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Psychanalyse et animaux.

Pourquoi un juif ne peut être que vegan à notre époque...et aux autres aussi.

28 Février 2010, 15:47pm

Publié par Jo Benchetrit

On m'a envoyé ceci qui peut vous interesser:
http://www.jewishveg.com/francais/ja.html

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Judaïsme, Animaux et Végétarisme 
En anglais

« l’E-ternel est bon envers tous, et sa tendre pitié est sur toute ses créatures. »(Psaume 145,9)

Clickez ici pour accéder à une brève information!

Le Judaïsme exige un traitement humain des animaux

Le concept juif de tsaâr baâlei ‘haïm, l’obligation de ne pas causer de souffrance aux animaux, est un des plus beaux éléments de la pensée juive. La tradition juive est remplie de compassion envers les animaux, et s’oppose fortement au fait d’infliger une douleur à une autre créature vivante. Voyons ce que dit le judaïsme au sujet de notre propre façon de traiter les animaux.

De nombreuses histoires de la tradition juive reflètent notre préoccupation des animaux. Voici une belle histoire tirée du Midrash :

Pendant que notre maître Moïse prenait soin du troupeau de Jéthro dans l’étendue sauvage, un agneau s’enfuit loin de lui. Il courut après lui jusqu’à ce qu’il atteint Hasuah. Alors qu’il atteignait Hasuah, il arriva à un point d’eau où l’agneau s’arrêta pour boire. Lorsque Moïse arriva à lui, il lui dit : « Je ne savais pas que tu courrais parce que tu avais soif. Tu dois être fatigué. » Il le plaça sur son épaule et commença à marcher. Le Saint Béni-soit-Il, le bénit et dit : « Tu es compatissant dans la conduite des troupeaux appartenant aux mortels ; Je fais le serment que tu seras de la même façon le berger de mon troupeau Israël. » (Exode Rabbah 2,2)

Le Judaïsme est clair en commandant l’attention envers les animaux. La Bible nous le dit explicitement : « L’homme juste prend soin de la vie de ses animaux. » (3) Dans le livre de l’Exode, D.ieu soutient que « Si tu vois l’âne de celui qui te hait succomber sous sa charge, et que tu hésites à le décharger, tu l'aideras à le décharger. » (2) Le Code de la Loi Juive établit qu’ « il est interdit, en accord avec les lois de la Torah, d’infliger une souffrance à quelque créature vivante que ce soit. En sens contraire, il est de notre devoir de soulager de la douleur chaque créature, même sans être propriétaire des biens d’un non-Juif. »(3) Le Talmud explique que l’obligation de soulager un animal de la souffrance ou de lui éviter un danger prévaut sur les ordonnances rabbiniques relatives au Shabbat.

En effet, le bien-être des animaux est si important que le cinquième commandement les mentionne spécifiquement, et il leur est permis de se reposer le Shabbat. (4) Rachi, l’immense commentateur de la Torah explique que cela signifie que les animaux doivent être laissés errant le jour de Shabbat, paissant et se réjouissant des beautés de la nature.

Le Talmud soutient plus loin qu’ « une personne ne devrait pas manger ou boire avant d’avoir nourri ses animaux. »(5) En effet, le Shoul’han Aroukh nous enseigne qu’il est si important que nos animaux ne soient pas affamés pendant que nous mangeons et qu’une personne est légalement autorisée à interrompre l’exécution d’un commandement rabbinique afin de s’assurer que cela a été fait.

Dans le Deutéronome, la Torah nous apprend à ne pas prendre ensemble un oiseau femelle et ses petits. (6)

Maïmonide explique que cette injonction est destinée à prévenir toute souffrance causée à la mère par la vue du retrait de ses petits. La Torah nous commande plus loin « vous ne devez pas le [un animal] tuer et son petit ensemble le même jour. » à propos de quoi Maïmonide dit « afin que les gens soit retenus et empêchés de tuer les deux ensemble, de telle manière que le petit soit tué à la vue de la mère, parce que la souffrance des animaux dans une telle circonstance est immense.



Il n’y pas de différence en ce cas entre la souffrance des gens et la souffrance d’autres êtres vivants, parce que l’amour et la tendresse de la mère pour son jeune petit n’est pas produite par le résonnement mais par le sentiment, et cette faculté existe non seulement chez les gens mais chez la plupart des choses vivantes. »(7)

Les rabbins démontrent plus loin leur intérêt pour les animaux par une très forte désapprobation de la chasse et le Talmud interdit toute association avec les chasseurs.

Les lois de l’abattage casher reflète également un profond respect pour le bien-être des animaux. En accord avec la loi juive, le cho’het (boucher) doit être un homme pieux et instruit, l’animal doit être en parfaite santé, le couteau doit être parfaitement tranchant sans aucune imperfection qui puisse cause une souffrance momentanée au moment de la mort, et l’animal doit être tué avec une coupure rapide sectionnant les artères majeures allant vers le cerveau.

Ainsi, le judaïsme exige que si un animal doit être tué, le moment de la mort soit aussi rapide et indolore que possible.

En effet, il existe tant de commandements exigeant un traitement humain des animaux que les rabbins ont déclaré explicitement comme loi biblique la considération envers les animaux. Comme le Talmud l’établit : « Une grande importance est attachée au traitement humain des animaux, autant l’est-il déclaré fondamental que l’est la vertu humaine.(9) Comme Rabbi Samson Raphaël Hirsch l’a écrit : « Ici vous êtes confrontés à l’enseignement de D.ieu, lequel vous contraint non seulement à vous abstenir d’infliger une souffrance à quelque animal, mais à l’aider et, quand vous le pouvez, à diminuer la souffrance lorsque vous voyez un animal souffrant, même si cela n’est pas de votre faute. »(10) Tsaâr baâlei ‘haïm est une idée si importante au sein du judaïsme, que le Grand Rabbin d’Angleterre J.H. Hertz a dit : « C’est une des gloires du judaïsme que, des milliers d’années avant aucun autre, furent totalement reconnu nos devoirs envers (les animaux).» Il est absolument clair que la préoccupation pour le bien-être des animaux est une obligation pour les Juifs.

La façon dont les animaux sont traités de nos jours, dans les fermes, viole totalement les enseignements juifs.

Le Judaïsme est sans équivoque en exigeant de tous un traitement humain des animaux. Comment appliquer ces importants enseignements juifs à ce que nous mangeons ?

Si vous êtes comme beaucoup de personnes, vous imaginez une ferme telle que les livres d’histoire la présente, avec des poulets grattant dans la saleté, des cochons se roulant dans la boue et des vaches broutant paisiblement dans les prés, les animaux vivant une vie heureuse et idyllique jusqu’à ce que vienne, des mains du boucher, une mort rapide et indolore. Cette image est bien loin de la réalité. Ce type de ferme, norme dans les temps bibliques et talmudiques a littéralement disparu de l’Amérique moderne.


Les techniques de production de masse qui conduisent notre révolution industrielle, dominent maintenant autant nos fermes, et aujourd’hui d’importants conglomérats d’agro-business sont sur le point d’occulter les fermes familiales traditionnelles qui parsemaient autrefois nos campagnes.

De nos jours, plus de 90% des animaux des fermes américaines sont élevés en utilisant des méthode d’élevage intensif, dans des « fermes industrielles ». Ecoutez ce qu’il se passe dans ces fermes industrielles et considérez de quelles façons les animaux sont élevés aujourd’hui pour la consommation, entrez-y avec notre tradition juive de compassion pour les animaux.

Les poulets, par exemple, sont élevés dans des conditions absolument atroces. Ceux-ci sont élevés pour leur chair et vivent leur courte vie entièrement enfermés, sans jamais voir d’herbe, de soleil ou de ciel, serrés si étroitement que chaque poulet dispose d’un espace de 78 cm pour déployer les ailes et a une moyenne de seulement de 50/90 cm2 dans lesquels vivre sa vie.

