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Psychanalyse et animaux.

Corrida, piège à fadas! Article 1 de la déclaration des droits des vivants: n'allez pas voir unetorture pour avoir le droit de la critiquer! vous le pouvez sans ça.

25 Janvier 2006, 12:59pm

Publié par Jo benchetrit

 Il ne faut jamais entrer dans le jeu et aller voir une corrida. Ce piège est exactement ce qui permet que ça continue,ces horreurs, car le plus gros des recettes vient de ceux qui y vont une fois, pour voir.

Je vous copie-colle ce commentaire d'une proie de ces gogos qui racollent chez les tièdes dont la boussole morale est grippée...et qui se sentent obligés de voir cette torture pour critiquer!!!

Quelle belle connerie!

A ce stade, c'est criminel.

Donc, le "gentil" mais naïf  Paul (qui n'est pas dégoûté de fréquenter des crapules) m'a laissé ceci:

 

"Le problème est que la plupart des gens parlent de la corrida sans savoir.
Il se trouve que je fréquente un des responsables de la réintroduction de la corrida à Toulouse. Ce passioné m' a convaincu d' assister à une corrida
il se trouve que je suis particulièrement mal tombé et que la corrida à laquelle j' ai assisté ne fut pas une boucherie, parce que les bouchers travaillent proprement :
ce fut une ignominie, une tuerie à petit feu, un acharnement barbare sur cette pauvre bête qui ne voulait pas mourir. Je crois que le matador l' a piquée (comme ils disent) 40 ou 50 fois sans arriver à l' achever . J'aurais donné une fortune pour au moins pouvoir partir mais j' étais complètement coincé par la foule et j' ai dû assister à cette horreur jusqu'au bout!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
j'ai regretté de n' avoir pu filmer, je pense que ce film aurait plus fait pour la cause anti corrida que toutes les manifestations et procès.
en tout cas, qu'on ne me parle plus d' esthétisme concernant la corrida !"

Paul.

Quant aux bouchers qui tuent proprement, c'est encore une illusion, mon pauvre.

 

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Et ça, de courrier international:..." href="https://psychanalyse-et-animaux.over-blog.com/article-1689904.html"> bonnes résolutions : viande et vivisection, c'est fini?

25 Janvier 2006, 12:17pm

Publié par Jo benchetrit

"Je modifie ma consommation de viande." En Europe, 
1kg de bœuf nécessite 20 kg de céréales + 20.000 litres d'eau + 
l'equivalent en énergie d'1 litre de pétrole.
Suite à : <http://www.defipourlaterre.org/agir/alexterieur/achats/>

 
Et ça, de courrier international:
 
Écologie - Outre-Manche, la vivisection n’est plus tolérée, Courrier 
international n° 794, 19/01/06
Emma Marris et Tom Simonie, Nature
 
Plusieurs groupes extrémistes de défense des animaux harcèlent les 
chercheurs britanniques. Ils les amènent a cesser leurs travaux, 
voire a quitter leur pays.
La construction du laboratoire de recherche biomédicale a 
l’universite d’Oxford aurait du être achevée a l’automne 2005, mais 
l’entrepreneur charge du projet s’est retire en juillet car ses 
ouvriers avaient reçu des menaces de certains groupes extrémistes 
engages dans la défense des animaux. Les travaux ont donc été 
interrompus et viennent juste de reprendre. Le projet a déjà accumule 
dix-huit mois de retard.
L’université a toujours assuré qu’elle poursuivrait la construction 
de ce laboratoire, qui doit remplacer ses anciennes installations 
d’experimentation animale. Mais elle a dû faire appel a de nouveaux 
entrepreneurs, dont l’identite est tenue secrète, même si un groupe 
de défense des animaux affirme pouvoir et vouloir la révéler. Le 30 
novembre 2005, les ouvriers ont apporté du matériel sur le chantier 
sous la protection de la police. Un dispositif de sécurité complexe 
et onéreux a été mis sur pied pour protéger les entrepreneurs et le 
site. Les difficultés de ce projet de 20 millions de livres [30 
millions d’euros] illustrent les problèmes auxquels sont confrontes, 
depuis trente ans, les chercheurs britanniques qui utilisent des 
animaux.

Les difficultés se sont accrues au cours de la dernière 
décennie, depuis que les défenseurs les plus extrémistes des droits 
des animaux s’en prennent personnellement aux scientifiques, lesquels 
se sentent désormais menaces.

