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Psychanalyse et animaux.

la porte de l'ethique: savoir

INRA. ça sert à ça: les brebis ont des oreilles et elles entendent! quel scoop!

1 Juillet 2006, 19:07pm

Publié par Jo benchetrit

Je suis d'accord avec l'ironie de ce mail, qui montre que les chercheurs nous apprennent leur ignorance de départ. Sinon, pourquoi s'étonner de ce qu'ils ont découvert?La Palisse lui, ne serait pas plus surpris que ça.
La bêtise humaine est payante, car nous les payons, ces petits chercheurs. et je rajouterai qu'à force de croire que les animaux sont des choses, on va bien finir par s'étonner du fait qu'ils sont des animaux !! Comme nous.

Mais alores, à quoi ça sert, ces recherches?
Et bien la clé de l'énigme est donnée par la dernière proposition: "améliorer leurs performances de reproduction".

La fée économie était passée par là.

Voici le mail:

Ci-dessous un article qui relate une recherche de l'INRA (Institut 
National de Recherche Agronomique). Les chercheurs ont montré que la 
brebis reconnaît son petit grâce à son bêlement, on savait déjà 
qu'elle reconnaissait son odeur...
Que de découvertes extraordinaires!
et celle ci :
"Les résultats de ces travaux mettent en évidence l'existence 
d'interactions entre les différents sens utilisés par les animaux 
pour se reconnaître et communiquer."

A l'Inra, on découvre tous les jours un peu plus que les animaux sont 
des êtres sensibles... mais vraiment, ils ont du mal à le croire, il 
faut poursuivre les recherches...

seb.


http://www.web-agri.fr/outils/fiches/Fichesdetail.asp?id=32032&idRub=


Brebis et agneau - La communication par le bêlement décodée


Chez les ovins, la reconnaissance olfactive était connue depuis 
longtemps : la brebis apprend à reconnaître l'odeur de son nouveau-né 
en moins de deux heures et rejette tout agneau étranger. Mais la 
communication acoustique semble également une composante importante 
dans la régulation du comportement entre la mère et son agneau. Des 
travaux récents de l'unité mixte de recherche « Physiologie de la 
reproduction et des comportements » de l'Inra de Tours ont ainsi 
permis d'analyser le système de codage spécifique aux bêlements.


La brebis reconnaît les bêlements de son agneau dans les 24 heures 
suivant la mise bas (© INRA /P.Poindron )
« La brebis commence à reconnaître les bêlements de son petit dans 
les 24 heures suivant la mise bas. Quant au nouveau-né, il identifie 
probablement la voix de sa mère en 48 heures, stimulé par les 
vocalisations maternelles (bêlements bas) qui apparaissent dès les 
premières heures post-partum », expliquent les chercheurs de l'Inra. 
Cette communication vocale jouerait donc un rôle primordial pour la 
survie de l'agneau, notamment au moment de l'allaitement.

Véritable signature vocale

Les chercheurs ont aussi étudié le système de codage de l'identité 
dans les bêlements. La recherche de cette signature vocale s'effectue 
en deux étapes. « La première étape consiste à déterminer quels sont, 
dans les bêlements, les paramètres qui varient beaucoup entre 
individus et qui varient peu pour un même animal, c'est-à-dire à 
rechercher les paramètres acoustiques les plus à même de coder 
l'information individuelle », développent les chercheurs. « La 
deuxième étape consiste à tester ces paramètres, afin de vérifier 
s'ils sont effectivement utilisés par l'animal ».

Selon ces chercheurs, la signature vocale dépendrait d'une 
combinaison de plusieurs paramètres: note du bêlement plus ou moins 
grave ou aiguë, chevrotement et timbre.  La durée du bêlement peut 
aussi intervenir dans une moindre mesure dans le codage. «Ainsi», 
soulignent les chercheurs de l'inra,  «l'identité des moutons 
résulterait davantage d'un codage combinant plusieurs caractères, 
plutôt que de la reconnaissance d'un paramètre bien précis, comme 
cela est généralement admis».

Les résultats de ces travaux mettent en évidence l'existence 
d'interactions entre les différents sens utilisés par les animaux 
pour se reconnaître et communiquer. Ainsi, conclut l'Inra, «la 
reconnaissance vocale apparaît essentielle pour la survie du nouveau-
né, et grâce aux résultats obtenus, celle-ci pourrait être 
améliorée» . Des travaux pourraient être poursuivis,  pour identifier 
les bêlements caractéristiques d'autres situations entre congénères, 
permettant par exemple d'évaluer le bien-être des animaux et 
d'améliorer leurs performances de reproduction.

Béatrice Colleu

Source : Web-agri

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manif à Paris le 8 Juillet 2006.Pour défendre les plus humiliés des humiliés, les pigeons.

29 Juin 2006, 21:08pm

Publié par Jo benchetrit

 L'affiche scélérate de la mairie écolo - socialiste de Paris
 « SI
  VOUS AIMEZ LES OISEAUX, NE LES NOURRISSEZ PAS ! » est assez amusante.
On peut la decliner de multiples façons...qui vont jusqu'à "si vous aimez X, laissez-le mourir de faim...ou tuez-le !" Ils ont de l'humour ces écolos!
Belle pub, car nous,   on en est ... verts.
Je transmets la lettre de Gerard Charolois. Si je n'adhère pas à tout, je veux parler des pauvres ours, je suis avec lui à 100% pour le reste.:
La SPOV (Société de protection des Oiseaux des Villes), soutenue par la
  SPA, ASSISTANCE AUX ANIMAUX, l'Association STEPHANE LAMART et de
  nombreuses autres associations dont DROITS DES ANIMAUX, PETA, la PMAF
  (attente à ce jour de la réponse de la LPO + la Fondation Brigitte
  Bardot).
APPELLENT à MANIFESTER

  Devant l'Hôtel de Ville de PARIS
  SAMEDI 8 JUILLET 2006

  Entre 12h et 14h



  Pour obtenir que la Mairie de PARIS retire la directive adressée aux
  syndics d'immeubles de poser des PIEGES à GLU contre les PIGEONS.

  Rappel : les pièges à glu sont INTERDITS. Ils menaceraient tous les
  oiseaux et leur cruauté se passe de commentaires.

  Cette directive, publiée dans le MAGAZINE A PARIS de juin-juillet-août
  2006, distribué aux Parisiens à 150.000 exemplaires, devra être démentie
  par voie médiatique, INTERNET compris, aussi rapidement que possible.

  Les manifestants demanderont également à Monsieur CONTASSOT, Vert, adjoint
  de M. BERTRAND DELANOË, Maire de la capitale, de retirer l'affiche « SI
  VOUS AIMEZ LES OISEAUX, NE LES NOURRISSEZ PAS ! », qui constitue une HONTE
  à plusieurs points de vue.

  Afin de REGULER DURABLEMENT la population des PIGEONS, SEUL un PROGRAMME
  de CONTRACEPTION, bien mené (avec information et rétablissement de
  certaines vérités et réalités), sera EFFICACE.

