avec des chercheurs, de l'enculage de mouches.
L'urgence est ailleurs. Elle est celle de libérer les animaux car c'est la seule façon de faire exister cette catégorie à part de vivants, à part parce qu'elle en a DÉCIDÉ ainsi dans sa toute-puissance infantile, l'humanité. 
Oui, si c'est in-humain...Ce n'est pas humain, comme La Palisse dans sa grande sagesse le dirait.
Les animaux ont des droits qui vont dans le sens de la Loi d'interdiction de l'inceste, au sens où l'homme se sent autorisé à satisfaire sur eux ses pulsions partielles archaïques d'avant cette Loi et que cette Loi interdit.
La loi, qui donc interdit l'inceste, fonde l'humanité en lui interdisant la jouissance  barbare pour satisfaire ses pulsions.
Il y va donc de l'existence même de l'humanité qui donc n'existe pas encore, sinon comme concept mais pas comme réel. Elle se veut en effet  antinomique avec la barbarie et  synonyme, ce n'est pas pour rien, de généreuse capacité empathique à la compassion et au respect de tous quelqu'ils soient...
Il ne s'agit donc pas de créer des droits--
ceux-ci existent déjà...de
droit-- mais de respecter ces droits comme ceux de tous, car c'est ça, au sens litteral,  être humain.
Mais pour arriver à admettre qu'il faut obéir à la loi, il faut l'integrer, la faire sienne, et accepter pour payer son ticket d'entrer, une petite opération symbolique, celle de la castration..
Quant à la mort, j'ai déjà répondu que les animaux savent la mort puisqu'ils savent faire le mort pour se protéger de leurs prédateurs. Un être qui n'aurait pas peur de la mort ne serait pas assez prudent pour survivre.
Salutations sincères.
J.Benchetrit.
Esprit de l'escalier:
Le surlendemain, j'ai laissé ceci sur le blog de France Culture:
Petite remarque sur une erreur de frappe: je parle de bourde de Singer pas de HORDE. LAPSUS intéressant, cependant ! mais de qui?
La question de savoir qui on sauverait du chien ou de l'enfant attardé, est aussi sotte que de demander à un enfant"qui tu préfères, ton père ou ta mère"? lorsqu'on me la pose, je n'y réponds jamais. Elle reflète l'infantilisation mentale des hommes qui sont jaloux comme des enfants d'une fratrie de l'attention que les parents portent à leurs frères.
J'ai décidé de stigmatiser l'humanité comme n'existant pas, si on la définit de ce que le genre humain dit qu'elle est synonyme: "humaine, donc bonne".
Sa non-existence est donc son péché, puisque le genre humain se complaît dans le mal de la jouissance de ses pulsions monstrueuses de l'enfance d'avant la castration.
Quant au genre humain, je suis d'accord avec E. de Fontenay qui dit qu'il a été décidé par les hommes, et je rajouterai exactement comme un transsexuel "décide" qu'il n'a pas le sexe qu'il a.
Du coup, le genre humain est bâti sur un déni: il n'est pas du règne animal où la connaissance de la science le met.
Selon la façon de s'exprimer des pervers, "je sais bien (que je suis du "genre" animal) mais quand même (je ne m'y reconnais pas), Homo Sapiens rejette son animalité.
Et ce qui est grave, c'est que c'est de ce rejet qu'il déduit que l'autre animal est absolument autre, donc son négatif en tant que sujet. C'est-à-dire  une chose.
Le seul droit d'où découlent tous les autres c'est le droit des subjectivités des vivants sensibles à être maîtresses de leurs destins.
Merci d'avoir eu la bonté de laisser mes commentaires.
En y réfléchissant, j'ai apprécié qu'Elisabeth de Fontenay intervienne à sa façon toujours très nuancée et honnête. Mon souci est plus politique, cependant car c'est une question de rapport de force pour arriver à ce que les hommes deviennent des humains, une question de lois à faire passer, conformes à la morale transcendante, donc à la loi d'interdiction de l'inceste qui promeut la liberté de chacun, et donc   l'existence du sujet du désir  qui s'oppose à l'assujetti à la jouissance comme éthique. 