Les chiffres officiels de 2005 ont toutefois montre une diminution du 
nombre d’attaques. Les nouvelles lois proposées peu après 
l’interruption des travaux a Oxford y ont peut-être contribue. 
Adoptées au cours de l’ete 2005, elles interdisent de manifester 
devant un domicile pour terroriser les résidents et de recourir au 
harcèlement pour infliger des dommages économiques a une entreprise. 
Les chercheurs, quant a eux, ont change de tactique. Au lieu de 
dissimuler leurs travaux au public, ils sont désormais plus ouverts 
et multiplient les informations sur les bénéfices de 
l’experimentation animale pour la médecine.


Un sondage informel 
réalise par Nature révèle cependant que les traumatismes des 
dernières décennies ont laisse des séquelles. L’eventualite d’un 
risque personnel pèse sur les chercheurs, leurs instituts et les 
relations qu’ils entretiennent. Les personnes qui nous ont parle ont 
presque toutes demande a ce que leur nom ne soit pas publie. 
Conséquence, entre autres, de ces tensions, ceux qui entrent dans la 
carrière scientifique préfèrent ne pas travailler avec des animaux. 
“Très rares sont les gens à vouloir fonder leur carrière sur la 
primatologie ou la recherche animale”, confie un primatologue d’une 
grande université. Il est difficile de trouver des techniciens pour 
les laboratoires parce qu’ils sont souvent rebutes par les mesures de 
sécurité.

 “Qui serait prêt a faire mettre son téléphone personnel sur 
liste rouge, à faire retirer sa voiture des listes d’immatriculation 
officielles et a apprendre ce qu’il faut faire en cas de filature ?” 
demande un administrateur de laboratoire.

Craignant pour leur 
personnel et leurs locaux, certaines universités veillent à ne pas 
faire parler d’elles et de leurs expérimentations animales.

Une 
dizaine d’etablissements ont toujours des laboratoires de primates.


Un chercheur en neurosciences confie toutefois avoir renonce à celui 
de la grande université dans laquelle il travaille et qu’il était le 
seul a utiliser. “Il n’y a pas eu d’interdiction véritable. Mais ce 
n’etait pas encouragé parce que considèré comme un risque potentiel 
pour l’universite”, explique-t-il.

Les chercheurs se disent aussi 
handicapes par la severite de la réglementation en matière 
d’experimentation animale. “Personnellement, je ne le ferais pas, 
explique un éminent chercheur en neurosciences, mais je sais que 
certains collègues partent sur le continent parce qu’ils ont 
l’impression qu’il y a trop d’obstacles en Grande-Bretagne.”
-----------------------
International
Une contestation qui s’étend dans le reste de l’Europe
 
Aux Etats-Unis et en Europe, certains défenseurs des droits des 
animaux ont adopte les méthodes illégales utilisées par les 
organisations extrémistes britanniques. C’est du moins ce 
qu’affirment la police et les organismes qui suivent les mouvements 
contestataires. Selon eux, alors que le nombre des incidents semble 
diminuer au Royaume-Uni, il est au contraire en hausse ailleurs dans 
le monde. “Les militants britanniques de la protection animale ont 
beaucoup de savoir-faire en matière d’action extrémiste”, assure un 
porte-parole de l’Unite nationale de coordination tactique sur 
l’extremisme, service spécialise de la police crée en 2004. Ils ont 
noue des liens aux États-Unis, et “l’on note aussi une augmentation 
des activités extrémistes en Europe continentale, directement liées a 
celles qui ont lieu de ce cote de la Manche”, ajoute-t-il.
  Le militantisme s’est exporte a la suite du durcissement de la 
législation et du renforcement des contrôles dans le Royaume-Uni, 
estime Mark Matfield, le directeur de l’European Biomedical Research 
Association (EBRA), une association londonienne qui demande a l’Union 
europeenne de mieux soutenir et protéger les chercheurs utilisant des 
animaux pour leurs travaux. “Au cours de la première moitie de 2005, 
les actions illégales se sont multipliées en Suède, en Suisse, aux 
Pays-Bas et en Allemagne, affirme-t-il.


Des militants britanniques en 
sont souvent les auteurs ou y ont participé.” Plusieurs organisations 
britanniques comme Animal Libération Front et Stop Huntingdon Animal 
Cruelty (SHAC) ont des antennes actives dans d’autres pays européens 
et aux États-Unis.


Carrie Wolinetz, porte-parole de la Federation of 
American Societies for Experimental Biology, un organisme implanté à 
Washington qui milite en faveur de la recherche biologique, le 
confirme. “Les campagnes de SHAC et du Front de libération des 
animaux sont nées au Royaume-Uni, puis ont été exportées parce 
qu’elles ont, hélas, prouvé leur efficacité”, explique-t-elle.

