pourquoi il FAUT stériliser les chats.
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Colère et tristesse. Analysons et changeons. La débilité volontaire des hommes va jusqu'à leur faire douter de l'évidence tant sensorielle que logique de la sensibilité, de l'intelligence, et même de la conscience de tout ce qui n'est pas homme.
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Petit vison rapté de l'enfer et apprivoisé.
Voici un courrier sur la petition de l'AFIPA:
contre le commerce de la fourrure . FAITES CIRCULER MASSIVEMENT.......MERCIJe vous transmets ce mail , il faut signer si cela n'est pas encore fait........
Je ne sais pas si certains d'entre vous ont vu l'émission de Cauet hier soir, je suis tombée dessus au moment où l'actrice Corinne Touzet parlait de son combat contre la foururre et les tortures infligées aux animaux élevés dans cet but. Ses larmes d'émotion au moment de la diffusion de photos de chiens et chats enfermés dans des conditions atroces ont visiblement fait mouche. L'équipe de l'émission (pour laquelle je n'ai habituellement pas beaucoup de considération) a énormément soutenu l'actrice et son combat en répétant à plusieurs reprises les adresses internet où signer les pétitions anti-foururre et en critiquant ouvertement ce commerce. Corinne Touzet a quitté le plateau sous les "ovations" du publique présent, debout.
Peu après, je suis allée sur les fameux sites internet qui étaient totalement submergés par les utilisateurs!
Alors bon ce n'est peut-être pas grand chose mais cela fait quand même plaisir de voir cela (même si une fois de plus c'était en fin de soirée) en sachant que cette émission est tout de même populaire et qu'elle a peut-être fait réagir de nombreuses personnes. Anne
ON APPREND CE JOUR QUE BEN LADEN EST MORT...
ENFIN, PEUT-ETRE, CAR A L'INSTAR DE MAURICE CHEVALIER QUI AVAIT ANNONCE une bonne dizaine de fois sa sortie, (il n'a abandonné la scène que pour mourir ), on apprend épisodiquement cette (fausse) bonne nouvelle depuis des lustres.
Ceci dit, ça changerait quoi qu'il crève?
Lorsqu'un membre est gangrené, on peut toujours tuer le 1° microbe qui a attaqué ce membre, on ne pourra jamais le guérir ainsi, ce membre.
Il en est de même de Barbe Noire(devenue grise), de celui sans qui les tours jumelles, les phallus dont il était jaloux, ne seraient pas effondrées avec l'espoir de trouver un jour la paix dans notre 21° siècle.
Les gens savent que le début est important mais il ne suffit pas de combattre le début, il faut aussi arrêter de semer la haine, si on ne veut pas de haine, ou l'amour, si on ne veut pas d'amour.
Et d'ailleurs, ne faut-il pas trouver l'origine de la haine ailleurs que dans ce Ben Laden machiavélique?
L'anti-américanisme imbécile de nos pays masochistes, maintes fois sauvés par le grand frère ( plutôt fils car les USA sont peuplés des enfants de l'Europe)"oncle" Sam, y est pour beaucoup. Des gens de peu, complètement irresponsables( enfin, manière de parler car c'est eux qui en sont en partie les agents) se sont réjouis de ces attentats pour m'a dit une ancienne amie", leur apprendre l'humilité.
J'ai encore honte de cet amour que je lui avais donné, inconditionnellement, comme Elie doit repenser son passé avec Dieudonné.
Faut dire que ce n'est pas brillant !
L'irresponsabilité des politiquement corrects occidentaux alimente en effet la haine des pays arabes où ils ont une audience particulièrement attentive même chez les musulmans non islamistes durs, mais aussi chez les autres, d'autres religions ou athéismes.
Prenons l'exemple de l'antisémitisme.
Celui de droite est condamné, celui des musulmans et des européens est devenu politiquement correct car on l'a masqué sous un nouveau nom, l'anti-sionisme , c'est à dire l'anti-existence de l'état d'Israël.
Ouvrez la porte aux sentiments, et ils s'engouffrent. Ne vous plaignez pas ensuite, ce que ne manqueront pas de faire les Tartuffe du politiquement correct quand le mal sera déjà assez engagé pour que nul ne puisse l'arrêter.
