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Psychanalyse et animaux.

aider les associations de protection des animaux

Besoin de clics et de fonds pour une asso au projet généreux, mais à l'histoire triste. Boule poils coule. 140 chats menacés. Help.

6 Décembre 2017, 20:09pm

Publié par Jo Benchetrit

Je relaie un appel au secours pour cette asso et ses 140 chats .Vous serez aidés à aider par une deduction d'impôts.
 Martine et ses 140chats, une hostoire de generosité. Le suicide lui a ravi son associé,  sa belle fille, son aide, qui n'en pouvait plus tant  la tâche est difficile.
Aimer, donner...ça peut faire du mal si on n'a pas assez d'argent, de garde-fou.

 Jusqu'à démissionner en mourant comme Ingrid.

ça se comprend mais quand on rentre en aide de l'autre, on doit s'oublier. Et pour cela, le 1° devoir est de vivre.
Chose que veut Martine.
Aidez ces petits malheureux que la saloperie humaine abandonne dans les rues, de surcroit non castrés...CHAQUE CHAT PEUT DONNER 20000 CHATS EN 4 ANS. LA PLUPART DECEDERONT DANS LES RUES, AFFAMÉS, MALADES, ECRASÉS, BLESSÉS. NOUS PASSONS SANS LES VOIR, SANS SAVOIR la souffrance, en jetant de quoi les sauver, chacun crève dans son egoïsme immonde...OUI, jeter quand d'autres meurent de faim, c'est pas acceptable, c'est un crime contre notre humanité.  Sauvons nous en les nourrissant,sterilisant. honte ) ceux qui elevent et achetent des animaux.

Clic animaux :

« Quand on a appelé Martine ce matin… »

Si ce message ne s'affiche pas correctement, vous pouvez le visualiser en suivant ce
lien
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SOS

POUR LES 140 CHATS DE MARTINE

 

« C’est l’horreur.

Mais je n’osais pas vous appeler… »

 

 

 

 

 

 

 

 

Martine et ses 140 chats sont menacés.

Nous devons les sauver, en urgence.

Quand on a appelé Martine ce matin, c’était simplement pour savoir comment ça allait, elle et ses chats. Nous étions un peu inquiets, car cela faisait maintenant plusieurs mois que nous n’avions pas de nouvelles.

Nous avons très vite compris.

Le « Allo » sanglotant ne présageait rien de bon. Martine est en effet au bord du gouffre, c’est le moins qu’on puisse dire…

« C’est l’horreur. Mais je n’osais pas vous appeler. Vous m’avez déjà tellement aidée. Et quand je vois toutes ces histoires chaque jour sur Clic Animaux. Tous ces animaux qui ont besoin d’aide… »

Martine n'ose pas, pourtant, elle ne s’en sort pas, entre tous ses problèmes personnels, et ses 140 chats qu’elle doit faire vivre chaque jour.

« Je n’ai plus de dons, plus de croquettes. Tout le monde me lâche, les quelques personnes proches autour de moi. Les gens n’en peuvent plus de mes chats… Et là, je suis malade, de la fièvre depuis 6 jours. Mon corps me lâche. Et samedi, je dois aller passer un scanner pour mon dos. Fabien, je pense au pire. »

C’est intenable… Martine est une personne extraordinaire, il faut l’aider.

Ça sera grâce aux soutiens de gens comme vous, les clicoeurs qu’elle pourra tenir le coup.

Certains d’entre vous connaissent déjà son histoire si touchante.

Elle a fondé son association Boule de Poils avec sa belle-fille, Ingrid.

Travaillant sans relâche, les deux bénévoles faisaient tous les jours « la tournée » pour nourrir les chats remis en liberté sur leur territoire, aux quatre coins de leur commune d’Incarville, et de Louviers, dans l’Eure. Elles capturaient les animaux laissés à l’abandon pour les stériliser, les identifier et les soigner. En attendant leur adoption, les chats restaient chez elles. Mais tout allait trop vite, il y avait trop de chats et trop de problèmes avec certaines familles d’adoptants.

