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Psychanalyse et animaux.

massacres de moutons pour la fête islamique de l'Aïd el Kebir pour attardés du bulbe et du coeur. Vous êtes contre l'excision des filles? alors, soyez contre les sacrifices des agneaux et autres ovins

12 Janvier 2006, 20:01pm

Publié par Jo benchetrit

C'est la fête du scandale, l'Aïd el Kebir!!!!la honte...si 
j'étais musulman je ne serai pas très en forme au lendemain de l'Aïd el Kebir, car quelle horrible chose que ce que vous allez lire.
C'était chez nos voisins belges;Je nai pas d'infos sur la France. On a été plus discret? Mais ça a dû être semblable, je pense.


Lisez ceci et écrivez à Chirac, à Azouz Begag que nous ne voulons pas de ça chez nous, au pays des droits de l'homme car ça fait partie des horreurs qui bafouent celui de tout un chacun à vivre dans un pays pacifique et ne violant pas sa conscience..
La France ne veut pas plus d'excision que ce qui suit.

Nous ne voulons pas de régression morale. Ça suffit de brosser les autres dans le sens de leurs défauts, sous prétexte de ne pas être raciste. Trop facile;
Nous ne voulons pas de torture animale, ni de corrida, ni de ces ignobles massacres de moutons. Le racisme n'a rien à voir avec ça. Mais il y a danger que cela ne le réveille.

Voici le courrier lu sur une liste:

Ce sont les politiciens belges qui sont à montrer du doigt, eux qui
permettent ces atrocités innommables. A commencer par ce répugnant Emir
Kir, qui après avoir nié le génocide arménien, niera celui des moutons; car
il s'agit d'un véritable génocide.
J'ai honte d'être belge et bruxelloise d'adoption.

M.

 le quotidien belge "Le Soir" du 12/01/2006

Culte / A Bruxelles, la fête du Mouton a parfois tourné au cauchemar
Un Aïd à ranger au rayon boucherie

LE SITE D’ABATTAGE régional à Bruxelles installé pour l’Aïd-el-Kebir a été
le théâtre de graves dysfonctionnements.

Un carnage affreux, dénoncent des témoins. L'Aïd-el-Kebir, la fête du
Mouton, s'est transformée en cauchemar, mardi. Les sacrificateurs peu
expérimentés n'ont pu faire face aux 3.000 moutons à égorger en un jour.
L'eau manquait au début, l'électricité a déposé les armes pendant
l'après-midi, mais ce ne sont que détails face à l'horreur qui a envahi les
abattoirs. Des moutons à moitié égorgés tentant de fuir la gorge tranchée,
d'autres décédés d'une crise cardiaque, des rivières de sang... Les
policiers ont dû prêter main-forte aux sacrificateurs. Excédés, certains
fidèles en sont venus à menacer au couteau agents et organisateurs. D'autres
ont été vus en train d'égorger eux-mêmes leur mouton sur le sol, parfois
dans la boue. Il n'y a eu ni procès-verbal ni arrestation malgré les
bagarres.

Certains ont été vus en train d'égorger eux-mêmes leur mouton sur le sol,
parfois dans la boue.

La police de Bruxelles-Ixelles a envoyé, hier, un rapport aux bourgmestres
de la zone, Willy Decourty et Freddy Thielemans, et au procureur du Roi. La
décision de porter plainte pour maltraitance des animaux revient au
procureur. Gaia, l'association de défense des animaux, a décidé de déposer
plainte contre X pour maltraitance animale.
Le secrétaire d'état bruxellois à la Propreté publique, Emir Kir (PS),
dresse un bilan plus que mitigé de l'initiative régionale: «Je souhaite
faire part de mes regrets à tous les fidèles musulmans qui se sont rendus à
l'abattoir régional. Malgré tous nos efforts, les conditions étaient loin
d'être idéales.» Une canalisation d'eau a rompu vers 10 heures. Les
musulmans étaient censés aider les sacrificateurs, mais ne le savaient pas.
Enfin, le nombre de sacrificateurs et d'habilleurs était insuffisant, sans
compter que certains n'étaient pas suffisamment formés. Environ 350
personnes ont exigé d'être remboursées,

Mais Kir se veut positif sur le nombre total d'abattages. Il estime que ces
sacrifices légaux ont triplé par rapport à l'an passé, Si l'on prend en
compte les sites d'abattage communaux (Molenbeek, Anderlecht et Schaerbeek)
et le site régional, près de 3.700 moutons ont été sacrifiés. Un chiffre qui
doit encore être revu à la hausse puisque Molenbeek laissait son site ouvert
hier encore.

En 2005, seules 1.291 bêtes étaient passées par les sites officiels, sur un
total de 15.000 à 18.000 sacrifices.
Malgré cette progression de la légalité, la polémique reste vive. De
nombreux musulmans sont sortis fâchés du site régional. Pour le président de
l'exécutif des musulmans, Coskun Beyazgul, «il y a eu certes quelques
dysfonctionnements, mais, dans l'ensemble, il faut se réjouir de
l'amélioration de la participation par rapport à l'an passé. Je suis sûr
qu'il y a des solutions pour améliorer le site régional pour l'an prochain.
»
Au-delà de cet échec, la fête du Sacrifice pose aussi la question des
déchets. Il est probable que des bêtes ont encore été égorgées à domicile,
dans l'illégalité, et des déchets risquent fort de réapparaître. Des
containers ont été placés à Saint-Gilles, Molenbeek, Schaerbeek et l'Agence
Bruxelles-Propreté. Selon un responsable de l'agence, 12.000 têtes de
moutons abattus seraient encore «dans la nature». Hier, dix plaintes contre
des dépôts clandestins ont été déposées à Bruxelles-vi11e et les carcasses
ont été retrouvées. À Anderlecht: «Nous avions mis sur pied des planques
pendant la nuit de mardi à mercredi. Mais nous n'avons rien remarqué.
Peut-être ont-elles eu un effet dissuasif», explique Philippe Debry, échevin
de la propreté. « Des contrôleurs tournent pour repérer les dépôts et on
pourra dresser un bilan définitif dans quelques jours », dit-on à
Bruxelles-Propreté. Les gens pourraient aussi opter pour le sac-poubelle,
afin de se débarrasser des restes, mais ces détritus ne peuvent être
incinérés. «Pour les peaux et les abats, il y a une filière particulière,
avec des mesures hygiéniques et des techniques spécifiques. Des sociétés
spécialisées s'en occupent. ».
FANNY BOUVRY
ÉMILIE HAQUIN

« IL FAUT ENVISAGER DES SUBSTITUTIONS »
Charles Picqué (PS), ministre-président de la Région bruxelloise, tire les
enseignements de l'échec du site d'abattage régional des moutons. Pour lui,
la question du maintien de la tradition du sacrifice est posée.

Quel enseignement tirez-vous de l'échec que constitue l'organisation d'un
site régional?
Ma position de fond est claire : il faut trouver toute forme de substitution
à l'abattage à domicile. Il ne faut pas transiger là-dessus et rester
intransigeant.
Une alternative serait une très bonne organisation de sites d'abattage
publics. Il apparaît toutefois que l'on devrait consacrer des moyens
d'importance afin de garantir un abattage dans de bonnes conditions tant
pour les ménages que pour les animaux ou pour l'hygiène publique.
S'il apparaît que cela est à ce point difficile à mettre en œuvre, sauf à
investir des moyens tels que l'on devrait financer d'autres rites religieux
- parce que c'est de cela dont il s'agit! -, il faut résolument mettre le
cap sur une autre culture du rituel du sacrifice qui ne passe pas par
l'égorgement d'un mouton. Point à la ligne.