Les 
défenseurs des animaux aux États-Unis ont environ cinq ans de retard 
sur leurs homologues britanniques, estime George Goodno, porte-parole 
de la Foundation for Biomedical Research, une organisation américaine 
a but non lucratif qui défend l’utilisation des animaux de 
laboratoire et collecte les informations sur les actions 
contestataires illégales.

“Mais la tendance est incontestablement a 
la hausse”, déplore-t-il.

Les États-Unis ont pris conscience de l’activisme croissant des 
extrémistes de la cause animale dans le pays, en septembre 2005, 
lorsque Huntingdon Life Sciences, un institut de recherche qui 
effectue des tests sur les animaux, s’est vu refuser a la dernière 
minute son introduction a la Bourse de New York.

De l’avis général, 
cette rebuffade a fait suite a des menaces proférées par le SHAC, 
lequel a rapidement crié victoire.

A Washington, la Chambre des 
représentants et le Sénat procèdent à l’examen de textes de loi 
visant à faciliter les poursuites judiciaires a l’encontre des 
militants qui feraient subir des dommages économiques aux 
entreprises, aux laboratoires universitaires et aux zoos. Les projets 
de loi américains prévoient une peine d’emprisonnement de dix ans 
pour tout dommage supérieur a 100 000 dollars [83 000 euros] infligé
à une entreprise.

Témoignant devant le Sénat, John Lewis, charge de 
la lutte antiterroriste au FBI, a assuré que les actions illégales 
étaient essentiellement destinées a empoisonner la vie des 
entreprises visées, avec des menaces téléphoniques, des actes de 
vandalisme et des manifestations bruyantes devant le domicile de 
leurs dirigeants.

George Goodno en a recensé quatre-vingts aux Etats-
Unis en 2004, mais il estime que, si la tactique consiste seulement à
mener des actions de harcèlement permanent tout en restant dans les 
limites légales, ces incidents ne constituent que “la partie visible 
de l’iceberg”.

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Hélas...on voit à lire cet article que les mentalités, elles, n'évoluent pas!

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des oeufs de batterie en pensylvanie comme s'il en pleuvait...du sadisme à la pelle...procès.

25 Janvier 2006, 08:38am

Publié par Jo benchetrit

"Si le chien est le plus méprisé des animaux, c'est que l'homme se connaît trop bien pour pouvoir apprécier un compagnon qui lui est si fidèle."   Emil Michel Cioran.

Alors, que fait-il cet humain?
Suivez le 1° lien et vous verrez un échantillon de nos exploits.


> 1. Pennsylvania Egg Farm Investigation Leads to Animal Cruelty Charges
>
> Washington, DC-based Compassion Over Killing (COK) released results 
> from a new undercover investigation resulting in animal cruelty 
> charges against a Pennsylvania egg farm. A COK-affiliated 
> investigator worked for Esbenshade Farms from November 30 through 
> December 9, 2005, videotaping the hens' conditions and taking 
> detailed notes. According to one reporter, the video shows "hens 
> impaled on loose wires, hens unable to eat or drink because they 
> were entangled in the wire cages, and hens left to die in aisles 
> without food and water." The full video is available on the COK 
> website below. The farm's owner and manager have each been charged 
> with 35 counts of animal cruelty in a case now supported by The 
> Humane Society of the United States (HSUS).
>
> Esbenshade Farms, in Lancaster County, keeps almost 2.3 million 
> hens for egg production, housing them in "battery" cages. 
> Pennsylvania is the third largest egg-producing state in the US; as 
> of November 2005 the state had an estimated 24.1 million hens, 
> nearly all of whom are kept in cages. Despite accounting for only 
> 2-5% of the national egg market, interest in cage-free eggs is 
> growing significantly, with farmers and retailers citing 20-30% 
> increases in sales. Both COK and HSUS are campaigning to persuade 
> major retailers and individual consumers to choose only cage-free 
> eggs for improved hen welfare.
>
>
> 1. "New COK Investigation Leads to Criminal Charges of Animal 
> Cruelty," COK, 1/10/06
>
http://www.cok.net/feat/paefi.php
>
> 2. "Lancaster County Egg Farm Is Cited for Animal Cruelty," 
> Philadelphia Inquirer, 1/10/06
>
http://www.philly.com/mld/inquirer/business/13587975.htm
>
> 3. "Large Pa. Egg Farm Hit with Cruelty Charges," Philadelphia 
> Inquirer / AP, 1/10/06
>
http://www.philly.com/mld/philly/news/13594325.htm

 2,3 millions de poules!!!

des mortes de faom et de soif!

mais dnas quel monde vot-on?
faut il devenir végan? Après tout, ce serait logique. Car tous les produits animaux sont obtenus par du malheur...idem des laitages..hélas.
Remarquez que pour la santé aussi: certains cas d'ESB sont arrivés à des végétariens, c'est à dire buvant du lait et mangeant des oeufs  ... donc non végans

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Colloque sur la torture tauromachique à normale sup. rue d'Ulm.