Martine : « Il m’est arrivé de rechercher des animaux adoptés détenus dans de mauvaises conditions. Un chat vivait dans les toilettes, par exemple. Nous n’avons pas fait tout ça pour que les chats finissent n’importe où, ou soient tués. J’avoue que nous avons été prises dans un engrenage... Aujourd’hui je ne m’en sors plus... »

Le 14 juillet 2014, un drame : Ingrid se suicidait. Du jour au lendemain, Martine, qui a dû gérer cette peine, a également dû trouver une solution pour les 158 chats qu’Ingrid accueillait dans sa maison.

Il a fallu surmonter la douleur de la perte de sa belle-fille.

 

Il a fallu surmonter la pression des services sociaux qui voulaient lui retirer la garde de ses petits-enfants : "il y a trop de chats chez vous !"

Il a fallu supporter la pression des services vétérinaires pour la mise aux normes.

Il a fallu gérer au quotidien les abandons qui se multipliaient, les chats qu'il fallait sauver.

Pour couronner le tout, les voisins ne cessent de se plaindre des chats.

Certains ont même tenté de les empoisonner s'ils quittaient le terrain de Martine... Depuis, Martine a réussi à clôturer son terrain.

Malgré son invalidité – Martine souffre d’un handicap au niveau des bras - ses chats passent avant tout.

 

Corinne, une clicoeuse qui a découvert l'association de Martine sur Clic Animaux, et qui a été la voir à plusieurs reprises, peut en témoigner :

"Je suis allée chez elle, même si elle habite à plus de 200km de chez moi. J'ai respiré le vinaigre désinfectant..., j'ai vu la buanderie où la machine à laver de 15 kilos et le sèche-linge tournent à longueur de journée pour laver les couettes et les couvertures souillées à peine remises en place. Et j'ai vu une famille qui vivait au milieu des chats et qui n'avait plus de vie, et dont le mobilier était massacré par les chats, pas des vêtements flambants neufs ni des meubles rutilants. ...L'association est en train de crever. Les chats ne peuvent plus être soignés et bientôt plus nourris. Il faut à tout prix l'aider."

A force de courage, de persévérance et grâce à des gens comme vous, Martine a fait des miracles.

 

Tout d'abord, le chalet qui doit accueillir ses chats et "libérer" sa maison, et que vous avez aidé à financer, accueille aujourd’hui 88 chats. Son association a été contrôlée par les services vétérinaires et est aujourd’hui aux normes.

 


Mais derrière ses réussites...

Aujourd’hui, Martine est abattue. Seule sa volonté de ne pas faire endormir les chats lui maintient la tête hors de l'eau. Elle mérite le respect pour l'amour inconditionnel qu'elle porte à ses petits protégés, mais s'inquiète de leur devenir compte tenu de cette situation toute particulière.

Toutes les personnes à qui elle a demandé de l'aide lui ont répondu de faire euthanasier tous les chats qu'elle ne peut assumer. Après avoir sacrifié sa vie pendant plusieurs années pour les sauver, cette idée lui est intolérable et elle veut se battre jusqu'au bout pour trouver une solution.

Et pas question de faire adopter les chats par n'importe qui. Ils sont pour la plupart craintifs voire sauvages : Martine sélectionne avec soin les futurs adoptants pour s'assurer qu'ils sauront apporter à leur nouveau pensionnaire ce dont il a besoin.

 

Martine, avec le petit Nougat retrouvé dans une poubelle


Dans sa maison, il n'y a pas un seul endroit sans un petit panier avec un chat, que ce soit la table, les rebords de fenêtre, le canapé, le salon, la cuisine, la salle de bain, etc. Les chats sont partout.

 

Martine en train de biberonner un chaton trouvé près d’un supermarché le 25 novembre dernier. Ils étaient deux, mais l’un n’a pas survécu, il est mort d’hypothermie.


« Une tondeuse ! »

La situation s’est aggravée ces derniers mois. Elle a dû en urgence accueillir 42 nouveaux chats, livrés à eux-mêmes après le décès de la dame de 92 ans qui s’occupait d’eux, non loin de chez elle.

« Fabien, on allait les tuer. Le voisinage les exterminait. Poison ou pire encore. On a retrouvé des chatons décapités. Un monsieur les a même tués, en leur passant dessus une tondeuse. Une tondeuse ! »

40 petites vies à sauver en urgence. Comment ne rien faire, les laisser là-bas ?