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Connerie humaine suite et pas fin( rien de plus infini selon Einstein)

13 Septembre 2006, 15:54pm

Publié par Jo benchetrit

Australie: massacre de raies pour venger la mort d'Irwin.

http://www.liberation.fr/actualite/instantanes/histoiredujour/203927.FR.php

Les Australiens en veulent terriblement aux raies pastenague. Parce que
l'un de ces nimaux marins est à l'origine du décès, le 4 septembre, du plus
célèbre chasseur de crocodiles, Steve Irwin. Alors qu'il avait affronté les
plus gros spécimen à écailles, sans jamais perdre un membre, c'est une
piqûre de raie pastenague qui a mis fin à sa carrière de casse-cou. Et l'a
envoyé au panthéon des héros nationaux.

Les Australiens ne s'en remettent toujours pas. Au point que les autorités
ont dû demander aux fans de feu «Crocodile hunter» de ne pas attaquer les
raies pastenague, après qu'au moins dix spécimen ont été retrouvés morts, la
queue coupée. Queue qui se termine par une pointe venimeuse pouvant mesurer
jusqu'à 20 cm, et dont les piqûres ne provoquent en général qu'une violente
douleur, sans conséquence pour la santé. On n'a recensé en Australie que
trois décès dus à des piqûres de raie. Dont celui de Steve Irwin.

Les défenseurs de la faune sauvage ont lancé un appel indiquant que Steve
Irwin n'aurait pas voulu que l'on tue des raies. «Nous voulons que les
choses soient claires: nous n'accepterons ni ne soutiendrons personne qui se
sera vengé d'une quelconque manière sur ces animaux. C'est la dernière chose
que Steve aurait voulue», a déclaré Michael Hornby, directeur de
l'association des Wildlife Warriors Worldwide (Combattants pour la faune
sauvage à travers le monde, ndlr)

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Les iguanes de Boca sont abondants? massacrons-les!

13 Septembre 2006, 03:54am

Publié par Jo benchetrit

Certains les trouvent beaux mais le ou la phobique haineuse qui a gribouillé ce torchon trouve que ce qu'elle trouve laid est laid et qu'en conséquence logique à ses yeux autistes...on peut le massacrer!
http://planete.qc.ca/floride/flashfloride/flashfloride-1292006-111189.html
dans la série connerie humaine:
T'es moche? Je te tue!
article de Planète Québec exemplaire de la nocivité de notre humanité.
   Les iguanes de Boca

Les citoyens de Boca Raton ne savent plus quoi faire. Leur ville est envahie par les iguanes. A un point tel que les autorités de la ville ont décidé d’élaborer un plan pour les éliminer ou au moins, contrôler leurs allées et venues. Sur El Rio Trail, les iguanes sont en quantité industrielle et non qu’elles soient dangereuses, mais elles font peur aux gens et surtout aux enfants.

Mais, selon la commissaire Mary McCarty, le problème des iguanes n’est pas juste à Boca Raton, il est partout dans le Palm Beach County et si on n’y voit pas immédiatement, les iguanes se rendront aussi loin que le Miami Dade County. Ce qui était un animal domestique il n’y a pas si longtemps est devenu une peste. Des bêtes longues de 3 pieds, hideuses qui mangent toutes les fleurs des parterres et bouffent les arbustes.

Si les citoyens ne savent plus quoi faire, la ville ne bouge pas vite.

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encore des arguments en faveur du végétalisme + 1 bonne recette.

9 Septembre 2006, 19:22pm

Publié par Jo benchetrit

En 1°, je mettrai la morale, car ce que nous faisons aux animaux que nous mangeons est inacceptable et n'a rien à voir en cruauté avec la simple prédation des autres animaux.