Cette année-ci, l'échec est palpable. Va-t-on réessayer l'année prochaine?
De cela, nous devons encore en discuter. Nous devons voir l'ensemble des
rapports emir Kir va nous faire. Je suis attentif au fait qu'il me dise
qu'il y a eu pas mal de mauvaise volonté de la part de certains. Il me
rapporte que certains éléments de logistique ne fonctionnaient plus, que des
signalétiques ont été enlevées, que des rumeurs couraient....
Il y a eu des problèmes d'organisation dont le secrétaire d'Etat a fait
l'aveu. Mais il faut analyser l'ensemble des données.
Plus fondamentalement, je crois cependant que cela pose le problème de
l'adaptation aux grandes villes de rituels physiques de ce type-là. Cette
question, à mes yeux, elle est posée.
Nous devons avoir un dialogue constructif avec la communauté musulmane, sans
faire preuve d'intolérance. Mais je pense vraiment que nous devons
encourager des substitutions à la tradition du sacrifice. Et le respect des
animaux est une donnée dont nous devons tenir compte.
Propos recueillis par OLIVIER MOUTON

Commentaire : MICHEL DE MEULENAERE
LE CUISANT FIASCO DE LAND 2006

« A moins d'un bricolage de dernière minute, le mépris de la loi,
l'impréparation et les messages ambigus risquent d'avoir des conséquences
graves.» C'est ce que nous écrivions ici, samedi dernier, à quelques jours
de l'Aïd-el-Kebir. Mais ce que nous craignions alors est sans mesure avec ce
que l'on découvre aujourd'hui.
Les sacrifices de moutons dans l'abattoir provisoire mis en place par la
Région bruxelloise ont tourné au chaos. Beaucoup de fidèles musulmans venus
faire abattre leur mouton ont été confrontés à une attente interminable.
Certains sacrifices ont tourné à la boucherie, des moutons ont été égorgés à
même le sol, d'autres ont été vus, galopant la gorge ouverte. Et, au
lendemain de la « fête », les lieux d'abattage étaient dans un état de
propreté lamentable. Le secrétaire d'Etat à la Propreté publique, Emir Kir,
a lui-même regretté des « dysfonctionnements importants ». C'est un peu
court. Road était un événement totalement prévisible. Les problèmes
culturels, religieux, logistiques qu'il posait pouvaient parfaitement être
anticipés. Les réticences de certains, dans la communauté musulmane, à
intégrer un circuit officiel étaient connues. Il y a eu, au moins, une
erreur grave d'appréciation. On peut craindre que ce cuisant échec aura
convaincu de nombreux musulmans que la filière clandestine est la seule
valable, malgré son caractère illégal. D'un autre côté, l'image lamentable
de l'Aïd 2006 - dont certains aspects, comme les dépôts clandestins de
carcasses, ne sont pas encore bien évalués - apporte des arguments à ceux
qui contestent l'utilisation d'argent public pour organiser cet événement
religieux. Sans parler de ceux qui veulent tout simplement interdire les
abattages. La date du prochain Aïd est déjà connue: 31 décembre. Un second
ratage est interdit. Au travail, Monsieur Kir!


 

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Ecrire contre les fourrures de chiens et chats ou de toutes???Chine, un airbus contre notre silence.

12 Janvier 2006, 12:50pm

Publié par Jo benchetrit

IL est clair que la seule explication à la lenteur de la mise en place d'une interdiction d'importer des fourrures de chiens et chats vient du marché colossale que représente le milliard et demi de petits chinois... et moi  et moi  et moi, je suis rien à côté.

Signé un animal écorché vif, après avoir été tapé pour faire de la belle fourrure pour les connes de France et autre.

Ils ont peur qu'on dise toutes les fourrures? et bien, moi, je mettrai TOUTES.
Et vous?

De plus, de même que les fourrures de Chine sont parfois marquées: "synthétiques ou nylon etc.", on aura bientôt des fourrures de chiens et chats marquées renard vison etc.
Cette façon des défenseurs de demander peu pour avoir rien est l'inverse de la politique   des syndicats qui ont compris que l'on doit demander un max pour avoir un peu.
GRR...

écrire  un mail à Thierry Breton.

 association-afipa@yahoogroupes.fr
   Sujet : [association-afipa] Fourrure : Passons à l'action  !

   

   Bonjour à tous,

  Nous aurions voulu commencer l'année par une bonne nouvelle mais
  pour l'instant l'heure est à la mobilisation : contrairement aux
  assurances données et malgré la validation du Ministère de
  l'Agriculture, le Ministre de l'Economie n'a toujours pas signé
  l'arrêté interdisant l'introduction et la mise sur le marché de la
  fourrure de chat et de chien en France.

  Aujourd'hui, les personnalités ont décidé de passer à l'action et
  rejoignent une fois de plus l'AFIPA.
  Déjà Laurence BOCCOLINI, Françoise FABIAN, Liane FOLY, Dominique
  LAVANANT, Corinne TOUZET, Jean-Pierre FOUCAULT et MICHAL .. viennent
  de cosigner une lettre ouverte au Ministre de l'Economie.

  Cette lettre est également transmise aux services du Premier
  Ministre et du Président de la République afin qu'ils soient
  informés de la situation.

  Les médias nous relaient,  maintenant nous devons passer à
  l'offensive. Nous devons tous être unis pour obtenir cet arrêté.

  Aussi, pour se faire, vous trouverez ci-dessous, un mail type de
  protestation. Nous vous demandons de l'envoyer dès que possible en
  mettant en copie les mails du Premier Ministre et du Président de la
  République. 

  Merci pour votre mobilisation plus que jamais nécessaire : nous
  sommes proches du but ! A nous de faire la différence !

  On nous a leurrés en 2003 avec un arrêté inapplicable, ne nous
  laissons pas mener en bateau une fois de plus !

  Bien à vous

  Nicolas BISCAYE

  P.S. : Par souci d'unité et de cohérence, merci d'avoir la
  discipline de ne pas changer le texte que nous vous proposons.

  -----------------------------------


  Nous vous demandons de ne pas modifier le texte dans un souci
  d'unité et de cohérence.."

  A copier-coller et à envoyer aux adresses suivantes:


  Pour  Thierry BRETON : dominique.cahu@cabinets.finances.gouv.fr
  Pour le Premier Ministre :
pierre.mongin@pm.gouv.fr
  Pour le Président de la République : michel.blangy@elysee.fr
  Mettre en copie :
equipe@afipa.net

  ---------------------------------------------------------------------
  ---------------------------------------


  Objet : Arrêté contre la fourrure de chat et de chien


  A l'attention de Monsieur Thierry BRETON, Ministre de l'Economie
  Copie au Cabinet du Premier Ministre
  Copie au Cabinet du Président de la République


  Monsieur le Ministre,

  Nous apprenons, par l'Association Française et Internationale de
  Protection Animale (AFIPA), que vous n'avez toujours pas signé
  l'arrêté interministériel visant à interdire l'introduction et la
  mise sur le marché de la fourrure de chat et de chien en France.

  Nous sommes consternés par votre attitude sur un sujet qui reçoit
  l'intérêt de tous. Les Français  souhaitent voir l'arrêté signé au
  plus vite.. Mais vous bloquez toujours le processus.!!! Seriez-vous
  favorable à la commercialisation de la fourrure de chat et de
  chien ??? Quels intérêts défendez-vous ?