  En attendant l'installation d'un nombre suffisant de pigeonniers
  contraceptifs dans PARIS (un par arrondissement promis par la Ville de
  Paris dès à présent), les manifestants demandent que l'on cesse de
  criminaliser ceux qui ont pitié d'oiseaux dénutris et infirmes : une
  distribution raisonnable et propre de nourriture (graines, vite avalées),
  sous contrôle des Services vétérinaires, en des lieux, à des heures et
  selon des quantités choisies, officiellement, donc, serait une SOLUTION de
  VIE et de réconciliation, en attendant le PROGRAMME GLOBAL de
  CONTRACEPTION.




  Les personnes présentes à cette manifestation sont aussi des électrices et
  des électeurs, en deçà de leur engagement dans la protection animale.
  Elles demanderont à être reçues par Monsieur Yves CONTASSOT afin d'obtenir
  des réponses claires sur tous ces points.




  VENEZ NOMBREUX !
  APPORTEZ VOS TRACTS, VOS TEXTES, VOS PETITIONS, VOS AFFICHES ET VOS
  BANDEROLES !


Pigeons à Paris
Un quelconque service technique de la ville de PARIS inviterait, au mépris du droit applicable, les propriétaires d'immeubles à lutter contre
les pigeons par la pose de pitons gluaux.
Tout oiseau, sans distinction d'espèce, tout petit mammifère englué est voué à une mort cruelle.
Le technicien parisien, en mal d'aseptisation, compromet, par ce piégeage nullement sélectif, l'ensemble de la faune qui ose persister dans cet enfer
de béton, d'asphalte, de verre et d'acier que sont les mégapoles, cet enfer toxique ou les goudrons, les gaz d'échappements, les molécules chimiques
industerielles de toute nature génèrent tant de « maladies créées par l'homme ».
Moineaux, en voie de disparition, mésanges, rouges gorges, merles, et autres visiteurs ailés subiraient la lente agonie du gluaux pour le cas où quelques
propriétaires cruels ou inconscients s'aviseraient de suivre le bien mauvais et parfaitement illégal conseil du technicien municipal.
Bien sûr, les  imbéciles heureux vont répétant que le pigeon urbain n'est jamais qu'un « rat volant » propageant miasmes et maladies. Quelle maladie ?
La rage : non, celle de tuer affecte certains humains, mais  même les imbéciles heureux savent que le pigeon  enragé ne se rencontre guère.
La grippe aviaire : peut-être, répondra l'imbécile heureux qui ignore que cette affection, né des élevages concentrationnaires de Chine, n'atteint pas
les colombidés, jusqu'à ce jour mais essentiellement les anatidés et oiseaux d'élevage tel que dindes, particulièrement sensibles, poules et  canards.
Alors, quelle maladie propage le pigeon ?
Certainement pas le cancer, contrairement aux marchands de tabac et aux épandeurs de produits phytosanitaires et divers biocides.
Pour certains urbains, le pigeon joue le rôle que tient le loup, dans les Alpes, l'ours dans les Pyrénées, pour ces tristes bipèdes qui ne supportent
pas que d'autres formes de vies perdurent autour d'eux.
Le crime de cet oiseau est de s'être adapté à la ville et de ne pas avoir bien voulu disparaître de ce milieu  hostile à la vie, à l'instar de tant d'espèces en voie d'extinction.
Même le moineau domestique, hier si commun, s'efface, sans doute pour ne plus voir ce  que le « grand nuisible » fait de  la terre.
Oublions les imbéciles heureux qui vont bêlant leurs croyances infondées et saluons ces femmes et hommes de mieux  généreux et éclairés qui se réjouissent de voir se maintenir ici et là quelques espèces vivantes qui nous rappellent que l'homme n'est pas seul, désespérément seul, sur la planète.
Protégeons les pigeons des villes, comme les loups des Alpes, les ours des Pyrénées, les baleines de l'antarctique, les éléphants, les grands singes, les grives et les oies sauvages.
Protégeons la vie, tout simplement et apprenons la compassion envers tout être sensible qui jouit du droit absolu de ne pas être torturé et maltraité puisqu'il éprouve, comme nous, le principe du plaisir déplaisir.
Aussi longtemps que l'homme traitera l'animal comme une chose, il traitera, à l'occasion, ses semblables comme des bêtes.
En notre temps, l'impérieux progrès est celui de la sensibilité.
Monsieur le technicien municipal parisien pâtit d'une grave infirmité de ce côté.

Gérard   CHAROLLOIS,
Président de la CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE
 

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La défense des animaux est persécutée. Virera-t-elle au terrorisme?

29 Juin 2006, 18:36pm

Publié par Jo benchetrit

J'ai reçu ça, qui en dit long sur l'état mental de nos congénères humanocentriste étroitement persuadés de leur droit à torturer si c'est pour leur bien avec cette devise narcissique:" MON bien? C'est Le bien!".

 

Quand je pense qu'on a condamné en Angleterre des gens à l'énorme peine de 12 ans de réclusion pour avoir tenté de dissuader des gens de peu d'élever des animaux afin de les vendre pour la torture scientifique,HLS.

Et pas à n'importe qui, à HLS ...ce seul nom fait frémir, HLS, condamné 5 fois pour maltratance grave sur leurs cobayes...Des films faisant foi, des singes battus, des chiens massacrés contre les murs, des opérations sans anesthesie etc. etc.

HLS.OU HL SS?

Et les anglais interrogés sont en majorité convaincus que c'est trop...PEU, 12 ans pour avoir, sans violence, essayé une intimidation pour ces Tenardier de l'élevage!

Il est vrai que, las de ne jamais être entendus, désespérés par cette immonde souffrance imposée aux plus faibles des faibles...en toute impunité dans des états qui se prétendent états de droit,  ressentant ce qui se passe sans intervenir comme une non-assistance à personnes en danger, certains en arrivent à se dire que seule la violence permet d'être pris au sérieux.
ça me rappelle qu'en novembre 2005, une manif pro-animaux, avait réuni 2000 personnes d'une dizaine au moins d'associations, au Panthéon. PAS un mot dans les medias alors que les djeunz brûleurs de voitures faisaient la une et occupaient toutes les infos à l'époque.

2 poids, 2 mesures.
Mais pourquoi donc les gouvernements poussent-ils ainsi les justes anti-violence à se battre violemment?

Les arguments de poids des non violents anti-vivisection  devraient suffire.

 

 

http://www.terrorisme.net/p/article_207.shtml

     TERRORISME.NET

Dernière mise à jour: 10 juin 2006 - 22:53:29   

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Mouvement de libération des animaux: un moment clé?

Jean-Marc Flükiger
10 juin 2006, 22:43

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La Grande-Bretage a été ces derniers mois le théâtre de nombreux incidents liés au mouvement de libération des animaux: fermeture de la ferme de Darley Oaks (après un siège de plusieurs mois qui avait culminé dans la profanation de la tombe et le vol des restes de Gladys Hammond, la défunte mère de l'un des propriétaires de la ferme), condamnation à 12 ans de réclusion des activistes responsables de ce vol, bataille juridique autour de la publication sur Internet des noms d'actionnaires de GlaxoSmithKline (un géant pharmaceutique anglais qui travaille avec Huntingdon Life Science, une entreprise spécialisée dans les expériences sur les animaux et qui est depuis plusieurs années la cible principales d'activistes du mouvement de libération des animaux), limitation des possibilités de manifestation aux abords de l'université d' Oxford qui accueillera prochainement un laboratoire d'expérimentation, volonté affichée de Tony Blair de soutenir les scientifiques qui pratiquent des expériences sur les animaux. Il semblerait que nous assistions à un tournant crucial pour le mouvement: alors que jusqu'ici l'opinion publique semble avoir été favorable, différents sondages présentés dans le quotidien anglais The Daily Telegraph révèlent que l'opinion publique britannique a retiré son soutien aux activistes du mouvement de libération des animaux.
Source de l'illustration: www.nocompromise.org
Les personnes interrogées devaient répondre à différentes questions ayant trait aux expérimentations sur les animaux ou aux incidents de ces derniers mois: plus de 70 % des sondés se sont déclarés en faveur de l'expérimentation de nouveaux médicaments sur les animaux avant leur usage sur les humains (fait qui avait toujours été contesté par les défenseurs des animaux).