En 2° la santé.

a) de la planète: mes lecteurs savent que le kg de viande demande 100.000 litres d'eau, par exemple, contre 900 pour 1kg de céréales.

b) des humains: on ne peut encore énumérer le nombre de problèmes graves effets de la viande mais pour aller vite, les risques de maladies cardio-vasculaires et de cancer sont augmentés de beaucoup et les médecins, ce n'est pas pour rien, font des campagnes pour que l'on mange des fruits et légumes en abondance et qu'on réduise, si ce n'est pour certains médecins végans comme le Dr Bernard-Pelet, élimine complètement les produits animaux de notre alimentation...

L'article suivant, par la paléontologie, explique pourquoi nous ne supportons pas les produits carnés. Je vous le copie-colle et, en prime, le site où je l'ai trouvé nous offre  une recette qui a l'air fort bonne et en tout cas appétissante. Alors, régalez vous...et restez en bonne santé!

 

Okinawa et son régime alimentaire
L'archipel d'Okinawa (une des îles composant le Japon) compte quatre fois
plus de centenaires que n'importe où dans le monde. Le Dr Bradley Willcox,
son frère Craig et le Dr Makoto Suzuki ont mené une étude depuis plus de
vingt-cinq ans pour comprendre ce phénomène.
Au final, il apparaît que la longévité exceptionnelle des habitants
d'Okinawa résulte en partie d'une forte consommation de légumes et notamment
du soja et du tofu ainsi qu'une faible consommation calorique ( 800 calories
en moyenne par jour contre 2300 pour un Français! )
Malheureusement, avec la modernisation et la globalisation, les spécificités
du régime alimentaire d'Okinawa tendent à disparaître et avec elles, la
longévité exceptionnelle de ses habitants...
Voici quelques extraits d'une interview du Dr Bradley Willcox là propos de
cette étude (Propos recueillis par Thierry Souccar)
Thierry Souccar : Comment avez-vous commencé à étudier les centenaires
d'Okinawa ?
Dr Bradley Willcox : Mon frère et moi menions une étude sur le régime des
Japonais, les graisses corporelles et les problèmes de prostate quand nous
étions étudiants à l'université de Toronto au début des années 1990 et le
plus vieux des participants était un homme âgé de 105 ans originaire
d'Okinawa
qui était en très bonne santé. nous avons donc décidé de nous intéresser de
plus près aux habitants d'Okinawa. Plus tard nous avons trouvé que ces
habitants sont ceux qui ont le moins de problèmes de prostate de tout le
Japon, pays qui a lui-même le plus faible taux de problèmes de prostate au
monde. Nous avons donc décidé d'aller à Okinawa pour trouver plus
d'informations
sur ce phénomène intéressant. Là nous avons rencontré le Dr Makoto Suzuki,
le principal auteur de l'étude des centenaires d'Okinawa. Depuis nous avons
collecté des données tous les ans sur cette incroyable population pour
découvrir les clés de leur santé, leur minceur et leur longévité.
Comment peut-on concilier le régime Okinawa avec le régime paléolithique
prôné par Boyd Eaton et Loren Cordain, qui soulignent que notre patrimoine
génétique n'a pas beaucoup évolué au cours des 200 000 dernières années ?
Il y a 200 000 ans, les hommes se nourrissaient principalement de végétaux
et de viande à l'occasion. Il y a 60 000 ans, la chasse et la pêche ont pris
de l'ampleur, mais les calories issues des végétaux constituaient toujours
la base de l'alimentation. En fait, les généticiens nous disent que les
gènes dont nous avons hérité ont beaucoup plus de 200 000 ans, et donc on
pourrait tout à fait soutenir l'idée que le comportement alimentaire des
hommes du Paléolithique n'était plus en phase avec l'évolution humaine
puisque la plupart de ceux qui ont vécu avant le Paléolithique, pendant les
millions d'années de l'évolution humaine étaient végétariens.
Pourquoi faudrait-il faire du soja une source majeure de protéines, alors
même que l'homme en a consommé si peu pendant des centaines de milliers
d'années ?
L'évolution a fait de nous des « diversivores », des êtres qui peuvent et
doivent manger une variété large d'aliments, y compris d'aliments «
nouveaux ». Le soja renferme de grandes quantités de phytoestrogènes, mais
d'une
part ces composés sont présents dans les végétaux mangés traditionnellement
par l'espèce humaine et d'autre part les Asiatiques consomment depuis des
milliers d'années du soja sans qu'on ait observé d'effets indésirables. Les
phytoestrogènes sont des composés de type hormonal que la plante produit en
grandes quantités quand elle est stressée par la chaleur, la lumière, le
froid, les attaques des insectes, etc. Le soja est bien toléré par la
plupart d'entre nous, c'est une excellente source de protéines et de
composés protecteurs comme les isoflavones (des phytoestrogènes de la
famille des flavonoïdes) et les saponines (qui font baisser le cholestérol).
Ces composés sont bénéfiques pour la santé cardiovasculaire, ils aident à
nous protéger du cancer et d'autres maladies.
Source:www.lanutrition.fr