  Que nous ayons des animaux ou pas, tous, nous sommes concernés par
  cette question !

  Votre conseillère a traité l'AFIPA avec une curieuse désinvolture,
  fixant un rendez-vous téléphonique qu'elle savait ne pouvoir honorer
  pour cause de séjour à l'étranger !!!!! Soyons sérieux Monsieur le
  Ministre. En cette période pré-électorale  nous faites-vous l'injure
  de considérer comme quantité négligeable les électeurs protecteurs
  des animaux ?
  Devons-nous descendre dans la rue pour obtenir ce qui nous est dû ?

  Nous sommes exaspérés Monsieur le Ministre : les articles se
  succèdent dans les journaux (le dernier étant France Soir du 12
  janvier) ; les personnalités se mobilisent autour de l'AFIPA pour
  vous faire  entendre raison.
  Monsieur le Ministre, notre revendication est que l'arrêté
  interdisant l'introduction et la mise sur le marché de la fourrure
  de chat et de chien soit signé et qu'il soit publié au Journal
  Officiel.

  Nous vous demandons aussi de recevoir les représentants de l'AFIPA
  dans les meilleurs délais. Ainsi, nous pourrons être sûr que tout
  est mis en ouvre pour protéger nos animaux.

  Réagissez Monsieur le Ministre !

  Recevez, Monsieur le Ministre, nos cordiales salutations.

  NOM :
  Prénom :
  Adresse :
  Code Postal :
  Ville :

 

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Comment et qui...pour porter les plus belles fourrures...luxe et dépravation. torture, boucherie? élégance? que choisir?

11 Janvier 2006, 16:59pm

Publié par Jo benchetrit

 

 


Les camps de concentrations,
pour animaux existent ...
Pour le plaisir de ces dames porteuses 
de manteaux d'animaux

Que de sang

Que de tourments

De châtiments

Juste pour étaler votre argent

Et épater vos gens

 

Votre « beau » manteau,

Cette peau

Que vous arborez sur votre dos

Ce n'est pas un cadeau

C'est un fléau !

 

Nous ne sommes plus au moyen-âge

Et pourtant à voir ces élevages

Pauvres animaux vivants sur un grillage

Qui finiront à l'abattage

Après un horrible carnage

 

Si vous croyez qu'en portant cette peau de bête

Vous ferez partie de la Jet-Set

Vous êtes vraiment bobette

D'ailleurs je vais être honnête

Cela épaissi votre silhouette

 

Tant de tourments et de souffrances

Juste pour vous donner de l'apparence

Afficher votre soi-disant élégance

Mettre en avant votre aisance

Et l'état de vos finances

Cela n'a aucun sens

C'est de l'arrogance

De l'indécence !

 Vous vous admirez devant le miroir

Croyant être la belle d'un soir

Mais moi j'aimerais vous faire voir

Ce qu'est le piège à mâchoire

 

Tous ces supplices

Et ces sévices

Tout çà rien que pour votre pelisse

C'est du vice !

 

Vous croyez avoir fière allure

En vous pavanant avec cette pelure

Et en arborant votre air si sûr ?

Mais vous n'êtes qu'une ordure,

 

Une rature

Une crevure !

Renoncez à votre parure

Éviter-lui la torture

Laissez-lui sa fourrure !

 

Catherine AMIGUET


 

Quelle que soit sa provenance , la fourrure est tachée de la souffrance 
de millions d'animaux sauvages

Chaque seconde, un animal meurt pour la mode.

C'est la réalité désastreuse qui se cache derrière la façade élégante du commerce de la fourrure.

Chaque hiver, environ 35 millions de mammifères magnifiques et intelligents sont massacrés uniquement à cause de la fourrure qu'ils portent sur le dos. C'est l'équivalent d'un animal qui meurt chaque seconde, chaque jour de l'année, après avoir enduré des souffrances atroces et inutiles.

 

L'élevage des animaux pour leur fourrure.

Les toutes dernières statistiques indiquent que presque 30 millions de visons et renards sont encore élevés et tués dans des fermes d'élevage d'animaux à fourrure chaque année purement pour leur peau.

Le Danemark est en tête des pays producteurs de peaux de vison (plus de 10 millions de visons sont élevés dans ce pays chaque année) tandis que la production des peaux de renard est dominée par la Finlande qui fournit 2,5 millions au niveau mondial qui a totalisé 4,45 millions en 1997.

La vie dans les usines d'élevage des animaux à fourrure est lugubre, les animaux sont à l'étroit, mal nourris et leur vie est courte. Ils sont nés au printemps et massacrés au mois de novembre/décembre suivant, juste après leur première mue, lorsque leur fourrure est de toute beauté et que les imperfections ont disparu.

Les animaux dans les fermes d'élevage sont enfermés dans des rangées de cages grillagées avec pour certains l'accès à une boîte en guise d'abri. Une cage typique abrite deux ou plusieurs visons et mesure seulement 75 x 30 x 38 cm de hauteur, tandis que la cage des renards fait 108 x 113 x 72 cm. Dans leur habitat sauvage, les visons défendent des territoires pouvant couvrir jusqu'à 9 hectares tandis que les renards arctiques sont réputés pour couvrir un territoire situé entre 800 et 6000 hectares dans leur toundra native.

En Grande-Bretagne, le Comité pour la Protection des Animaux de Ferme décrit les visons et les renards comme des "animaux sauvages essentiels" et tous les experts objectifs sont d'accord sur le fait que garder ces animaux dans de telles conditions est tout à fait impropre et même cruel.

Ces conditions d'existence horribles donnent à des animaux intelligents et curieux à l'origine comme les visons et les renards un comportement stéréotypé, avec pour caractéristiques l'automutilation et même le cannibalisme.

Les animaux élevés dans les fermes d'élevage pour fourrure sont tués en les gazant (habituellement avec de l'oxyde de carbone provenant de tuyaux d'échappement), en leur brisant le cou, par électrocution (en posant des électrodes sur la gueule de l'animal, avec insertion dans le rectum) ou par injection létale.

Source: http://www.respectforanimals.org


 

LES FERMES D'ÉLEVAGE

(source co-action)


De par le monde, plus de 31 millions d'animaux prisonniers des fermes d'élevage mènent une existence monotone et artificielle. Ce nombre équivaut à 26 millions de visons, à 4.5 millions de renards, à 250 000 chinchillas auxquels s'ajoutent des lynx, des zibelines, des lapins ect. Pour confectionner 1 manteau de fourrure avec des visons femelles il faut 50 animaux; avec des visons mâles 30 animaux. Un seul manteau de renard requiert la mort de 18 animaux et celui en chinchillas plus de 100. Tous les besoins les plus élémentaires de ces animaux sauvages demeurent bafoués et reniés. Ils souffrent massivement de troubles de comportement liés à leur incarcération, attrapent de multiples maladies, d'infections de la peau, d'empoisonnements du sang, de diarrhées, de pneumonies et deviennent l'hôte de parasites tels que puces, poux, tiques ou acariens divers. Sans oublier les mouches attirées par les monceaux d'excréments qui s'accumulent dans et autour des fermes.

80% des fourrures vendues au Canada proviennent de fermes d'élevage. La majorité des fermes de visons se retrouvent en Ontario et celles des renards en Nouvelle-Ecosse. Selon Statistiques Canada, il y a au Québec 42 fermes de renards et 22 fermes de visons (1998). Les Etats-Unis produisent mondialement 10% des fourrures provenant d'animaux prisonniers de cages; 60% à 75% des manteaux vendus dans ce pays sont des fourrures de fermes d'élevage . L'industrie planétaire de la fourrure provient à 85% de fermes d'élevage.