Concernant les incidents de ces derniers mois et en particulier les peines de 12 ans de réclusion prononcées à l'égard des auteurs de la profanation de la tombe de Gladys Hammond - la défunte mère de l'un des propriétaires de la ferme de Darley Oaks, spécialisée dans l'élevage d'animaux de laboratoire - 45 % des personnes interrogées estimaient ces peines comme «correctes», alors que 40 % les trouvaient trop légères. Plus généralement, 77% des personnes interrogées pensent que les extrémistes doivent être qualifiés de «terroristes». Selon Alistair Currie, de l'Union britannique pour l'abolition de la vivisection (BUAV), l'extrémisme de certains membres de la mouvance de libération des animaux s'est retournée contre l'ensemble de la cause animale.

Il faut cependant relever que, même si le grand public rejette effectivement les formes d'activités les plus violentes, celui-ci ne rejette pas le fait de manifester de manière légale: ainsi dans le sondage, 93 % considèrent que les activistes ont le droit de manifester et de tenir des pancartes (88%).

Un moment de crise?
Il s'agit incontestablement d'un moment de crise pour le mouvement de libération des animaux: en effet, les éléments les plus radicaux semblaient avoir bénéficié jusqu'ici de la magnanimité du public. Qui plus est, le mouvement avait enregistré un certain nombre de succès ces dernières années (comme par exemple la fermeture de la ferme de Darley Oaks, Huntingdon Life Science - leader sur le marché de l'expérimentation animale et cible de nombreux activistes - a également été abandonné par de nombreux actionnaires). Ce changement d'opinion, ainsi qu'un renforcement possible des peines d'emprisonnement, vont probablement provoquer un certain découragement dans les franges violentes et une hausse du taux d'abandon au sein du mouvement.

L'histoire de la violence politique a cependant également démontré que c'est justement dans ces moments de crise que certains éléments, convaincus du bien-fondé de leur cause, peuvent se radicaliser. Même s'il ne s'agit que d'une supposition basée sur l'expérience faite avec d'autres mouvements politiques, la probabilité de prochains actes de violence léthale dirigée contre des être humains n'est donc pas à exclure.

De l'autre côté de l'Atlantique...
Il semblerait que le mouvement de libération des animaux - mais également le mouvement de libération de la terre - soit confronté à une situation similaire aux Etats-Unis.
Ainsi, malgré la courageuse tentative du journaliste Hal Bernton (Terrorisme.net a également
soulevé cette question légitime) de discuter le qualificatif «d'éco-terrorisme» attribué aux franges violentes des mouvements de la libération des animaux (et de la terre) dans le Seattle Times du 7 mai 2006, le journal a corrigé son propos dans un éditorial intitulé «L'éco-terrorisme est réel» («Eco-terrorism is real», 23 mai 2006).

Certains activistes sont parfaitement conscients qu'il s'agit ici d'un moment-clé de l'histoire du mouvement: ainsi, Jeffrey Luers, condamné à 22 ans de prison pour avoir incendié trois SUV («sports utility vehicle»),
déclare dans une interview que le mouvement écologiste radical (il faut comprendre ici les mouvements de libération de la terre et des animaux) est probablement arrivé à un moment-charnière de son histoire et qu'un certain nombre de personnes ont effectivement été intimidées par les lourdes peines de prison infligées aux activistes (son cas étant paradigmatique).

Le sentiment de la perte de soutien populaire par les activistes aux Etats-Unis se manifeste de différentes manières: d'une part, d'aucuns n'hésitent pas à comparer les efforts investis à l'heure actuelle par le gouvernement américain avec les efforts de ce même gouvernement contre la gauche ou l'extrême gauche dans les années 1940-1970. Ainsi, dans sa dernière édition, le magazine militant No Compromise n'hésite pas à qualifier la traque actuelle du gouvernement américain contre les mouvements de libération des animaux et de la terre, de «Peur du Vert» («The Green Scare», p. 14-19) sur le modèle de la «Peur du Rouge» qui avait profondément marqué l'Amérique entre 1940 et 1960 (et dont la chasse aux sorcières du sénateur McCarthy constitue l'un des épisodes les plus sombres).

D'autre part, dans un ordre de réflexion similaire, certains activistes et médias
comparent ouvertement les méthodes utilisées actuellement par le FBI (opération «Backfire») au Counter Intelligence Programm (COINTELPRO), lancé par J. Edgar Hoover en 1956 (qui prit fin en 1971) et qui visait à «neutraliser» les groupes considérés comme une menace (on pense notamment aux Black Panthers) pour la sécurité nationale par le FBI par des moyens souvent illégaux (comme l'assassinat). L'opération « Backfire» visait à enquêter sur différents actes criminels liés aux franges violentes des mouvements de libération des animaux et de la terre et a mené à l'arrestation de 11 activistes impliqués dans différents «actes de terrorisme».

Arrestations et condamnations
Le sentiment de persécution éprouvé par les activistes est également le résultat de plusieurs arrestations et procès actuellement en cours ou ayant eu lieu:

* Le 13 juin 2006, six activistes de Stop Huntingon Animal Cruelty (SHAC) seront
probablement condamnés à des peines assez lourdes (ceux-ci étaient responsables de la coordination et de l'entretien d'un site Internet qui incitait à des actes violents et à des manifestations contre l'entreprise Huntingdon Life Science et ses partenaires d'affaires). Trois des inculpés pourraient être condamnés à 23 ans de prison.

Les activistes arrêté dans le cadre de l'opération Backfire étaient notamment responsables d'un incencie criminel dans la station de sports d'hiver de Vail (Colorado), qui avait causé des dégâts évalués à 12 millions de dollars (source: FBI).
* Au mois de janvier 2006, un groupe de 11 activistes (le nombre s'élève depuis à 13) qui s'auto-nommaient «la famille» a été arrêté et inculpé (fruit des investigations menées lors de l'opération Backfire). Ce groupe serait responsable de 17 actions illégales perpétrées entre 1996 et 2001 et revendiquées «ALF» (Animal Liberation Front) ou «ELF» (Earth Liberation Front).

* Voici plus d'une année,
Jeffrey Luers était condamné à 22 ans de prison pour avoir incendié trois SUV.

* En décembre 2005,
Chris Mac Intosh, un activiste qui avait revendiqué l'incendie d'un Mc Donald's comme une action conjointe de l'ALF et de l'ELF a été condamné à 8 ans de prison.