Leur déjections de sont pas nettoyées, aussi passent-ils leur vie entière dans leur propre crasse. En conséquence de l’ammoniaque, de la poussière et des maladies dans l’air, les fermiers se plaignent d’avoir les yeux endoloris, de toux et de bronchites chroniques et ont été  prévenus d’éviter d’entrer dans ces lieux.


Si cela est vrai pour les fermiers, qu’est-ce que cela doit être pour les poulets, qui doivent vivre leur vie entière en respirant cet air ? En conséquence, tous développent des problèmes respiratoires, et l’ammoniaque brûle leurs yeux quelquefois jusqu’à les rendre aveugles.

Les fermiers utilisent la manipulation génétique et hormonale afin de faire grandir sept fois plus vite que la normale leurs poulets, ce qui entraîne tellement de stress dans leur corps que 90% des poulets souffrent de déformations des pattes et quelques uns ont des convulsions et meurent. Bien que leur durée de vie naturelle soit de 15-20 ans, ils sont abattus à 7 semaines seulement, parce que s’ils sont laissés grandir plus longtemps, leur taux de mortalité augmente à cause des attaques cardiaques, des infections et d’autres maladies.



Dans ces conditions de stress et de frustration extrêmes, les poulets se picorent en fait les uns les autres jusqu’à la mort et c’est, en réalité, un comportement inconnu dans des conditions ordinaires où les poulets peuvent « picorer selon un ordre normal ». Malgré cette perte, les fermiers augmentent leur rentabilité, non pas en soulageant les conditions qui conduisent à un tel comportement, mais en coupant leur bec avec un couteau brûlant.

Ce n’est pas une intervention sans souffrance comme couper un ongle, car les oiseaux ont des nerfs très sensibles au niveau de leur bec, et en fait, pour beaucoup de poulets cela crée un telle souffrance qu’ils ne peuvent plus manger et meurent de faim.

Les poulets élevés pour leurs œufs vivent une situation pire. Après l’éclosion, puisque les poussins mâles sont sans utilité pour l’industrie de l’œuf, ils sont simplement jetés dans des sacs plastiques où il s’étouffent les uns sur les autres, ou jetés vivants dans un broyeur pour servir de nourriture à leurs sœurs. Les femelles sont élevées dans des cages grillagées empilées une sur l’autre, de telle sorte que les excrément tombent sur la cage de l’oiseau au-dessous. Les oiseaux sont généralement entassés à 4 ou 7 dans une cage de la taille d’un journal plié.

Ils ne peuvent se tenir debout ou se percher confortablement sur le sol non naturel, oblique et grillagé. Le résultat est un grave inconfort et de sérieuses déformations des pattes, et leurs ongles se trouvent accrochés dans le grillage les immobilisant complètement. Il est typique pour une poule d’être systématiquement piétiné par les autres.

Les poules ont un important besoin de pondre leur œufs dans l’intimité, des études ont montrées que ce besoin est aussi important que le besoin de manger après avoir été affamé durant une journée. Bien sûr, l’intimité est totalement impossible dans ces conditions. D’autres besoins, comme se laver de la poussière ou nicher sont aussi totalement frustrés. Avec le temps, le frottement de leur corps contre le grillage cause la perte de leur plumes et leur peau est marquées de traits rouges et bleus dus au frottement. En effet, il apparaît que les oiseaux sont rendus littéralement fous par leur traitement, comme l’indique leur bruit hystérique alors qu’ils sont ordinairement des animaux très calmes. Les conditions sont si mauvaises que 20 à 25% d’entre eux meurent avant la boucherie avant deux ans d’âge. Au moment où elles vont être tuées, à cause du confinement et du transport, 88% de ces poules ont les os cassés.



En plus, lorsque les pondeuses finissent leur cycle de ponte, elles sont souvent « stimulées par force ». Cela implique de les laisser sans nourriture, dans l’obscurité totale durant 18 jours quelquefois, afin de choquer leur corps et de démarrer un nouveau cycle. Les oiseaux peuvent, par ce processus, perdre jusqu’à 25% de leur masse corporelle et il est habituel que 5 à 10% en meurent. Et comme le reste,  les poules pondeuses finissent à l’abattoir.

Les vaches que nous mangeons sont habituellement marqués au fer rouge, recevant une brûlure au troisième degrés; leurs cornes sont aussi arrachées ou retirées et elles sont castrées. Tout cela sans anesthésie, bien sûr. La plupart des vaches laitières sont attachées sur place pour leur vie entière, incapable de marcher alentours. Afin de garder leur flux de lait continu, elle sont fécondées chaque année et leurs veaux sont immédiatement retirés afin qu’ils ne boivent pas de lait.

Ceci cause une souffrance immense à la mère et au petit et une vache beugle souvent des jours après son bébé. Ces bébés deviennent des veaux et sont élevés dans l’obscurité et l’isolement dans des box trop petits pour pouvoir se coucher, nourris selon un régime carencé en fer afin de les maintenir anémiés et sont abattus à six semaines seulement.



L’industrie laitière et l’industrie du veau sont la même industrie. Donnant naissance constamment, le corps des vaches s’use à tel point que ces animaux qui vivent jusqu’à 25 ans ne vivent plus que 6 années et, comme le reste, sont vendues à l’abattoir.

Tous ces animaux endurent le transport jusqu’à l’abattoir en passant plusieurs jours sans nourriture ni eau, accablés sous un été brûlant ou gelant à mourir dans le dur hiver. A l’abattoir, ils sont battus avec des verges électriques, y compris dans les yeux et l’anus, afin de les faire tomber et sentir le sang, et entendre les hurlements des animaux passés avant eux. Ils sont pendus en l’air par leurs pattes arrières, ce qui les meurtrit et les casse. Pour de la viande non-cacher, ils sont censés être assommés, mais avec 25% certifiés d’erreur d’assommement, ils ont régulièrement leurs membres coupés, leur peau dépecée et sont plongés dans une cuve d’eau brûlante, tout cela en étant pleinement vivant et conscient. Ceci est l’horrible et sanglante fin de leur misérable vie.  Et tout cela seulement parce que nous aimons manger de la viande.

Comment cela peut-il entrer en accord avec l’obligation du judaïsme de ne pas causer de souffrance à quelque animal que ce soit ? Comment comparer leur confinement toute leur vie à la déclaration de Rachi de devoir les laisser libre d’errer et se réjouir des beautés de la nature le jour de Shabbat ? Comment peut-on allier leur famine par des temps extrême lors de leur transport à l’abattoir avec le mandat de ne pas manger nous même avant d’avoir été assuré que nos animaux aient été nourris, au besoin même d’interrompre un commandement rabbinique ? Comment comparer la pratique de l’industrie laitière de retirer le veau à sa mère juste après la naissance, avec les paroles de Maïmonide  disant qu’« il n’y a aucune différence en ce cas entre la douleur des gens et la douleur des autres être vivants » ? Comment pouvons-nous en tant que Juifs, à qui il n’est pas permis même une petite entaille dans le couteau utilisé pour tuer un animal, laisser causer momentanément une douleur, à qui il n’est pas permis de s’associer aux chasseurs, comment pouvons-nous infliger toutes ces souffrances à autant de créatures de D.ieu, au sujet desquelles la Torah nous dit « l’E-ternel est bon envers tous, et sa tendre pitié est sur toute ses créatures. » ? Où est la pitié ici pour ces pauvres animaux ?

Il est clair que la Torah envisage une vie paisible et joyeuse pour les animaux, et que s’il doivent être tués pour la nourriture, ils doivent finir leur vie heureuse rapidement et sans douleur.