CUISINE
Makis (Recette végétalienne: sans oeuf ni lait)
Ingrédients:
* 220 gr de riz (habituellement du riz à grains ronds mais j'utilise du thaï
ou du basmati pour leurs arômes si particulier).
* 450 ml d'eau
* 4 à 5 feuilles de Nori (algues présentées sous la forme de "feuilles",
magasin asiatique).
Le sushi-su (mélange d'ingrédients permettant d' "agglomérer le riz"):
* 2 CS de vinaigre de riz
* 1 CS rase de sucre roux
* 1/2 cc de sel
Pour la garniture:
* 1/3 de lamelles de concombre (env; 1 cm d'épaisseur)
* 2/3 carottes rapées (mais visuellement parlant les carottes en bâtonnet ou
même les carottes en boîte rendent bien)
+ graines de sésame grillées
Préparation:
Préparer le sushi-su :
Mélanger les ingrédients et laisser reposer jusqu'à ce que le sucre soit
dissout.
Le riz :
Laver le riz plusieurs fois à l'eau froide jusqu'à ce que l'eau devienne
claire.
Mettre le riz et l'eau dans une casserole et porter à ébullition, puis
baisser le feu, couvrir et laisser mijoter tout doucement jusqu'à ce que
l'eau soit absorbée par le riz.
Laisser refroidir 5 / 10 mn puis ajouter le sushi su en remuant bien avec
une grosse cuillère.
Les makis en question :
Sur une surface propre et plane, déposer la feuille de Nori, côté brillant
en dessous, puis étaler env; 3 CS de riz sur la feuille en laissant une
bordure d'1 ou 2 cm.
Ajouter les lamelles de concombre et de carotte puis rouler la feuille de
Nori de façon très serrée en enroulant le riz autour des ingrédients.
Enrouler le boudin obtenu soit dans une feuille d'essuie-tout, un papier alu
ou une feuille de film transparent afin de permettre aux sushis de
"prendre".
Laisser reposer une heure minimum à température ambiante.
Pour le découpage: préparer un verre rempli d'eau froide puis tremper le
couteau à dent de scie bien aiguisé chaque fois avant de couper une rondelle
de maki. Les largeurs du makis varient entre 2 cm et 3 cm. Saupoudrer de
graines de sésame grillées.
Une fois les makis découpés, garnir votre assiette de quelques touches de
wasabi, cette moutarde au raifort qui vous fait monter le feu aux narines
(note: vérifier sur l'emballage, toutes les marques de wasabi ne sont pas
forcément végans) et de gingembre mariné en fines lamelles et d'une petite
coupelle de sauce soja.
Recette de Béa Leproust (
http://vegansfields.over-blog.com/ )

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