23 Janvier 2006, 18:23pm

Publié par Jo benchetrit

Je trouve ce texte interessant.Il y a de telles évidences...pour moi, qui ne le sont pas pour tant d'autres...que, parfois, ça fait du bien de trouver un rare humain à penser comme soi, ce qui, selon ma prétention sur ce sujet, signifie à penser en vrai.
En effet, quand des gens comme Sollers, ou tant d'autres ont pignon sur rue...pour leur pensée, alors qu'ils soutiennent les corridas, je me demande ce que cela veut dire...Nous vivons donc dans un monde attiré par la brillance de l'apensée jouissive ... comme un papillon l'est par la lumière, au risque de s'y perdre...

 

Tauromachie: quand l'esthétique fonde l'éthique.

M. Gérard CHAROLLOIS Le dimanche 22 janvier 2006
FRANCBAUDIE
24380 VEYRINES DE VERGT
TEL 05 53 54 70 46
FAX 05 53 08 50 11
www’ecologie-radicale.org 





Il advient que les intellectuels, par leurs débats, leurs querelles, et quelquefois leurs pensées, éclairent leur époque, dévoilent les chemins nouveaux, font œuvre de véritables découvreurs de valeurs inédites et de concepts féconds.
Mais en guise de pépites d’intelligence, certains se fourvoient souvent et produisent des réflexions indigentes.
L’école dite »Normale », de surcroît proclamée « Supérieure » de la rue d'ulm aurait accueilli, le mois passé, un colloque sur la torture tauromachique (ils disent, la corrida).
Observons dès l’abord que lorsque des adeptes de la corrida et de la chasse organisent des congrès, colloques, journées d’études sur ces thèmes, il ne doit surtout pas y avoir de débat pluraliste et contradictoire.
La corrida, la chasse sont des pratiques, pour leurs partisans, incontestables et seuls ceux qui en chantent les louanges sont conviés à bavarder aimablement sur le sujet.
Pas question d’entendre un écologiste éthique, impossible d’affronter une véritable controverse argumentée.
Il faut, y compris à la prétendue école Normale et Supérieure faire de la basse propagande.

Néanmoins, un intervenant à cet élevé et digne colloque universitaire, numéro d’autocongratulations unilatérales, aurait déclamé que « l’esthétique de la corrida en était son fondement éthique ».
Cet intervenant ignore sans doute que Walter BENJAMIN, philosophe allemand né en 1872, mort par suicide pour ne pas tomber entre les mains de ses ennemis idéologiques en 1940, avait alerté le monde par cette analyse faite sur place et en situation :
« Les nazis ont inventé l’esthétisation de la politique ».


Et ils furent déjà nombreux les écrivains, professeurs, chercheurs des années 1930 à se laisser séduire par cette esthétisation de la politique.

Les chants, hymnes mélodieux, les costumes, les défilés aux flambeaux, les drapeaux, la force collective des foules enthousiastes, la ferveur des masses, la communion quasi-hystérique avec les orateurs flamboyants abolirent tout esprit critique chez nombre « d’intellectuels », des années 30, comme d’autres succombèrent aux charmes d’un autre totalitarisme pesant dans les années 1950.

A la corrida, le costume de « lumière », les fanfares, la foule colorée, la convocation de la mort au rendez-vous tragique séduisent tout semblablement et par les mêmes mécanismes mentaux nos apprentis philosophes qui imaginent pouvoir justifier la torture d’un être vivant sensible par un esthétisme de pacotille.

L’homme n’apprendrait-il donc rien ?
N’a-t-il pas encore compris que le mépris de la compassion appelle le malheur et l’avilissement ?
Qu’importe le décor lorsque les acteurs jouent le meurtre.

Aucun verbiage fumeux, aucun paravent pseudo-culturel, aucune caution de telle ou telle célébrité futile et mondaine n’ôteront la moindre parcelle de crime à la corrida.
Ce rite sanguinaire déshonore notre époque parce que par-delà la fumée des mots creux, derrière les lumières et le vacarme, par-delà les gesticulations des petits GOEBBELS de la mort spectacle et de la mort loisir, il y a la souffrance infinie d’un être et que cela est radicalement inacceptable.
Le fait que perdurent en nos sociétés, certes à un stade marginal et de scories, la chasse et la corrida, prouve qu’il demeure encore beaucoup à parcourir pour s’imaginer supérieur à une quelconque espèce.
Ces pratiques nient à la fois le caractère d’être sensible de l’animal et la dignité humaine et comme le disait le bon et génial père HUGO : « torturer un taureau, c’est torturer une conscience ».
Si, inversant le postulat des fascistes et des artistes mort, nous proclamions que seule une éthique du respect fonde une esthétique de vie ?

