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Psychanalyse et animaux.

AU CLAIR DE LA LUNE, MON AMI PIERROT: VIARD EN FLAGRANT DELIRE de DOIGT dans LA LUNE !!!

31 Juillet 2011, 18:02pm

Publié par Jo Benchetrit

  André VIARD EST PRIS EN FLAGRANT DELIT DE   DOIGT DANS LA LUNE.

La reine de coeur indignée a dit:

Qu'on lui coupe le doigt!

Comme pour aller dans le sens de mes

élaborations sur la perversion des aficionados  et le déni de la castration

 

qui est structurelle à cette pathologie mentale, le texte de Viard vient à point nommé!

Le mot génocide? C'est quand il a parlé de l'avortement pour culpabiliser Simone Veil.   Quelle honte, non?

 

comme il ne sait pas ce qu'est la morale et qu'elle  reste intangible, il en parle ainsi:

au gré des fluctuations du droit et de la morale

Après son texte, lisez ce poème de Victor Hugo, anti-cruauté donc anti-corrida.
Viard donc:





 
Subject: LA LUNE ET LE DOIGT
LA LUNE ET LE DOIGT
 
Mon ami Pierrot étant littéralement indigné - c'est à la mode - de l'utilisation du mot "génocide" dans l'édito du 21 juillet dernier, je le retire d'autant plus volontiers qu'il n'apporte rien d'essentiel à la démonstration qui est faite, mais brouille au contraire le message que je voulais faire passer.
 
Par quoi le remplacer ? Que chacun fasse son choix, en fonction de ses goûts, de ses convictions et de sa morale : entre "génocide" et "détail" l'éventail est large. On lira toutefois avec profit ce que génocide veut dire, et on pourra vérifier que loin d'être figée la notion évolue au fil des ans. Voir. Et ce qui n'était pas considéré comme tel hier le sera peut-être demain, au gré des fluctuations du droit et de la morale. Mais quoique l'on en pense, ce n'est pas l'essentiel.
 
C'est toujours la même histoire : le sage montre la lune et le sot regarde le doigt. Coupons donc le doigt et regardons la lune : hier, après l'Alliance Anticorrida, c'est la Flac qui a condamné l'incendie criminel allumé à mon domicile, précisant au passage qu'à son avis c'est dans le monde taurin qu'il faut chercher les coupables, et plus précisément vers les sites sur lesquels elle renvoie. Et pour étayer sa protestation d'innocence, la FLAC précise qu'elle n'a pas besoin d'utiliser pareils moyens, grâce aux nombreuses personnalités qui la soutiennent, la dernière en date étant Simone Veil.
 
Une Simone Veil résolument anti taurine en l'espèce, et qui est paradoxalement devenue l'icone de cette partie de l'afición qui n'a pour seule occupation que de démolir ce que les autres font. Le moindre prétexte est bon. Mais une fois le doigt coupé, celui-ci tombe de lui-même et il faut bien regarder la lune, c'est à dire les faits. Ce qu'ont fait les enquêteurs dès le début de leurs investigations, lesquels ont été choqués par la similitude des propos tenus à mon encontre sur ces sites "aficionados", car il leur paraissaient tellement similaires à ceux que l'on trouve sur les blogs antis, qu'ils avaient eu du mal à distinguer les uns des autres.
 
J'ai pour ma part écarté immédiatement cette hypothèse, même s'il est effectivement troublant de voir à quel point les extrêmes aiment à se rejoindre, mais il ne faudrait pas que par bêtise, méchanceté, et haine gratuite avec agression verbale à la clé, ces marginaux de l'aficion, par la violence de leurs propos et par leurs incessants procès d'intention, entretiennent le doute qui plane sur leurs têtes et ne se voient joints aux diverses procédures qui découleront immanquablement de l'enquête.
 
André Viard
 

 

Et maintenant, place à Totor:

 


Le doigt de la femme

Dieu prit sa plus molle argile
Et son plus pur kaolin,
Et fit un bijou fragile,
Mystérieux et câlin.

Il fit le doigt de la femme,
Chef-d'oeuvre auguste et charmant,
Ce doigt fait pour toucher l'âme
Et montrer le firmament.

Il mit dans ce doigt le reste
De la lueur qu'il venait
D'employer au front céleste
De l'heure où l'aurore naît.

Il y mit l'ombre du voile,
Le tremblement du berceau,
Quelque chose de l'étoile,
Quelque chose de l'oiseau.

Le Père qui nous engendre
Fit ce doigt mêlé d'azur,
Très fort pour qu'il restât tendre,
Très blanc pour qu'il restât pur,

Et très doux, afin qu'en somme
Jamais le mal n'en sortît,
Et qu'il pût sembler à l'homme
Le doigt de Dieu, plus petit.

Il en orna la main d'Eve,
Cette frêle et chaste main
Qui se pose comme un rêve
Sur le front du genre humain.

Cette humble main ignorante,
Guide de l'homme incertain,
Qu'on voit trembler, transparente,
Sur la lampe du destin.

Oh ! dans ton apothéose,
Femme, ange aux regards baissés,
La beauté, c'est peu de chose,
La grâce n'est pas assez ;

Il faut aimer. Tout soupire,
L'onde, la fleur, l'alcyon ;
La grâce n'est qu'un sourire,
La beauté n'est qu'un rayon ;

Dieu, qui veut qu'Eve se dresse
Sur notre rude chemin,
Fit pour l'amour la caresse,
Pour la caresse ta main.

Dieu, lorsque ce doigt qu'on aime
Sur l'argile fut conquis,
S'applaudit, car le suprême
Est fier de créer l'exquis.

Ayant fait ce doigt sublime,
Dieu dit aux anges : Voilà !
Puis s'endormit dans l'abîme ;
Le diable alors s'éveilla.

Dans l'ombre où Dieu se repose,
Il vint, noir sur l'orient,
Et tout au bout du doigt rose
Mit un ongle en souriant.

 

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Chien trouvé à Roissy.type Chien de Berger Yougoslave. pucé.

31 Juillet 2011, 17:07pm

Publié par Jo Benchetrit

je transmets ce SOS:
 
Un chien de type Chien de Berger Yougoslave à été trouvé dans la zone aéroportuaire de l'aéroport de Roissy Charles de Gaulle.
 
Ce chien à une puce étrangère, non enregistrée en France, des recherches sont en cours pour identifier le pays d'origine de cette puce, commençant par 978 et finissant par 1, soit 978 ... ... ... ..1
 
L'intégralité du numéro n'est volontairement pas indiqué, afin que personne ne puisse se prétendre à tort propriétaire.
 
Aucune photo n'est disponible pour l'instant.
 
Contact :
 

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15 oisillons de busards, espèce en voie de disparition ont été pietinés par des salopards.

31 Juillet 2011, 17:01pm

Publié par Jo Benchetrit

Encore de quoi se faire du souci pour la santé mentale de notre espèce en voie d'expansion, elle, et dangereusement!

L’équipe du Centre ATHÉNAS a écrit un nouvel article, ‘Massacre de

busards dans le Jura ’

 

 

Vous pouvez voir ce dernier article en suivant ce lien

http://www.athenas.fr/massacre-de-busards-dans-le-jura/

15 oisillons d’une espèce en voie de disparition au niveau régional ont été exécutés.

Le tiers des effectifs de jeunes a été cette année encore victime de destructions volontaires. Le mode opératoire reste le même : de nuit, aux environs de 1h30, de tristes salauds viennent consciencieusement piétiner de jeunes oiseaux de 15 jours incapables de s’enfuir.Mâle BC en vol copie

En 2011, sur 44 jeunes élevés par 16 couples ayant réussi leur reproduction, 15 ont été victimes de destruction volontaire, 2 de prédation, 3 de machinisme agricole (oubli de l’exploitant de prévenir de la date de moisson), ce qui a donné seulement 24 jeunes à l’envol. Ces destructions ont fait l’objet de constats de l’ONCFS et ATHENAS a déposé une plainte contre X pour destruction volontaire d’individus d’espèce protégée.

La menace d’une disparition prochaine : à ce rythme, et compte tenu du pourcentage de jeunes arrivant à l’âge adulte, le renouvellement de la population ne peut être assuré et les couples en échec risquent fort de ne pas revenir. Le busard cendré est en Franche-Comté sur la liste rouge des espèces en danger critique d’extinction. Celle-ci se profile à l’horizon 2020, et peut-être même avant.

Destruction nichée

Permutation VI1 (1) copie

 

 

 

Des efforts communs réduits à néant : L’association ATHÉNAS, en lien avec les exploitants agricoles, et avec le soutien des collectivités, a pu depuis 2002 inverser la dynamique au prix de plusieurs centaines d’heures annuelles de surveillance (associatifs, services de l’Etat), et de moyens de protection auxquels Etat, Région de Franche-Comté et Département du Jura ont participé. La population était péniblement remontée de 5 à 15 couples. Cette année, qui se présentait comme « exceptionnelle » (18 couples identifiés, dont 16 reproducteurs) sera en fait une des plus mauvaises connues en raison de ces destructions barbares.

