Sauvons les 2 éléphantes de Pinder. Ecrivons pour qu'elles soient confiées à la FBB.
Ma lettre: secretariat-prefet@rhone.gouv.fr, greffe.ta-lyon@juradm.fr
Monsieur le juge, monsieur le prefet,
Permettez moi de vous contacter pour implorer votre clemence.
La vie des 2 éléphantes condamnées à mort par le tribunal de Lyon peut sembler une goutte d'eau dans l'océan sans fin de la détresse animale, au sommet en ces jours de "fêtes" où les cadavres d'animaux torturés rendus malades comme pour fabriquer le foie gras débordent des panses humaines malgré les plaintes incessantes des français dans la « crise ». Et je ne parle pas des 2000 chiens et chats tués chaque jour faute de maitres les desirant. Etc...Hélas, cette liste est trop longue.
Que cela ne nous empêche pas de penser à ces 2 éléphantes victimes dont le destin fatal vient de la responsabilité humaine puisqu’elles ont été raptées bébés à leurs familles et exilées de leur vraie vie volée, afin d’amuser les gogos entre des séances de torture pour les dresser. L’une d’elle a été achetée à 7 mois par la famille Pinder à sans doute des trafiquants qui ne doivent pas lésiner pour cela. Les éléphants vivent en groupes très solidaires et on imagine qu'il faut tuer les parents et d'autres pour arriver aux bébés. Après 30 ans de l’horreur du cirque, donc de l’incarcération dans des lieux de vie bien loin de ce qu’elles devraient vivre dans de vastes étendues et en groupe, et du dressage puis de la mise en contact avec une malheureuse congénère tuberculeuse elle aussi kidnappée à sa famille et à son pays natal pour distraire le chaland, dans une sorte de zoo, dans ce parc de Lyon.
Je ne vous écris pas pour les remettre entre les mains de leurs bourreaux (soyons clair au sujet des cirques avec animaux) mais pour faire appel à votre cœur et à votre sens logique.
Je vous remercie de faire votre possible pour permettre qu'elles soient graciées et ensuite confiées à la FBB qui les soignera et, je l'espère, les mettra en sanctuaire.
Merci infiniment de votre attention et de votre indulgence pour mon parlé vrai.
Le fait de trouver une solution digne et non meurtriere à cette bien triste affaire nous grandira tous.
Croyez, monsieur le juge, monsieur le préfet, en l’expression de ma haute considération.