Dissensions au sein du mouvement
D'un point de vue idéologique, on assiste également à des dissensions au sein du mouvement. Ainsi, dans un entretien accordé à l'émission de CBS 60 Minutes, le docteur Jerry Vlasak, porte-parole du North American Animal Liberation Press Office, déclare: «les personnes qui torturent des êtres innocents devraient être stoppées. Et si elles ne s'arrêtent pas lorsque vous leur demandez poliment, et si elles ne s'arrêtent pas lorsque vous leur démontrez que ce qu'elles font n'est pas correct, dans ce cas, elles devraient être stoppées par tous les moyens nécessaires».

Les déclarations de Vlasak qui semble justifier le meurtre d'êtres humains pratiquant des expériences sur les animaux ou travaillant dans des abattoirs font l'objet d'une controverse dans la dernière édition du magazine militant No Compromise. Ainsi le Comité de rédaction du magazine se demande dans quelle mesure le docteur Vlasak peut parler au nom de l'Animal Liberation Front, «qui évite les actes de violence contre la vie en général» (p. 18). Se distançant des propos de Vlasak, le Comité le prie de ne plus «commenter publiquement les actions perpétrées par l'Animal Liberation Front ou tout de groupe de libération des animaux qui refuse expressement l'usage de la violence comme tactique» (p.19).

Dans sa réponse, Vlasak rappelle à juste titre qu'il n'est pas le premier à avoir défendu la violence contre des personnes (il cite ici les propos d'anciens porte-paroles de l'ALF). De plus contrairement au Comité de No Compromise, celui-ci est parfaitement conscient que, même perpétré contre des choses, les actions perpétrées par l'ALF constituent des actes violents, mais que, comme dans toutes les grandes causes, la violence peut constituer une étape indispensable à l'obtention d'une cause juste (p. 19).

Conclusion
Les dissensions au sein du mouvement de libération des animaux ne sont, comme le montre le Dr. Vlasak, pas nouvelles. Ainsi Ronnie Lee, le fondateur de l'ALF avait déjà défendu la violence pratiquée contre les êtres humains.
Cependant à un moment comme celui-là où le mouvement a) ne semble plus bénéficier d'un soutien populaire et b) est en proie à des pressions toujours plus fortes de la part des autorités, de telles dissensions pourraient amener de nouveaux développements, inconnus jusqu'ici...

Affaire à suivre.

Jean-Marc Flükiger

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De l'extrême droite à Al Qaïda: histoire du concept de résistance sans leader

Mouvement de libération des animaux: un moment clé?

Terrorisme, morale et guerre juste – Une discussion avec Michael Walzer

Attentats de Madrid: résultats de l'enquête deux ans après les événements

Analyse: libération animale et terrorisme

Islamisme: réactions jihado-salafistes à la victoire du Hamas lors des élections palestiniennes - le débat sur la démocratie

Cyberterrorisme: mythe ou réalité?

Analyse - Après le 7 juillet: les nouvelles tendances de la terreur

Médias: dilemmes sur la couverture du terrorisme

Analyse: les attentats d'Amman dans la perspective d'Al-Qaïda

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Le Japon déclare la guerre aux baleines

29 Juin 2006, 14:57pm

Publié par Jo benchetrit

 Info & action


http://www.aves.asso.fr/article.php3?id_article=196

Sea Sheperd News
Le Japon déclare la guerre aux baleines
Sea Shepherd se prépare à défendre les baleines !

Le Japon a été impitoyable dans sa poursuite et le massacre des grandes baleines dans le monde. C'est devenu une question d'honneur,
selon certains Japonais, de tuer le plus de baleines possible afin d'affirmer leur dominance sur les océans du monde.
Selon Joji Morishita de l'agence japonaise de la pêche, qui a parlé 60 minutes du programme australien, le massacre des baleines fait partie de l'identité du Japon et est une question de fierté nationale. Il demande alors ce qu'est une nation sans fierté ? Mais sûrement ne veulent-ils pas exterminer les baleines. Ou le voudraient-ils ?
En 1997, le capitaine Paul Watson a eu l'occasion de s'asseoir et de parler avec des membres de la délégation japonaise à Monaco.
Le Capitaine Watson a demandé au délégué Tadahiko Nakamura de pêche à la baleine directement s'il était préoccupé par la survie des
baleines et s'il aimerait que ses enfants et petits enfants puissent observer des baleines.
Sa réponse avait choqué. « Non » avait-il dit. « Mon devoir est à ma famille, mon pays, et mon entreprise, et ce devoir est de faire autant de bénéfices que possible pour eux aujourd'hui. Je ne suis pas concerné par les générations futures. Ils devront trouver des moyens de survivre juste comme nous devons trouver des moyens de survivre aujourd'hui. »
Le Capitaine Watson avait alors demandé s'il était concerné par le fait que les baleines allaient disparaitre. « Elles peuvent s'éteindre mais ce n'est pas mon souci. Mon souci est de réaliser le bénéfice maximum avec elles avant qu'elles ne disparaissent. »
Même mentalité qu'Andrew Behr, le propriétaire du baleinier pirate "Sierra" que le capitaine Watson a éperoné et neutralisé le 16 juillet 1979 puis coulé le 6 février 1980.
Behr avait indiqué qu'il se rendait compte que les baleines pourraient être conduites à l'extinction mais que puisqu'elles allaient s'éteindre, pourquoi ne pas faire des bénéfices avec elles avant !
Ils peuvent se permettre d'être méprisants, puisque personne n'ose dénoncer leurs pratiques et n'ose se mettre en travers de leur route.
Depuis 1986, le Japon a massacré des baleines en violant le moratoire global sur la pêche à la baleine. Tous les ans, ils ont illégalement dépassé les quotas de pêche et pendant les deux dernières décennies pendant lesquelles les baleines « ont été protégées », plus de 17.000 baleines ont été abattues.
La Commission Baleinière Internationale n'a presque rien fait pour arrêter le carnage. La CBI a de grands règlements mais une application inexistante. Les pays membres de la CBI comme l'Australie et les Etats-Unis ont été peu disposés à imposer des sanctions par crainte des relations commerciales avec le Japon.
Les faits sont que la pêche à la baleine japonaise et norvégienne est illégale et que les règlements de la CBI n'ont servi qu'à donner une légitimité aux efforts de Sea Shepherd qui elle, s'oppose concrètement à la pêche à la baleine depuis 1986.
L'association Sea Shepherd a été la seule à défendre concrètement les baleines ces 20 dernières années, en commençant par la descente
de la moitié de la flotte islandaise de pêche à la baleine en novembre 1986. Cette année, elle a harcelé et poursuivi la flotte
japonaise de pêche à la baleine dans le sanctuaire antarctique des baleines. Aucun délit n'a été commis dans ces interventions car Sea
Shepherd ne fait qu'imposer les lois internationales de conservation selon les dispositions de l'U.N. World Charter for Nature, qui admet
que les organisations non gouvernementales interviennent afin de faire respecter les lois internationales de conservation.
Le Japon cherche maintenant à changer les lois protégeant des baleines en travaillant à retourner le moratoire global de la CBI
sur la pêche à la baleine. Et ils réussissent.
Pendant les années, le Japon a incité les petits pays à adhérer à la CBI pour qu'ils soutiennent leur politique en faveur de la reprise
de la chasse à la baleine.
L'année dernière, le Japon a réussi à recruter un nombre de voix égal à celui des nations favorables à la conservation des baleines.
Cette année, ils tiennent désormais la majorité. Le Japon a maintenant 36 voix sur les 69 pays membres de la CBI. Le Japon tente aujourd'hui de détruire le comité de conservation de la CBI, qui a été créé en 2003 afin d'étudier les mesures pour préserver les baleines.
En d'autres termes, le Japon et ses 35 nations marionnettes sont opposés à prendre des mesures pour préserver les baleines.
Le Japon prévoit également de réclamer un vote sur une résolution soutenant sa pêche à la baleine "scientifique" dans l'océan
antarctique et n'importe où ailleurs dans le monde où ils décideront de tuer des baleines
Que fera Sea Shepherd ?
Sea Shepherd doit arrêter la flotte japonaise en Antarctique cette année tandis que le moratoire est encore valable. En plus de violer le moratoire, la flotte japonaise violera la convention sur le commerce international des espèces en voie de disparition (CITES).
Le Japon violera également le sanctuaire antarctique des baleines et la zone d'exclusion économique du territoire antarctique australien.
En outre, le Japon sera dans la violation des règlements du ministère du commerce des Etats-Unis.
Même si le Japon a gagné contre la Commission Baleinière Internationale à St. Kitts, leurs opérations de pêche à la baleine
continuent d'être illégales, et Sea Shepherd continuera à intervenir légitimement contre des opérations illégales de pêche à la baleine.
La Sea Shepherd recrute actuellement des volontaires et prépare un bateau pour intervenir de nouveau contre la pêche à la baleine
illégale dans les océans méridionaux en décembre 2006 et janvier 2007.
L'année dernière, la flotte japonaise a été opposée au bateau Farley Mowat de la Sea Shepherd et des opérations japonaises de pêche à la
baleine ont été documentées par les bateaux Esperanza et Arctic Sunrise de Greenpeace.
Greenpeace ne reviendra pas dans les eaux antartiques cette année, laissant la Sea Shepherd saborder les baleiniers seule.
« Ces chasseurs de baleines sont des criminels, » dénonce le capitaine Paul Watson. « Ils ne sont pas différents des contrebandiers d'ivoire et des trafiquants de drogue. Nous devons de nouveau intervenir contre leurs opérations illégales et notre objectif doit être de faire cesser leurs plans pour abattre ces créatures magnifiques mises en danger. »
Le Capitaine Paul Watson prévoit que la campagne sera chère et dangereuse et s'attend à ce que les baleiniers japonais soient
hostiles à n'importe quelle interférence.
Seashepherd.org