Un malaise à traiter : Athénas collabore localement avec tous les usagers du milieu naturel témoignant de bonne volonté et d’un esprit d’ouverture. Certains d’entre eux (exploitants ou non), reconnaissent que parmi les locaux plusieurs, souvent connus, sont des ennemis jurés du busard et tout à fait capables de passer à l’acte par haine de l’animal ou par provocation vis-à-vis de notre association. Tant que l’existence de ces personnes sera niée par certains représentants, elles jouiront d’un sentiment d’impunité. Tant qu’AthÉnas sera caricaturée par certains responsables à des fins démagogiques, cette espèce en paiera le prix fort, et toute la collectivité y perdra.

Dans le but de tenter de sortir de cette impasse, Athénas projette de réaliser des réunions locales avec ses partenaires institutionnels, afin de diffuser des informations objectives sur l’espèce et son régime alimentaire. Ces informations, issues de milliers d’heures d’observation et de l’examen de dizaines de pelotes de réjection, permettraient peut-être de changer une image erronée de l’espèce, toujours perçue et présentée par certains comme un prédateur de gibier.

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Corridas. Psychose et perversion. La perversion est le rapport banal aux animaux.

31 Juillet 2011, 03:59am

Publié par Jo Benchetrit

 http://www.sade-ecrivain.com/images/saderayr2.jpg

Portrait de Sade par Man Ray, de l'art, donc de la sublimation qui rend la pulsion la pire parfaitement inoffensive. Cet homme fait de pierres fait penser à une pierre tombale, celle qui manque à Sade qui  a interdit toute inscription sur sa tombe.

http://ecthoren.edres74.net/IMG/taureau_vs_matador.jpg

La saloperie dans les arènes : l'enfer des pulsions débridées contre de pauvres bêtes.

 

 

D'un côté de l'art, de l'autre une hallucination d'art perçue uniquement par les aficionados en tant que pervers. Les autres y voient une scène insupportable de torture...

Le pervers hallucine le réel, comme le fait un psychotique, ce qui pose la question de sa responsabilité.  Le fou est en effet réputé irresponsable . Pourquoi pas le pervers? C'est qu' il y a une différence  Au fond, le pervers sait qu'il "hallucine" le réel en le formatant à sa botte mais fait comme si il n'y avait pas d'autre réel que cette construction. En fait, c'est une hallucination qu'on peut dire presqu' imaginaire chez lui, plus une interpretation erronée du réel qu'une image inventée, alors que l'  hallucination psychotique, c'est, pour le fou qui la perçoit du réel indubitable...

La corrida, on le sait,  est un acte interdit car classé comme sevices graves en france...et autorisé par un alinea, le 7 de la loi 521-1 du code pénal. Zlle a été admise par un ministre de Sarkozi, l'aficionado, par une comisson dirigée par un aficionado...la pillule a du mal à passer. Mais   admettons que ce ne soit rien qu'une anodine reconnaissance que la chose est un fait de culture locale qui ne l' empechera pas d'etre interdite un jour. 

Qu'estce qu ça implique en realité?

Faut-il distinguer plusieurs morales parfois antagonistes mais tout aussi respectables au nom d’un principe égalitaire entre les cultures ? Dans ce cas, attendons- nous encore un progrès humain ou tout se vaut, tout est aussi respectable et nul n’a   à s’ériger comme modèle pour l’autre ?

Tout cela soulève d’autres questions tout aussi fondamentales : L’accès à la jouissance est il un droit ? Qu’est-ce que le devoir ? Un empêcheur de jouir en rond ou une ouverture vers la maturité de notre espèce ?

Le fait que nous ne sachions pas comment en finir  vraiment avec la barbarie qui menace notre espèce en   posant comme   prédateurs des hommes pour d’autres hommes, est ce quelque chose d’inéluctable ? Doit on dire que c’est la nature humaine et que nous ne pouvons  pas lutter ?

Statut de la culpabilité relative aux cultures. Devons nous penser que la morale est relative, locale ou bien universelle ?
Selon la psychanalyse, il n’ y a qu’une  morale, celle qui, effet de la loi qui interdit l’inceste saura formater un homme qui sera sujet de son désir…et non une chose qui sera objet jouissant au profit d’un surmoi tyrannique.

 

  

 

Bon, alors, là, laissant de côté ma colère et ma tristesse quand je vois l'innommable imposé aux pauvres bêtes...  je vous donne un petit aperçu de ce que la psychanalyse peut dire de  ce que nous sommes à la lumière du rapport entretenu structurellement aux (autres, mais déniés en tant que tels) animaux.
A tout humain dans son rapport aux bêtes comme à l’aficionado, dont il est le paradigme non reconnu comme tel, de même  que chacun se croit résistant et pas nazi, on peut conseiller utilement une réflexion sur ce qu'est la perversion. Et pour cela, il y a par exemple sur Wikipedia un article sur la perversion narcissique qui en est une des formes.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Perversion_narcissique

 

 A présent, allons plus loin en comparant la structure perverse et ce qu'il faut bien appeler l'absence de structure psychotique. Elles ont en commun de substituer au Réel une version personnelle que chacun appellera réalité, en toute sincérité. Bien sûr que le névrosé n' echappe pas à ce que Lacan a représenté par i(a), c'est-à-dire au fait que le réel ne se perçoit pas en tant que tel, qu'il est « imaginarisé », reconstruit avec une touche de son fantasme. Chacun voit midi à sa porte et le réel à sa façon. On parle alors de réalité, ce qui vient à la place du réel. Cependant , on ne vit pas dans un monde solipsiste et on ne va pas jusqu’à douter que le réel existe bien.
De plus, on peut se mettre d'accord au moins sur certains points de ce qu'il est.
D’ailleurs, parfois, il nous atteint tel quel, par exemple quand on subit un choc. C’est pour cela sans doute qu'on a pensé aux électrochocs pour soigner la psychose et  que Disney   rend  la mémoire à Mickey amnésique en lui donnant un grand coup  sur la tête.

Ou encore, comme en Mai 68, le réel est perçu tel qu'il est, quand on analyse aisément les choses, sans s’encombrer des conventions et des préjugés donc du bain idéologique qui nous formate à notre insu pour percevoir de telle ou telle façon le réel.

C’est en cela qu'il est indispensable à qui veut savoir parler honnêtement, juste, donc le plus adéquatement à la réalité non entachée de trop d’imaginaire, de critiquer ce bain idéologique, de mettre en question nos évidences, et de ne jamais se laisser être la dupe d’un discours préétabli avant de l’avoir passé sous la lumière de la perplexité prudente, et de la pensée. C’est à mon sens ça aussi, l’éthique. On aurait pu l’appeler le doute cartésien si, justement, Descartes avait vraiment douté de tout dans le Discours de la Méthode, ce qu'il ne fit pas.

Le principe de réalité ne peut être toujours perdant face à celui de plaisir. Je rappelle que le principe du plaisir est dominé par la pulsion de mort. Il se répère àl’extrême dans la folie (psy-chose) où le sujet n'est pas autre chose que sa chose.

La perversion est proche de la folie, en se soumettant presque exclusivement à son principe de plaisir.   En déniant le réel , en le fabriquant à la  mesure de la jouissance que ça lui procure, le pervers ne perçoit que ce qui est au service de cette jouissance et pas du tout ce qui est en soi. Pourtant, le pervers n’est pas psychotique. Ça veut dire ceci : il n’hallucine pas vraiment, mais il fait comme si le réel reconstruit, sa réalité rêvée et plaquée sur l’étant, était l’unique version de ce qui est. Il f     ait comme si, mais en fait, il sait bien que c’est faux.
Le pervers, comme son nom peut l’indiquer, est assez tordu pour cela, alors que le psychotique ne manigance rien. Il subit son hallucination sans  être  en mesure de lutter, de douter, de critiquer sa perception erronée. C’est en cela qu'on ne parle pas de responsabilité pénale dans le cas de folie. Le pervers, quant à lui, est capable de cette mise à distance, mais s’y refuse par sa conviction certes délirante mais d’une certaine façon mimée par un jeu de cache-cache avec lui-même en tant que sujet lucide floué au final, car entièrement joui par l’Autre, conviction donc… que ce qu'il voit est comme il le voit. Il n’y a peut être que le père symbolique qui soit en mesure de lui rappeler son erreur de perception, en sanctionnant ses fautes. Mais ce révélation du réel est fugace et il est comme tout adict, très faible par rapport à son surmoi archaïque, celui qui lui dit : Jouis ». C’est en cela que certains  demandent à rester en prison, pour se protéger et aussi protéger  les autres de ce qu'ils savent  être mal, mais savent aussi  ne pas savoir, vouloir, donc pouvoir résister. Quelque chose en eux ricane et est ravi de tromper le père en baisant la mère. C’est pour cela que la perversion est le plus souvent inaccessible à la psychanalyse. Mais si sa motivation est assez forte, alors, c’est rendu possible.