Heureusement, semer l'amour est en principe moins dangereux, me direz vous. Et pourtant, au nom de l'amour, que de crimes furent commis! Et si semer l'amour chez des gens de passage dans votre vie plait à certains, c'est celui qui a marché dans ce délire qui va se retrouver bien embêté.
D'un autre côté, il se peut tout de même qu'il soit plus difficile de semer l'amour que la haine, sentiment propre au parano, mal aussi répandu que l'espèce humaine.
Même les bactéries souffrent de la canicule, et le fait que la chaleur les décime a une grave conséquence écologique: les saloperies que nous mettons dans la terre ne sont plus dégradées.
Environnement
La biodégradation de pesticides révèle que les canicules récentes ruinent les sols en décimant les microorganismes.
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/39053.htm
Les pointes de chaleur de l'été 2006 rappellent l'été record de 2003 qui est considéré comme le plus chaud depuis 500 ans.
Ces périodes de chaleur excessive ont des conséquences sur les plantes qui souffrent aussi de la canicule comme en témoignent les pertes des récoltes.
Moins visibles sont les dommages que subit le sol.
La sécheresse cause en effet des ravages parmi les microorganismes qui font du sol un milieu vivant et une ressource incontournable pour les êtres humains.
L'équipe du Dr. Schroll du Centre de recherche sur l'environnement et la santé (GSF) près de Munich étudie quatre sols différents à l'air libre depuis 1997.
Pour mesurer la santé du sol et son activité régénératrice, Schroll observe au fil des saisons et des années la capacité du sol à dégrader de l'isoproturon; cet herbicide sert de modèle pour les pesticides les plus employés en agriculture.
Les pesticides sont dégradés par les microorganismes du sol.
La teneur en eau, ou plus exactement la disponibilité de l'eau dans le sol, est déterminante pour l'activité des microorganismes: l'eau influence en effet d'une part la répartition de l'air et donc de l'oxygène dans le sol, et apporte d'autre part des substances nutritives ainsi que les produits à dégrader.
Le taux de dégradation d'isoproturon dans les sols observés par Schroll est passé de 60% à 15% après la sécheresse de l'été 2003.
Des tests génétiques sur des communautés microbiennes révèlent que non seulement le nombre de microorganismes dans les sols-tests a fortement diminué, mais qu'en plus leur diversité s'est appauvrie: certaines espèces de bactéries ont même totalement disparu de la surface du sol.
L'équipe du GSF a en outre constaté que le sol ne s'est toujours pas remis de l'été 2003; même un arrosage idéal, réalisé artificiellement, n'a pas suffit pour restaurer les populations microbiennes.
Le labourage en profondeur peut en revanche aider les communautés de microorganismes à se reconstituer car les couches inférieures de la terre ont moins été touchées par la sécheresse; mais les pratiques agricoles actuelles sont insuffisantes et les prédictions de réchauffement climatique renforcent la menace de détérioration des sols.
Une question préoccupante, car les pesticides non dégradés risquent à terme de polluer les nappes phréatiques et de menacer les réserves d'eau potable.
Un matin, un petit garçon se promenait sur la plage déserte avec son grand-père.
Ils entretenaient tous deux une conversation très enrichissante. Le petit garçon était particulièrement
curieux de nature et posait plein de questions à son grand-père, doté d’une très grande sagesse.
Toutes les deux minutes, le grand-père se penchait, ramassait quelque chose par terre qu’il rejetait aussitôt dans l’océan. Intrigué, après la dixième fois, le petit garçon s’est arrêté de marcher et a demandé à son grand-père :
« Que fais-tu, grand-papa ? »
- Je rejette les étoiles de mer dans l’océan.
- Pourquoi fais-tu cela, grand-papa ?
- Vois-tu, mon petit fils, c’est la marée basse, et toutes ces étoiles de mer ont échoué sur la plage.
Si je ne les rejette pas à la mer, elles vont mourir parce que dans quelques heures elles sécheront sous les rayons chauds du soleil.
- Je comprends, a répliqué le petit garçon, « mais grand-papa, il doit y avoir des milliers d’étoiles
de mer sur cette plage, tu ne peux pas toutes les sauver. Il y en a tout simplement trop.