FINI LE RÊVE DE LIBERTÉ

Il court, il court. Sillonnant un pré, fendant les broussailles, grimpant les arbres, plongeant dans l'eau dans un élan de grâce pour descendre au fond à grands coups de pattes... Une blessure à la patte le fait sursauter. Son compagnon de cellule montre les dents. La puanteur indescriptible des excréments des cent milles autres visons, renards, irritent ses narines. Une fois de plus, sa fugue ne fut qu'un rêve. Comme depuis les deux cent quarante nuits depuis sa venue «au monde». Deux cent quarante jours de «vie» dans une étroite cage en treillis métallique exiguë - l'une des cinquante mille alignées en longue rangées. Deux cent quarante jours de monotonie, d'odeurs abominables, d'horreurs, d'agressions et de souffrances. Manger, boire, déféquer et se prévenir en permanence des attaques des codétenus. Toujours poussé par l'instinct profond de mouvement. En avant - en haut - en arrière - en bas - en avant - en haut - en arrière - en bas. Jusqu'à l'épuisement total. Bref sommeil - juste le temps de rêver d'une juste liberté. Enfin. La monotonie rompue. Hier, rien à manger. Aujourd'hui non plus. Les cris perçants tout alentour s'amplifient. Ça y est - une main «humaine» épuisement gantée empoigne l'animal qui pousse une plainte aiguë. On enfonce brutalement sa truffe dans un trou où des gaz brûlants l'étouffent avant qu'il ne perde conscience. Le poing du bourreau lui renverse la tête. Crac. Fini. La simple mort d'un animal à fourrure.

Il existe diverses méthodes de mises à mort des visons, dont l'inhalation forcée de gaz carbonique,
rupture de la colonne cervicale, électrocution anale, injection de poisons, etc. etc.
(Textes produits par SPMA - Société mondiale pour la protection des animaux)

L'ÉLEVAGE DES VISONS

Par: Marjolaine Jolicoeur

Dans son écosystème naturel, le vison, animal semi-aquatique, vit à proximité des cours d'eau et des marais. Il passe 70% de son temps dans l'eau. Excellent nageur, il peut plonger à une profondeur de 4,5 m et capturer des poissons sous l'eau. Vivant en solitaire, il est peu sociable, sauf au moment de la reproduction où il aide sa femelle à élever leurs petits. Actif surtout la nuit, on ne peut que rarement l'apercevoir et son territoire de chasse est très vaste. Les jeunes naissent au printemps et restent près de leurs parents jusqu'à l'automne. A ce moment, la famille se sépare et se retrouve seulement à la saison suivante. Dans la nature, les jeunes visons ont besoin de jouer dans l'eau pour le développement normal de leur comportement. Privés de cet élément vital, les visons salivent, respirent davantage et leur température corporelle augmente. La chaleur estivale pose alors un grave problème à ces animaux. En 1987, par exemple, les éleveurs américains ont déclaré la perte par coups de chaleur de 450 000 visons. De plus, on considère qu'un animal élevé dans ces conditions a besoin de dix fois plus d'eau en été qu'en hiver, notamment les femelles allaitantes.

Avec tous ces facteurs, il n'est pas étonnant que les visons en captivité fassent preuve d'un comportement dérangé ou anormal. Pour les éleveurs, ces visons qui s'agitent, crient ou se rebiffent restent toujours féroces et difficiles à manipuler. Dans leurs cages, les visons courent continuellement de long en large et font sans cesse des mouvements circulaires de la tête autour de la tétine de l'abreuvoir; ce comportement peut durer jusqu'à six heures par jour. (Une enquête aux Pays-Bas a démontré que la moitié des visons se livre à un comportement stéréotypé) Les visons ont une glande qui secrète une odeur désagréable qu'ils émettent lorsqu'ils se sentent en mauvaise posture pour éloigner l'ennemi. En captivité - donc en mauvaise posture - ils recourent souvent à ce moyen de protection. Des recherches ont démontré des ulcères d'estomac chez les visons d'élevage ainsi qu'une dilatation des glandes surrénales. Il s'agit d'une anomalie corporelle indiquant là aussi un stress chronique. De 10 à 30% des visons s'automutilent ou mordent leurs congénères. Les femelles visons ont souvent des contractions anormales de l'utérus et des accouchements très douloureux. Les visons nommés mutants, c'est-à-dire ceux provenant de plusieurs croisements et de manipulations génétiques souffrent particulièrement de désordres neuromusculaires et près de 20% des Roses ombrés - Shadow Pink - ont leurs organes sexuels atrophiés et sont incapables de se reproduire. Les mutants peuvent être sourds, aveugles ou avoir des malformations congénitales. Les nombreux croisements faits sur les visons noirs rendent ces animaux sensibles aux hémorragies et à diverses maladies. On utilise des hormones et la réduction de la lumière du jour afin d'accélérer les chaleurs et la gestation.

1 MANTEAU DE VISON D'ÉLEVAGE ÉQUIVAUT À LA MORT DE 50 FEMELLES OU DE 30 MÂLES

 

L'ÉLEVAGE DES RENARDS

Dans son écosystème naturel, le renard , cet animal timide, nerveux et rusé, a des moeurs surtout nocturnes et crépusculaires. Il vit le plus souvent en solitaire. Il défend un territoire d'environ 100ha (1km2) et dispose de plusieurs terriers principaux et secondaires qui servent de repos et à l'élevage des petits. Son odorat, son ouïe et sa vue sont excellents. Le renard chasse seul ou en famille, avec la femelle et ses petits. Il se reproduit une fois l'an dès l'âge de 10 mois. La période de gestation dure une cinquantaine de jours. Le terrier de reproduction héberge habituellement une portée d'environ 5 renardeaux mais deux femelles d'un même groupe peuvent élever leur progéniture ensemble dans un même terrier. A 6 semaines les jeunes quittent leur terrier et commencent leur apprentissage à proximité. Les renards ont une alimentation très variée comportant insectes, baies, fruits, oiseaux, petits mammifères et ils mangent des milliers de rongeurs dans une année. En liberté, les renards peuvent vivre jusqu'à l'âge de 12 ans.

Dans les fermes d'élevage, ces animaux sauvages passent toute leur existence misérable dans des cages, coupés de leurs besoins les plus élémentaires tels que parcourir leur territoire de chasse, creuser des terriers ou avoir des contacts avec leurs congénères. On leur donne des sous-produits de viande ,de poissons et parfois des carcasses d'autres animaux à fourrure précédemment tués. Cette bouillie est mise sur le dessus des cages et le renard doit lécher sa nourriture à travers les mailles du treillis. En période de grand froid la langue du renard peut geler sur les treillis, se déchirer et même y rester. Tout comme les visons, les renards d'élevage souffrent de diverses maladies et de comportements anormaux. Angoissés et apathiques, ils se tiennent à plat ventre dans les cages sans bouger ou ils tremblent de peur en voyant des humains, défèquent et tentent de se cacher au fond de la cage. Ils peuvent tenter de mordre quand on les manipule, attaquent la cage pour tenter de s'enfuir ou arpentent constamment leur prison. De 10 à 20% des mères rongent la queue de leurs petits ou les mangent. Par manque d'exercice, les renards développent de longues griffes, inconfortables sur les fils métalliques des cages et se blessent les pattes. Dotés d'un fin odorat, ils vivent dans d'épouvantables odeurs, puisque les renards délimitent leur territoire en urinant et qu'ils agissent de même en captivité. Les éleveurs imposent aux renardes des régimes draconiens avant la période d'accouplement; elles peuvent perdre jusqu'à 25% de leur poids normal et souvent elles en meurent. Contraints de s'accoupler contre leur gré, dans un environnement artificiel, les renards se battent avec violence. Pour contrer ces comportements on a recourt à l'insémination artificielle. Les infections de l'utérus sont alors fréquentes. Par exemple, en 1991, dans certaines fermes finlandaises, la mortalité des renardes inséminées a pu atteindre 30 à 50%. Les renardeaux naissent au printemps pour être tués en automne. Les renards gardés pour la reproduction peuvent vivre plusieurs années dans ces conditions de captivité lamentables.