En fait, si le sujet psychotique est bouffé par l’inceste, le sujet pervers en est détruit, mais    peut se reconstruire s’il le veut. Le psychotique peut  de son coté espérer s’ en sortir si la métaphore  du nom du père manquante peut au moins trouver de quoi être jouée par un « symtôme » qui peut être comme pour Joyce selon lui, l’écriture. Freud disait que même  un délire peut jouer ce rôle, que j’appellerais de passeur vers la guérison, enfin, quelque chose qui permet au sujet de tenir sans être complètement dissout dans son réel, donc déconnecté de la réalité.

Le pervers est passé par la castration, puis a régressé car ça lui a été intolérable. Le  psychotique n'y est jamais parvenu.
Le fait d'avoir regressé fait que le pervers  frôle mais échappe à la psychose fixée,elle, avant la castration. Le pervers tient à son illusion (imaginaire) d'être ce qu'il faut à l'autre pour le compléter, le déni (imaginaire et réel) remplaçant l'hallucination psychotique (réel), mais comme on le voit dans le regard qui ne voit rien que leur jouissance des aficionados sur la corrida, n'en est pas loin. On pourrait parler dun mécanisme dedefense qu'on voit plus souvent chez les schizophrènes : l’isolation. Le pervers aficionado, tout regard ne voit rien de ce  qui se passe par identification à la victime puisqu’il ne le veut pas. Ce qu'il veut, c’est que cette horreur le fasse jouir, pas autre chose qui puisse troubler sa montée vers l’orgasme  qui explose dans les mises à mort.

Le souci avec le pervers, c’est que, contrairement au fou, il a l’air tout à fait  normal, en dehors du moment où il est pris par sa perversion, dans un passage à l’acte.

De plus, il fascine car il jouit sans se soucier du quand dira ton…il ne connaît pas la honte s ni le sentiment de culpabilité qui envcombre le névrosé moyen. Il fait ce dont tout névrosé fantasme, rêve, mais ne fera pas, ou alors en en souffrant beaucoup, des années plus tard encore, car lui se sait coupable et à la limite peut être en grand conflit avec lui-même, et se haïr d’avoir cédé à sa jouissance.

Car ce qui est certain, c'est que le pervers ne voit pas le réel, mais ce qu'il veut y voir pour se sentir exister. Or il ne peut exister qu'en croyant que ses sévices, ses forçages ne sont pas son désir mais du désir de l'Autre qui a besoin de ça, selon son fantasme pervers.

Lire absolument dans les Ecrits le magistral texte de Lacan : Kant avec Sade.
Alors que le psychotique  ne voit pas plus que le pervers le réel réel   ce qu'il voit lui est imposé (comme) par le désir de l'Autre de manière aussi réelle que nous percevons la réalité,le psychotique n'a pas d'imaginaire. Il est halluciné.

Ce qu'il voit ne vient pas de son désir. il ne trafique pas le réel comme le fait le pervers. Mais c'est très proche pourtant.
Le psychotique subit le  réel imposé par son délire et ses hallucinations. Il ne le fait pas, mais le réel le fait. Avec le psychotique, tout est, de son point de vue, réel.

Le pervers est l'envers du névrosé en cela qu'il passe à l'acte dans le réel , là où le névrosé se contente de son fantasme imaginaire pour jouir. Le pervers peut se croire proche de l'artiste en cela qu'il crée, par son déni du réel réel , qu'il crée donc,  comme l'artiste, un réel. Mais   au lieu de s'en tenir à cette création imaginaire comme un névrosé ou d'en faire une œuvre  sublimant ses pulsions en les rendant inoffensives comme l'artiste, il passe à l'acte et détruit l'autre à qui il dénie toute capacité de choisir son destin. Il   ne  met  pas entre sa jouissance et ses actes la barrière de la reconnaissance que ce que veut l'autre est une énigme qui lui appartient et que lui, le pervers, ne peut savoir à sa place.

A  la question angoissante du désir de l'Autre: que veut la mère? il répond comme le fait le bébé-phallus: "MOI, rien queue- moi!" C'est pour cela que le pervers est désarmé par la manifestation contraire de l'Autre qui, au lieu de lui dire merci, l'accuse.

Le psychotique, lui, est déjà le lieu de la jouissance de l'Autre. La question ne se pose pas. il en est la réponse. Le psychotique ne doute donc pas.   Le pervers ne doute pas plus, il "sait", en fait il croit que tout ce que veut l'Autre, c'est lui.

Le psychotique paranoïaque ne doute pas du fait que l'Autre lui veut du mal. Le pervers ne doute pas qu'il veut du bien à l'Autre et que lorsque lui, le pervers, jouit, l'Autre aussi, et réciproquement puisqu'il est, lui, le serviteur de la jouissance de l'Autre. Cette jouissance de l'Autre est la raison d'être du pervers qui s'en fait l'instrument, la chose, plus que l'esclave.

Si l'Autre dit au paranoïaque: "je ne te veux pas de mal",il sera entendu comme menteur, menace de nouvelles entourloupettes.

Si l'Autre dit au pervers:"tu ne me fais pas de bien", il sera entendu comme monstre d'ingratitude, le niant, lui, ce qui le rend...fou de rage puisque c'est sa fonction unique, sa raison d'être, qui lui est refusée par cet individu de mauvaise foi, ce traître qui désire ailleurs, le menaçant d'un tiers, donc  d'un père.  Donc de la loi d'interdiction de l'inceste, ce que le pervers fuit, ne veut pas voir, s'aveugle pour ne pas être aveuglé comme Oedipe le fit (castration de la pulsion scopique) pour avoir vu ce qu'il est interdit de voir: sa mère jouissant (remplacée par la souffrance et la mort du taureau pour la perversion tauromachique).

Le pervers hait celui qui lui ouvre les yeux par peur de la pire des sanctions: son savoir sur lui et sur l'Autre, pouvoir entendre l'Autre, son propre sentiment de culpabilité.  et cerise sur le gâteau: la castration symbolique obligatoire pour devenir un sujet humain. Mais, contrairement au psychotique, le pervers sait. Il fait comme si il ne savait pas. Ainsi, la castration déniée est reconnue en prélevant au martyr ce qui manque à ses tourmenteurs: la queue...et les oreilles des sourds que sont les gens du mundillo.  

J'espère que ma petite élaboration vous aura servi de point de départ à une  réflexion sur le "qui suis-je?" qui devrait s'imposer à tous pour se donner les limites que l'éthique impose.

 

A une relation aficionada, ami d'un  ami, j'ai écrit ceci :

Tu noteras un des traits commun à toutes les perversions, je pense: l'absence d'empathie. C'est à dire une nécrose de sa capacité à s'identifier à la victime comme telle. Il est évident que  si l'aficionado s'identifie au taureau, c'est en jouissant d'un rapport sexuel sado-maso  imaginaire. L'enfant très jeune confond la scène primitive (le coït de ses parents) avec un  rapport violent. Le pervers aficionado  confond un rapport violent avec une scène d'amour. C'est cela la perversion. Le déni de ce qui est, au bénéfice de ce qu'on veut qui soit.

J'y rajouterai l'illusion de sa légitimité, de sa toute-puissance, et aussi celle de tout savoir sur ce qui est bien pour soi et pour l'autre. C'est pour cela qu'un pervers ne peut savoir qu'il fait mal tant que la justice  et l'opprobre sociale ne le lui disent pas.

C'est en cela que la loi doit faire son devoir. Or l'alinéa 7 est au contraire pervers en cela qu'il est complice de la perversion de l'imundillo. je ne dis pas que chaque tauromaniaque est pervers. Je dis que la position de chacun est alors de la perversion sociale. Un peu comme Freud dit que la religion est une névrose obsessionnelle sociale.

Mais tu dois penser que je suis folle...ce qui est vrai car j'ai l'illusion que tu pourrais changer, t'émouvoir devant la souffrance atroce des animaux alors que justement tu ne peux être que dans le déni sinon tu ne supporterais pas plus que moi ces abominations.

 

 

Mais on a vu parfois quelqu'un enfin VOIR ce qu'il se cachait, traitant le réel comme une anamorphose. Y compris parmi les assassins, comme le sont les toreros. 

C'est dans cette optique que je lutte, en attendant que la loi suive le chemin de la raison, c'est à dire ne se comporte plus comme l'esclave jouissant du maître pervers. Ça ne rend pas service au pervers qui se tient en deçà d'être un sujet du fait que son refus de la castration le tient en état d'esclave, lui, de chose, d'addict à une jouissance de l'Autre qui le ravale au rang d'ordure indigne, c'est à dire d'objet a, d'abject, et non de sujet désirant. Relevez vous, l’Autre vous voit et sait que ce que vous   faites est hors la loi! Loi qui interdit l’inceste à distinguer de la loi perverse des hommes, loi qui vous autorise au pire et vous confine dans l’abjection désubjectivisante.