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La viande aux antibiotiques tue et mutile. Guillaume Depardieu aurait encore sa jambe Si le monde n'avait pas d'élevages. les vampires sont devenus victimes.

28 Juin 2006, 22:00pm

Publié par Jo benchetrit

De quoi est faite la viande ?

Frise_sang2.gif (4570 octets)

 

La traçabilité et les contrôles protègent-ils  l'homme?NON! Guillaume Depardieu aurait très probablement encore sa jambe si nous étions végétariens.

 

 

 

 

En effet les malheureuses bêtes confinées  dans  des conditions insalubres et abominables sont "gonflées aux antibiotiques". Le but est double: vu les cadavres qui jonchent le sol, l'état de saleté invraisemblable où vivent les animaux des élevages industriels, les virus et bactéries ont la part belle.C'est ainsi que les bactéries survivantes et leurs descendantes procréées par les bactéries à la hâte avant de mourir, sont "vaccinées" contre ces antibiotiques. Ce qui fait que bientôt, nous aurons bien plus que les 10.000morts/an par maladies nosocomiales(attrappées à l'hopital).

Les années  qui viendront seront des années bien plus noires pour la santé humaine que ce qu'on a connu depuis l'invention par Fleming des antibiotiques. Car ceux-ci ne nous soigneront pas toujours et au fur et à mesure qu'on en invente d'autres, les bactéries se renforcent contre les suivants. On ne pourra pas en trouver de nouveaux éternellement!

Ce n'est pas tant la consommation humaine qui est en cause mais l'agriculture mécanisée, où des milliards d'animaux confinés dans les lieux immondes en question  vivent leur calvaire pour notre bouche chaque année. Un milliard et demi par an. Vous imaginez la consommation d'antibiotiques ! Les firmes pharmaceutiques gagnent là des fortunes et on sait que leur lobby et très puissant. Ajouté à celui des éleveurs industriels qui se font déjà leur beurre grâce aux subventions de l'Europe qui les favorisent sur les bios et autres petits éleveurs, si nous ne réagissons pas contre ça d'urgence, nous sommes en train d'approcher du naufrage, sans faire de catastrophisme. Il suffit d'être un peu lucides.

Mais l'autre raison de "l'arrosage" des bêtes aux antibiotiques est plus prosaïque . C'est celle-ci: les antibiotiques à fortes doses font gonfler: l'œdème est de l'eau et ainsi on achète de l'eau au prix de la viande. Frise_sang2.gif (4570 octets)

 

 

 

 

Tant que les éleveurs se moqueront ainsi de la santé publique et des deniers des consommateurs, il faut absolument boycotter la viande. Pour les viandards invétérés, préférez la viande bio, ou les porcs et poulets dits élevés en liberté. Il faut inverser la tendance. Si ça vous paraît cher à l'achat, sachez que payer de l'eau au prix de la viande revient plus cher.

Comparer le poids d'un poulet de batterie et d'un poulet élevé en liberté, crus puis cuits. Vous avez environ 50% du poids qui disparaît en eau et mauvaise graisse dans le 1°. Quant au goût…rien de comparable.

 

 

 

 

Faut  dire qu'un être qui a vécu dans ses excréments, au milieu des cadavres en décomposition et  dans l'ammoniaque urinaire  ne peut avoir bon goût! Frise_sang2.gif (4570 octets)

 

 

 

 

Mais aussi, et pour moi, surtout, est-ce décent de  produire une telle souffrance?

 

 

 

 

 Regardez un peu ce document de "peta"   et suivez le lien vers la vidéo.

 

http://www.petatv.com/tvpopup/video.asp?video=pam_kfc_long&Player=wm&speed=_med

 

 

 Ensuite seulement, faites votre choix. Sachez que dès que vous acheterez un plat cuisiné ou que vous irez au restaurant, ce sont ces animaux-martyrs que vous consommerez. Tout plat cuisiné est fait avec des ingrédients pas cher, vous vous en doutez.

Jamais plus que maintenant l'expression: "on creuse sa tombe avec ses dents" n'a été autant appropriée. Faites passer le message pour nous, pour eux, et l'avenir du monde.

Ce choix sera celui de la santé, des économies, de l'écologie et aussi de "l'humanité" comme on dit!

Nous avons le choix. Mais sachez que les pays en voie de développement ont commencé à faire comme nous. La grippe aviaire nous guète. Les amis des animaux et les amis de la santé humaine ont ici un terrain d'entente. Mais le commandant du Titanic ne veut pas dévier de sa route.

A nous de le forcer à le faire avant qu'il ne soit trop tard.

 

 

 

 

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Le singe pense, et prévoit! quel scoop!!!!