 

(SW) «Vous égarez le public avec de vieilles photos» nous reprochent souvent les fourreurs. Mais vieilles ou récentes, celles-ci montrent toujours les désastreuses conditions de vie qui ne changent guère dans les élevages d'animaux à fourrure. Un membre de notre organisation a visité, cet été 1998, un tel établissement et en est revenu scandalisé. Les photos prises à cette occasion ressemblent forcément beaucoup à celles que l'on a vues les années passées… Voici son récit:

Un élevage moderne

Des cris bouleversants déchirent le silence de cet après-midi scandinave et nous transpercent jusqu'à la moelle. Une odeur d'urine pénétrante imprègne l'air autrement si pur. Dans la paix apparente d'une nature grandiose, rôdent la terreur et l'angoisse. Pudiquement dissimulée derrière quelques arbustes, la source de ce cauchemar se révèle être ce que l'industrie de la fourrure se plaît à appeler une "ferme d'élevage": des dizaines de rangées de toitures en tôle recouvrent autant de rangées de cages minuscules, en grillage de fil de fer. Des milliers de créatures innocentes, ici des renards bleus, y vivent la torture au quotidien, depuis le jour de leur naissance jusqu'à celui de leur atroce mise à mort. Les plus chanceux sont ceux qui seront écorchés très jeunes, à l'âge de quelques mois seulement; les plus à plaindre, ceux qui, destinés à la reproduction, sont condamnés à croupir 3, 4, voire 5 ans dans ces conditions infâmes.
C'est donc ça "l'élégance" préconisée par les fourreurs: saleté, terreur et souffrance! Certes qu'avant de franchir le seuil d'un magasin de fourrure, chaque cliente devrait d'abord passer quelques minutes dans cet univers sordide; elle saurait alors combien de cruauté elle affiche lorsqu'elle enfile un vêtement de fourrure.
Ceci, l'industrie de la fourrure le sait parfaitement, et pour faire marcher quand même son triste business, elle n'hésite pas à proférer de fausses informations sur les conditions de vie des malheureuses victimes de la vanité humaine, les animaux. Elle accuse notamment leurs défenseurs de montrer «toujours les mêmes photos dépourvues d'actualité». Combien de mauvaise foi! En effet, comment reconnaître si une photo est ancienne ou récente, si sur le terrain rien n'a changé? Les clichés accompagnant ces propos datent bel et bien de 1998.

Les usines de l'horreur: ni naturelles ni écologiques!

Les dimensions des cages minuscules n'ont guère changé: moins d'un mètre carré par individu pour ces renards, qui dans la nature sauvage parcourraient plusieurs dizaines de kilomètres par nuit. Cette promiscuité leur cause, entre autres, de graves problèmes de territorialité qui se traduisent par un état de stress permanent. Rappelons qu'en Suisse la loi exige un minimum de 20 m2 par couple.

Le sol des cages en grillage de fil de fer est omniprésent - c'est si pratique, les excréments passent à travers et on n'a pas besoin de nettoyer! Qu'importe s'il représente pour les animaux un supplice quotidien: il est en effet souvent la cause de douloureuses blessures aux pattes ou d'infections, car au contraire des conditions de vie en liberté, où ils peuvent, dans le fond de leur confortable tanière, maintenir une température stable, ils sont, dans ces cages ouvertes sur tous les côtés, exposés aussi bien aux rigoureux froids d'hiver qu'aux chaleurs estivales qui peuvent facilement atteindre 30°C.

Cette année-ci non plus: pas de distractions ou d'occupation dans ces cages austères. Pas un brin de paille, ni d'étagère en bois, où les animaux pourraient se retirer et observer ce qui se passe autour d'eux. Forcément, nous dit-on, ils la détruiraient en voulant s'y faire les dents et, cherchant à vivre quelque peu leur instinct qui les pousse à marquer leur territoire, ils l'aspergeraient d'urine et le bois pourrirait vite… On se demande comment font les zoos, dont la politique récente est pourtant d'enrichir aux maximum l'environnement des cages; la loi suisse en tout cas prévoit une aire de grattage pour les renards.

Près de 9'000 animaux, soit environ 1'600 mères, plus de 100 mâles reproducteurs et quelque 7'000 renardeaux croupissent dans ce seul établissement. Leur anxiété et leurs mouvements stéréotypés - des longes périodes d'apathie complète alternant avec des phases dhyp-activité (le va-et-vient incessant le long des quelques centimètres de la paroi de la cage) - montrent bien le stress insupportable que représente pour des animaux sauvages leur détention dans ces conditions désastreuses.

1L'année a commencé normalement, dans cet élevage, comme dans tous les autres, par la reproduction: accouplement direct pour une partie des animaux - pas question de se soustraire aux avances d'un mâle non apprécié, pour les victimes c'est le viol pur et simple. Pour les autres c'est la terreur des fers et des manipulations lors de l'insémination artificielle.

Comme tous les printemps: naissance des petits malheureux. Les pertes sont considérables: jusqu'à 20% des femelles sont infécondes, parmi les autres, nombreuses sont celles qui ne sont pas à même d'élever correctement leur progéniture. Mutilations, cannibalisme et infections sont à l'ordre du jour dans cet environnement hostile. Environ 30% des petits meurent avant d'être sevrés.

Comme tous les ans, novembre sera le mois de la mort. Le pelage d'hiver alors tout neuf, pas encore endommagé par les sévices de la captivité, permettra aux fourreurs de souligner combien les «animaux sont heureux» s'ils ont une si belle fourrure! La "récolte" sera de quelque 7'000 animaux, tués ici même, tout au long de ce mois, par électrocution: une électrode dans la gueule, l'autre dans l'anus: tout ceci, Mesdames, est tellement élégant! La chair de leurs petits corps sera brûlée.

Quiconque achète, cette année encore, un vêtement de fourrure se rend complice de tant de cruauté.

Espoir au seuil de l'an 2000

Les jeunes générations sont plus ouvertes, le nouveau millénaire sera celui du coeur, non plus celui de l'arrogance! Preuve en est qu'à partir de 2005, les élevages intensifs de renards seront interdits en Hollande. Selon l'avis du Prof. Dr. F.J. Grommes de la Faculté de Science Vétérinaire de l'Université d'Utrecht «les visons et les renards ne sont pas adaptés au confinement dans des cages. La souffrance de ces animaux dépasse de beaucoup le but pour lequel ils sont élevés». Le message cartésien s'effacera devant un hymne à la vie et la voix de St. Thomas d'Aquin sera à nouveau perçue: «Respectez toutes les créatures, afin qu'elles ne vous accusent pas le jour du jugement».