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Mise au point! celui qui écrit l'Echo du calejon ne sait pas lire.(ou du caleçon...ça va bien avec la Brega, dit la braguette!)

30 Juillet 2011, 18:59pm

Publié par Jo Benchetrit

L'humanité doit vite se réveiller. Elle n'a rien d'un chef...Elle fonde sur quoi sa sensation de supériorité? Sur ses destructions, ses tortures, ses mises à mort? Rien de respectable.

Quant à moi, je me dis: je suis là pour améliorer le monde, pas pour prendre mon pied, pour profiter au détriment d'autres êtres, que ma modeste vie serve au lieu de déservir.

C'est pour cela que je suis végétalienne...
VOUS AUSSI  si vous voulez mériter le nom d'humain, faites le. Que cette planète ne subissent plus nos coups.
Nos rivières ne se pollueraient plus comme dans certains pays du tiers monde de   torrents de sang s'écoulant des abattoirs. Savez-vous ceci:  

 On massacre dans le monde pour les manger (et les jeter car on jette plus du quart de ce qui est acheté...et encore plus si on compte ce qui est mort dans les élevages immondes) plus d'1 milliard d'animaux/semaine, pour arriver à 60 milliards/an en comptant quelques poissons...En fait, si on tuait autant d'hommes que de bêtes, en 1 mois, il n'y aurait plus personne (d'humains) sur terre.

????

Et tandis que je lutte, comme certains, mais nous ne sommes pas beaucoup, je reçois dans ma boite mail des choses atroces qui défilent  devant mes yeux, des choses gratuites, d'une infinie cruauté, que les hommes font subir aux animaux. des choses que je ne peux pas mettre sur mon blog, car cela le remplirait illico...et j'y passerais ma vie, des raffinements à faire jouir un sadique, donc un aficionado.

Voilou justement ce qu'un  aficionado sado (synonyme) dit de moi:

http://www.echoducallejon.com/article.php?id=6364

Selon cet aficionado myope, il parait que j'approuve l'attentat chez Viard. Mais point du tout. Si vous saviez lire vous auriez su que je suis non-violente, que je déteste le feu et donc  jamais je n'approuverais un incendiaire.

 Surtout que si ça se trouve, Viard a des enfants et un chat ou un chien...l'aficion nécrophile n'étant pas à une contradiction près, elle  qui hait la vie et adore la mort.
Mais j'ai dit aussi que je ne pouvais plaindre un tortionnaire. Auriez vous plaint Mengele, ou encore Hitler? Avez vous plaint des gens comme Eichmann? Avez vous pleuré quand Pinochet est mort? êtes vous a à ce point compatissant avec la lie de l'humain? Ben si c'est le cas, bravo.
Moi, je ne peux pas. Je suis en colère contre ceux qui font du mal sciemment...et qui ont seulement là la sensation d'avoir quelque chose dans   leur caleçon.

Alors que pour moi, abuser des pauvres animaux, c'est comme abuser d'enfants...et c'est prouver qu'on n'a RIEN  dans la culotte! 

Je ne suis pas une Tartuffe. Je ne veux avoir aucune hypocrisie. Je déteste profondément ceux qui blessent des êtres innocents...Je fais mon devoir: je  combats la loi qui leur permet ces horreurs. Et eux,  s'il leur arrive qq. chose, je n'en jouis pas, je l'ai déjà dit, mais je ne vais pas pleurer non plus. Ces êtres n'existent pas à leur propres yeux. Alors, pourquoi seraient-ils quelque chose pour moi? Ils sont dégradés, ne sont pour eux que des   objets de jouissance phallique, pas  des sujets. Lire Kant avec Sade dans les Ecrits de Lacan pour voir ce qu'un sadique est: un pahllus pour combler la mere castrée et qu'ils denient comme telle.

C'est pour cela que "le" toro est selon eux sans faille, ne souffre pas...puisqu'ils lui font l'honneur de le combler, de le tuer selon un rite qui devrait le rendre heureux...Rions pour ne pas hurler de souffrance car ces monstres sans coeur ni tête  sévissent dans notre pays et ailleurs en toute impunité!
Je ne méprise personne sinon les   méprisables et méprisants envers les faibles. Les tyrans, les racistes, les antisémites, Tous ces imbéciles qui se croient tout permis sur les plus désarmés...et qui fuient si on les menace, et  qui veulent vous éliminer si vous leur tendez un simple miroir.

L'echo du caleçon (berk!)   menace de plaintes en diffamation mon pov ti blog qui est si gentil, juste un chouia nerveux parfois...... 

Sont pas couillus ceux qui appellent au secours leur papa le juge pour punir ceux qui leur disent la vérité. Ou plutôt sont trop nuls pour argumenter sainement et surtout courageusement. Ce n'est pas pour rien qu' on ne trouve personne de l'imundillo pour les débats sur la corrida dans les médias.. Des pleutres, oui, voilà ce que sont les tortionnaires et j'y inclus tous ceux qui   font la même chose que le mundillo, mais en douce. Y compris en brûlant vifs des animaux pour les becter. 

A leur décharge(heu...beuh...c'est degoûtant comme dirait Nafissatou Dialo!), il n'y a aucun argument pour justifier la jouissance barbare. 



Seriez vous à ce point indulgent  que vous ne pourriez pas exiger d'un humain qu'il se comporte en humain? Moi je ne le suis pas. Je suis assez lasse par tout ce boulot pour lutter contre la barbarie...et je ne suis pas une sainte...quoique si je vous donnais mon emploi du temps, vous pourriez le penser.
 

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Je soutiens Morrissey, qui dénonce Mac Do, KFC et les massacres d'Oslo.

30 Juillet 2011, 11:00am

Publié par Jo Benchetrit

  1. Je trouve que contrairement à la crapule nazie (pléonasme) d'Oslo, Morrissey vieillit bien:

http://userserve-ak.last.fm/serve/_/56219723/The+Smiths+morrissey.jpghttp://www.goutemesdisques.com/uploads/pics/morrissey366.jpg

 

2. Dans la presse et sur le Net 

Morrissey est critiqué pour son commentaire* après les massacres en Norvege. On le traite d'enfoiré...par exemple .

Et pourtant...il ne fait que dire la verité, sauf qu'en pleine emotion, cette verité à contre-courant de l'imaginaire humain a choqué. On est là au coeur du pb. des hommes: la sacralisation de notre espece et la minimisation de la souffrance de ses victimes, donc, de notre barbarie au nom d’une ideologie de la superiorité comme l’anthropocentrisme ou le nazisme. Bravo à Morrissey ! Transgresser l’OMERTA, critiquer l’intégrisme de la religion où l’homme est Dieu est courageux. espérons que le clergé de l’humanisme qu’il soit athée ou pas ne le lui fera pas payer.

 

Un avant- après moins flatteur comme support identificatoire. alors, la presse choisit la plus ancienne donc plus présentable, malgré un regard glaçant... Mais pourquoi?

Y aurait-il un desir inconscient de faire flamber à nouveau la formidable usine à joissance qu'est la barbarie?°http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/Oslo_0.jpg http://www.alterinfo.net/photo/art/default/3162090-4520225.jpg?v=1311771950

 
Quant à la starification du seul enfoiré, le massacreur, en effet c’est ce qu’on va obtenir , surtout qu’on choisit les photos de lui à  sans doute 17 ou 18 ans, alors qu’il a mal vieilli, et curieusement, il a choisi les belles photos pour son FB comme si il ne se voulait voir vieillir, ce dont on se ficherait si son ORANGE MECANIQUE ne le supposait pas INFANTILE.pas aussi moche qu'il l’est devenu . Les nazillons mignons blonds aux yeux bleus, ça en jette plus aux attardés du bulbe réunis contre l’Islam qu’un gros au regard bizarre, devenu aussi fade et  laid que son âme … et la télé choisit ces photos d’il y a au moins 15 ans offertes comme support identificatoire à une jeunesse déboussolée qui ne trouve sa raison que dans son illusion de superiorité raciale: écoeurant.

 
Je défends toutes les victimes, comme le fait Morrissey. Ça m’a fait horreur.J’ai pleuré sur ces petits jeunes acculés, terrifiés, blessés, agonisant, souffrant, traqués, comme d’innocentes bêtes poursuivies par des chasseurs.
Ben ça nous ramene à notre sujet. on sait combien les chasseurs sont cruels et peuvent tuer leurs proies jusque dans les espaces reduits, où, le coeur affolé , elles se terrent sans bruit, malgré leurs possibles blessures, comme ici dans l’eau où ces pauvres jeunes se sont refugiés pour essayer de fuir. Ne dit-on pas « canarder »? Alors, d’où vient que la plupart n’a de pitié que pour les humains?N’est-ce pas une preuve d’inhumanité ?

Liberez les animaux… mais pas la bête immonde!

« Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde. » Brecht

 

 

 

 

* Lu son commentaire là entre autres:

 

 

http://www.ozap.com/actu/morrissey-le-massacre-en-norvege-n-est-rien-compare-a-ce-qui-arrive-chez-mcdonald-s-ou-kfc/435542

 

 

 

Voilà un commentaire qui ne passe pas inaperçu. Lors d'un concert à Varsovie dimanche dernier, le chanteur anglo-irlandais Morrissey a évoqué la tragédie qui a frappé la Norvège le week-end dernier. "On vit tous dans un mondre meurtrier, comme l'ont montré les événements en Norvège. Mais ça n'est rien comparé à ce qui arrive chez McDonald's et Kentucky Fried Shit tous les jours", a-t-il lancé, modifiant volontairement le nom de Kentucky Fried Chicken (KFC).

Dans un communiqué publié en fin de semaine, Morrissey a tenté d'expliquer sa déclaration, qu'il ne regrette pas. "Des millions d'êtres sont assassinés chaque jour de manière habituelle afin de faire augmenter les bénéfices de McDonald's et KFCruauté, mais comme ces meurtres sont protégés par la loi, on nous demande d'y être indifférent et de ne même pas les remettre en question", a-t-il déclaré.

"Si vous êtes horrifiés - à juste titre - par le massacre de Norvège, il est certainement naturel que vous ressentiez la même horreur face au meurtre de n'importe quel être innocent", a-t-il continué. "On ne peut pas ignorer la souffrance d'un animal simplement parce que les animaux ne sont pas humains".

L'ancien leader du groupe The Smiths a profité de l'occasion pour brocarder l'attitude des médias dans cette affaire et leur obsession vis-à-vis du tueur, Anders Behring Breivik. "Les meurtres étaient affreux, et comme d'habitude dans ce genre de cas, les médias ont donné au tueur exactement ce qu'il souhaitait : la gloire mondiale. On ne nous dit pas le nom de ceux qui ont été tués, presque comme s'ils n'étaient pas assez importants, mais les médias transforment le tueur en un Jack l'Eventreur et c'est répugnant. On ne devrait pas le nommer, pas le photographier et l'enfermer dans la plus grande discrétion", a expliqué Morrissey.


 

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Bon chien NOIR ET BLANC (BEIGE?) trouvé dans le 45 dadonville-perdu on sait pas où. La fourrière a programmé son euthanasie!.

29 Juillet 2011, 08:32am

Publié par Jo Benchetrit

DANGER FOURRIERE!

 

Bon chien trouvé errant sur la voie publique .

c'est gonflé. on n'a pas son maitre, alors on le flingue!
et si son maitre le cherche ??? on lui dira qu'il est mort...
Je vous en prie, relayez cette demande avec sa photo.
On recherche ses maîtres ! 

-------- Message original --------

Sujet: URGENCE FOURRIERE / EUTHANASIE PROGRAMMEE d'un adorable X Berger (45)
Date : Thu, 28 Jul 2011 21:31:24 +0100 (BST)
De : Meryl Pinque<merylpinque@yahoo.fr>
Pour : ADAD-Ain@yahoogroupes.fr,apis3@yahoogroupes.fr,societeantifourrure@yahoogroupes.fr



ATTENTION : ceci est l'appel de la dernière chance pour ce chien...
http://www.chien-perdu.org/26014-chien-trouve-a-dadonville


Publié le 27/07/2011
Sexe Mâle
Race Inconnue
Couleur noir et blc
Trouvé le 26/07/2011
Trouvé à veterinaire
45 Dadonville - FR

Contact : 02-38-39-86-75


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A propos de l'incendie de la porte d'entrée chez le torero aficionado André Viard.

28 Juillet 2011, 07:59am

Publié par Jo Benchetrit

http://3.bp.blogspot.com/_huHJXBx4Vx8/SdH4E8jEnEI/AAAAAAAACAM/ctQUsZ1HZDA/s320/powell.gif

Pour les taurins, il n'y a qu'un maitre, un dieu:Thanatos.

On n' a pas à se plaindre, ensuite, si on suscite des désirs de mort !

 J'en ai dejà parlé mais j'ajoute ici que l'AFP dit :"cette activité, jugée cruelle par les anti-taurins et défenseurs des animaux" 

Pas par eux seulement mais par la loi 521-1 du code penal dont l’Alinea 7 est scélérat car il permet ce que la loi 521-1 du code penal interdit en tant que sévices graves.
Il se peut que les ennemis de Viard soit du milieu taurin...Mais faisons comme si c'était fait par un anti-corrida commeil le dit.
Si ce genre d'attentats peut exister, c'est parce que les gens sont désespérés de vivre dans un monde immonde car INJUSTE où l'immoralité est reine envers les moins forts pour se défendre, dont le sort est joué avant toute défense, les animaux.
Ça arrive parce que le législateur qui est à la botte des bourreaux à gage n'a  donc rien prévu contre lui. Au contraire, il le monte au pinacle, avec le ministre la culture qui  promeut la tauromachie comme patrimoine culturel. Normal, vu que les aficionados nous dirigent dont Sarko et Fillion en 1°.
Du coup, A.Viard ose pleurnicher et se faire passer, lui,l'infâme impitoyable, pour une victime innocente. Quelle posture aussi ridicule que si Eichmann s'était rebellé contre ses justiciers et les avait accusé de méchanceté à son égard! Imposture!
 Vous me direz, comme un animal quelconque, le tortionnaire tauromachique est sensible...mais à sa seule douleur. Ou plutôt il jouit de celle d'autrui. Un sadique minable et anal. Selon la psychanalyse, comme je vous le disais ailleurs: le mal est trou du cul. Ce malade narcissique ne peut imaginer celle des autres car lui seul existe à ses yeux.
Alors, si j'ai bien compris, on a voulu faire brûler sa porte. Ha!
Moi aussi j'ai peur du feu.
Les autres animaux aussi.
On dit que les pauvres scorpions vont jusqu'à se suicider quand on les entoure de feu.
Pauvres bêtes. Un scorpion, soit dit en passant,  est bien  moins dangereux qu'un torero
ou un autre infâme du mundillo : il est intelligent, lui, et ne se défend que si on l'attaque. 
Cet homme ose dire que l'attentat dont sa porte fut victime le ramène aux heures sombres de l'humanité.
Mais non, monsieur Viard, les heures sombres, nous y sommes déjà à cause de gens comme vous, du fait qu'on admet comme normal et légal VOTRE SADISME de POURRIS.
A cause de l'attitude des humains envers les autres vivants...de leur mépris, leur sadisme, tout ce qui fait ce que vous êtes, mais vous, de manière ultra visible.
l'espece humaine s'est fondée sur une illusion: sa non appartenance au monde animal...Or du deni de son animalité est née sa bestialiité. Et sa bêtise. La Bête est un des noms du pire, du diable. L'homme est un ani-mal. Il  est le mal, il est la bête. La protection animale est un anti-mal. la moindre des choses est de défendre un faible attaqué.
Cet individu dangereux et pleurnichard est un agresseur. Il a combien de morts sur sa conscience? Ho! mais "ce ne sont que des animaux", à ses yeux aveuglés par sa jouissance de minables méprisable qui se croit,il est vrai, lui, supérieur... c'est la megalo humaine.    
Adorno disait: "Auschwitz commence quand passant devant un abattoir, on dit: ce ne sont que des bêtes."
Attendez! Viard compare le danger des arènes qui peuvent selon lui(mais on ne peut jurer de rien et là, ce ne sont que des coupables qui y vont, à part les marmots qu'ils amènent de force) être un jour attaquées par des justiciers au massacre de nazi d'Oslo!!!!!!!!!
Or, à Oslo, le  dingue nazi qui se croit supérieur car blond aux yeux bleus, a atteint des innocents. Des gens réunis eux aussi, certes, comme sur les dé- gradins des arènes. Mais comme dans l'arène pour faire du mal, non.   Réunis au cntraire  pour le bien car pour y parler tolérance et respect. Rien à voir avec les supplices imposés à de pauvres bovins par des abrutis des  arènes!
Une arène est un lieu aussi peu  respectable qu'un abattoir sauf que c'est pire car, au lieu de viser un minimum de souffrance, on y vise le maximum de douleurs...tant physiques que morales.
Les gens qui se repaissent de ça sont des êtres méprisables et  je leur souhaite le plus intelligent qu'on puisse : soit qu'ils arrivent ENFIN par la capacité de l'humain réellement humain à s'identifier, à se mettre à la place des martyrs, soit qu'ils subissent de la part de leurs amis  spécialistes en monstruosités impitoyables les mêmes blessures raffinées donc la même souffrance qu'ils imposent à des êtres sensibles pauvres taches! Messieurs les sadiques, prenez enfin un miroir. Vous voyez, le pouvoir vous protège, mais vous excitez du coup la haine désespérée. Quoiqu'il vous arrive de négatif me rend aussi indifférente que vous l'êtes à l'égard des faibles innocents, eux. Et encore, je n'en jouis même pas...vous êtes pour moi la boue de vos pulsions...des riens du tout, des immondes, des aussi nocifs que le tueur d'Oslo. Votre place n'est pas en hosto psy car on ne peut rien contre la perversion...mais en taule à vie. OUI.
Le seul pb est de vous subir pleurnichant sur votre sort croyant que les justiciers sont des méchants...C'est aussi pour ça que je suis non violente. Mais j'ai des remords car je transgresse la loi qui impose l'assistance à personne en danger.
Ces personnes-là, ces pauvres petits qui arrachent chez moi des larmes :
http://stop-animals-genocid.bleublog.lematin.ch/media/02/00/709009995.2.jpg
Mais d'abord regardez  bien les vraies victimes. Allez voir Alinea 3 et pleurez sur les reellement suppliciés par les Viard et consort, pas sur l'infect qui a écrit ce qui suit.
Voilà le texte absurde et comme dab   avec les taurins,   grandiloquent, du coupable Viard se donnant comme... victime:


 
AUTODAFÉ
 
Il y a bien sûr quelque chose de doublement symbolique dans cette condamnation au bûcher qui m'était promise, ainsi qu'à ma famille, et cette symbolique nous raméne vers les heures les plus sombres de l'humanité.
 