Et de plus, grand-papa, le même phénomène se produit probablement à l’instant même partout
sur des milliers de plages à travers le monde. Ne vois-tu pas, grand-papa, que tu ne peux rien y changer ? »
Le grand-père a souri et s’est penché, il a ramassé une autre étoile de mer.
En la jetant à la mer, il a répondu ceci à son petit fils :
« Tu as peut-être raison, mon garçon, mais ça change tout pour celle-là ! »
Ce que fait ce grand- père est quand même plus utile à l'humanité et au monde que ce que font les écoles de chasse ou de corrida qui violent le sens moral en formation des enfants et au final sont aussi pernicieux et traumatisants que des pédophiles, mais avec la bénédiction de la société et la complicité de la loi.
Mais aussi ce sens moral est largement émoussé par la nourriture carnée à laquelle on contraint les enfants.
A. FINKIELKRAUT interrogeant E. de Fontenay sur son livre "Le silence de bêtes" a bien compris que le nazisme, en tant que défense de la "vraie" humanité se purifiant de "l'animalité"( c'est ce que signifie le terme de sous-homme) juive...est de l' humanisme.
Donc, il n'est pas facile d'avoir de la lucidité.
NI d'avoir une éthique irréprochable.
Pas tant parce que l'on ne supporte pas les privations que cette éthique exige, ni les déceptions et blessures narcissiques que cette lucidité inflige, mais parce que les sociétés exigent en général de suivre ce que la majorité croit.
L'ideologie dominante est une doxa aussi tyrannique que les religions intégristes. "On" veut que chacun soit conforme.
"On" veut, pour ce faire, vous entraîner dans le sens du violent courant qui cherche à vous éloigner de votre lucidité et qui a pour nom le discours courant, bourré d'illusions mortifères auxquels les humains sont amoureusement attachés.
Avant de vous copier ce que je viens d'envoyer à m.Alberganti au sujet de son émission de cet après midi, je rappelle ceci, qui est simple comme l'oeuf de Colomb:
L'humanité n'existera que lorsqu'elle aura admis comme allant de soi de respecter le 1°droit des animaux qui est le même que le sien : celui à la liberté de vivre pour soi et pas selon une pré-destination déterminée par ue autre espèce.
Or, c'est sur le déni de ce droit qu'elle a posé ses fondations, faisant de ce poroblèle le centre de son impuissance à exister en tant qu'humanité. Pourquoi? Parce qu'elle se définit du fait que son nom veut dire: bon, intelligent, empathique.
Or, avec les non-hommes, de facto, elle ne l'est pas.
Comme pour se sortir de cette aporie, pour ne pas dire de cette impasse, elle a créé une dérive en disant humaine ... l'erreur.
Je propose un petit glissement vers son réel tel qu'il apparaît aux yeux des justes et des victimes:
L'horreur est humaine.
Et qu'on ne me sorte pas l'histoire de la cruauté des chats ...j'y ai fait un sort dans un article, ce me semble.Et qu'importe d'ailleurs...puisque ce dont il s'agit ici c'est de faire exister l'humanité, pas de faire de l'éthologie.
Australie: massacre de raies pour venger la mort d'Irwin.
http://www.liberation.fr/actualite/instantanes/histoiredujour/203927.FR.php
Les Australiens en veulent terriblement aux raies pastenague. Parce que
l'un de ces nimaux marins est à l'origine du décès, le 4 septembre, du plus
célèbre chasseur de crocodiles, Steve Irwin. Alors qu'il avait affronté les
plus gros spécimen à écailles, sans jamais perdre un membre, c'est une
piqûre de raie pastenague qui a mis fin à sa carrière de casse-cou. Et l'a
envoyé au panthéon des héros nationaux.
Les Australiens ne s'en remettent toujours pas. Au point que les autorités
ont dû demander aux fans de feu «Crocodile hunter» de ne pas attaquer les
raies pastenague, après qu'au moins dix spécimen ont été retrouvés morts, la
queue coupée. Queue qui se termine par une pointe venimeuse pouvant mesurer
jusqu'à 20 cm, et dont les piqûres ne provoquent en général qu'une violente
douleur, sans conséquence pour la santé. On n'a recensé en Australie que
trois décès dus à des piqûres de raie. Dont celui de Steve Irwin.
