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Psychanalyse et animaux.

Dr Pierre-Hervé LUPPI « Le manque de sommeil nuit » France 5.

10 Juillet 2013, 09:47am

Publié par Jo Benchetrit

Dr Pierre-Hervé LUPPI « Le manque de sommeil nuit » France 5.

Je transmets de mme Alice Ralier ce brillant courrier à lui envoyé. notez que je souscris à 100% ayant dejà fait une cirtique de son maitre Jouvet, dont il refait les abominables expériences. La science? Ou la betise? récompensées en tous cas :



....

"Mon courrier concerne les séquences tournées au CNRS dans le
documentaire « Le manque de sommeil nuit », récemment diffusé sur France 5.

Je ne sais pas si vous vous rendez compte, avec tout le respect que je
vous dois (notez bien que mon courrier vise /ce que vous faites/ et non
/ce que vous êtes/), que le téléspectateur a vraiment été pris pour un
imbécile. Personnellement, j'ai dû le regarder deux fois pour m'assurer
que je n'avais pas raté une marche.

Dans une première séquence, le Dr Luppi nous indique, montrant,
suppose-t-on, le rat concerné, qu' « en empêchant un rat de dormir, il
meurt en moins de trois semaines » : quelle découverte ! Stupéfiant !
Juste après, on nous précise, après avoir forcé des rats à nager jusqu'à
ce qu'ils trouvent une plate-forme sous l'eau (là encore images à
l'appui), qu'un rat qui manque de sommeil trouve moins vite la
plate-forme qu'un rat qui n'en manque pas : quelle surprise ! Etonnant !
Enfin, en fin de documentaire, on s'étonne qu'aucun euro du « Plan
sommeil » de Xavier Bertrand ne soit parvenu au laboratoire dans le but,
suppose-t-on, de continuer ces intéressantes expériences : quel
scandale ! Révoltant !

Le fait d'apprendre qu'en 2013, on torture encore des animaux pour
démontrer que le sommeil est indispensable à l'organisme est déjà en soi
un choc. Mais le fait d'entendre déplorer que, pour ces expériences dont
le résultat connu à l'avance constitue une régression intellectuelle
doublée d'une insulte à l'avancée de la science, on ne touche aucun
financement public (« Ca a été un peu dur car on espérait de l'argent »,
dit le Dr Luppi), c'est insupportable. On se fiche vraiment du monde. La
seule chose qu'un téléspectateur équipé d'un minimum d'esprit critique
peut se dire à la fin de ces séquences, c'est : « Bien fait pour le CNRS
! ». Car que de l'argent, du temps et de l'énergie soient encore
gaspillés pour ces expériences aussi ridicules d'un point de vue
scientifique que déplorables d'un point de vue éthique, c'est
complètement FOU.

Mon message au CNRS : pour garder un minimum de crédibilité, évitez de
passer à la télé.

Mon message à France 5 : certains de vos téléspectateurs sont munis de
plus de deux neurones. Songez-y."

...

Alice Rallier

j’apprends que les expériences sur le sommeil dejà pratiquées durant 40 ans par le dr Jouvet de Lyon sur de s chats sont ereproduites par des sadiques en manque de fric.
http://psychanalyse-et-animaux.over-blog.com/article-l-inutilite-des-etudes-du-professeur-jouvet-sadisant-les-chats-jusqu-a-ce-que-mort-s-en-suive--40589558.html

L'inutilité des études du Professeur Jouvet , le MENGELE des animaux, n'a d'egal que son sadisme comme les expériences nazies du Dr Laborit a de quoi revulser.
http://picardp1.ivry.cnrs.fr/JouvetM.html

Le prof Jouvet met des animaux sur des radeaux instables dans des piscines , des chats qui, en s'endormant, tombent à l'eau et donc ne peuvent jamais dormir et du coup, meurent. Ainsi il peut dire: "le sommeil est indispensable à la vie."

un vrai pourri, non?
c'est la liberté de la science...sur les bêtes.
Infect, non?

je transmets au sujet d'autres chercheurs:
"c'est comme les expériences avec les guenons que ces mengele mettaient dans des cages avec leurs bébés . Ensuite ils faisaient chauffer le sol de la cage, afin de voir si la guenon, montrerait son instinct maternel à savoir tiendrait son bébé dans les bras pour que lui ne se brûle pas, ou bien si elle s'accrocherait aux barreaux et donc laisserait son bébé se brûler .. Inutile de te dire qu'elle gardait son bébé dans les bras, et ces pourris étaient satisfaits de voir qu'elle préfèrait être brûlée au 3 ème degré plutôt que de lâcher son petit. "

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