L'autodafé (du portugais « acto da fé », traduction du latin « actus fidei » — « acte de foi »), est la cérémonie de pénitence publique célébrée par l'Inquisition espagnole ou portugaise, pendant laquelle celle-ci proclamait ses jugements. Dans le langage populaire, ce terme est devenu synonyme d'une exécution par le feu d'hérétiques, mais aussi la destruction publique de livres ou de manuscrits par le feu.
 
Au XXIème siècle, cette pratique existe donc encore, puisque au nom d'une idéologie que je combat, des mains anonymes sont venues de nuit allumer à ma porte un brasier qui, si nous avions tardé quelques minutes de plus à le découvrir, aurait emporté ma maison et peut-être ma famille. Car tout doute est exclu : c'est bien d'un acte criminel ciblé dont il s'agit, lequel a été minutieusement préparé et exécuté.
 
Vous dire que j'ai été surpris serait mentir. Depuis des années ce type d'actes s'est multiplié : coups de feu contre les demeures de Simon Casas et Robert Margé à Nîmes et Béziers, incendie similaire de l'appartement de Guy Tangui à Toulouse, incendie des voitures de l'ancien maire de Fenouillet... Pour ma part, je reçois depuis longtemps des menaces de la part des milieux animalistes - je n'ai pas l'exclusivité de leur haine - et depuis des années je savais qu'un jour ou l'autre un tel acte serait perpétré à mon encontre. Aurais-je dù renoncer à m'engager ? Aurais-je dù me taire ? Aurais-je dù cesser de dénoncer la montée d'un intégrisme sectaire qui n'hésite plus à passer à l'acte ? Je ne l'ai jamais envisagé.
 
Au contraire, j'ai dénoncé chaque fois que cela me parut nécessaire les dérives verbales d'associations anti taurines dont le discours haineux, les mensonges, et les appels à la violence, font porter à leurs auteurs une indiscutable responsabilité morale dans ce qui vient de se produire : on ne véhicule pas impunément de tels messages, sans qu'un jour ou l'autre un détraqué ne se sente investi d'une mission sacrée et ne s'en prenne à la cible qu'on lui propose. Mon nom, mon adresse, ainsi que ceux d'autres responsables taurins, figurent depuis longtemps sur une liste des personnes auquelles il faut "nuire par tous les moyens".
 
Et lorsque l'on est un élu de la République, ou une personnalité en vue, et que l'on cautionne ce même discours en apposant son nom au bas d'une pétition d'abolition, on porte aussi la responsabilité morale de le crédibiliser. J'ose espérer, par exemple, que Simone Veil mettra autant de vigueur à dénoncer cet attentat terroriste qu'elle en a mis à condamner notre culture. Et j'ose espérer que mesdames la députés Marland Militello et le sénateur Povinelli qui soutenaient, écharpe tricolore en bandoulière, la manifestation anti taurine tenue le 23 mai devant le ministère de la culture, et au cours de laquelle mon nom fut jeté en pâture aux associations qui l'organisaient, se poseront la question de savoir s'ils n'ont pas été instrumentalisés pour offrir une vitrine respectable à un mouvement odieux.
 
J'ose espérer aussi que les "aficionados" qui n'ont de cesse d'enrichir les arguments des anti taurins par les attaques viles qu'ils portent depuis des mois à mon encontre - point besoin de les nommer chacun les connaît - en entretenant avec eux une correpondance si ignoble que les enquêteurs les ont classés dans le même panier qu'eux, s'interrogeront aussi sur leur part de responsabilité, pas au regard de ce qui m'est arrivé, mais au regard du monde de l'aficion dans son ensemble.
 
J'ose espérer enfin que les sceptiques de ce même monde taurin auront compris une fois pour toutes où se situe le danger, et qu'ils auront à coeur de rejoindre ceux qui, au sein de l'Observatoire, travaillent depuis trois ans déjà à les en préserver malgré eux.
 
En ce qui me concerne, extrêment sensible aux très nombreux messages de soutien reçus, ma détermination est intacte : contre le terrorisme intellectuel et l'obscurantisme, la seule attitude qui vaille est de le regarder dans les yeux, de lui faire face et de répondre à la violence comme nous l'avons toujours fait, en revendiquant les valeurs humanistes auxquels nous adhérons et dont la tauromachie est peut-être l'ultime refuge en ce monde.
 
S'il faut trouver une explication contextuelle à ce geste, c'est vers l'inscription de la tauromachie au patrimoine culturel français qu'il faut bien sûr se tourner. Depuis avril les associations anti taurines sont aux abois car l'inscription a inversé le rapport de force : avant, ils nous présentaient comme des marginaux aux pratiques indignes, depuis, nous sommes le patrimoine et ils sont les barbares. Les medias ne s'y sont pas trompés, qui ne leur accordent plus la même importance et ne véhiculent plus avec complaisance leurs arguments. Contre ce qu'ils considèrent être de l'ostracisme à leur encontre, ils ont choisi l'escalade et la radicalisation : le ministre de la culture fait l'objet d'une véritable traque partout où il se rend, de hauts fonctionnaires ont fait l'objet de menaces graves, et enfin cet attentat.
 
Voici deux ans déjà, quand avait été publié l'immonde pamphlet "Corrida Basta", j'avais averti les pouvoirs publics : on ne peut impunément inciter à la haine en écrivant "sortons nos kalachnikovs et tirons sur la racaille confessée qui se rend aux arènes". Un jour ou l'autre, si rien n'est fait pour endiguer ces mouvements sectaires dont les manifestations qui ont lieu durant nos ferias ne sont que la vitrine folklorique, c'est à un "Oslo" que nous assisterons devant une arène.
 
Comptez sur moi, en tant qu'auteur, et sur tous ceux qui m'entourent au sein de l'Observatoire, pour faire barrage à ces idées nauséabondes qui mènent le monde au chaos, au nom desquelles la vie de l'homme n'est rien à côté de celle de l'animal, et comptez sur moi pour placer devant leurs responsabilités les porteurs d'opinions, quels qu'ils soient, qui en amplifient l'écho.
 

 

 

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Je continue! Blog pour devenir champions de bonté.

28 Juillet 2011, 06:21am

Publié par Jo Benchetrit

Merci de vos encouragements à continuer malgré ma désillusion sur l'impact d'un blog anti- barbarie humaine, particulièrement après   la Norvège. Mais vous savoir à mes côtés m'a redonné la pèche. Comme dit Camus dans le mythe de Sysiphe: "Cela consiste à recommencer."

  Question principale:

Et la bonté, bordel? Faire un Eloge de la bonté, à notre époque semble anachronique.

Le sans-gêne de notre espèce et son absence de compassion au nom des gènes, le mépris, la haine, la torture, le terrorisme aveugle, le destruction, y en a pourtant marre.

La colère est salvatrice, et j'en ai plein mon cartable.

Bises à tous ceux qui me soutiennent dans cette difficile lutte contre le tsunami de la pulsion de mort que notre espèce a prise pour maître.

La bonté n'est pas le gentillesse. La bonté est du côté de l'être...non de l'existence seulement comme pourrait l' être la gentillesse. Mais commencez par la gentillesse, la bonté peut venir , surtout si ce n'est pas trop hypocrite. L'éthique, disait Lacan, c'est le geste.

C'est en forgeant qu'on devient forgeron et en aidant, en combattant la cruauté, qu'on devient bon.

La bonté n'est pas si bête, même si les bêtes   sont souvent bonnes. C'est la cruauté qui l'est.

Sophocle: "Souvent bêtise est soeur de cruauté."

Et que la soeur de la bonté soit à mes yeux la justice permet de voir que l'on peut être bon sans être si gnan gnan que ça.