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Les fourrures de chats et de chiens enfin interdites en France.

22 Janvier 2006, 20:30pm

Publié par Jo benchetrit

Ouf!
Mais on voit  la connerie d'avoir limité la demande aux seules fourrures de chiens et
chats alors qu'on sait la misère des autres animaux d'asie...mais aussi d'ici:toute fourrure est à prohiber.
-----
Sujet : Dépêche AFP ce jour : l'arrêté est signé !!!


Mode-fourrures-animaux-people
   Les fourrures de chat et de chien interdites en France

   PARIS, 22 jan 2006 (AFP) - L'importation et la commercialisation des
fourrures de chiens et de chats, ainsi que des produits qui en sont dérivés,
contre lesquelles s'étaient élevées des personnalités du monde du spectacle,
sont désormais interdites en France, selon un arrêté paru au Journal
officiel.
   Selon l'arrêté, publié samedi et signé par les ministres de l'Economie et
de l'Agriculture, "l'introduction, l'importation et la commercialisation en
France de peaux, brutes ou traitées, de chiens et de chats, et de produits
qui en sont issus sont interdites".
   Il abroge un arrêté de novembre 2003 qui se bornait à prohiber
l'introduction de ces fourrures.
   Les comédiennes Françoise Fabian, Marianne Denicourt, Corinne Touzet et
Nadia Fares, l'animateur Jean-Pierre Foucault et le metteur en scène Robert
Hossein avaient dénoncé, dans une lettre ouverte au gouvernement,
l'utilisation de fourrures de chat et de chien en France, annonçait en
octobre dernier l'Association française et internationale de protection
animale (Afipa).
   Dimanche, l'Afipa, qui jugeait la précédente réglementation inapplicable,
a rendu publique une nouvelle lettre de personnalités (dont Jeane Manson) à
l'attention des ministres de l'Economie et de l'Agriculture, exprimant leur
"satisfaction" tout en leur demandant de porter leurs revendications
d'interdiction de ces fourrures au "niveau européen".
   Les personnalités signataires demandent aussi au gouvernement de
"durcir", au niveau français, le décret "relatif à l'étiquetage de la
fourrure" afin de "rendre obligatoire la mention du nom commercial, du nom
scientifique, de la méthode d'abattage et du pays de provenance de la
fourrure".
   Ce décret est "non seulement insuffisant", mais aussi "très souvent
bafoué", déplorent les signataires.
  

victoire!!!

Mais...que de route encore à faire...pour fabriquer un monde civilisé !

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La baleine de la Tamise est morte. Mais enfin, que s'est-il passé?

22 Janvier 2006, 09:44am

Publié par Jo benchetrit

Un minois de dauphin chez cette baleine à bosse.

Nous avons vu des images où il me semble qu'on voit clairement qu'elle saigne de la queue, comme sur cette photo, sur son côté gauche. Ma question, c'est: la curiosité des bateaux beaucoup trop proches l'aurait-elle tuée?

Pour le moment, silence des autorités. Secret d'état?

Et les cris des badeaux, était-ce une bonne idée alors qu'il fallait ne pas la stresser plus qu'elle ne l'était, souffrant, c'est un comble, de deshydratation, à marée basse sur le fond de la Tamise?

A notre époque de grandes émotions de foule, on perd souvent le peu d'intelligence que l'homme a de l'autre vivant.

 

 

Observer | After a day of frantic struggles, the London whale dies a lonely death
 

After a day of frantic struggles, the London whale dies a lonely death
Euan Ferguson joined the crowds on a poignant day by the Thames

Tuesday January 24, 2006

Observer

'He's lost his pod,' I heard a mum tell her daughter as she lifted her for a better view above the crowd, back when the crowd was manageable. And then, seconds later, 'No, darling, not his iPod. He's lost his ... well, his friends. His family.'
It was that kind of day. Londoners getting all friendly and funny with each other but under it all a strange, nagging confusion over how it would turn out. At 7pm on the dot we realised it had turned out pretty badly, when, despite a frantic £100,000 rescue mission, something like half of London's emergency services shivering all day in the Thames and messages of goodwill from around the world, London's new best friend perished on a barge, swathed in rubber and lifting gear, near the end of the journey back to salt water. The trauma of the rescue and too many hours out of the water had led to fatal spasms.

Hopes had been high. But it seemed that the only proper reaction to yesterday, as so often with nature, should have been a careful mix of wonder and sadness.