27 Juin 2006, 05:51am

Publié par Jo benchetrit

Regardez comment nos scientifiques font d'un non évènements une découverte:

les singes savent que s'il fait beau pendant plusieurs jours, les charançons qu'ils veulent manger se sont développés dans les figues.
Comment se stocke dans leur cerveau ces observations du temps et de la naissance des charançons? est leur gros problème.
Pourquoi pas, après tout?

mais que les singes dont nous sommes, dans un sens(au moins les cousins) soient intelligents ne devraient pas étonner le primate humain. Hélas, sa prétention lui fait oublier qu'il n'est pas le seul à avoir de la jugeotte, ce qui le rend...con.



Depuis fort longtemps, les hommes ont tenté de prévoir la couleur du ciel pour planter ou récolter leurs cultures vivrières au bon moment. Cet intérêt pour la météo serait partagé par certains primates, selon une étude menée en Ouganda auprès de mangabeys à joues grises. Pour récolter leur nourriture préférée -les figues- ces singes tiendraient compte du temps qu’il a fait les jours précédents.

L’équipe de Karline Janmaat (University of St Andrews, GB) a suivi un groupe de 24 mangabeys à joues grises (Lophocebus albigena) pendant 210 jours. Grâce au GPS, les chercheurs ont enregistré les localisations des mangabeys toutes les 10 minutes. Ils avaient par ailleurs repéré 80 figuiers situés sur leur territoire de 600 hectares.

Les mangabeys étaient plus enclins à retourner dans des figuiers où ils avaient auparavant trouvé des fruits après plusieurs journées de temps chaud et ensoleillé, notent les chercheurs dans la revue Current Biology. Pour s’assurer que les singes n’étaient pas guidés par des stimuli visuels ou odorants liés à la maturité du fruit, les chercheurs ont analysé les visites aux arbres dont les figues étaient encore vertes. Ces fruits ont l’intérêt d’être colonisés par des larves de charançon, qui se développent aussi avec la chaleur mais qui ne sont pas visibles ou odorantes.

Janmaat et ses collègues ont constaté que les mangabeys s’intéressaient autant aux arbres porteurs de fruits mûrs que de fruits verts à l’issue d’une série de journées ensoleillées. Ils en déduisent que la météo guide leurs recherches de nourriture. Reste à comprendre comment cette information est stockée et traitée dans le cerveau des singes.

Cécile Dumas
(20/06/06)

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La fondation Charles Darwin donne 12millions et demi de dollars pour tuer des animaux introduits par les hommes aux Galapagos

26 Juin 2006, 07:19am

Publié par Jo benchetrit

Chronique d'un massacre: Adieu chiens, chêvres, chats, ânes...

Agir d'abord, réfléchir un peu puis agir encore et re- réflechir après ?
A chaque acte, ils se trompent, mais l'expérience ne peut rien pour les aider: les hommes confinés au stade pervers réagissent en processus primaires.
C'est la catastrophe pour la nature qui, elle, est censée ne pas penser, mais qui avait organisé les choses aussi bien que si c'était le cas.
Les hommes résolvent les problèmes qu'ils posent, fusil en main, cerveau en berne.

Ces horreurs débutantes sont symboliques de la connerie cruelle des hommes. C'est une perversion de l'écologie!
Mais qu'on leur fiche la paix!

C'est comme ces pauvres ours slovènes réintroduit jusqu'à la garde!

 http://fr.news.yahoo.com/26062006/202/l-eradication-des-animaux-domestiques-pour-la-preservation-des-galapagos.html 

 lundi 26 juin 2006, 8h51
L'éradication des animaux domestiques pour la préservation des Galapagos
Par Jean-Luc PORTE

GALAPAGOS (AFP) - Depuis leur hélicoptère, les gardes du parc national des Galapagos ajustent leur cible dans la lunette de leur fusil et s'apprêtent à "éradiquer" un troupeau d'une centaine de boucs et chèvres sauvages afin d'assurer la préservation de l'archipel équatorien.

"Pour que les Galapagos vivent, tous les animaux, chiens, chats, chèvres et ânes, introduits par l'homme dans l'archipel, doivent périr", affirme l'un des gardes en rechargeant son arme, à 60 mètres au-dessus de la végétation aride.


En contrebas, le "bouc Judas", un mâle en chaleur aux cornes peintes en rouge par les gardes et équipé d'un collier qui émet des signaux infrarouges, rejoint les survivants du troupeau éparpillés. Dès que le pilote repère l'animal sur l'écran de contrôle, une fusillade nourrie reprend.

M. Felipe Cruz, qui dirige le projet d'éradication des chèvres des Galapagos, explique que la présence croissante sur l'île disable de ces herbivores féroces amenés par les pirates est à l'origine de la disparition partielle des tortues géantes qui manquent de nourriture. Environ 90% des tortues géantes ont disparu en trois décennies et leur population a été réduite à une dizaine de milliers.


"Nous avons reçu plus de 3 millions de dollars pour la chasse à la chèvre et nous en avons déjà tué 80.000", ajoute-t-il, précisant qu'à l'avenir les chiens, les chats, les ânes et les porcs subiront le même sort.


Cette mission dispose d'un crédit de 12,5 millions de dollars de la fondation Charles Darwin, un organisme destiné à préserver l'environnement et la recherche dirigé par des scientifiques européens et américains.


Toutefois la perception des Galapagos par de brillants chercheurs étrangers comme "une vitrine et un laboratoire de l'évolution" laisse indifférents les habitants de l'île dont plusieurs milliers vivent de la commercialisation de la viande du chèvre, à la saveur réputée dans tout l'Equateur.


Cristobal Colomb Cuenca, l'un des chasseurs braconniers, ne manque pas de griefs contre les gardes nationaux. "Ces gens quand ils ne massacrent pas les chèvres, passent leur temps à dormir, empoisonner nos chiens et à voler l'argent des organisations internationales". Il vient de capturer avec ses cinq chiens six boucs qu'il vendra le jour même 15 dollars pièce. "La chasse me rapporte en moyenne 300 à 500 dollars par mois mais il m'est déjà arrivé de capturer 100 boucs en une seule journée et de gagner 1500 dollars", dit-il.


M. Luis Moreno Barragan, commerçant et importateur de viande de chèvre, explique que l'économie de l'île dépend en grande partie de ce marché lucratif et qualifie "d'hypocrisie totale la soit-disant menace écologique qui permet au parc national de faire payer aux donateurs des millions de dollars".


Carlos Valle, un biologiste équatorien formé à l'université américaine de Princeton et considéré comme le meilleur spécialiste des Galapagos, explique que pour conserver l'évolution naturelle de cet archipel d'une superficie de 8.000 km2, il faut en permanence "corriger l'influence prédatrice de l'homme". "Bien que l'évolution ait été préservée à 95% grâce à la découverte tardive de l'archipel au début du 16e siècle, le taux actuel de dégradation de l'environnement est l'un des plus élevés au monde", souligne-t-il.


"Les chiens déciment les iguanes marins, poursuit-il, les chats s'attaquent aux pinsons, aux fous et aux iguanes terrestres, les porcs déterrent les nids des tortues marines, déracinent les plantes endémiques et les rats détruisent les oeufs des iguanes". Cependant, selon lui, "le fléau principal est encore l'homme dont la présence est passée en 30 ans de quelques centaines à 30.000 habitants, attirés par le tourisme et la pêche. Mais à la différence des chèvres nous ne pourrons pas les éradiquer".