« Et il en reste encore 7 dehors, qu’on n’a pas encore réussi à attraper. »

40 nouvelles petites bouches à nourrir, et à soigner.

Qui s’ajoutent aux autres. Beaucoup des chats de Martine sont malades, faibles, et ont besoin de traitement à vie.

Linux, souffre d’un calicivirus agressif qui nécessite un traitement de 30 euros par mois.

Albator est asthmatique, il a besoin d’un traitement de « Dermath », à 20 euros par mois.

 

Nala a des problèmes de tyroïde, elle besoin d’un traitement « Vidalta ». La boîte de 100 comprimés pour 3 mois coûte 92,60 euros, soit environ 30 euros par mois.

 

Fifille, qui souffre des reins, a besoin de croquettes rénales. « Le sac de 4 kg coûte 41 euros et dure un peu moins de 2 mois. »

Mistinguett, souffre elle aussi des reins. Elle a besoin de croquettes spéciales, et d’un traitement « K for cat » et « Semintra », qui coûte 42 euros par mois.

Rien que pour ces traitements, il y en déjà a pour plus de 160 euros par mois…


Financièrement la situation est intenable.

« En ce moment, je suis à découvert de 400 euros sur le compte bancaire. Et je dois 4000 euros à un vétérinaire. Il ne me prend plus d’animaux. Quand j’arrive, il me dit « t’as les sous ? Non, alors tu repars… »

 

Le petit Caramel


Chaque mois, Martine a besoin de 800 euros, rien que pour les litières et les croquettes. Sans compter les frais médicaux, stérilisations, identifications, urgences vétérinaires…

On demandé à Martine de nous expliquer avec quoi vivait son association, aujourd’hui. Elle n’aime pas parler d’elle, de ses nombreux problèmes personnels. Finalement l’émotion l’emporte, les sanglots reviennent. Elle en a tellement gros sur le cœur.

« Jusqu’à présent je vivais avec 371 euros de pension invalidité par mois, plus 120 euros d’allocations familiales. »

Martine a travaillé dur toute sa vie. Que des emplois précaires malheureusement. Elle a fait divers travaux, réparé des ordinateurs, conduit des cars… Mais rarement à temps plein. Elle ne gagnait pas beaucoup, « environ 650 euros par mois quand je conduisais des cars, les dernières années ». Physiquement, elle est aujourd’hui épuisée. En 2015, elle est déclarée invalide à cause de ses bras et ne peut plus travailler. Sa pension est bien maigre.

Pas d’autre choix que de puiser dans ses fonds personnels pour faire vivre ses chats.

Depuis septembre, elle devrait toucher une retraite. Théoriquement…. Car ça fait 4 mois qu’elle n’a rien. « Un problème administratif incompréhensible ». Et voilà maintenant la pauvre Martine repartie dans une bataille contre l’administration pour réclamer ses droits.

Elle a pourtant été habituée à se battre toute sa vie.

Mais aujourd’hui, elle a vraiment besoin de votre aide, les clicoeurs.

« Je ne reçois quasiment plus de dons ».

L'association ne reçoit que très peu de dons. Les collectes de croquettes en magasin, malgré les efforts de Martine, fonctionnent trop peu. Par la passé, la mairie lui versait une subvention de 5000 euros. C’est désormais terminé.

Il y a pourtant une dame au grand cœur, désespérée.

Il y a 140 petites bouches à nourrir.

Nous ne pouvons pas les abandonner.

Nous voulons aider Martine et ses chats.

6400 euros sont nécessaires pour cela.

Vos dons et appels du cœur permettront de financer :
- la dette vétérinaire : 4000 euros
- des croquettes pour cet hiver : 2400 euros

Merci, les clicoeurs !

 

 

En soutien à

 

BOULE DE POILS : L'association Boule de Poils a pour objectif de lutter contre la prolifération des chats errants non stérilisés. ➤ En savoir plus

Parrainez les protégés
de BOULE DE POILS

 

 

 

 

 

 

Vous bénéficiez du cumul des déductions fiscales :
un don de 15 euros par mois vous permet
d'économiser 118,80 euros d'impôts par an.

Un don régulier,
c'est l'avenir assuré pour les protégés de l'association.

 

 

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