Aujourd’hui aux Etats-Unis, pourtant, nous ne pouvons pas manger des produits animaliers sans directement participer à une cruauté d’une incommensurable proportion. Chaque année, aux Etats Unis seulement, 10 milliards d’animaux sont tués pour la consommation. Comparez cela à la population humaine mondiale de 6 milliards et il n’y a personne comprenant la somme de souffrance impliquée. Nous ne pouvons pas être compatissants, nous ne pouvons pas détester la cruauté, nous ne pouvons pas être vrais avec une belle moralité et être attentifs au animaux tel que c’est écrit dans la Torah que D.ieu nous a donnée, en effet, nous ne pouvons pas être de bons Juifs, aussi longtemps que nous continuons à payer pour le tourment de ces êtres maltraités.

Les Juifs ont connu aussi bien le goût amer de la cruauté et de l’oppression, et les Juifs se sont rappelés notre tragique histoire lorsque nous avons vus les autres souffrir sous la froide main de la persécution. Les Juifs ont pris les rôles de premier plan dans les batailles pour les droits des travailleurs, les droits civils et même aujourd’hui les Juifs ont œuvré au secours des réfugiés du Kosovo. N’oublions pas la souffrance dont nous avons fait l’expérience en tant que peuple lorsque viens notre tour de choisir que d’autres soient brutalisés entre nos mains, chaque fois que nous nous asseyons pour manger. Comme l’auteur juif Isaac Barshevis Singer, Prix Nobel, l’a écrit « aussi longtemps que les êtres humains dépouilleront les animaux de leur sang, il n’y aura jamais de paix… il n’y aura aucune justice aussi longtemps qu’un homme tiendra un couteau ou un pistolet et détruira ceux qui sont plus faibles que lui ; »

Continuons, en tant que Juifs, qui avons aidé à changer en mieux le monde de si nombreuses fois auparavant, à diffuser le concept de 
tikkoun olam, à réparer le monde, auprès des animaux sans nombre qui vivent et meurent dans la misère la plus abjecte.

Des millions de personnes deviennent végétariennes chaque année. Envisagez, s’il vous plaît, de devenir végétarien vous-même, c’est ainsi qu’en tant que Juifs nous pouvons aider à créer un monde plus compatissant.

Traduit de l’anglais par Emmanuël Eliyahou Briglia, France

 

NOTES 

(1) Proverbes 12,10  
(2) Exode 23,5
(3) Rabbi Solomon Granzfried, 
Code of Jewish Law, New York: Hebrew 
Publishing Co., 1961, book 4, chapitre 191, 84
(4) Exode 20,8-10, Deutéronome 5,12-14 
(5) Deutéronome 11,15  
(6) Deutéronome 22,6-7  
(7) Maïmonide, 
Guide des Egarés, 3,4 
(8) Talmud, Avodah Zorah 18b  
(10) Rav Samson Raphaël Hirsch, 
Horeb, chapitre 60, section 416  


 

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City of Halifax Nova Scotia, please SAVE Brindi!! Free Brindi. "Juste un chien"...risque la condamnation à mort.

27 Février 2010, 12:24pm

Publié par Jo Benchetrit

http://4.bp.blogspot.com/_6RF4mjztuBY/SSNLUaG9E4I/AAAAAAAAASk/cD2Ek4b6yP4/S1600-R/DSCN05045.jpgVideo Thumb 

Contactez l’Office de  M. Peter J. Kelly, Le Maire de Halifax
par téléphone 00-902-490- 4010 ou par e-mail 
kellyp@halifax. ca


et exprimez vos sentiments les plus sincères sur ce sujet.



Pour qu'un jour elles connaissent à nouveau cette joie:

http://bp3.blogger.com/_6RF4mjztuBY/SJYPdDlDhHI/AAAAAAAAAFI/J-2-8K7_K_4/S1600-R/DSCN0562_3_3.jpg
A coller sur vos blogs, afin que Google et Yahoo marquent des millions de reponses si on fait save Brindi, free, Brindi. Donnez   le lien sur vos blogs, que le nombre de relais montent comme un sondage pour Brindi.
Brindi CHIENNE CANADIENNE est en danger. Pour des raisons tenant sans doute à au narcissisme des gens au pouvoir, je connais ça à Cachan pour tenter de sauver les pigeons condamné par un maire autocrate même si socialiste, on s'acharne contre  elle, enfermée en fourriere loin de sa maitresse, depuis 18 mois.
May 2009 weekly supervised half-hour restricted visit at the pound with dog on death row that never harmed a human or seriously injured a dog.
The city of Halifax Nova Scotia believes this dog is such a dangerous animal, it must be put down, and it has fought to do this for over a year and a half.

Le verdict définitif qui peut être la mort tombera le 9 mars 2010. Sa maitresse est desesperée. Cette chienne n'est pas dangereuse, elle le sait, tout le monde le sait.

Merci d'avoir la gentillesse d'envoyer un courrier au Maire de Halifax, afin que cette chienne soit sauvée et non euthanasiée, juste parce que quelqu'un a décidé qu'il en serait ainsi.

 


 

Jour 1.Le Canada a aboli la peine de mort le 14 Juillet 1976.
La dernière exécution a eu lieu dans ce pays le 11 Décembre 1962 dans la prison Don Jail, à Toronto.

Le Canada est, au regard de tous les standards, un des pays les plus développés de la planète. La capitale économique, Vancouver, est en tête du classement des villes les plus agréables à vivre, devant Vienne et Melbourne. Toronto est quant à elle numéro quatre.

Le Canada est une des destinations de choix de l’immigration volontaire. C’est un pays refuge où les libertés individuelles sont entièrement respectées, où les communautés s’occupent de leurs membres à tous les niveaux.

Une société modèle.

C’est justement ce qui rend l’histoire de Brindi tellement déroutante, et c’est la raison pour laquelle les yeux de toute la communauté internationale de la protection animale sont fixés sur le Canada, et particulièrement Halifax.

Brindi est un chien croisé, adopté. Elle est intelligente, affectueuse, gentille, et a fait des classes d’obéissance.

Le 24 Juillet, Brindi a été attrapée et mise sur la liste d’euthanasie.

Un petit accident, dont les faits ont été totalement déformés par les personnes incluses, est devenu une tragédie pour Brindi et sa famille. La propriétaire de Brindi, Francesca, une Américaine qui a récemment immigré au Canada, s’est trouvée dans le pire des scénarios possibles que puisse imaginer le propriétaire d’un animal: Sa chère chienne, son enfant, allait être euthanasiée par la ville de Halifax.

Aucune plainte n’a été retenue, et Brindi a été contrôlé par un expert qui a considéré qu’elle était absolument bien dressée. Des milliers de dollars ont été dépensés pour annuler la décision d’euthanasie au Tribunal.

Mais la ville a ignoré la Loi et a continué à maintenir Brindi en refuge. Au lieu d’exposer les faits devant une Cour pour avoir un procès impartial et décider si Brindi présentait ou non un vrai danger, (clairement elle n’en représente pas), la ville a porté plainte contre la propriétaire de Brindi pour trois violations de règlement, tentative de faire passer une injonction de dernière minute pour l’exécution de l’euthanasie.
Le 23 Février, la propriétaire de Brindi a été reconnue coupable pour les trois violations.

L’audience finale aura lieu le 9 Mars. Nous avons bien peur que le Juge ordonne l’euthanasie du chien.

Nous avons 13 jours pour sauver Brindi.

L’histoire est remplie d’erreurs judiciaires. Le cas de Brindi en est une. Le cas n’a jamais vraiment concerné le chien.Depuis le début, il est évident que cette histoire est devenue une vendetta personnelle, un jeu de pouvoir dont Francesca et Brindi sont les victimes, et pour lequel les « autorités » sont plus enclines à sauver la face que d’obtenir la Justice.

Aujourd’hui nous lançons une campagne locale et internationale pour sensibiliser le public et pousser le monde entier à agir. Nous aimerions que chacun de nos lecteurs, ainsi que la communauté internationale s’arrête et réfléchisse pendant une seconde.