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Sarkozy veut en finir avec les molosses. Et vous?

26 Juin 2006, 01:10am

Publié par Jo benchetrit

Une pétition court sur Internet contre l'interdiction de l'aficionado tauromachique Sarkozy, que j'interprète comme étant à terme de faire naître des molosses.
Suite aux accidents regrettables, bien sûr, qui ont endeuillé des familles.
Je suis évidemment contre toute généralisation basée sur la race.
Mais je ne signerai pas .
Voilà pourquoi:

Au risque de me répéter, sachez que l'intérêt des animaux doit primer et que moins il en naîtra,  plus la souffrance animale reculera.
Les chiens et chats n'ont pas d'intérêt à naître. Non seulement parce que la plupart dans le monde a une vie parfaitement affreuse, au presque mieux mourant d'ennui dans les maisons vides quand ce n'est pas   de faim et de soif, dans des familles qui les considèrent comme gardiens, faire-valoir, thérapeutes à disposition, mais aussi le plus souvent avec l'idée qu'un animal doit savoir garder sa place subalterne.
"La place de l'animal" qui répond à cette prétentieuse appellation de "maître", qui lui, bien  sûr doit aussi garder "sa" place ! Avec tout le blabla poudre aux yeux du chef de meute qui, selon les comportementalistes aux idées stéréotypées, serait la clé du bon chien !
Or les maîtres des molosses sont, eux, bien souvent beaucoup trop chef à mon avis.
Mais encore cette vie d'animal domestique ne répond pas aux besoins de leurs espèces, abîmées par la domestication, c'est à dire la mise en esclavage, depuis des millénaires.
De plus,les molosses attirent souvent des personnalités particulières d'humains, qui ne sont pas aptes à avoir des égards pour eux.
Aussi merveilleux qu'ils soient à nos yeux, il vaut mieux pour eux ne pas naître. Le Pb , c'est que les déjà nés sont en danger par l'effet Sarkozy.
Enfin, nous sommes bien placés pour déplorer la surpopulation canine et féline dans les refuges et là, ne plus en faire naître est en fait un progrès.
C'est pourquoi je vous demande de ne plus faire de pub pour une pétition qui va dans le sens contraire aux intérêts des animaux mais dans le sens de celui des  élevages pour la plupart infâmes.
Et je pèse mes mots.
Pourtant, il faudrait réagir à ceci, sans que cela revienne à dire qu'on est pour la naissance de ces chiens, comme d'aucun :

Le gouvernement veut interdire les chiens dangereux
LEMONDE.FR | 14.06.06 | 17h36 • Mis à jour le 14.06.06 | 20h01







e gouvernement a annoncé, mercredi 14 juin, son intention d'interdire complètement les chiens dangereux en France après plusieurs cas d'attaques meurtrières, notamment contre des enfants.

Le sujet a été à l'ordre du jour du conseil des ministres, où les ministres de l'intérieur, Nicolas Sarkozy, et de l'agriculture, Dominique Bussereau, ont fait une communication conjointe. "Nous envisageons, avec Nicolas Sarkozy, d'interdire certaines races de chiens qui sont actuellement autorisées en France et qui ne le sont pas dans d'autres pays européens et de les interdire complètement sur le sol national", a déclaré M. Bussereau à la sortie de la réunion.


Il a également précisé que, "sur le plan vétérinaire, [le gouvernement] va augmenter la liste des chiens dangereux, c'est-à-dire que des chiens qui actuellement ne sont pas perçus comme dangereux vont passer sur la liste des chiens dangereux".


DES CHIENS "UTILISÉS COMME DES ARMES"

Dans l'après-midi, M. Sarkozy a affirmé qu'il avait "bien l'intention de proposer, comme dans d'autres pays européens, l'interdiction de tels chiens [dangereux] sur l'ensemble du territoire national" à travers une loi prohibant leur"détention". "Ces chiens sont utilisés comme des armes", a-t-il dénoncé. Et il a indiqué avoir demandé aux préfets que lorsqu'un chien réputé dangereux était trouvé sur la voie publique sans laisse ni muselière, l'animal "soit conduit dans un refuge". "S'il ne présente pas toutes les qualités de respect de la loi (...) l'animal sera euthanasié", a-t-il ajouté.

Les deux ministres ont également prévu que les préfets pourront décider, au cas par cas, de toutes mesures utiles, y compris l'euthanasie des animaux afin d'assurer la sécurité des personnes. Les services judiciaires devront également "renforcer leur action dans la lutte contre les trafics de chiens dangereux et l'attention des parquets sera attirée pour que ces infractions soient poursuivies avec rapidité et fermeté", indique un communiqué.


Le gouvernement a aussi chargé un groupe de travail interministériel de formuler avant le 1er juillet "des propositions visant à mieux protéger les personnes, notamment en renforçant la responsabilité juridique du gardien du chien et en élargissant le domaine des mesures d'interdiction".

C'est sûr qu'on aurait envie de signer mais, je le redis, il faut défendre tous les chiens, et les défendre passe par l'interdiction de leur reproduction. Donc, ce serait un début, même si les termes de Sarko et de l'anti-animaux Bussereau sont à vomir.
 Même si les termes de la pétition ne disent pas explicitement être pour l'élevage, ça revient à le défendre par omission.
Je signerais volontiers si on y ajoutait être contre toute sorte de reproduction de tous chiens, ou même que de ceux-ci...afin que cessent les combats de chiens qui sont source de tortures diverses tout au long de la vie de ces pauvres innocents...merveilleux...
Mes autres textes sur la question:
 






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Le prix de la vie : l'écologie et la morale sont indissociables sous peine de mort.

22 Juin 2006, 04:53am

Publié par Jo benchetrit

TROP TARD ?
 
Lorsque l’humanité sera humaine, il n’y aura plus de boucherie, plus de crémerie, plus de chasseurs, plus de cirques avec animaux, plus de dressages, plus de zoo, évidemment plus de corridas, plus de combats de chiens, de coqs, d’utilisation de vivants sensibles dans les spectacles, plus d’animaux martyrs.
Il n’y aura donc plus d’élevages, plus de ces monstrueux élevages d’où viennent tant de malheurs…y compris des maladies qui menacent la faune sauvage, et le sauvage  qu’est l’homme.
Nous ne serons plus les vampires du monde,
Les abus de pouvoir ne seront plus qu’un mauvais souvenir,
Nous serons tous des artistes, des amoureux, mais aussi des ascètes qui acceptent l’insatisfaction, la privation, si celle-ci est nécessaire pour ne pas nuire.
PRIMUM NON NOCERE : LE SERMENT D’HYPPOCRATE SERA LE SLOGAN DE L’HUMANITE , SA LIGNE DE CONDUITE ET DE VIE .
Les animaux sauvages ne   seront plus effrayés et distants par rapport à nous…
Lorsque l’humanité sera humaine, les chercheurs, jamais plus ne chercheront sur les animaux, quitte à ne pas trouver de remèdes. Et alors, la maladie la pire ce n'est pas plutôt la barbarie ? (Je dis ça mais je sais par ailleurs avec Antidote que la seule recherche médiacle efficace se passe d'animaux)
L’humain ne pourra plus placer l’homme en prioritaire. Depuis quand l’invité arrivé le dernier devrait évincer tous les autres et se servir d’eux comme de choses à son service?
Nous saurons bien accepter des limites…Nous ne serons plus d’avides tyrans sans scrupules...
Et le poids de notre culpabilité, peu à peu s’allègera et alors, peut-être que seulement alors le diable qui gît en chacun sera vaincu…et qu’ainsi nous serons tous, nous les vivants sensibles, en sécurité sur notre Terre redevenue silencieuse, sans ces horribles gémissements de souffrance qui assourdissent nos vies, sans ces bruits directement sortis de l'imaginaire que je dirais "phallique-anal", de fusils que les hommes utilisent même pour montrer leur …victoire, sans se douter des dégâts sur la faune de ces traumatismes sonores. Finies ces pétarades , ces canons,  ces haines stupides, et alors nous entendrons enfin les chants de chacun, les chants de  joie enfin retrouvée, joie chassée par le prédateur …homme.
 