Et si vous me trouvez gnan gnan, après tout, je m'en fous. La morale ne doit pas être applaudie. elle est juste l'évidence de ce qu'il faut. Je ne cherche pas la popularité, mais à montrer le chemin du devoir. pour ce blog, l'efficacité serait que vous compreniez la différence entre moralisme étouffant et morale.

La loi n'est pas toujours légitime, à preuve la 521-1 et son alinéa 7.


En l'abscence de toute consceicne morale, seule la sanction,pourtant vous donnerait à réflechir. Mais la loi transcendante, celle de l'oedipe, celle qui interdit que l'on en reste à sa perversion infantile, elle, est libératrice de ses pulsions imbéciles et cruelles..

Dans notre monde immonde on a plus honte de la bonté que de la cruauté. Faudrait tout de même voir à changer ça. Faudrait voir à être fier de sa bonté. et pas dan s le défi des aficionados et autre psychopathes qui font de la cruauté une marque de virilité triomphante, alors que ce sont juste des homos refoulés. La méchanceté est plus anale.

Il est facile de changer le monde; Suffit juste de le vouloir et d'être assez nombreux, de plus en plus nombreux...dans son camp.

C'est comme de devenir vegetalien. Ensuite, on se sent mieux car la bouffe viandarde est lourde, grasse, toxique et cruelle.
La bouffe végé est bonne. Bonne, ça vous dit quelque chose? Manger du bon, et de la bonté, c'est pour certains un début.
Bon, je reconnais que ça ne suffit pas à rendre les gens meilleurs dans tous les cas...hélas, on trouve des végés assez monstrueux aussi.

Rendre l'humain bon  est un challenge où bcp se cassent le nez...Mais on peut au moins essayer meilleur?

Le "Il faut imaginer Sysiphe heureux"  de Camus peut-il suffire ??



C'est vrai qu'être en accord avec son surmoi est apaisant.
Dans le même temps, ça souffre trop pour nous contenter de ça.

Les animaux martyrs hurlent l'urgence de leur délivrance.

Et dire qu'il serait si facile de tout changer!

Alors, pourquoi cette obstination à bâtir notre vie sur des cadavres et de la souffrance???
Je rajoute donc:

Ayez ENFIN  pitié de ces petits. Ou assumez donc votre ignominie et ne pleurez pas (et ne tapez plus) si on vous la dit. Trop dur ?  Seriez pas hypersensible, vous?

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Un incendie chez les Viard.Et en plus, l'ancien torero aficionado nous joue les victimes!

27 Juillet 2011, 05:29am

Publié par Jo Benchetrit


L'oeuvre noire des amis de Viard est rouge de sang...Mais eux ne sont pas rouge de honte. Ils se pavanent dans des postures ringardes , machistes,  ridicules et de défi ignoble face à leurs martyrs :
http://stop-animals-genocid.bleublog.lematin.ch/media/02/00/709009995.2.jpg
André Viard ose se mettre sur le même plan que ses victimes animales en en appelant à ceux qui s'opposent à la torture des corridas, Veil, Povinelli, pour s'indigner contre ceux qui l'auraient, son altesse Lui-d'aime, attaqué! L'art des tarémaniaques? Savoir mélanger les torchons et les serviettes. C'est ça, le renversement des valeurs. Avec le mundillo, on marche sur la tête. C'est Alice au pays des Merveilles à toute heure.
Adorno: "Auschwitz commence quand passant devant un abattoir, on dit: ce ne sont que des bêtes."
Je rajoute que  comme ce Viard le fait, nommer intégrisme la seule position morale qui tienne, celle de protéger les êtres kidnappés, attaqués alors qu'innocents est une perversion du langage dont le pervers aficionado et torero Viard ne se prive pas. Lisez son texte à vomir plus bas.
http://stop-animals-genocid.bleublog.lematin.ch/media/02/00/709009995.2.jpg

Voyez bien la nuque tailladée par le picador pour proteger les autres agresseurs  dits toreros de ses attaques...la plaie enorme près de l'oreille..lâcheté! comment regarder ça calmement, sans hurler de  douleur et de révolte?Pas de pitié de la part des pervers du mundillo? Pas de pitié pour eux. MAIS contre ces ignobles dégueulasses répugnants...nous demandons des SANCTIONS. Messieurs les députés et  sénateurs, AU SECOURS! Abolissez ce passe- droit mafieux qu'est l'alinéa 7! Votez pour les propositions de loi de MME Gaillard et  M.M. Millitello.
 Monsieur Viard prétend avoir essuyé une tentative d'incendie. Admettons que ce soit vrai. (Je n'ai aucune confiance dans ce genre de type) Alors, je dis aux possibles justiciers: Attention, lorsqu'un fou sadique qui a l'appui du pouvoir est attaqué il hurle autant que ses  victimes...sauf qu'il ne masque pas ses trémolos par une musique folklorique.

http://3.bp.blogspot.com/_huHJXBx4Vx8/SdH4E8jEnEI/AAAAAAAACAM/ctQUsZ1HZDA/s320/powell.gifPour les taurins, il n'y a qu'un maître, un dieu:Thanatos.

 

   l'AFP dit :"cette activité, jugée cruelle par les anti-taurins et défenseurs des animaux" 

Pas par eux seulement mais par la loi 521-1 du code penal dont l’Alinea 7 est scélérat car il permet ce que la loi 521-1 du code penal interdit en tant que sévices graves.
Alors, si j'ai bien compris, on a voulu faire brûler sa porte. 
On dit que les pauvres scorpions vont jusqu'à se suicider quand on les entoure de feu.
Pauvres bêtes. Un scorpion, soit dit en passant,  est bien  moins dangereux qu'un torero
ou un autre infâme du mundillo : il est intelligent, lui, et ne se défend que si on l'attaque. 
Cet homme ose dire que l'attentat dont sa porte fut victime le ramène aux heures sombres de l'humanité.
Mais non, monsieur Viard, les heures sombres, nous y sommes déjà à cause de gens comme vous, du fait qu'on admet comme normal et légal VOTRE SADISME de POURRIS.
A cause de l'attitude GENERALE des humains envers les autres vivants...de leur mépris, de leur sadisme, de tout ce qui fait ce que vous êtes, mais vous, de manière ultra visible.
L'espece humaine s'est fondée sur une illusion: sa non appartenance au monde animal sa convction delirante d'être d'une autre essence...Or du deni de son animalité est née sa bestialité. Et sa bêtise. La Bête est un des noms du pire, du diable. L'homme est un ani-mal. Il  est le mal, il est la Bête et il est bête, lui qui tue ce qui lui est vital: la nature. La protection animale est un anti-mal.
La moindre des choses est de défendre un faible attaqué.
Il se peut que les ennemis de Viard soit du milieu taurin ou que l'attentat  soit  autre...Mais faisons comme si c'était fait par un anti-corrida comme il le dit. Si c'est le cas, d'abord, je suis claire et condamne ce genre de choses. En effet, le feu peut tuer et en prime tuer des êtres innocents de toutes ces turpitudes: enfants, animaux, passants... 

Ça pourrait donc arriver parce que le législateur qui est à la botte des bourreaux à gage n'a  de ce fait rien prévu contre la plupart des delinquants dont les victimes sont animales. Cela tient à un grand narcissisme appelé humanisme. mais est-ce de l'humanisme au sens de promotion des valeurs dites  humaines? Je ne le crois pas du tout. Bien au contraire.Les tortures, l'absence de compassion, ce n'est pas ça l'humanité comme vertu.. Au contraire, il le monte au pinacle, avec le ministre de la culture qui  promeut la tauromachie comme patrimoine culturel. Normal, vu que les aficionados nous dirigent dont Sarko et Fillion en 1°.
Du coup, A.Viard ose pleurnicher et se faire passer, lui,l'infâme impitoyable, pour une victime innocente. Quelle posture aussi ridicule que si Eichmann s'était rebellé contre ses justiciers et les avait accusé de méchanceté à son égard! Imposture!
 Vous me direz, comme un animal quelconque, le tortionnaire tauromachique est sensible...mais à sa seule douleur. Ou plutôt il jouit de celle d'autrui. Un sadique minable et anal. Selon la psychanalyse, comme je vous le disais ailleurs: le mal est trou du cul et lamentable. Le malade narcissique ne peut imaginer la subjectivité des autres car lui seul existe à ses yeux.