La face cachée d'un manteau de fourrure

 


Vidéos sur le piégeage
Visionner le film ( Their Future In Your Hands ) en RealPlayer sur le site de Animal Aid.
Sur le site de Animal Aid, cliquez sur l'image des trois petits coyotes en haut à droite de la page suivante :
http://www.animalaid.org.uk/campaign/videos.htm

PAGE DES VIDÉOS ANTI-FOURRURE DE PETA
http://www.peta-online.org/mc/multi-skins.html

AUTRES VIDÉOS SUR LE PIÉGEAGE
Canadian Trapping Footage
Mink Neck Snapping on an American Fur Farm
Fox Anal Electrocution on a Canadian Fur Farm
http://www.aeinc-online.org/video_archive.html

 

« Peu d'hommes pourraient supporter pendant cinq minutes l'observation d'un animal se débattant, avec un membre écrasé ou déchiqueté.» - Darwin « L'attrape-patte est le plus sadique des instruments de torture depuis la roue et l'écartèlement du Moyen-Age » de souligner
Frank Conibear, ancien trappeur, dont certains pièges portent son nom.

 

 


 

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 Alors, après avoir lu ça, allez vous vous laisser convaincre par ça?...:

*Dix excellentes raisons de porter la fourrure *

1. Chaleur
La fourrure est la réponse de la nature aux froids de l'hiver. Selon un
sondage, c'est d'abord pour se tenir au chaud que les gens portent leur
fourrure.

2. Mode
Classique, sportive ou élégante, la fourrure est toujours à la mode. Le
nombre de créateurs travaillant la fourrure a triplé au cours des dix
dernières années.

3. Durabilité
La fourrure est une matière naturelle qui reste belle année après année.

4. Possibilité d'adaptation
Le manteau de fourrure
s'adapte<
http://www.diversimanto.com/cgi-cs/cs.waframe.content?topic=27871&lang=1>au
goût du jour et aux caprices changeants de la mode, encore et
encore...

5. Respect de l'environnement
La fourrure est une ressource renouvelable et biodégradable.

6. Polyvalence
La fourrure accompagne aussi bien le jeans que la robe du soir, et crée
toujours un look exceptionnel. Étant donné la légèreté des nouvelles
fourrures et des accessoires, la fourrure est de mise trois saisons durant.

7. Soutien d'un mode de vie
En achetant un manteau de fourrure, vous soutenez des milliers de gens qui
vivent loin des villes et dont le gagne-pain dépend de la protection des
habitats fauniques. L'industrie de la fourrure perpétue notre héritage
nord-américain.

8. Appui à la conservation de la faune
Les fourrures employées dans l'industrie sont abondantes. La gestion des
populations est assurée par l'application rigoureuse de nombreux règlements,
et aucune espèce menacée n'est employée.

9. Confort
Toute de souplesse et de légèreté, la fourrure vous couvre de douceur; rien
n'égale la sensation que procure la fourrure.

10. Choix personnel

L'industrie de la fourrure est responsable, et son activité rigoureusement
réglementée. Porter de la fourrure est une marque de respect envers la
nature et d'harmonie avec elle.


La fourrure, une tradition nord-américaine, une industrie responsable dans
l'utilisation de ses ressources et fière de la qualité de ses confections
artisanales


--
Daniel,
Contre la barbarie envers les animaux
http://wolf.31.free.fr


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si dieu existe, alors il a perdu. Aïd el kebir, moutons, et grippe aviaire, oiseaux: les grands massacres! Merci. Signé Satan.

10 Janvier 2006, 06:37am

Publié par Jo benchetrit

Difficile aux amis des bêtes de penser que c'est Dieu qui permet tout ça...alors faute de Dieu, il reste le diable à qui veut croire aux forces occultes.
Mais le diable est en nous ...et ce n'est pas occulte du tout.

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Poissons, extinction des espèces des profondeurs. Pêche abusive sans règlement efficace pour les sauver.

9 Janvier 2006, 10:36am

Publié par Jo benchetrit

Il faut manger du poisson…pour avoir des oméga 3, nous conseille la médecine!
Or, l'huile de colza en a des tonnes et pour pas cher. Ça, c'est ben vrai.
Alors, pourquoi tuer des poissons?
 
Les poissons des profondeurs sont en voie de disparition. Mais si on les pêche, c'est bien parce que ceux qui vivent plus haut sont de plus en plus rares, non ?
Le cynisme humain s'en fiche un peu. On développera l'élevage et on continuera à bouffer du poisson…pas cher comme les bars et les saumons, par exemple.
Il y a un hic, tout-de-même : pour obtenir un 1kg de saumon il faut environ 3 kg de poissons sauvages. Qu' à cela ne tienne, dira le cynique…on a plus d'un tour dans notre sac, on élèvera des animaux aériens pour leur filer à manger, ou les surplus, les déchets, les animaux malades des abattoirs.
Ben c'est déjà fait, remarquez, et ça explique pourquoi les poissons d'élevage ne contiennent plus autant d'oméga 3 et une grande quantité de graisse saturée, mauvaise pour le coeur.
Qu'importe, me direz vous…l'huile de colza en contient assez... et pour pas cher.  
Alors, je me répète: pourquoi tuer des poissons?
 
 Les poissons des profondeurs en danger, Le Nouvel Observateur, 05/01/06
Cecile Dumas
La pêche en eaux profondes met en danger des espèces de poissons dont 
la reproduction est lente, confirme une étude publiée aujourd'hui 
dans la revue Nature qui s'interesse a cinq espèces vivant sur la 
pente continentale de l'ocean Atlantique Nord. Ces poissons n'etaient 
pêches que rarement avant les années 70, soulignent Jennifer Devine 
et ses collègues, avant que les bateaux de pêche descendent leurs 
filets plus bas, entre 500 et 1.500 mètres de profondeur.
Ces biologistes ont analyse les registres officiels du ministère de 
la pêche au Canada pour estimer l'evolution de cinq espèces : le 
grenadier de roche (Coryphaenoides rupestris), le grenadier berglax 
(Macrourus berglax), l'antimora bleu (Antimora rostrata), la raie a 
queue épineuse (Bathyraja spinicauda) et le tapir a grandes écailles 
(Notacanthus chemnitzi).
En 1978 et 1994, l'abondance de ces poissons a décline de 87 a 98%. 
Pour le grenadier berglax et le grenadier de roche le déclin est de 
99,6% et 93,3% respectivement sur 26 ans entre 1978 a 2003. Or une 
baisse de population de plus de 80% sur trois générations est un 
critère fixe par l'Union internationale de protection de la nature 
(IUCN) pour classer une espèce dans la catégorie «sérieusement 
menacée» de disparition.
Les chercheurs canadiens estiment donc qu'il est urgent de prendre 
des mesures de protection de ces espèces des profondeurs. Leur durée 
de vie peut atteindre 60 ans : ils n'atteignent la maturité sexuelle 
que tardivement, ce qui les rend vulnérables. Certaines de ces cinq 
espèces sont péchées accidentellement alors que d'autres espèces 
commerciales sont visées. Par conséquent si les quotas de pêche ne 
concernent que les espèces menacées ils sont inefficaces pour enrayer 
leur déclin.
<
http://sciences.nouvelobs.com/sci_20060105.OBS1049.html>

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victoires en Catalogne des anti corridas! les sadiques se mordent la queue et s'arrachent les oreilles.