It had been one thing, for instance, to see London's whale blowing and arcing its way under Battersea Bridge. Perfectly equipped for cavorting 600 feet down in the Arctic Ocean and making life unhappy for squid; less so for the snorting riptides that bedevil the Thames and its bridges - but still, London's whale made it, coming up 200 yards west yesterday morning with a noisy gust and a welcoming cheer from the bank.

It was quite another, 30 minutes later, one minute before noon, to watch it beached, so obviously distressed. To see its would-be rescuers, up to their necks at times in the Thames, attempting to pat, push, calm, to somehow convey the feeling that there was goodwill from man, while that great tail began to flap so frantically. Were we going to end up with happy children, perfect endings: were we going to free Willy? Or were we going to end up with - there's no great way to put this - two tons of dead blubber?

There was something both awesome and other-worldly yesterday about walking along Sir Joseph Bazalgette's Chelsea Embankment, gazing at the forlorn and faded barges rendered somehow even more miserable by the gorgeous sunshine, and then seeing a whale blow.

We walked, the growing crowds, at 11am, following the boats as they followed the whale. We walked at whale's pace until we darted, hundreds of us, from one side to the other of the Albert Bridge, causing the first traffic jam of the day. Later police closed Battersea Bridge Road leading to, one assumes, some apologetic shrugs from lunch dates - sorry, I was held up by a whale.

We walked west of Battersea Bridge, crowds growing, the sound audible from the embankment of the crunch of hundreds of feet on shingle below as they raced back and forth. And then just before noon, at 11.53, I saw the dorsal fin burst out again, but facing east, towards the sea. Had London's whale sensed the sudden turn in the tide and started swimming against the (now incoming) tide, as whales do, and would it make it?

The answer was very soon no. For the next five minutes the whale was in danger of beaching - Tannoy calls came from the coastguard warning crowds away from the shingle's edge - and just before noon it grounded and the worries began, the floats and the cranes and the manhandling.

And the crowds began arriving, in true force - the banks of the Thames can never have been busier. Nobody could see much, but the mood was friendly, not jostling; rescue workers below called up, at 2pm, for some hot drinks and the shouts were relayed by the crowd to the nearest houses.

And, hours later, partygoers in Battersea pressed their noses against pub windows to see the latest developments, the bad news and the end of a strangely gripping story. In a month or less we will have forgotten; but the day will surely serve as some kind of benchmark. In the last day or so lovers will have been taken, jobs will have been won and lost, novels begun, tears shed at funerals, new life conceived and, when asked can you remember when that happened, we can answer: I remember it well, because it was that day. The day a whale sailed through the middle of London; and the people of the city, rather than trying to hack it to death, came in their thousands and lifted it and tried their hardest to sail it back.

Voir les commentaires

>véridique (il n'y a pas d'euthanasies) et risque de porter préjudice à son >>auteur, ainsi qu'à moi-même, mon nom et mon adresse-mail y étant..." href="https://psychanalyse-et-animaux.over-blog.com/article-1660888.html"> Annonces de la dernière chance avant euthanasie de chiens.

21 Janvier 2006, 19:51pm

Publié par Jo benchetrit

 Mise au point que je vous transmets:

"Serait-il possible d'éliminer ce message, car il n'est pas tout à fait
>>véridique (il n'y a pas d'euthanasies) et risque de porter préjudice à son
>>auteur, ainsi qu'à moi-même, mon nom et mon adresse-mail y étant associés
>>(je ne pensais pas que l'on parlerait d'euthanasie, mais juste d'urgence);
>>donc si vous pouvez l'enlever ou au moins y retirer mon prénom ainsi que
>>mon e-mail" Christelle.

Ma réponse:

Merci.
OK,
je le fais dès que possible.  j'avais eu une info fausse ce qui n'est pas étonnant car c'est  le cas dans de nombreux endroits.
Je laisse vos coordonnées avec votre mise au point car ainsi, vous aurez
d'autres adoptants, pour les autres chiens.

Bravo de ne pas pratiquer d' euthanasie chez vous.

 Le pb du choix de l'achat d'un animal contre celui, bien plus "humain" de l'adoption est-il comparable à celui de la procréation humaine et donc de l'adoption éventuelle d'un enfant?
C'est une question.
D'un côté, oui, c'est pareil, on va en effet faire le choix de ne pas éviter   la   vie sans famille d'un enfant.

D'autre part, les gens peuvent toujours prétexter de leur désir "naturel" de se prolonger dans leurs propres enfants.
Je ne sais pas si une adoption d'un enfant est donc aussi facile à faire qu'une adoption de chien ou de chat, qui, eux,de plus, sont condamnés à être tués si ils ne trouvent pas de maîtres.