Sa vie est tout ce que Brindi possède. Nous ne pouvons permettre qu’on la lui prenne.

Imaginez si votre enfant était placé dans une situation similaire. En attente de se faire injecter, isolée pendant des mois. Vous penseriez quoi du Canada si vous étiez à la place de Francesca?

Aujourd’hui, l’internet et les médias sociaux ont rendu possible l’existence d’un nouveau monde et une nouvelle façon de demander la Justice. Des milliers d’entre nous sont prêts à se battre pour ce que la plupart des gens considérerait sans valeur: la vie d’un chien.

Par contre Brindi n’est pas juste un chien. Brindi est un être vivant, avec des sentiments de malheur, anxiété, de peur et de manque. Un être vivant qui va être exécuté sauf si nous nous réunissons et agissons.

A partir d’aujourd’hui Brindi n’est plus un chien.

 

Brindi est maintenant un symbole qui représente nos valeurs essentielles: La Justice et le Droit de Vivre.

La Déclaration Universelle des Droits des Animaux a été formellement proclamé le 15 Octobre 1978 a Paris au siège de L’Unesco.

Selon l’article 7:Chaque acte inutile qui résulte en la mort d’un animal et chaque décision qui mène à un tel acte constitue un crime contre la vie.

Nous avons une demande:

Écrivez au gouvernement de Canada et a la ville de Halifax (ou appelez-les) pour leur dire qu’essayer d’exécuter un animal innocent en se basant sur des violations de règlement est un comportement qui n’est pas digne d’un gouvernement.  Ensemble, nous enverrons un message clair au gouvernement de Canada et plus concrètement à la ville de Halifax, nous leur montrerons qu’en commettant cet acte, ils vont aussi commettre une erreur horrible, une erreur judiciaire.

Nous avons 13 jours pour sauver Brindi et nous aurons besoin de VOTRE aide.

Prenez part dans notre action. Nous ne vous donnerons pas une modèle de lettre à copier / coller. Nous voudrions que vous vous exprimiez vous-même.

Contactez l’Office de  M. Peter J. Kelly, Le Maire de Halifax par téléphone 00-902-490- 4010 ou par e-mail kellyp@halifax. caet exprimez vos sentiments les plus sincères sur ce sujet.

Nous avons 13 jours…


Mme Rogier n'ont pas été autorisés à rendre visite à Brindi depuis Janvier 2009. Elle s'est ruinée pour la sauver. Elle dit que Brindi a contracté une maladie chronique dnas a prison. Elle a recueilli cette chienne qui en aurait peut être blessé une autre mais on n'a jamais vu de photos des blessures si je comprends bien (dsl, c'est peu clair  pour une non anglophone).
allez voir ici:
freebrindi.blogspot.com et là:
 http://novascotiatruth.blogspot.com/2010/02/spca-makes-fabulous-discovery-brindi-is.html

9:51
Septembre 2009 moitié supervisé heures hebdomadaires Réservé visite à la fourrière avec le chien dans le couloir de la mort qui n'a jamais nui à un humain ou gravement blessé un chien.

Tourné sur les périls de la SPCA et à Halifax arrêtant toutes les visites, car ils ont interdit toute photos ou des films de biens immobiliers propres Francesca Rogier. C'était juste une d'une douzaine de restrictions sévères et inutile infligée à cette femme près d'un an après que son chien a été mis en fourrière. Brindi a été saisie pour être mis à Juillet 2008. Avant avril 2009, lorsque Halifax finalement autorisé des visites hebdomadaires, Francesca a été autorisé une seule visite avec son chien - et sur ce jour, elle entièrement cru qu'il serait l'un et de visite seulement, comme elle venait de gagner un procès contre la ville et avait Tout porte à croire que son chien allait venir chez elle.
Du Avril au 18 Décembre 2009, Francesca a droit à des visites hebdomadaires, pas plus de 30 minutes chacune, sur un jour et l'heure fixées par la SPCA, supervisé par un membre du personnel de la SPCA et un membre du personnel des services des animaux. Pas d'intimité, et aucune permission de prendre son chien pour une promenade à l'extérieur des 40-PEN pied qui est en grande partie recouverts de gravier, comme on peut le voir ici: en été, chaud et malodorant de merde et de pisse, et en hiver, le verglas et perfide. Et une infime d'herbe. Pour un chien de celle utilisée pour parcourir les plages et les bois de la rive est d'un an après la brève attendre deux ans pour être adopté, ce règlement est la cruauté. Pour un propriétaire, c'est la torture.

Voir freebrindi.blogspot.com 
Video Thumb
0:51
 
Video Thumb
9:51
 

traduction Google:

Vendredi, Janvier 29, 2010

"Seulement un chien"
De temps en temps, les gens me disent, «alléger, c'est juste un chien", ou, «c'est beaucoup d'argent pour juste un chien."
Ils ne comprennent pas la distance parcourue, le temps passé, ou les coûts impliqués pour "juste un chien."
Certains de mes plus grandes fiertés ont été enregistrés avec "juste un chien."
De nombreuses heures se sont écoulées et ma seule compagnie était "juste un chien", mais je n'ai pas une seule fois se sentir offensé.
Certains de mes plus tristes moments ont été provoqués par le «juste un chien", et dans ces jours d'obscurité, la douceur des gestes de "juste un chien" m'a donné le confort et la raison pour surmonter la journée.
Si vous aussi, pense que c'est "juste un chien», alors vous aurez probablement comprendre des phrases comme «juste un ami", "juste un lever de soleil", ou "juste une promesse.
«Juste un chien" apporte dans ma vie l'essence même de l'amitié, la confiance et joie débridée pur.
«Juste un chien" met en évidence la compassion et la patience qui font de moi une meilleure personne.
En raison de "juste un chien", je vais début de montée, prendre de longues marches et lorgnent avec envie vers l'avenir.
Donc pour moi et les gens comme moi, ce n'est pas «juste un chien", mais une incarnation de tous les espoirs et les rêves d'avenir, les bons souvenirs du passé, et la pure joie du moment.
«Juste un chien" fait ressortir ce qui est bon en moi et détourne mes pensées loin de moi-même et les soucis de la journée.
J'espère qu'un jour, ils peuvent comprendre que ce n'est pas "juste un chien", mais la chose qui me donne de l'humanité et m'empêche d'être "juste un homme ou une femme."
Alors la prochaine fois que vous entendez l'expression "juste un chien", tout sourire ... parce qu'ils "ne comprennent tout simplement pas." 
Les gens de la fourriere: elle est pacifique et très gentille...Mais personne ne peut l'aider. 
 
 

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L'Age de l'empathie, ou le souci du bien-être d'autrui, de Frans de Waal, article du Monde.

27 Février 2010, 11:08am

Publié par Jo Benchetrit

Souvenez vous du Homard  Omar, animal sauvé par une amie, Annie Ortavan, et qui était la coqueluche des poissonniers du supermarché où elle l'avait  acheté. 

1Omar le homard appelle au secours. Il a du coeur et du charme.



Ma commande au père noël: il ne faut pas tuer le homard. Conte de noël véridique.




Pour échapper au supplice de la cuisson, Omar le homard a été relâché en mer. Mais
    

Dans son bac, il avait offert sa part de nourriture à un petit nouveau affamé, en lui mettant son bout de poisson dans le bec devant les yeux...medusés si j'ose dire des vendeuses présentes.