9 Janvier 2006, 10:02am

Publié par Jo benchetrit

Signez ici: http://www.petition-anticorrida.com/

Il ne faut pas se priver d'être content quand on lit ceci, écrit par des pro-torture tauromachiques:

n article du journal La Dépêche du
08/01/06 (pro-corrida comme chacun le sait):
Les anti-corrida mènent bataille en Catalogne
Les idoles des Espagnols ne sont plus des toreros, mais le tennisman Rafael
Nadal et le pilote automobile Fernando Alonso ou des joueurs de football...
Au pays de la corrida, des associations dénoncent les "cruautés" faites aux
toros. C'est en Catalogne que les anti-corrida sont les plus nombreux: au
mois d'avril 2004, une pétition signée par 245 000 personnes a été remise au
maire de Barcelone Joan Clos, qui a promulgué sa ville "ciudad antitaurina",
décision de principe sans aucun effet. Seize autres villes ont suivi le
mouvement.
Dans d'autres régions, la tradition reste fortement ancrée, et elle est liée
aux grandes fêtes à Séville et Pampelune: 2 000 corridas sont célébrées
chaque année en Espagne. Les statues des toros de Osborne ont été classées
monuments historiques!
Mais en ce début d'année, les éleveurs n'ont pas le moral; sous la pression
des écologistes, l'Europe vient de supprimer la subvention qu'elle allouait
aux propriétaires de taureaux de combat.
Et certains éleveurs sont atteints par l'épidémies de fièvre catarrhale,
maladie de la langue bleue.
Juan Serrano "Finito de Cordoba", 34 ans, torrero catalan, andalou de coeur:
"Il y a toujours eu des opposants à la corrida, c'est comme ça... La
mobilisation pour défendre la tauromachie en Catalogne a été importante.
J'aime l'arène de Barcelone, contrairement a ce qu'on dit, il y a là-bas une
vraie aficion, des connaisseurs, des aficionados. C'est même une de mes
trois plazas préférées... Les problèmes que pourraient rencontrer la
tauromachie et les jeunes toreros de demain viendraient plutôt de
l'intérieur, du système lui même".

Il faut preciser que cela vient après ça:

CERDANYOLA
vient de se déclarer anticorrida. Ainsi 21 villes de Catalogne osent
dire non à l'abjecte corrida.
Quelle belle leçon contre la barbarie nous donnent nos amis d'outre-
Pyrénées!

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Vous mangez de la viande aux OGM!!!!

8 Janvier 2006, 20:40pm

Publié par Jo benchetrit

http://www.ogm.gouv.fr/questions/reponses/15.htm

En France - comme probablement ailleurs dans le monde - les animaux destinés à la consommation humaine et nourris
d'aliments à base d'o.g.m. ne peuvent pas être considérés comme des "animaux génétiquement modifiés", c'est la raison
pour laquelle ils ne figurent pas dans la Liste gouvernementale de produits dérivés d'ogm.

Cliquez et lisez sur le site officiel du gouvernementfrançais :

http://www.ogm.gouv.fr/questions/reponses/15.htm
le texte intitulé "Y A-T-IL DEJA DES OGM DANS-NOS-ASSIETTES ?", qui précise ceci :

"Par ailleurs, des produits issus d'OGM sont utilisés dans l'alimentation animale. C'est en particulier le cas des
tourteaux de soja importés qui sont utilisés, notamment dans l'élevage BOVIN et PORCIN. A cet égard, il faut rappeler
que les données scientifiques dont nous disposons indiquent que la présence d'OGM dans l'alimentation animale ne modifie
en rien les caractéristiques des produits animaux."

(Les caractéristiques des aliments d'origine animale ne sont pas modifiées. Très bien...  On aimerait quand même savoir
ce que regroupe exactement le mot "caractéristiques" dans ce cas ?...)

En tout cas cette information se révèle d'importance pour les personnes - omnivores, mais aussi végétariennes - et LEURS
ENFANTS - consommant :

viandes, charcuteries, volailles, poissons d'élevage, oeufs, lait, fromages, beurre, yaourts et autres produits
laitiers, bref tous les produits provenant d'animaux issus d'élevage non biologique sensés pouvoir être nourris
d'aliments contenant des ogm.

=> Sont autorisés pour la filière de l'ALIMENTATION ANIMALE (ANIMAUX DESTINES A LA CONSOMMATION HUMAINE) les produits
"ogm" suivants :

 1 variété de soja.
 4 variétés de maïs (dont le BT-11).
 Les produits dérivés d'1 variété de colza.

=> Sont autorisés pour la filière de l'ALIMENTATION HUMAINE les produits "ogm" suivants :

 Maïs BT-11 (autorisé le 19 mai 2004).
 Ingrédients dérivés d'1 variété de soja et de 5 variétés de maïs.
 Les huiles obtenues à partir d'une dizaine de variétés de colza.
 Les huiles obtenues à partir de 2 variétés de coton.

"Plantes et produits alimentaires génétiquement modifiés autorisés en France. Autorisations dans le cadre de la
directive européenne2001/18/CE" - voir source officielle :
www.ogm.gouv.fr).

Pour plus de détails sur les produits de consommation manufacturés contenant des ogm et destinés à l'alimentation
humaine, consulter également la liste spécialement établie par Greenpeace France.

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Le propre de l'homme: les pulsions et pas d'instincts.d'où sa cruauté.

8 Janvier 2006, 18:45pm

Publié par Jo benchetrit

Tous les animaux sont différents mais ils ont aussi des points communs.
L'un des points communs à tous les autres et pas aux hommes, c'est
l'instinct.
Ne pas avoir d'instinct mais des pulsions a une conséquence énorme: ça nous
met  sous la domination du désir de jouir jusqu'à la destruction. C'est
ce qu'on appelle la pulsion de mort. Celle-ci    préside à plein de
choses...comme la recherche sur animaux dite à tort scientifique, car elle n'est aps sublimée, du fait qu'elle se situe de facto dans le champ hors-loi de notre rapport aux animaux. La pulsion scopique s'y satisfait telle quelle, sans limite aucune, de ce fait.

Ce n'est aps étonnant du coup que  l 'on cherche à y découper un
vivant pour en atteindre la plus petite dimension...Jusqu'au
rien...jusque-là la désintégration. Car le but est de voir tout, un tout impossible, car ce tout c'est la chose que le sujet ne peut voir du fait de la castration symbolique, cette part de réel perdue, à jamais.
L'nstinct commande au sujet de survivre. et pour cela, il arrive à certains,
les carnivores, de tuer.

Un humain est omnivore et peut se passer de viande. Si tel n'était pas le
cas...nous ne pourrions pas être végé.
La mort peut être douloureuse et cruelle, oui, mais cela ne signifie pas que
l'animal non humain le soit.
l'homme jouit du mal qu'il fait. Il peut donc être cruel et ne s'en prive
pas.

car il a des pulsions qui remplacent l'instinct qui, lui ne veut pas la
jouissance de détruire mais la vie du sujet...l'homme tue sans fin et sans faim...car sa faim est d'autre chose, elle est faim de fin du désir.

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La vie gâchée par l'attitude des hommes avec les animaux.Brigitte Bardot à RTL.

8 Janvier 2006, 17:57pm

Publié par Jo benchetrit

Je me demande si on ne pourrait pas porter plainte pour violation du droit de l'homme au respect de sa conscience.

Sur RTL, dimanche 8 janvier 2006

Pense bêtes 

Chaque dimanche à 7h19, Patrick Durieux s'intéresse à nos amis les animaux de tous poils et plumes, avec l'aide de spécialistes.
 