Sur cet article sur certains chiens qui vont être "euthanasiés" (assassinés) si on ne trouve personne pour eux d'urgence. Rien de tel pour les enfants.
Et aussi, selon vous,   les cages des chenils, sur le sol glacé, sans jamais sortir, ou presque, pendant parfois des années derrière des barreaux, est-ce que c'est comparable?

D'un côté, on a des enfants d'hommes qui, en général sont choyés au maximum dans des familles d"accueil, de l'autre des animaux...qui sont dans des conditions de vie telles qu'on envisage la mort pour eux comme un service à leur rendre tant la captivité et l'isolement ou au contraire la surpopulation ddans la cage les rend malheureux.

Tout cela pour un caprice!!!!Celui de frimer avec un chien de race etc. L'enjeu n'est pas le même qu'une adoption d'enfants...et il est donc criminel de faire le choix d'un achat d'animal. Et tout aussi criminel de laisser ses animaux procréer.

Voici la liste des innocents condamnés à mort...à moins d'un miracle venant de vous:

 

 

 

Boss, croisé staff de 8 ans ; affectueux, il préfère les femmes. Il serait
à placer dans une famille sans enfants et sans autres animaux

- Cantona, croisé bull terrier de 7 ans ; calme, très affectueux, en demande
constante de câlins. Toute l'éducation est à faire, en particulier la
propreté. Il à placer dans une famille sans autres chiens ; OK avec les
chats

- Dakota, croisé staff de 7 ans ; affectueux, vigoureux ; éducation à faire.
Il est à placer dans une famille sans autres animaux et sans enfants, et
avec des personnes ayant un minimum d'autorité

- Kenzo, croisé bull terrier de 7 ans ; très affectueux ; éducation à faire.
Il faudrait une famille sans autres animaux

- Loris, 9 ans ; très affectueux, vigoureux, joueur, très protecteur, il
s'entend avec les chiennes, mais non dominantes ; il est à placer en
pavillon avec un jardin bien clôturé, dans une famille sans enfants (et avec
des gens connaissants bien les chiens)

- Meurphise, croisée bull terrier de 7 ans ; affectueuse, une peu brute
parfois ; éducation à faire.
Elle à placer dans une famille sans enfants en bas-âge et sans autres
animaux

- Pablo, croisé staff de 7 ans ; très affectueux, un gros bébé un peu brute
; éducation à faire.

- Pakis, croisée bull terrier de 7 ans ; très affectueuse, ne supporte pas
du tout les autres animaux ; elle est à éduquer et à placer dans famille
sans enfants en bas-âge

- Pelé, croisé staff de 7 ans ; affectueux, éducation à faire, parfois brute
; il est à placer dans une famille sans autres animaux et sans enfants

Tous ces chiens sont dans le refuge de Charmentray (77410, sur RN3, près de
Meaux; tél 01 60 61 03 26)  Vous pouvez contacter aussi Christelle
c_desiage@hotmail.com

 

 

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l'obésité des chiens, chats et autres animaux de compagnie

20 Janvier 2006, 18:01pm

Publié par Jo benchetrit

L'homme est un animal de mauvaise compagnie...

Ben oui, on n'est pas à la hauteur.

Là non plus, nous n'avons aucune limite...zone de non-droit du rapport homme/animaux oblige.


Voici un article du Monde pour nous culpabiliser sur notre enfer de bonnes intentions.

Cependant, globalement, l'obésité par rapport aux problèmes de ces espèces  dans le monde, espèces qui sont ordinairement squelettiques...pour cause d'abandons n'est pas le problème central de ces animaux de notre fait.

Et l'enfer que subissent les bêtes...on le trouve quand même  plus dans les élevages, les labos, les cirques, les zoos, les lieux affreux comme les abattoires de France et de l'étranger, les ...liste non exhaustive...