  Je connais peu d'endroits pre-mortem où les crustacés sont nourris. Ces vendeuses méritent, comme Omar, le titre d'êtres humains, que peu d'hommes méritent malgré que leur espèce se confonde  avec ce signifiant.
Voici donc et article du Monde, qui, selon le commentaire  de la pianiste Michele Scharapan, devrait être le prélude à la modification de notre rapport aux animaux.
Mais vous verrez une conclusion peu optimiste de l'auteur:
Reste que l'empathie n'est pas toujours vertueuse. C'est aussi sur la capacité à ressentir les émotions d'autrui que se fondent la cruauté et la torture.
http://www.lemonde. fr/planete/ article/2010/ 02/26/des- animaux-doues- d-empathie_ 1311733_3244. html#xtor= AL-32280340

C
'est une scène de la vie ordinaire. Une aveugle, désorientée, cherche son chemin. Une voyante vient à son secours, la guidant de la voix. L'infirme la remercie par de bruyantes effusions. Scène ordinaire, à cela près qu'elle se passe en Thaïlande, dans un parc naturel, et que les deux protagonistes sont des éléphantes. Cet exemple est l'un de ceux dont fourmille le nouveau livre de l'éthologue Frans de Waal, spécialiste des primates et professeur de psychologie à Atlanta (Géorgie). Intitulée L'Age de l'empathie, cette passionnante leçon de choses, bousculant les frontières entre l'homme et l'animal, est aussi un plaidoyer pour le "vivre-ensemble" à l'usage de nos sociétés.

Sur le même sujet

"La cupidité a vécu, l'empathie est de mise, proclame l'auteur. Il nous faut entièrement réviser nos hypothèses sur la nature humaine." A ceux, économistes ou responsables politiques, qui la croient régie par la seule lutte pour la survie - et, selon l'interprétation dévoyée que le darwinisme social a donnée de la théorie de l'évolution, par la sélection des individus les plus performants -, il oppose un autre principe, tout aussi actif que la compétition : l'empathie. C'est-à-dire la sensibilité aux émotions de l'autre. Une faculté compassionnelle qui, loin d'être l'apanage de l'homme, est partagée par de nombreux mammifères, à commencer par les primates, les éléphants et les dauphins. Et qui, de surcroît, est vieille comme le monde.

Dans ses formes les plus rudimentaires, ou les plus archaïques, elle se manifeste par l'imitation, ou la synchronisation des comportements : de même que nous applaudissons sur le même tempo que nos voisins à la fin d'un concert, que deux promeneurs accordent la longueur de leurs pas, ou que des vieux époux finissent par se ressembler, un attelage de chiens de traîneau se meut comme un corps unique, un chimpanzé baille à la vue d'un congénère se décrochant la mâchoire, et rit quand l'autre s'esclaffe. Mieux, cette contagion franchit la barrière des espèces : ainsi un singe rhésus bébé reproduit-il les mouvements de la bouche d'un expérimentateur humain.

Mais l'empathie a des expressions plus élaborées. Dans le parc national de Thaï, en Côte d'Ivoire, des chimpanzés ont été observés léchant le sang de compagnons attaqués par des léopards, et ralentissant l'allure pour permettre aux blessés de suivre le groupe. Dans la même communauté ont été décrits plusieurs cas d'adoption d'orphelins par des adultes femelles, mais aussi par des mâles. Une sollicitude qui peut sembler naturelle pour des animaux sociaux, qui trouvent un intérêt collectif à coopérer.

Comment l'expliquer, toutefois, lorsque l'individu n'a rien à gagner à un comportement empathique, qui devient alors proprement altruiste ? Une expérience a montré que des singes rhésus refusaient, plusieurs jours durant, de tirer sur une chaîne libérant de la nourriture si cette action envoyait une décharge électrique à un compagnon dont ils voyaient les convulsions. Préférant ainsi endurer la faim qu'assister à la souffrance d'un semblable.

Autoprotection contre un spectacle dérangeant ? Mais pourquoi, alors, un singe capucin de laboratoire ayant le choix entre deux jetons de couleurs différentes, dont l'un lui vaut un morceau de pomme tandis que l'autre garantit également cette récompense à un partenaire, opte-t-il pour le jeton assurant une gratification commune ? Mieux, pourquoi un chimpanzé ouvre-t-il une porte dont il sait qu'elle donnera accès à de la nourriture à un congénère, mais pas à lui-même ?

Pour Frans de Wall, la réponse tient en un mot : l'empathie, précisément, ou le souci du bien-être d'autrui. Même lorsque cet autre n'appartient pas à la même espèce que soi. On a vu, dans un zoo, une tigresse du Bengale nourrir des porcelets. Un bonobo hisser un oiseau inanimé au sommet d'un arbre pour tenter de le faire voler. Ou un chimpanzé remettre à l'eau un caneton malmené par de jeunes singes.

Dans ses formes les plus simples, la "sympathie" animale - terme employé par Darwin lui-même - ne mobilise nullement des capacités cognitives complexes, réputées propres à l'homme. Elle met en jeu, décrit l'éthologue, de purs mécanismes émotionnels. Des souris se montrent ainsi plus sensibles à la douleur quand elles ont vu souffrir d'autres souris dont elles sont familières. En revanche, des processus cognitifs entrent en jeu pour des modes de compassion plus complexes, nécessitant de se mettre à la place de l'autre. Comme lorsqu'un chimpanzé délaisse ses occupations pour venir réconforter un congénère molesté lors d'une rixe.

La compassion prendrait ses racines dans un processus évolutif lointain, à une période bien antérieure à l'espèce humaine, avec l'apparition des soins parentaux. "Pendant 200 millions d'années d'évolution des mammifères, les femelles sensibles à leur progéniture se reproduisirent davantage que les femelles froides et distantes. Il s'est sûrement exercé une incroyable pression de sélection sur cette sensibilité", suppose le chercheur. Voilà pourquoi les mammifères, dont les petits, allaités, réclament plus d'attention que ceux d'autres animaux, seraient les plus doués d'empathie. Et les femelles davantage que les mâles. Un trait que partageaient peut-être les derniers grands reptiles. Ce qui expliquerait pourquoi certains oiseaux - probables descendants des dinosaures - semblent eux aussi faire preuve de commisération. Le rythme cardiaque d'une oie femelle s'accélère ainsi, battant la chamade, quand son mâle est pris à partie par un autre palmipède.

L'éthologue ne verse pas pour autant dans l'angélisme. Comme pour les autres animaux, "il existe chez l'homme un penchant naturel à la compétition et à l'agressivité". Mais sa propension à la compassion est "tout aussi naturelle". Reste que l'empathie n'est pas toujours vertueuse. C'est aussi sur la capacité à ressentir les émotions d'autrui que se fondent la cruauté et la torture.


"L'Age de l'empathie, leçons de la nature pour une société solidaire", éditions Les liens qui libèrent, 2010, 392 p., 22,50 euros.

Pierre Le Hir
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Un jeune tigre élevé avec des cochons dans un zoo chinois à Guangzhou en mars 2007.
REUTERS/CHINA DAILY
Un jeune tigre élevé avec des cochons dans un zoo chinois à Guangzhou en mars 2007.

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INRA: l'horreur de la recherche. BIEN ETRE? NON, TORTURES.

27 Février 2010, 00:22am

Publié par Jo Benchetrit

Les recherches de l'INRA sur le bien être (mot hypocrite qui cache ceci:recherches sur la douleur) sont des plus cruelles.
En effet, que de tortures imposées à des êtres sans défense pour en arriver à  dire que la douleur est ressentie!!! J'ai vu un film là-dessus et Mengele doit saliver dans sa tombe. Moi, j'ai pas pu le voir en continu tant le spectacle de  petits cochons à qui on injectait des choses toxiques pour les rendre malades m'a bouleversée. certains en mouraient, il y avait des tas de piqûres, de prises de sang, et les cochons s'affaiblissaient, vomissaient, jetés sur le sol froid, dans des petits enclos du labo . Une femme Mengele prenait des notes, froidement. D'autres, hommes et femmes de main s'affairaient et tourmentaient sans cesse ces pauvres êtres à l'agonie.
A vomir. Mais certains bourreaux disent douter encore, ce qui permet de continuer, bien entendu:
"Jacques Servière, neuroscientifique à l'institut AgroParisTech, qui a participé à l'étude. Les mammifères, comme les invertébrés, disposent des récepteurs nécessaires à la détection élémentaire de l'influx nerveux qui véhicule le signal de la douleur. Mais ça ne signifie pas qu'ils puissent ressentir la douleur. »" http://www.lesechos.fr/info/metiers/020382140057-elevage-les-scientifiques-en-quete-du-bien-etre-animal.htm

Mais dans quel monde d'abrutis  vit-on?
INRA/ SADISME PAYÉ POUr PROMOUVOIR l'agriculture nazie.
Lu ici, ce qui suit:
Elevage : les scientifiques en quête du bien-être animal

[ 26/02/10  ]

Comment les animaux ressentent-ils la douleur ? Sont-ils sensibles à leurs conditions d'élevage ? Sous la pression des consommateurs, les scientifiques explorent ce nouveau champ d'expérimentation.