Les défenseurs de la faune sauvage ont lancé un appel indiquant que Steve
Irwin n'aurait pas voulu que l'on tue des raies. «Nous voulons que les
choses soient claires: nous n'accepterons ni ne soutiendrons personne qui se
sera vengé d'une quelconque manière sur ces animaux. C'est la dernière chose
que Steve aurait voulue», a déclaré Michael Hornby, directeur de
l'association des Wildlife Warriors Worldwide (Combattants pour la faune
sauvage à travers le monde, ndlr)
En 1°, je mettrai la morale, car ce que nous faisons aux animaux que nous mangeons est inacceptable et n'a rien à voir en cruauté avec la simple prédation des autres animaux.
En 2° la santé.
a) de la planète: mes lecteurs savent que le kg de viande demande 100.000 litres d'eau, par exemple, contre 900 pour 1kg de céréales.
b) des humains: on ne peut encore énumérer le nombre de problèmes graves effets de la viande mais pour aller vite, les risques de maladies cardio-vasculaires et de cancer sont augmentés de beaucoup et les médecins, ce n'est pas pour rien, font des campagnes pour que l'on mange des fruits et légumes en abondance et qu'on réduise, si ce n'est pour certains médecins végans comme le Dr Bernard-Pelet, élimine complètement les produits animaux de notre alimentation...
L'article suivant, par la paléontologie, explique pourquoi nous ne supportons pas les produits carnés. Je vous le copie-colle et, en prime, le site où je l'ai trouvé nous offre une recette qui a l'air fort bonne et en tout cas appétissante. Alors, régalez vous...et restez en bonne santé!
Okinawa et son régime alimentaire
L'archipel d'Okinawa (une des îles composant le Japon) compte quatre fois
plus de centenaires que n'importe où dans le monde. Le Dr Bradley Willcox,
son frère Craig et le Dr Makoto Suzuki ont mené une étude depuis plus de
vingt-cinq ans pour comprendre ce phénomène.
Au final, il apparaît que la longévité exceptionnelle des habitants
d'Okinawa résulte en partie d'une forte consommation de légumes et notamment
du soja et du tofu ainsi qu'une faible consommation calorique ( 800 calories
en moyenne par jour contre 2300 pour un Français! )
Malheureusement, avec la modernisation et la globalisation, les spécificités
du régime alimentaire d'Okinawa tendent à disparaître et avec elles, la
longévité exceptionnelle de ses habitants...
Voici quelques extraits d'une interview du Dr Bradley Willcox là propos de
cette étude (Propos recueillis par Thierry Souccar)
Thierry Souccar : Comment avez-vous commencé à étudier les centenaires
d'Okinawa ?
Dr Bradley Willcox : Mon frère et moi menions une étude sur le régime des
Japonais, les graisses corporelles et les problèmes de prostate quand nous
étions étudiants à l'université de Toronto au début des années 1990 et le
plus vieux des participants était un homme âgé de 105 ans originaire
d'Okinawa
qui était en très bonne santé. nous avons donc décidé de nous intéresser de
plus près aux habitants d'Okinawa. Plus tard nous avons trouvé que ces
habitants sont ceux qui ont le moins de problèmes de prostate de tout le
Japon, pays qui a lui-même le plus faible taux de problèmes de prostate au
monde. Nous avons donc décidé d'aller à Okinawa pour trouver plus
d'informations
sur ce phénomène intéressant. Là nous avons rencontré le Dr Makoto Suzuki,
le principal auteur de l'étude des centenaires d'Okinawa. Depuis nous avons
collecté des données tous les ans sur cette incroyable population pour
découvrir les clés de leur santé, leur minceur et leur longévité.
Comment peut-on concilier le régime Okinawa avec le régime paléolithique
prôné par Boyd Eaton et Loren Cordain, qui soulignent que notre patrimoine
génétique n'a pas beaucoup évolué au cours des 200 000 dernières années ?