Et alors seulement  nous comprendrons que tous les vivants sensibles sont des personnes, des sujets de leur vie, des êtres qui perçoivent ce qui se passe, et alors seulement nous aussi nous saurons affronter de ça-voir ce qui se passe en vrai sous nos « yeux grands fermés » comme dit si bien Kubrick. (titre de son dernier film :Eyes Wide Shut)
Car l’homme est sans doute l’être le moins lucide de la création.
Lorsque l’homme sera humain, le climat ne se rétablira pas de suite…Mais peut-être que s’il le devient à temps, la banquise ne sera plus menacée.
40% de diminution depuis 1930…Si ça continue, il n’y aura plus de glace aux pôles d’ici 50 ans…et le climat sera si chamboulé que je ne sais pas si la vie sur Terre sera encore possible.
Alors, sans doute que l’homme ne sera jamais humain, faute de temps pour conclure qu’il doit l’être avant qu’il ne soit…trop tard.
Car l’homme n’a pas encore commencé le temps logique, ou à peine, celui qui, selon Lacan, se divise ainsi :
« L’instant de voir,
Le temps pour comprendre,
Le moment de conclure. »
Nous en sommes à peine à l’instant de voir, et encore, il n’y a que quelques uns qui voient se qui arrive, les autres continuent leur voyage les yeux grand fermés et ne sauront qu’il faut conclure que l’homme doit devenir humain que le nez dans le mur…trop tard !
 

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Psychose et chiens dits dangereux, suite et pas fin: L'effet des directives Sarkozy prive un pauvre SDF de ses chiens.

21 Juin 2006, 18:01pm

Publié par Jo benchetrit

Comme je vous le disais, les shérifs sont devenus "potentiellement dangereux" pour ceux qui ont des chiens.

Du zèle, oui, mais pas d 'imprudence, que diable!  On est humains, quoi!" Il vaut mieux choisir comme cibles des chiens pas potentiellement trop dangereux parce que s'attaquer aux autres comportent des risques, ainsi que s'attaquer à certains maîtres. Mais le pauvre, le sans-logis dénutri semble un  meilleur  suspect que le dealer allumé et hargneux,  surtout s'il a de gentils toutous, pour faire son devoir de   policier aux ordres du ministre Nicolas Sarkozy, qui s'y connait en potentiellement dangereux, lui, l'amateur de corridas qui en admire de nombreux, déguisés en guignols culs serrés dans du   satin rougi  du sang de leurs victimes. 

<Je viens d'écrire à M. Sarkozy(sur son blog) afin qu'il intervienne lui-même pour sauver ces chiens et leur maître.
J'espère avoir une réponse.

Je transmets donc l'info tragique, en collant ce mail reçu sur une liste antispeciste, drame pour les humains et drame pour les animaux, encore et toujours dans ce monde où l'on se complaît sans égard ni éthique:

IL NE LUI RESTAIT QUE CES CHIENS:

 Suite à un article de Midi-Libre (édition d’ALES - GARD) de ce jour, je me
permets de vous faire parvenir ci-dessous le
> sentiment que celui-ci m’inspire.Afin d'éviter que de telles situations se
multiplient, peut-être que la S.P.A. peut
> intervenir pour les éviter au maximum ?
>
> 14.06.2006: lecture de Midi-Libre, page locale d’Alès.On apprend que
«Police Nationale et Municipale ont procédé»
> la veille « à une opération de contrôle des chiens».
> Dans le contexte de l’actualité, on pourrait penser (à juste raison)
qu’ils allaient contrôler les animaux faisant l’objet
> d’une réglementation particulière (Pitt-bull, Rottweiller…).
> Que nenni! ils ont contrôlé un SDF, un pauvre bougre qui n’a plus rien,
qui vit au bord du Gardon, «autour de
> plusieurs lits entourés de fauteuils et d’objets hétéroclites» (sic) et à
qui il ne reste que l’affection de ses 3 chiens.
> A ma connaissance, et pour les avoir  plusieurs fois aperçus (je travaille
sur Alès), ces chiens n’ont jamais posé le
> moindre problème à qui que ce soit, et ils ne font pas partie des races
incriminées.
> Mais à l’arrivée de cette équipe armée de «bâtons munis de lassos», «un
berger allemand se met à aboyer»
> comme l’aurait fait tout chien normalement constitué, y compris le plus
petit chihuahua!
> Et comme en plus, le propriétaire n’a pas eu (évidemment!) les moyens
financiers de faire vacciner ses chiens, allez
> hop! on embarque les 3 bêtes…
> Alors que le maître «en pleurs, hurle aux policiers: c’est tout ce qui me
reste», qu’il «semble prêt à tout plutôt que
> d’abandonner ses compagnons d’infortune», qu’il attrape «par le cou l’un
des chiens, refusant de la lâcher», rien n’y
> fait: les animaux sont amenés de force, et leur maître laissé seul avec sa
tristesse et sa rancoeur.
> Si le seul reproche (certes justifié) était que les chiens n’étaient pas
vaccinés, ne pouvait-on pas agir avec plus de
> discernement? Et si cet homme n’a pas les moyens de payer un vétérinaire,
n’aurait-il pas mieux valu faire de la
> prévention en l’orientant vers une association qui aurait pû l’aider (SPA
ou autre)? De plus, cela aurait eu le mérite de
> coûter moins cher que le déplacement de cette armada.
> C’est vrai qu’il existe des chiens (rendus) méchants, et qu’il faut prendre
des mesures contre ceux-là. Mais la
> méchanceté humaine (donc raisonnée?) vis-à-vis des plus faibles est
parfois plus que navrante.
>
> P.S.: tous les textes entre guillemets sont des citations de l’article.
>
> Bien cordialement,
>
> Yves CORNILLIERE
> 30350 CARDET
>
>
>MERCI DE DIFFUSER LARGEMENT !!! ON NE PEUT PAS LAISSER FAIRE CE GENRE DE
CHOSES !!!

LES ASSOCIATIONS DE DEFENSE DES ANIMUX SONT CONCERNEES MAIS AUSSI CELLES QUI
S'OCCUPENT DES GENS QUI SE TROUVENT DANS LA PRECARITE !!!

ALORS N'HESITEZ PAS A DIFFUSER AUTOUR DE VOUS EN LES INCLUANT AUSSI, SI VOUS
AVEZ DES CONTACTS... 

 

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