Les animaux d'élevage souffrent-ils, et de quelle façon ? Malgré les moyens déployés par l'Inra (Institut national de recherche agronomique) à la demande des ministères chargés de l'Agriculture et de la Recherche pour synthétiser la littérature scientifique sur le sujet, la question a encore un bel avenir. « L'analyse que nous avons réalisée avec une vingtaine d'experts de toutes disciplines, de la neurophysiologie à la médecine vétérinaire en passant par l'anthropologie et la philosophie, s'est fondée sur un corpus de 1.300 articles et expertises internationales, explique le biologiste Pierre Le Neindre, rapporteur de cette étude publiée en décembre 2009. Ce dont nous sommes désormais sûrs, après dix-huit mois d'enquête, c'est de l'étendue de nos lacunes et des controverses scientifiques sur cette question, pourtant fondamentale, de notre rapport à l'animal. »

La plupart des connaissances acquises le sont à partir de travaux conduits indirectement sur les rongeurs, les primates… et l'homme lui-même. « Un consensus se dégage sur la compréhension physiologique de la douleur, explique Jacques Servière, neuroscientifique à l'institut AgroParisTech, qui a participé à l'étude. Les mammifères, comme les invertébrés, disposent des récepteurs nécessaires à la détection élémentaire de l'influx nerveux qui véhicule le signal de la douleur. Mais ça ne signifie pas qu'ils puissent ressentir la douleur. »

Grâce aux travaux de Michel Lazdunski, directeur de l'Institut de neuromédecine moléculaire du CNRS, sur les canaux ioniques, on sait par quel mécanisme la douleur parvient au cerveau chez les vertébrés. Ces canaux, qui couvrent la surface de toutes les cellules nerveuses, agissent comme des générateurs qui transforment en signal électrique le moindre contact avec son environnement par un jeu permanent de rééquilibrage biochimique entre le sodium et le potassium dans les cellules nerveuses. Mesuré en pico-ampères, le courant généré par ces flux ioniques est presque insignifiant. Mais, multiplié par l'ensemble des cellules qui ont reçu l'information, il peut déclencher une cascade de réactions biochimiques qui font transiter l'information à travers les neurones jusqu'au cerveau. L'équipe du professeur Lazdunski a également découvert que des canaux spécialisés - les nocicepteurs -opèrent dans la perception spécifique de la douleur et ne s'activent que par une stimulation acide.

Conscience sensorielle

Tous les vertébrés sont dotés de ce mécanisme. Mais deux autres composantes sont nécessaires pour qu'un animal ressente effectivement la douleur : sa capacité émotionnelle à répondre à un stimulus (accélération cardiaque, décharge d'adrénaline…) et sa conscience sensorielle qui permet d'écarter du champ d'étude la cascade d'automatismes biochimiques que connaissent bien les collégiens quand ils dissèquent des grenouilles.

Si la première qualité fait peu débat, du moins en ce qui concerne les vertébrés terrestres, la seconde pose plus de questions. Un ruminant a-t-il la capacité à établir une relation de cause à effet entre une douleur et sa source ? Peut-il isoler l'événement responsable de son état ? « Cette dimension fonctionnelle de la conscience a une implication pratique très importante, en particulier au moment de l'abattage des animaux d'élevage, expliquent les chercheurs. C'est ce niveau de vigilance qui permet ou non qu'une sensation douloureuse consciente, consécutive par exemple à une saignée, soit ressentie comme une douleur. »

Les scientifiques partagent une certitude à ce propos : la douleur consciente est une évidence au moment de l'abattage si l'animal n'a pas été préalablement étourdi. Ils sont en revanche moins sûrs d'eux en ce qui concerne le quotidien des bêtes d'élevage. Les poules de chair ou de batterie se sentent-elles oppressées dans leur espace confiné ? Sont-elles sensibles à l'absence de lumière naturelle ? « Rien n'est moins sûr, pense Jacques Servière. Surtout si ses besoins essentiels (manger, boire, s'abriter des prédateurs) ont été remplis. »

Une question d'adaptation

La question est d'autant plus complexe que plusieurs approches s'opposent ou se complètent pour analyser le bien-être animal. Les physiologistes et généticiens postulent que l'animal ne souffre que s'il n'arrive pas à s'adapter au milieu dans lequel il vit. Leur approche pousse les éleveurs à sélectionner des animaux pour leur faculté à répondre à des objectifs de productivité.

Les éthologues privilégient pour leur part l'idée selon laquelle l'animal doit pouvoir exprimer le répertoire des comportements propres à son espèce dans le milieu naturel. Cette approche considère les systèmes extensifs de plein air comme les plus respectueux du bien-être animal, et les plus éthiquement acceptables par la société. Elle inspire l'essentiel des réglementations, comme celles permettant par exemple aux poules pondeuses de gratter le sol, ou aux porcs de fouir.

Une troisième approche, plus récente, s'intéresse enfin à la sensibilité des animaux en définissant le bien-être comme un état mental résultant de l'absence d'émotions négatives comme la peur, la douleur ou la frustration. « Cet état très subjectif, propre à chaque animal, dépend intimement de la façon dont il perçoit son environnement. Dans cette approche, le savoir-faire, parfois intuitif, de l'éleveur est au centre du bien-être animal », résume la chercheuse Isabelle Veissier, qui vient de réaliser une méthode d'évaluation du bien-être des vaches laitières. L'apologie, en somme, de l'agriculture de terroir.

PAUL MOLGA, Les Echos

Cinq principes essentiels
Le Farm Animal Welfare Council a défini en 1993 cinq principes nécessaires au bien-être des animaux :
-l'absence de faim et de soif  ;
-l'absence d'inconfort ;
-l'absence de douleur et de maladie;
-la possibilité d'exprimer des comportements naturels ;
-l'absence de peur et de détresse.
Ces cinq règles, systématiquement reprises dans la réglementation, sont jugées insuffisantes par un nombre croissant de scientifiques. 

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Adoptez un rott de 2 ans, LOF. Un noble lévrier de 4 ans, craquant, sera tué lundi si pas d'adoption.

26 Février 2010, 22:30pm

Publié par Jo Benchetrit

Et des tas de chiens de race, ou de pas race, Et des tas de rotts,
mais aussi des yorks,etc.
Mais enfin adoptez,
n'achetez surtout JAMAIS. Et stérilisez le plus d'animaux possibles.
 Il y a tant d'animaux à adopter que j'ai du mal à m'occuper d'autre chose. La situation est absolument dingue. Ainsi, on a des tas de rotts, de lévriers, de dalmatiens. Le pompon revient à l'espagne. Ce que l'on nous envoie comme photos est apocalyptique. Mais il y a aussi l'Italie, un refuge monstrueux...La cour des miracles, à côté, c'est hôtel 4 étoiles. des chiots et chiens espagnols de tout âge taille mais tous maigres en général...
Bref, celui qui avec tout ça fait naître ou fait marche le commerce est mon ennemi.
Caïd revient à l'adoption, ce superbe mâle Rott sorti de fourrière après avoir parcouru plus de 80 km seul près de la voie express tout maigre avait trouvé une famille d'accueil qui ne peux plus le garder.