 
 
 
 08/01/06
Les voeux de Brigitte Bardot

Invitée exceptionnelle de ce premier Pense-Bêtes de l'année, Brigitte Bardot est une femme toujours aussi pugnace dans sa défense des animaux. Chez elle, c'est le coeur et la raison qui parlent, les deux sont indissociables. Cela fait exactement vingt ans que BB a créé sa Fondation à Saint-Tropez. Mais elle avait commencé son combat dès 1962. Elle sera la première, en France, à dénoncer publiquement les méthodes d'abattage des animaux de boucherie et à l'entendre en 2006 tout reste à faire.

 Ecouter la chronique de Patrick Durieux


Le monde ... un immense abattoir à ciel ouvert

Brigitte Bardot : " Le monde devient un immense abattoir à ciel ouvert où l'on abat tout ce qui bouge et qui peut rapporter du pognon. Evidemment, ce sont les politiques qui peuvent mettre un frein à tout ça, mais les politiques ont toujours des problèmes beaucoup plus importants à régler que les problèmes d'animaux. Moi depuis trente ans que je demande des choses qui sont des choses évidentes, je n'obtiens rien du tout car cela passe toujours en dernier .Ca n'intéresse personne . Mais un jour ça va nous retomber sur le coin de la gueule.

Non seulement on n'avance pas mais, à mon avis, on recule car depuis que je fais de la protection animale, les choses ont empiré : il y a une industrialisation de la mort qui n'existait pas avant. La mort est devenue industrielle avec les abattoirs, les élevages pour la fourrure, on tue à la chaîne. C'est horrible, c'est insupportable de cruauté inutile."

RTL : Les grands singes : si rien n'est fait d'ici 2015, ils auront totalement disparu en 2050. Est-ce que vous ne croyez pas qu'on prend le problème "à l'envers" : ne faudrait-il pas d'abord aider les populations locales avant de s'attaquer au problème animal ?

B.B. : "Ecoutez, c'est un problème politique. Moi je ne suis pas une politique, je ne peux rien faire politiquement, je n'en ai pas les moyens. Il y a des gens qui sont payés pour cela, qui sont élus pour cela. A eux de se rendre compte -ils ne sont pas plus cons que moi !- que les choses vont de travers. Tout le monde s'en rend compte et personne ne bouge. Ça, c'est dramatique. Par exemple, pour éviter la viande de brousse, c'est-à-dire bouffer du singe, il faudrait peut-être donner aux gens là-bas la possibilité de manger autre chose."

Je vis avec un cauchemar dans mon coeur et dans mes yeux

RTL : Qu'est-ce qui vous choque le plus ?

B.B. : " Tout me choque, tout ce qui entraîne une douleur, une souffrance, une mort moche, un martyr, les gens s'en foutent du martyr des animaux. "

RTL : Qu'est-ce que vous ressentez quand vous voyez quelqu'un porter de la fourrure aujourd'hui ?

B.B. : " Je pique une rage !! J'ai envie de foutre une claque à la bonne femme et de lui arracher ce qu'elle a sur le dos. Quelquefois, à la Fondation, on a foutu à la porte des bonnes femmes avec des manteaux de fourrure. Elles ressortent avec un coup de pied dans le cul ! "

RTL : A la vue de certaines images, arrivez-vous à vous en remettre ? Comment vivez-vous avec ?

B.B. : " Non, je ne m'en remets pas et je vis avec un cauchemar dans mon coeur et dans mes yeux. C'est un cauchemar permanent et j'ai du mal à pouvoir éliminer des images qui m'ont tellement choquée qu'elles sont sans arrêt devant mes yeux. Même quand j'ai des moments de détente, eh bien, ils sont tout de suite coupés par le fait que je me dis, à l'instant où je suis en train de me détendre : 'voilà ce qui se passe dans les abattoirs, ce qui se passe dans les laboratoires, voilà ce qui se passe dans les transports d'animaux'. "

RTL : Vous vivez toujours avec ?

B.B. : "Je vis avec et c'est ... (pause), c'est un poids épouvantable que je me traîne… (silence), je pense qu'il faudrait reprendre un peu d'humanité au fond de notre coeur, être moins robotisé, penser un peu moins au fric et penser un peu plus aux sentiments. "

Patrick Durieux


Fondation Brigitte Bardot
28 rue Vineuse
75116 PARIS
Tél. : 01 45 05 14 60

Site intenrnet : www.fondationbrigittebardot.fr

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panique grippe aviaire. Tortures et massacres de volailles.banalité du mal. ecrire aux medias.

8 Janvier 2006, 11:33am

Publié par Jo benchetrit

'abord, pour vous informer:

http://pmaf.org/page.php?menu=rubriques/communiques/communiques_menu.html&content=rubriques/communiques/grippe_aviaire081105.html

Ensuite pour agir sur le réel immonde:

Vous pouvez copier coller cet exemple: 

 

 

Monsieur le president du....  

 Je suis à la fois horrifiée et peinée de ce qui arrive en ce moment du fait
de la peur de la grippe aviaire. Les oiseaux sont massacrés en les
torturant...sans aucun souci d'eux.

On en voit des, enflammés qui s'echappent de brasiers, d'autres, l'oeil brillant d'adrénaline +++ à
travers un trou de sac plastique, implorant...et surtout défait d'angoisse...
La pitié a disparu. Pas un mot de revolte?

Seule l'action compte? Je demande à ce que vous nous aidiez à faire prendre
conscience que la peur n'excuse pas tout et que la morale n'a pas à
s'effacer du seul fait que la santé des hommes est à préserver.

Il suffirait de demander à ce que chaque oiseau soit tué avant d'être jeté
dans des fosses, pourquoi pas en lui tordant le cou?
C'est affreux...nous...les défenseurs de la vie et de la dignité humaine
demandons simplement à ce que la mort ne soit pas en plus, un calvaire
cauchemardesque. Est-ce trop demander?)

La conscience des hommes serait-elle morte?

Aucun mot de compassion, nulle part dans les medias? Rien? ce ne sont que
des choses?

Cela n'a que trop duré. Il est urgent que le sentiment de compassion prenne
le dessus sur celui de la peur.

Il y va aussi de l'education des enfants qui voyant, ça, ne comprendront pas
pourquoi ensuite, on va leur demander de ne pas taper sur leur chat, voire
leur petit frère, voire les tuer...  Salutations pleines d'espoir.

Nom:

pays:

e mail:

aux journaux, aux radios, aux chaînes télé:

un début de liens:

CSA:

http://www.csa.fr/outils/contact/contacteznous_message.php

La Croix
3-5, rue Bayard
75393 Paris Cedex 08.
Tél : 01.44.35.60.60
Fax : 01.44.35.60.01
Directeur de la rédaction : Bruno Frappat
email :
bruno.frappat@bayard-presse.com


Le Figaro
37, rue du Louvre 75002 Paris
Tél : 01.42.21.62.00.
Fax : 01.42.21.22.99
Directeur de la rédaction : Nicolas BEYTOUT
email :
nbeytout@lefigaro.fr

France-Soir
45, avenue Victor Hugo. Bâtiment 265.
93534 Aubervilliers Cedex.
Tél : 01.53.56 87.00./88 24
Fax : 01.53.56.87.68
Directeur de la rédaction : André Bercoff
email :
a.bercoff@pressealliance.com

L’Humanité
32 rue Jean Jaurès
93528 Saint Denis Cedex
Tél : 01.49.22.72.72
Fax : 01.49.22.73.00
Directeur de la rédaction : Pierre Laurent
email :
pierre.laurent@humanite.presse.fr

Libération
11, rue Béranger
75154 Paris Cedex 03.
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Le Monde
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75242 Paris Cedex 05.
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