Les chiens et les chats des villes mangent trop et manquent 
d'activite,

Le Monde, 18/01/06
Florence Amalou

La photo de Douchka, une chatte europeenne grise de 10 ans, laisse 
pantois. Couchee sur une epaisse moquette blanche, elle ne peut 
visiblement plus bouger tant elle est grosse : 8,6 kg au lieu de 4, 
soit plus du double de son poids acceptable ! Sur les conseils du 
veterinaire, ses proprietaires l'ont mise au regime. Resultat, en 
huit mois, Douchka a perdu 3,6 kg. La performance a ete value lors 
du neuvieme "Defi minceur Hill's", un concours d'amaigrissement canin 
et felin organise par une marque d'alimentation animale. Douchka a 
ainsi remporte la finale, jeudi 12 janvier.
Globecite n'est plus seulement une epidemie humaine. Elle touche un 
tiers des 18,3 millions de chiens et de chats qui vivent en France. 
Ces animaux, victimes d'une alimentation trop abondante et qui 
manquent d'exercice, risquent comme leurs congeneres humains de 
souffrir de diabete, de troubles gastro-intestinaux, de risques 
accrus de cancer, sans oublier le moins bon fonctionnement du foie, 
les problemes de peau et le dereglement des fonctions hormonales qui 
regulent la croissance et la reproduction. Les chiens et chats en 
surpoids verraient leur esperance de vie diminuer de 20 % a 30 %.
Le phenomene n'est pas recent mais sous l'impulsion de puissants 
groupes industriels (Nestle, Colgate Palmolive, Masterfood) qui 
veulent promouvoir leurs gammes "dietetiques" et "allegees" fort 
rentables, les proprietaires d'animaux domestiques prennent 
progressivement conscience du probleme et modifient la perception de 
l'etat de sante de leur animal.
"Le labrador, une race tres en vogue, a une tendance naturelle a 
l'embonpoint. On s'est donc habitue a voir plus de 80 % d'entre eux 
en surpoids, du coup un chien plus mince semble tout de suite 
malade", explique Cyril Mayer, le veterinaire de Douchka, qui met 
chaque annee a Chelles (Seine-et-Marne) une trentaine de chiens et de 
chats au regime. Mais l'embonpoint vient surtout d'un mode de vie 
plus sedentaire. Les maitres vivent souvent en appartement et ne 
prennent plus le temps de faire de longues promenades ni de jouer a 
la balle. Ils preferent faire plaisir a l'animal en lui donnant des 
restes de leurs propres plats ou des friandises.
Le grignotage touche d'abord les chats. La raison ? "Le chat est un 
animal eminemment stresse par nature qui n'a dans sa vie que trois 
activites, dormir, chasser et manger. Si on lui enleve l'une d'elles, 
la chasse ou le moindre exercice, il se reporte sur la nourriture et 
devient boulimique", analyse le docteur Mayer. En revanche, le 
surpoids du chien viendrait d'un dysfonctionnement relationnel entre 
l'homme et l'animal : "Le chien vient frequemment chercher un contact 
avec l'homme, mais c'est plus pratique de lui donner une friandise 
que d'aller dehors jouer avec lui", constate M. Mayer. Les 
specialistes confient que souvent les proprietaires affichent le meme 
embonpoint que leurs animaux. La solution pourrait donc, disent-ils, 
passer par une meilleure hygiene de vie commune. Avant de penser au 
regime.
<
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-731983,0.html>

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N'achetez pas !!!Adoptez!!!Chiens et chats cherchent famille pour ne pas mourir derrière des barreaux de prison dans les refuges.

20 Janvier 2006, 15:43pm

Publié par Jo benchetrit

Un petit clic contre un grand choc...mamoureux!

Y aviez-vous pensé?

 

En acheter revient à  tuer celui que vous n'avez pas adopté.

Alors, adoptez-en un ici, ou ailleurs...une Bonne Action dont un animal vous sera reconnaissant à vie. Ceux qui en veulent un tout jeune, tout neuf, n'ayant jamais servi ont tort...Bêtise et nuisance humaines ici, vont de pair.
Cependant, il y a tous les âges dans les refuges et toutes les races. Ainsi que toutes les tailles!

Il suffit de me demander...si vous n'en trouvez pas dans les refuges, je ferai une recherche pour vous.
Qu'est-ce qu'on f'rait pas pour vous!!!

 

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Un bel husky à l'adoption...il a 11 ans et est encore vert.

19 Janvier 2006, 19:49pm

Publié par Jo benchetrit

SOS HUSKY 11 ANS - SPA ARRY (57)

Oui, 11 ans et alors? Il faut tuer les vieux, depuis qd?

Un peu vieux mais très coquin, il vous fera rire!

 
JORKY
Jorky a 11 ans et un grand besoin de défoulement.il a une grosse tendance a tirer en laisse comme tous les husky.malgré son age il a encore de la force et une bonne santé.tres calme a la maison,dort sous la table.Obeit assez bien.
 Comme tous les husky il a une tendance à être voleur avec la nourriture.
En revanche c'est un dominant,donc exit les autres chiens.
Avec les chats ca a l'air d'aller il n'a pas l'air d'y faire attention.
 
 
 
Si des personnes sont intéressées, me contacter, j'essaierais de faire le relais avec la SPA : july_willemin@yahoo.com
A mon avis si vous n'avez pas de chat, ce sera le bonheur tranquille assuré...
 

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