Il y a 200 000 ans, les hommes se nourrissaient principalement de végétaux
et de viande à l'occasion. Il y a 60 000 ans, la chasse et la pêche ont pris
de l'ampleur, mais les calories issues des végétaux constituaient toujours
la base de l'alimentation. En fait, les généticiens nous disent que les
gènes dont nous avons hérité ont beaucoup plus de 200 000 ans, et donc on
pourrait tout à fait soutenir l'idée que le comportement alimentaire des
hommes du Paléolithique n'était plus en phase avec l'évolution humaine
puisque la plupart de ceux qui ont vécu avant le Paléolithique, pendant les
millions d'années de l'évolution humaine étaient végétariens.
Pourquoi faudrait-il faire du soja une source majeure de protéines, alors
même que l'homme en a consommé si peu pendant des centaines de milliers
d'années ?
L'évolution a fait de nous des « diversivores », des êtres qui peuvent et
doivent manger une variété large d'aliments, y compris d'aliments «
nouveaux ». Le soja renferme de grandes quantités de phytoestrogènes, mais
d'une
part ces composés sont présents dans les végétaux mangés traditionnellement
par l'espèce humaine et d'autre part les Asiatiques consomment depuis des
milliers d'années du soja sans qu'on ait observé d'effets indésirables. Les
phytoestrogènes sont des composés de type hormonal que la plante produit en
grandes quantités quand elle est stressée par la chaleur, la lumière, le
froid, les attaques des insectes, etc. Le soja est bien toléré par la
plupart d'entre nous, c'est une excellente source de protéines et de
composés protecteurs comme les isoflavones (des phytoestrogènes de la
famille des flavonoïdes) et les saponines (qui font baisser le cholestérol).
Ces composés sont bénéfiques pour la santé cardiovasculaire, ils aident à
nous protéger du cancer et d'autres maladies.
Source:www.lanutrition.fr
CUISINE
Makis (Recette végétalienne: sans oeuf ni lait)
Ingrédients:
* 220 gr de riz (habituellement du riz à grains ronds mais j'utilise du thaï
ou du basmati pour leurs arômes si particulier).
* 450 ml d'eau
* 4 à 5 feuilles de Nori (algues présentées sous la forme de "feuilles",
magasin asiatique).
Le sushi-su (mélange d'ingrédients permettant d' "agglomérer le riz"):
* 2 CS de vinaigre de riz
* 1 CS rase de sucre roux
* 1/2 cc de sel
Pour la garniture:
* 1/3 de lamelles de concombre (env; 1 cm d'épaisseur)
* 2/3 carottes rapées (mais visuellement parlant les carottes en bâtonnet ou
même les carottes en boîte rendent bien)
+ graines de sésame grillées
Préparation:
Préparer le sushi-su :
Mélanger les ingrédients et laisser reposer jusqu'à ce que le sucre soit
dissout.
Le riz :
Laver le riz plusieurs fois à l'eau froide jusqu'à ce que l'eau devienne
claire.
Mettre le riz et l'eau dans une casserole et porter à ébullition, puis
baisser le feu, couvrir et laisser mijoter tout doucement jusqu'à ce que
l'eau soit absorbée par le riz.
Laisser refroidir 5 / 10 mn puis ajouter le sushi su en remuant bien avec
une grosse cuillère.
Les makis en question :
Sur une surface propre et plane, déposer la feuille de Nori, côté brillant
en dessous, puis étaler env; 3 CS de riz sur la feuille en laissant une
bordure d'1 ou 2 cm.
Ajouter les lamelles de concombre et de carotte puis rouler la feuille de
Nori de façon très serrée en enroulant le riz autour des ingrédients.
Enrouler le boudin obtenu soit dans une feuille d'essuie-tout, un papier alu
ou une feuille de film transparent afin de permettre aux sushis de
"prendre".
Laisser reposer une heure minimum à température ambiante.
Pour le découpage: préparer un verre rempli d'eau froide puis tremper le
couteau à dent de scie bien aiguisé chaque fois avant de couper une rondelle
de maki. Les largeurs du makis varient entre 2 cm et 3 cm. Saupoudrer de
graines de sésame grillées.
Une fois les makis découpés, garnir votre assiette de quelques touches de
wasabi, cette moutarde au raifort qui vous fait monter le feu aux narines
(note: vérifier sur l'emballage, toutes les marques de wasabi ne sont pas
forcément végans) et de gingembre mariné en fines lamelles et d'une petite
coupelle de sauce soja.
Recette de Béa Leproust ( http://vegansfields.over-blog.com/ )