Caïd a repris du poil de la bête et des kilos, il est superbe mais on lui cherche une famille de toute urgence, fa ou adoptants pour éviter la pension ou le box..... avant samedi prochain....

Caïd a 2 ans, ok mâles, femelles, petits chiens, enfants. Il ne demande qu'une présence et des maîtres lui accordant du temps pour des ballades et du jeu.

Caïd est vacciné, pucé, castré, LOF, évalué niveau 2.

CONDITIONS DE PLACEMENT:

- questionnaire + entretien tél + pré visite
- copie pièce identité recto verso en cours de validité
- extrait casier judiciaire bulletin n°3
- justificatif de domicile de - de 3 mois
- copie attestation assurance extension responsabilité civile
- frais adoption 250 euros

Pour toutes questions, renseignements ou infos: 
ASSOCIATION DROITS DE VIVRE

Mme VELARD présidente: 06.71.62.98.53/06.71.62.59.21

Secrétaire: 
dogo-lounablue@hotmail.fr
Enquêtrice responsable: sheer.faither@hotmail.fr 
déléguée enquêtrice: 
lilouwes@hotmail.fr

diffusion ok
co voit ok
adoption dans toute la france


voici les photos:
http://moe.mabul.org/up/moe/2010/02/21/img-202029st2pc.jpg
http://moe.mabul.org/up/moe/2010/02/21/img-202317oi5rx.jpg

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BANDIDO SERA SACRIFICADO EL 1 DE MARZO SI NO ENCUENTRA ADOPTANTES O PADRINOS-CORDOBA 
>

 


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"Mi historia está muy vista... no he sido muy original. Me llamo Bandido, porque puedo robarte el corazón. Tuve un dueño galquero que lo tenía de piedra; iba a matarme porque yo ya no le servía; entonces se me aparecieron unos ángeles que me recogieron.

Pero en "Dejan huella" no cuentan con instalaciones y he ido a dar con mis huesitos a la perrera. Espero que alguien que me vea quiera adoptarme, pues como llegue el 1 de marzo y nadie se interese por mí, el galguero se habrá salido con la suya porque me quitarán la vida. Si no me puedes adoptar... ¿podrías acogerme?. Soy noble y dócil y me gusta la gente. Me llevo bien con mis colegas perrunos, con los gatos, la verdad, no hago muchas migas.

Oigo que me dicen que merezco un hogar donde me quieran y me respeten. Si no puedes dármelo, ni tan siquiera hasta que me busquen el definitivo, sí puedes colaborar para mi manutención en la perrera y así alargar mi fecha de sacrificio para que dé tiempo a que me vean muchas más personas.

Sexo: Macho

Edad: 4 años

Peso: 33 kg

Raza: Galgo (Verdino atigrado)

Si quieres ponerte en contacto con nosotros para adoptar, acoger temporalmente, apadrinar o hacernos alguna sugerencia o pregunta escríbenos a:dejanhuella@gmail.com tlf: 608 53 69 79 / 633 26 17 87

 

 

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Nous lançons cet appel a l'aide pour couvrir les frais que la covoitureuse a due avancer pour sauver la vie de 6 loulous qui sont vamos malcom rocky tina tim et oasis .
ce periple de 2700 km nous coute 340€ sans le rembourssement de ses frais il lui est impossible de pouvoir reprendre la route ayant avancer de ses propres moyen 
seul le remboursemet lui permettra de pouvoir apporter cette aide aux loulous qui attendent desesperement de retrouver leur famille.car un nouveau covoit est en place pour le même montant approximative

actuellement nous associations sommes confronter a crier a l'aide en permanence n'ayant aucun soutien de l'etat au vu des molosses nous sommes conscient que vous nous et tous sommes leur seul et unique chance car là encore pour sauver leur vie ces actes se rattache encore une fois a l'argent entre les mises en régle et la chance de pouvoir enfin vivre comme tout autres chiens.

ci joint justificatifs du premier covoit effctuer que nous devons rembourser 

http://www.servimg.com/image_preview.php?i=391&u=13883693

http://www.servimg.com/image_preview.php?i=392&u=13883693

http://www.servimg.com/image_preview.php?i=393&u=13883693

pour tout dons: via paypal : christine.velard@hotmail.fr 

par cheque : association droits de vivre
la blancharerie
36300 douadic

soit par virement bancaire RIB transmis par MP ou MAIL

un grand merci a tous 

Le prochain co voit aura lieu dès que celui-ci sera remboursé pour 7 autres chiens en urgence

merci à vous pour votre générosité

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((( THALLIA DE L'EXIL DES TITANS )))
http://www.facebook.com/note.php?note_id=296361914491&id=1612244098&ref=mf
========================
((( Punch, ba de 11 ans eutha imminente! montpellier département 34 )))
http://paroledanimaux.ning.com/profiles/blog/show?id=2698099:BlogPost:38273&xgs=1&xg_source=msg_share_post
========================
((( LOUNA SERA EUTHANASIEE JEUDI SI PAS DE SOLUTION )))
http://www.facebook.com/note.php?note_id=296422294491&id=1612244098&ref=mf
========================
((( URGENCE ADOPTION - CHABAL - Saint-Bernard!!! Un mois pour le sauver."Asso Le Petit Mouton Noir" Pas de Calais )))
http://labrajack.over-blog.com/article-urgence-adoption-chabal-saint-bernard-un-mois-pour-le-sauver-asso-le-petit-mouton-noir-pas-de-calais-44591716.html
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((( La Petition.be - Vulcan Rott de 5 ans -Appel à la mobilisation )))
http://lapetition.be/en-ligne/petition-6186.html
========================
((( Marlon, environ 2 ans )))

Cherche FA en urgence pour marlon,explication en MP...ça urge!!!!!sur le site de l'association MOLOSSES LOVERS ou les personnes dans cette annonces MERCI
http://molosses-lover-s.forumactif.com/les-chiens-categorises-f30/marlon-environ-2-ans-t524.htm#2532
=========================
((( XENA CHEERCHE UNE FA - APPELS AUX DONS )))

xéna doit changer de FA au plus vite, il y a eu un accrochage avec la femelle de la maison
elle est ok males, ok chats, ok enfants et humainsnous eviterons les placements avec une femelle par securité
http://molosses-lover-s.forumactif.com/les-chiens-categorises-f30/xena-cheerche-une-fa-appels-aux-dons-t515.htm#2535
=========================
((( LE BEAU TRESOR PAPY DE L ASSO MOLOSSES LOVER'S )))

le permis de detention sera payé à la famille qui acceptera d' ouvrir sa porte à Trésor, et qu' il est évalué niveau 1..il fait froid et nous n' avons pas sauvé Trésor de la piqure pour qu' il pourisse dans une cage!!
http://molosses-lover-s.forumactif.com/les-chiens-categorises-f30/le-beau-tresor-papy-de-l-asso-molosses-lover-s-t432.htm
=========================
((( Snoop a été déclassé!! 3 ans,energique et três calin!Il est OK chiens chats et lapins!! )))
http://molosses-lover-s.forumactif.com/les-autres-chiens-f31/snoop-male-x-amstaff-3ans-euthanasie-sous-8-jours-t496.ht

--------------------------

Actuellement en pension,il rejoind une FA dans peu de temps,mais cela ne sera que provisoire..il lui faut vite trouver une famille afin de lui offrir une vie de foyer plutôt qu'une vie de boxe..
Pré-visite avant adoption.
.
http://www.facebook.com/photo_search.php?oid=268528577529&id=1315086165&view=user#!/photo.php?pid=1006907&op=1&o=user&view=user&subj=268528577529&aid=-1&oid=268528577529&id=1315086165

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La pension ne peux plus être payée,cela coute cher et il est malheureux en boxe..Donnez-lui une chance de s'en sortir,partagez.
http://www.facebook.com/group.php?v=photos&gid=268528577529#!/photo.php?pid=999114&op=1&o=global&view=global&subj=268528577529&id=1

la pension s'élêve à 8 euro par jour
le contact Steffy au 06-08-81-48-84
un grand merci à vous
  

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Salon de l'agriculture ou torture? N'y allez pas, ne les mangez pas, laissez les ne pas naître!