Cet individu dangereux et pleurnichard est un agresseur. Il a combien de morts sur sa conscience? Ho! mais "ce ne sont que des animaux", à ses yeux aveuglés par sa jouissance de minables méprisable qui se croit,il est vrai, lui, supérieur... C'est la megalo humaine.    
Adorno disait: "Auschwitz commence quand passant devant un abattoir, on dit: ce ne sont que des bêtes."
Attendez! Viard compare le danger des arènes qui peuvent selon lui(mais on ne peut jurer de rien et là, ce ne sont que des coupables qui y vont, à part les marmots qu'ils amènent de force) être un jour attaquées par des justiciers au massacre de nazi d'Oslo!!!!!!!!!
Or, à Oslo, le  dingue nazi qui se croit supérieur car blond aux yeux bleus, a atteint des innocents. Des gens réunis eux aussi, certes, comme sur les dé- gradins des arènes. Mais comme dans l'arène pour faire du mal, non.   Réunis au contraire  pour le bien car pour y parler tolérance et respect. Rien à voir avec les supplices imposés à de pauvres bovins par des abrutis des  arènes!
Une arène est un lieu aussi peu  respectable  et même pire qu'un abattoir, car, au lieu de viser un minimum de souffrance, on y vise le maximum de douleurs...tant physiques que morales.
Les gens qui se repaissent de ça sont des êtres méprisables et  je leur souhaite le plus intelligent qu'on puisse : soit qu'ils arrivent ENFIN par la capacité de l'humain réellement humain à s'identifier, à se mettre à la place des martyrs, soit qu'ils subissent de la part de leurs amis  spécialistes en monstruosités impitoyables les mêmes blessures raffinées donc la même souffrance qu'ils imposent à des êtres sensibles pauvres taches! Messieurs les sadiques, prenez enfin un miroir. Vous voyez, le pouvoir vous protège, mais vous excitez du coup la haine désespérée. Quoiqu'il vous arrive de négatif me rend aussi indifférente que vous l'êtes à l'égard des faibles innocents, eux. Et encore, je n'en jouis même pas...vous êtes pour moi la boue de vos pulsions...des riens du tout, des immondes, des aussi nocifs que le tueur d'Oslo. Votre place n'est pas en hosto psy car on ne peut rien contre la perversion...mais en taule à vie. OUI.
Le seul pb est de vous subir pleurnichant sur votre sort croyant que les justiciers sont des méchants...C'est aussi pour ça que je suis non violente. Mais j'ai des remords car je transgresse la loi qui impose l'assistance à personne en danger.
Ces personnes-là, ces pauvres petits qui arrachent chez moi des larmes :
http://lunanavis.blogspirit.com/media/00/00/1094517453.JPG
Pour vous faire un idée de ce qui fonde mon discours colereux   envers Viard et ses semblables en barbarie, moi qui ne supporte aucune violence, regardez  bien les vraies victimes dont il se repait!  Allez voir Alinea 3 et pleurez sur les réellement suppliciés par les Viard et consort et en toute impunité  avec en prime des articles laudatifs dans Paris Match...et autres comme Libé. Où est le scandale? Où est l'intégrisme? Qui sont les agresseurs?
Qu'est notre société pour supporter ça?
   
Voilà le texte absurde et comme dab   avec les taurins,   grandiloquent, de ce petit monsieur,  Viard, l'anti IVG, donc bien macho-facho, et se donnant comme... victime!!!!!!!


 
"AUTODAFÉ
 
Il y a bien sûr quelque chose de doublement symbolique dans cette condamnation au bûcher qui m'était promise, ainsi qu'à ma famille, et cette symbolique nous raméne vers les heures les plus sombres de l'humanité.
 
L'autodafé (du portugais « acto da fé », traduction du latin « actus fidei » — « acte de foi »), est la cérémonie de pénitence publique célébrée par l'Inquisition espagnole ou portugaise, pendant laquelle celle-ci proclamait ses jugements. Dans le langage populaire, ce terme est devenu synonyme d'une exécution par le feu d'hérétiques, mais aussi la destruction publique de livres ou de manuscrits par le feu.
 
Au XXIème siècle, cette pratique existe donc encore, puisque au nom d'une idéologie que je combat, des mains anonymes sont venues de nuit allumer à ma porte un brasier qui, si nous avions tardé quelques minutes de plus à le découvrir, aurait emporté ma maison et peut-être ma famille. Car tout doute est exclu : c'est bien d'un acte criminel ciblé dont il s'agit, lequel a été minutieusement préparé et exécuté.
 
Vous dire que j'ai été surpris serait mentir. Depuis des années ce type d'actes s'est multiplié : coups de feu contre les demeures de Simon Casas et Robert Margé à Nîmes et Béziers, incendie similaire de l'appartement de Guy Tangui à Toulouse, incendie des voitures de l'ancien maire de Fenouillet... Pour ma part, je reçois depuis longtemps des menaces de la part des milieux animalistes - je n'ai pas l'exclusivité de leur haine - et depuis des années je savais qu'un jour ou l'autre un tel acte serait perpétré à mon encontre. Aurais-je dù renoncer à m'engager ? Aurais-je dù me taire ? Aurais-je dù cesser de dénoncer la montée d'un intégrisme sectaire qui n'hésite plus à passer à l'acte ? Je ne l'ai jamais envisagé.
 
Au contraire, j'ai dénoncé chaque fois que cela me parut nécessaire les dérives verbales d'associations anti taurines dont le discours haineux, les mensonges, et les appels à la violence, font porter à leurs auteurs une indiscutable responsabilité morale dans ce qui vient de se produire : on ne véhicule pas impunément de tels messages, sans qu'un jour ou l'autre un détraqué ne se sente investi d'une mission sacrée et ne s'en prenne à la cible qu'on lui propose. Mon nom, mon adresse, ainsi que ceux d'autres responsables taurins, figurent depuis longtemps sur une liste des personnes auquelles il faut "nuire par tous les moyens".
 
Et lorsque l'on est un élu de la République, ou une personnalité en vue, et que l'on cautionne ce même discours en apposant son nom au bas d'une pétition d'abolition, on porte aussi la responsabilité morale de le crédibiliser. J'ose espérer, par exemple, que Simone Veil mettra autant de vigueur à dénoncer cet attentat terroriste qu'elle en a mis à condamner notre culture. Et j'ose espérer que mesdames la députés Marland Militello et le sénateur Povinelli qui soutenaient, écharpe tricolore en bandoulière, la manifestation anti taurine tenue le 23 mai devant le ministère de la culture, et au cours de laquelle mon nom fut jeté en pâture aux associations qui l'organisaient, se poseront la question de savoir s'ils n'ont pas été instrumentalisés pour offrir une vitrine respectable à un mouvement odieux.
 
J'ose espérer aussi que les "aficionados" qui n'ont de cesse d'enrichir les arguments des anti taurins par les attaques viles qu'ils portent depuis des mois à mon encontre - point besoin de les nommer chacun les connaît - en entretenant avec eux une correpondance si ignoble que les enquêteurs les ont classés dans le même panier qu'eux, s'interrogeront aussi sur leur part de responsabilité, pas au regard de ce qui m'est arrivé, mais au regard du monde de l'aficion dans son ensemble.
 
J'ose espérer enfin que les sceptiques de ce même monde taurin auront compris une fois pour toutes où se situe le danger, et qu'ils auront à coeur de rejoindre ceux qui, au sein de l'Observatoire, travaillent depuis trois ans déjà à les en préserver malgré eux.
 
En ce qui me concerne, extrêment sensible aux très nombreux messages de soutien reçus, ma détermination est intacte : contre le terrorisme intellectuel et l'obscurantisme, la seule attitude qui vaille est de le regarder dans les yeux, de lui faire face et de répondre à la violence comme nous l'avons toujours fait, en revendiquant les valeurs humanistes auxquels nous adhérons et dont la tauromachie est peut-être l'ultime refuge en ce monde.
 
S'il faut trouver une explication contextuelle à ce geste, c'est vers l'inscription de la tauromachie au patrimoine culturel français qu'il faut bien sûr se tourner. Depuis avril les associations anti taurines sont aux abois car l'inscription a inversé le rapport de force : avant, ils nous présentaient comme des marginaux aux pratiques indignes, depuis, nous sommes le patrimoine et ils sont les barbares. Les medias ne s'y sont pas trompés, qui ne leur accordent plus la même importance et ne véhiculent plus avec complaisance leurs arguments. Contre ce qu'ils considèrent être de l'ostracisme à leur encontre, ils ont choisi l'escalade et la radicalisation : le ministre de la culture fait l'objet d'une véritable traque partout où il se rend, de hauts fonctionnaires ont fait l'objet de menaces graves, et enfin cet attentat.
 
Voici deux ans déjà, quand avait été publié l'immonde pamphlet "Corrida Basta", j'avais averti les pouvoirs publics : on ne peut impunément inciter à la haine en écrivant "sortons nos kalachnikovs et tirons sur la racaille confessée qui se rend aux arènes". Un jour ou l'autre, si rien n'est fait pour endiguer ces mouvements sectaires dont les manifestations qui ont lieu durant nos ferias ne sont que la vitrine folklorique, c'est à un "Oslo" que nous assisterons devant une arène.
 
Comptez sur moi, en tant qu'auteur, et sur tous ceux qui m'entourent au sein de l'Observatoire, pour faire barrage à ces idées nauséabondes qui mènent le monde au chaos, au nom desquelles la vie de l'homme n'est rien à côté de celle de l'animal, et comptez sur moi pour placer devant leurs responsabilités les porteurs d'opinions, quels qu'ils soient, qui en amplifient l'écho.
       André Viard"

 

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