26 Février 2010, 21:48pm

Publié par Jo Benchetrit

affiche-vg.jpg
Y a pas photo, je préfère les poireaux!

Salon de l'agriculture: la France cruelle est arrivée à Paris avec leurs martyrs.
Des dizaines d'animaux meurent ou flanchent d'epuisement physique et psychique, manque de sommeil (lumiere et bruit jour et nuit) dans ce salon de la cruauté.



Laissez un commentaire là:
http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/26/785556-Salon-de-Paris-ces-animaux-qui-revent-de-couronne.html#reagissez

Nous sommes l'enfer de cet endroit.
  

Mettez vous à leur place...Chaque année dans la chaleur,la pollution sonore, les gens qui vous tripotent en degustant vos frères, tandis que vous etouffez , dans l'air vicié de polluants et poussiere!
Et ces gens sont de plus  dans l'illusion car les elevages actuels n'ont rien à voir avec ce qui se montre là. LA concentration animale y est de plus en plus grande, dans les usines à viande, à oeufs, à laitages.
Ne mangeons plus les animaux puisque nous pouvons vivre sans, soyons vegan.
Les animaux ne rêvent pas de couronne mais rêvent qu'on leur fiche la paix. Vue la vie imposée, ne pas naître est un droit.

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Amour, Epagneul mâle de 5 ans risque d'etre tué demain sauf si au lieu d'acheter un chien vous l'adoptez.

26 Février 2010, 08:17am

Publié par Jo Benchetrit

Objet : URGENTISSIME! AMOUR, épagneul mâle de 5ans, beige, 15kilos, super sympa, sera EUTHANASIE CE VENDREDI 26 si pas adoption ou FA ! DIFFUSION MAXI SVP !




Ne laissons pas mourir Amour !!!
 
Au moins une FA pour lui, SVP !


Seconde Chance - Adoptez un ami pour la vie
----- Original Message -----
Sent: Wednesday, February 24, 2010 7:25 PM
Subject: Contact Seconde Chance
Demande de contact :

Nom : alerte
Prenom : Roseliane
Email : roseliane92500
Destinataire : Information sur Seconde Chance
Situation : organisme de secours aux animaux
Message : 
Je me permets une fois de plus de vous solliciter pour un cas d'extrême urgence pour:

GROSSE URGENCE 

pour Amour, Epagneul mâle de 5 ans environ, couleur beige, 15 kgs, très gentil - Aidez-nous à  le sauver car sinon il sera euthanasié ce vendredi 26/02/2010 ! 
Contact : Caroline au 06 81 09 15 64. 

VIE POUR LUI !  MERCI 

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Liberté pour ce pauvre desespéré!!!! 30 ans de prison pour l'orque qui a tué sa dresseuse..MAis il reste!

26 Février 2010, 07:59am

Publié par Jo Benchetrit

Il serait devenu fou après ses 30 ans de bassin, torture en soi  pour ce somptueux animal sauvage relegué au rang de joujou pour enfants debilisés par leurs parents degenerés !
Oui, je suis furax,.Et alors, pas vous?
sous pretexte qu'il est fou, enfin, selon le diagnostic qui veut que tuer son geolier est fou, hem! on le garde en taule.
Ben il sera mieux en liberté, fou ou pas; et je  parie que la liberté   le guerirait!

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QUIck-non-au-halal-pour-tous.

24 Février 2010, 12:10pm

Publié par Jo Benchetrit

Dans l'hypothèse fort probable où la souffrance du hallal 

soit supérieure, il est intolérable qu'un droit illégitime (comme 

pour les combats de coqs et les corridas) de transgresser la loi pour 

certaines traditions (car c'est en rien exigé par la religion, du 

fait que l'electro narcose du temps de Moïse puis de Mahomet, hem hem) 

soient étendu aux autres. Selon la loi, je crois qu'il n'y a aucune 

dérogation possible pour les non musulmans de manger du halal puisque 

c'est pas leur "religion". ce serait comme de faire une corrida à 

Paris.

 

IL est vrai qu'on n'a pas de preuve à ma connaissance qu'un coup de 

couteau donné avec un couteau très aiguisé, ce qui exigé pour le 

cacher, ou à la manière d'une guillotine ( certainement que ce serait 

la seule chose indolore) soit plus ou moins douloureux que 

l'égorgement plus ou moins mal fait après tentative plus ou moins 

avortée de mise en inconscience du "patient".

Je   suis pour le terrain de l'opposition à tout carnivorisme (des 

omnivores, là, je diverge avec certains anti-specistes comme david Olivier qui espere que les autres animaux viendront au  végétarisme avec notre aide))
qui ne peut provoquer qu'horreur et 

révolte.

Mais le débat est aussi ailleurs.

Il est celui de la laïcité. Celui de ne pas laisser notre sacro- 

sainte(!) laïcité grignotée peu à peu par des traditions 

religieuses. Admettre le hallal imposé à tous, c'est donc non 

seulement admettre qu'une derogation, ici à une loi anti-cruauté, qui 

delimite un champ bien cerné devienne la règle pour tous, mais en 

plus admettre d'autres dérives: sexisme musulman en particulier, et 

totalitarisme d'une religion sur ceux de la même origine qui n'en 

voudraient pas, car plus éclairés que les autres.

Il faut donc défendre de la laïcité, c'est à dire de la liberté de 

tous, y compris de ceux qui sont musulmans ou d'une appartenance 

ethnique qui devrait fatalement en faire un croyant pratiquant 

visiblement ( les pays musulmans, eux, en majorité, ne tolèrent pas 

l'athéisme).

Le régime de la terreur ne doit pas être importé en France. Ni 

voile, ni piscine pour femmes, ni halal pour tous au resto.

il ne faut pas ouvrir la porte au pire, car c'est sa façon de se 

généraliser.

Et pour moi, il ne fait pas de doute que le hallal, comme toute 

dérogation aux lois anti-cruauté, est cette ouverture.

Mais je pense que cette porte est grande ouverte du simple fait de 

l'élevage, cad de l'emprise des hommes sur les autres vivants.

Voir les commentaires

Magnifique cheval à donner. Alezan brûlé 21 ans. Avant le 28 fevrier 2010.

23 Février 2010, 06:07am

Publié par Jo Benchetrit

Boogie n’ayant pas été monté ces deux dernières années, il sera placé non montable. Non montable, OK, d'ailleurs foutez la paix
aux chevaux.
Ne les montez pas, ils sont d'adorables compagnons.
Pas des esclaves.

Je transmets:
A transmettre à vos contacts. Merci pour lui..

CONTACT: galoppourlavie@gmail.com
 
----- Original Message -----
Sent: Monday, February 22, 2010 6:34 PM
Subject: NL spéciale sauvetage urgent : Boogie a besoin de vous [50]

BOOGIE a besoin de vous !!!


Boogie est un selle français, hongre de 21 ans, alezan brûlé, dont le propriétaire est décédé il y a quelques jours.


Personne ne peut le prendre en charge, le 28 févrierBoogie n’a plus de toit !

Nous n’avons que peu d’informations le concernant, mais il est en bonne santé, ses vermifuges sont à jour, il est parfaitement manipulable.



il est actuellement dans le sud du  50, il vous attend !!!!


Ses frais d’adoption sont de 20 euros, transport non compris.




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